Anne Mansouret
3/12/2025
Le problème Numéro 1 pour les Français ?
- Le chômage ? Le pouvoir d’achat ? l’insécurité ? Que nenni.
Le problème Numéro 1 pour les Français…
C’est « LEURS POLITIQUES » !
Et ils ont 1000 fois raison.
Cette Ve République qui rétrograde en IVe, avec Sébastien Lecornu en mode P’tit Père Queuille, nous donne, de jour en jour, un spectacle des plus affligeants.
Entre un président qui pond compulsivement une idée-pschitt à la minute, mais n’a pas réussi (en 8 ans) à mettre en œuvre un véritable projet ; un bloc central explosé façon puzzle et une opposition qui voit les problèmes avec un strabisme divergent…
Moi, j’vous’l’dis, on est mal partis.
Alors, me revient à la mémoire une citation du susdit P’tit Père Queuille, qui me paraît très pertinente dans ce contexte :
"Il n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout."
Henri Queuille - 1884-1970
(Sébastien, cela pourrait être ta devise !)
Liberté-Résistance
Le blog des esprits libres et éclairés - Contact : liberteresistance68@gmail.com
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5 décembre 2025
Échec diplomatique pour Macron en Chine
Yann Bizien
Xi Jinping, le dirigeant chinois a parfaitement démasqué la stratégie d’Emmanuel Macron qui consiste à se réfugier dans les dossiers internationaux pour échapper à ses difficultés intérieures.
Il ne faut pas se tromper : Emmanuel Macron a eu droit au « service minimum ». Lors de son atterrissage sur le tarmac de Pékin, c’est le Ministre des Affaires étrangères qui l’a accueilli, pendant que le Premier Ministre Indien accueillait, pour sa part, en grandes pompes, et avec les honneurs, Vladimir Poutine.
La France d’Emmanuel Macron est désormais considérée comme un pays en déclin et incapable de se relever.
Notre président est arrivé en Chine avec trois illusions :
1. l’illusion d’un souhait de rééquilibrage de la relation commerciale avec la Chine ;
2. l’illusion de voir le régime chinois contribuer à la résolution de la guerre en Ukraine avec la fin de son soutien stratégique à la Russie ;
3. l’illusion d’installer un « rapport de force » avec la Chine.
Les fantasmes d’Emmanuel Macron ne seront évidemment pas exaucés. Notre président n’a plus aucun moyen de pression sur son homologue chinois : sans majorité, trop faible à l’intérieur, trop clivant à l’extérieur, trop anti-russe, trop belliciste, trop revanchard, il a été renvoyé dans ses buts et de façon cinglante sur la question ukrainienne. La Chine soutient tous les efforts pour la paix, mais le Secrétaire général du Parti a repoussé avec beaucoup de vigueur les assauts d’Emmanuel Macron sur ce sujet.
Notre président est si déconnecté qu’il n’a pas compris que Vladimir Poutine a été, cette année, l’invité vedette du défilé chinois célébrant les 80 ans de la victoire sur le Japon impérial.
Par ailleurs, notre pays est écrasé par la concurrence chinoise sur les secteurs de la voiture, des panneaux solaires, de l’électronique, de l’acier, des jouets et du textile.
La Chine s’est modernisée, technologisée et robotisée. Elle se hisse dans le haut de la gamme sur la qualité de sa production « massifiée ». Elle ne s’enferme pas dans les normes suicidaires de l’Union européenne. « L’usine du monde » déverse sans complexe ses surcapacités industrielles aux quatre coins du monde.
La Chine est désormais une grande puissance qui a su se relever de ses anciennes humiliations. Les valeurs de sa classe politique sont plutôt identiques à celle du régime de Moscou. Et Xi Jinping sait parfaitement ce qui se passe dans la France submergée, tiers-mondisée, ensauvagée, fracturée et surendettée de son hôte.
Notre président discrédité accélère l’effondrement intérieur de la France par ses négligences et abîme son image à l’extérieur avec sa déconnexion et ses insistances. Il n’a jamais su protéger et défendre nos intérêts, nos agriculteurs, notre industrie et notre avenir.
Chacun comprend que la France a un président marginalisé et à côté de la plaque, qui joue une comédie narcissique pour faire durer son plaisir au détriment des intérêts de la nation et du peuple.
Emmanuel Macron est à la tête d’un pays trop abîmé à l’intérieur pour pouvoir peser dans les affaires du monde. Il s’agite, bavarde, divise, empêche, et plus personne ne l’écoute.
Sa diplomatie du ping-pong et des pandas est donc un échec. Rien n’est simple pour lui, car il complique tout, et préfère les règles que le réalisme.
Celui qui veut avoir de l’emprise sur tout n’est en définitive plus maître de rien.
-5/12/2025- Pékin maintient sa neutralité face au conflit ukrainien, malgré les supplications françaises. La Chine renforce ses liens avec la Russie et ne soutient pas le président français. C’est un rappel cinglant de la réalité géopolitique et de l'impuissance de nos dirigeants progressistes face aux superpuissances mondiales.
Xi Jinping, le dirigeant chinois a parfaitement démasqué la stratégie d’Emmanuel Macron qui consiste à se réfugier dans les dossiers internationaux pour échapper à ses difficultés intérieures.
Il ne faut pas se tromper : Emmanuel Macron a eu droit au « service minimum ». Lors de son atterrissage sur le tarmac de Pékin, c’est le Ministre des Affaires étrangères qui l’a accueilli, pendant que le Premier Ministre Indien accueillait, pour sa part, en grandes pompes, et avec les honneurs, Vladimir Poutine.
La France d’Emmanuel Macron est désormais considérée comme un pays en déclin et incapable de se relever.
Notre président est arrivé en Chine avec trois illusions :
1. l’illusion d’un souhait de rééquilibrage de la relation commerciale avec la Chine ;
2. l’illusion de voir le régime chinois contribuer à la résolution de la guerre en Ukraine avec la fin de son soutien stratégique à la Russie ;
3. l’illusion d’installer un « rapport de force » avec la Chine.
Les fantasmes d’Emmanuel Macron ne seront évidemment pas exaucés. Notre président n’a plus aucun moyen de pression sur son homologue chinois : sans majorité, trop faible à l’intérieur, trop clivant à l’extérieur, trop anti-russe, trop belliciste, trop revanchard, il a été renvoyé dans ses buts et de façon cinglante sur la question ukrainienne. La Chine soutient tous les efforts pour la paix, mais le Secrétaire général du Parti a repoussé avec beaucoup de vigueur les assauts d’Emmanuel Macron sur ce sujet.
Notre président est si déconnecté qu’il n’a pas compris que Vladimir Poutine a été, cette année, l’invité vedette du défilé chinois célébrant les 80 ans de la victoire sur le Japon impérial.
Par ailleurs, notre pays est écrasé par la concurrence chinoise sur les secteurs de la voiture, des panneaux solaires, de l’électronique, de l’acier, des jouets et du textile.
La Chine s’est modernisée, technologisée et robotisée. Elle se hisse dans le haut de la gamme sur la qualité de sa production « massifiée ». Elle ne s’enferme pas dans les normes suicidaires de l’Union européenne. « L’usine du monde » déverse sans complexe ses surcapacités industrielles aux quatre coins du monde.
La Chine est désormais une grande puissance qui a su se relever de ses anciennes humiliations. Les valeurs de sa classe politique sont plutôt identiques à celle du régime de Moscou. Et Xi Jinping sait parfaitement ce qui se passe dans la France submergée, tiers-mondisée, ensauvagée, fracturée et surendettée de son hôte.
Notre président discrédité accélère l’effondrement intérieur de la France par ses négligences et abîme son image à l’extérieur avec sa déconnexion et ses insistances. Il n’a jamais su protéger et défendre nos intérêts, nos agriculteurs, notre industrie et notre avenir.
Chacun comprend que la France a un président marginalisé et à côté de la plaque, qui joue une comédie narcissique pour faire durer son plaisir au détriment des intérêts de la nation et du peuple.
Emmanuel Macron est à la tête d’un pays trop abîmé à l’intérieur pour pouvoir peser dans les affaires du monde. Il s’agite, bavarde, divise, empêche, et plus personne ne l’écoute.
Sa diplomatie du ping-pong et des pandas est donc un échec. Rien n’est simple pour lui, car il complique tout, et préfère les règles que le réalisme.
Celui qui veut avoir de l’emprise sur tout n’est en définitive plus maître de rien.
Gastel Etzwane
-5/12/2025- Fin 2024, la France compte 4,25 millions de bénéficiaires de minima sociaux, soit 6,9 millions de personnes dépendantes de ces aides : près d’un Français sur dix. La pauvreté progresse, touche surtout les jeunes (44 % des pauvres ont moins de 30 ans) et les familles modestes, malgré les milliards dépensés en aides publiques. Pendant que l’exécutif promet croissance et plein-emploi, la réalité est simple : la précarité explose. Encore une réussite du “nouveau monde” macronien : plus ça réforme, plus les Français s’appauvrissent, surtout les jeunes.
Drones contre conscrits : l’Europe choisit le passé
H16
-5/12/2025- Quand Emmanuel Macron n’est pas occupé par l’une ou l’autre campagne de communication catastrophique, il joue au Chef de Guère Guerre, fanfaronne avec Zelensky ou – pourquoi pas ? – annonce une resucée de service militaire.
Cependant, à bien regarder l’évolution géopolitique internationale, la mesure évoquée par le chef de l’État français semble passablement anachronique. En effet, la guerre et les conflits actuels laissent de moins en moins de place aux humains et en accordent de plus en plus aux nouvelles technologies, automatisées et robotisées.
Ainsi, selon une étude récente, les stratèges russes constatent que les drones ont complètement changé la donne sur le champ de bataille.
Leur utilisation combinée à l’intelligence artificielle offre des capacités de reconnaissance phénoménales et permettent une excellente vision du champ de bataille. L’utilisation des essaims de drones est en outre une méthode opérationnelle redoutable contre les regroupements militaires ; les chars deviennent ainsi des cibles de choix pour ceux-ci.
De la même façon, l’artillerie est aussi mise à mal, tant le différentiel entre le prix des munitions traditionnelles de l’artillerie et le coût de ces drones est favorable aux seconds. Mieux encore : ces drones ont une portée de plus en plus importante, ce qui permet des attaques en profondeur et, contrairement à l’artillerie traditionnelle, ne permettent pas de révéler facilement (ou par balistique) le point de départ de la frappe. En outre, ces drones peuvent même être contrôlés depuis un autre pays grâce aux communications satellite. Dans de telles conditions, on comprend que les nouveaux soldats – qui sont essentiellement des contrôleurs et pilotes de drones – peuvent infliger d’importants dommages tout en étant très loin des points chauds du terrain d’opération, sans donc se mettre en danger.
On estime ainsi que 70 % des dommages infligés en Ukraine sont désormais imputables à ces drones.
S’ajoutent à ces constats les tout derniers développement des essaims de drones, qui permettent à un unique opérateur de gérer un grand nombre de drones qui peuvent se coordonner entre eux et aller jusqu’à établir des tactiques de déplacement et de pénétration.
On comprend que les capacités et fonctionnalités liées à ces drones et ces essaims vont se multiplier, d’autant plus qu’on l’a vu dans certaines opérations menées par les forces spéciales ukrainiennes, il est maintenant possible de faire rentrer discrètement les drones sur les territoires ennemis et y mener reconnaissance et collecte informationnelle de façon quasi-invisible…
Sans surprise, qu’il s’agisse de l’Ukraine – avec l’énorme soutien technologique et logistique des États-Unis, au moins jusque fin 2024 – ou de la Russie, les deux belligérants investissent donc en masse dans ce domaine.
Bien que déjà très fluctuante et adaptative, cette situation évolue cependant de plus en plus rapidement, à la faveur d’avancées technologiques sans arrêt poussées par ce conflit. Parallèlement en effet, il suffit de regarder du côté de la robotisation « humanoïde », avec par exemple les célèbres robots de Boston Dynamics, pour comprendre qu’il est inévitable qu’on assistera rapidement, dans les années à venir, à l’avènement des « robots fantassins ».
On n’y est certes pas encore, mais tous les ingrédients sont déjà présents. Des milliards de dollars ne manqueront pas d’irriguer la recherche et le développement en ce sens, l’intelligence artificielle embarquée complètera le tableau. L’avantage est évident : ces robots seront plus rapide à produire et plus facilement sacrifiables et remplaçables que des humains, ce qui pourrait devenir un facteur déterminent notamment auprès de l’opinion publique. Et au-delà, on doit s’attendre, dans la suite logique, à voir apparaître des machines qui seront capables de prendre des décisions de façon extrêmement rapide – encore un avantage sur les humains – de manière indépendante, et avec des objectifs tactiques militaires.
Les débats éthiques promettent d’être intenses mais seront de toute façon rapidement étouffés lorsqu’il s’agira de considérer l’alternative, le soldat traditionnel étant aussi un frère, un père, un mari ou un enfant.
Dans un tel scénario, on comprend que l’Europe, encore engluée dans ses doctrines traditionnelles, reposant notamment sur des blindés et sur des fantassins humains, a – à nouveau – une guerre de retard.
Actuellement, les États-Unis, la Chine et bien sûr la Russie investissent énormément dans ces nouvelles technologies. Ils accumulent déjà de l’avance – et pour la Russie, une avance testée sous le feu du combat, opérationnelle – dans le domaine par rapport au reste du monde.
Malgré tout, l’Europe ne s’empêche pas de tenir des discours très militaristes tout en n’ayant pas encore vraiment pris la mesure du tournant technologique à opérer. Le risque est de connaître une situation similaire à celle que la France a connue en 1940, où de mauvais choix stratégiques – avec un modèle d’armée, reposant encore trop sur une leçon apprise lors de la précédente Guerre Mondiale – avaient provoqué une défaite face à une armée allemande technologiquement plus au fait, et surtout apte à s’adapter plus vite que l’armée française de l’époque.
Dans ce contexte, plutôt qu’enchaîner les fanfaronnades politiques visant à faire peur à la population et les exhortations de matamore qui n’impressionnent réellement personne, il devient urgent de se concentrer sur le développement de ces nouvelles technologies et les chaînes logistiques sous-jacentes : demain, la supériorité militaire pourrait se mesurer non à la qualité des doctrines mais à la résilience cyber-industrielle.
Or, une flotte de drones autonomes dont les micrologiciels, les batteries, les capteurs ou les IA embarquées sont produits hors du continent reste une vulnérabilité stratégique majeure – quelle que soit sa sophistication opérationnelle.
À l’évidence, les récents conflits (Ukraine, Houtis en Mer Rouge, etc.) montrent que la tendance est à la « démocratisation » des conflits, où les coûts marginaux des drones baissent tellement que des acteurs non-étatiques – milices voire entreprises privées – deviennent des concurrents viables aux armées nationales. Et logiquement, si la guerre devient une affaire de quelques milliers d’opérateurs hautement qualifiés pilotant des systèmes autonomes, l’investissement rationnel n’est pas dans la conscription de masse mais dans l’excellence technologique, la guerre cognitive et la résilience des infrastructures critiques face aux cyberattaques qui précéderont inévitablement tout conflit cinétique.
Dans ce cas, on comprend que le champ de bataille de demain n’est pas d’abord le ciel, mais plutôt le spectre électromagnétique : un brouillage efficace rend les drones inefficaces, voire permet de les capturer. Dès lors, l’autonomie locale – et donc, une IA embarquée – devient d’une importance capitale puisqu’il permet aux drones de continuer leur mission même sans lien avec l’opérateur.
L’Europe (et la France notamment) se trouve face à un dilemme stratégique qui dépasse largement la question militaire : elle doit simultanément réindustrialiser, rattraper son retard technologique et repenser sa doctrine de défense, alors même que sa fragmentation politique entrave toute coordination efficace. La véritable menace n’est pas tant une invasion conventionnelle que l’obsolescence programmée de son appareil militaire et, plus fondamentalement, l’érosion de sa souveraineté technologique.
Dans ce contexte, les gesticulations martiales sonnent comme les derniers échos d’un monde révolu. La question n’est plus de savoir combien de soldats mobiliser, mais si l’Europe sera encore capable, dans une décennie, de produire les technologies qui définiront la puissance.
Sans rupture radicale, le Vieux Continent ne sera qu’un spectateur impuissant. L’enjeu n’est pas de rattraper un retard, mais d’éviter une marginalisation définitive dans l’architecture de sécurité du XXIe siècle.
Stéphane Rozès
5/12/2025
Comment peut-on se revendiquer de la France et de la République lorsqu’on soutient une UE qui contourne la souveraineté nationale, condition de la souveraineté populaire et de la démocratie ?
Comment peut-on se présenter à une présidentielle en dressant le constat d’une situation cataclysmique pour la France, lorsqu’on a été l’un des zélateurs et artisans des causes qui l’ont conduite là ?
Comment peut-on se présenter comme européen après avoir été atlantiste, soutien en France et dans les pays de l’Est des néoconservateurs américains ?
Voilà pourquoi avant même la présidentielle le mirage Glucksmann se dissipe. C’est qu’au départ il est fondé sur une imposture.
Sarah Knafo
4/12/2025
Ce soir, le service public diffuse un énième reportage de Cash Investigation, l’émission d’Élise Lucet, militante payée 25 000 euros par mois grâce à nos impôts.
Sur qui porte la hargne de l’audiovisuel public aujourd'hui ? Sans surprise, sur Bernard Arnault!
Car Madame Élise Lucet adore les combats sans risque : les grands patrons, les riches, les entreprises, Trump, le Pape, les catholiques… Avec ça, elle ne risque pas de déplaire à France Télévisions, ni de se retrouver sous protection policière.
Où sont les reportages d’Élise Lucet sur la fraude sociale ou les gabegies de l’État ? Cette militante est prête à passer trois heures sur le moindre euro versé en dividende, tout en fermant les yeux sur les milliards dilapidés chaque semaine par l’État.
Où est son reportage sur les subventions aux énergies renouvelables et sur les fortunes que certains ont bâties à coups de subventions publiques ?
Ces dividendes-là ne choquent pas Élise Lucet.
Où est l’épisode de Cash Investigation qui explique pourquoi nous sommes le pays le plus taxé du monde ? Pourquoi la moitié de ce que vous gagnez est captée par l’État, pourquoi votre niveau de vie recule alors que celui de nos voisins augmente…
Avec Élise Lucet, vous n’aurez jamais de reportage sur la difficulté des commerçants, des indépendants, des éleveurs : leurs faibles revenus ne l’intéressent pas. C’est la différence entre nous : Élise Lucet veut moins de riches, je veux moins de pauvres.
Vous n’aurez jamais de reportage sur les violences que subissent les policiers pour un faible salaire, sur les milliards distribués par l’Agence française de développement pour des bénéficiaires douteux, sur les revenus astronomiques des dirigeants de certaines ONG, sur le manque de pluralité dans le service public…
Vous ne verrez jamais un Cash Investigation sur les black blocs et les casseurs, ni sur leurs circuits de financement, puisqu’Elise Lucet est fière d’être une de leurs égéries.
Ce travail-là, ce sont les médias non subventionnés, jamais labellisés, comme Frontières ou Thinkerview, qui le mènent.
Eux prennent des risques.
Eux bousculent les tabous.
Eux ne vivent pas de notre argent.
3 décembre 2025
La seule Startup Nation qui réussit : le narcotrafic
H16
-1/12/2025- La France n’est peut-être pas un coupe-gorge (enfin disons, pas partout), mais elle commence de plus en plus à ressembler à une plaque tournante de toutes les drogues possibles et imaginables.
Il suffit de taper « narcotrafic » dans la recherche Google News pour découvrir une actualité véritablement foisonnante en la matière : trafics en tous genres, règlements de comptes musclés, corruption et commentaires politiques, il ne manque plus guère que le prix des produits et des prestations ainsi que les lieux et horaires de distribution pour que l’information soit vraiment complète (le Click & Collect et les programmes de fidélité existent déjà).
Cependant, parallèlement à ces nouvelles qui montrent que le climat des affaires n’est pas systématiquement pourri en France, on trouve d’autres informations qui montrent que ces trafics et ce commerce alternatif largement entourés de violences et de coercition brutale commencent à avoir des effets de bords palpables sur le reste de la société.
Eh oui : alors qu’une ou deux décennies en arrière, la production, la distribution, le commerce et la consommation de drogues en France pouvaient encore se targuer d’être relativement marginaux ou en tout cas suffisamment discrets pour ne pas se répercuter trop visiblement sur l’activité économique et sociale du reste du pays, il n’en va désormais plus de la même façon. Ces derniers mois, des faits divers inquiétants s’accumulent qui montrent que le narcotrafic et l’insécurité qui l’accompagne pèsent de plus en plus lourd sur l’économie et la société françaises.
Du reste, cela a été mentionné l’année dernière dans un rapport officiel du Sénat dont les informations et principales conclusions peuvent être facilement consultées en ligne, mais qui n’ont apparemment marqué ni les décideurs politiques, ni les journalistes qui n’en ont guère parlé.
Pourtant, ce phénomène du narcotrafic en France est tout de même qualifié de – je cite le rapport – « submersion », affectant tous les territoires, y compris les zones rurales et les villes moyennes. Et le fait d’avoir discrètement intégré ce trafic dans le PIB français – mais pas la prostitution, un peu de tenue, que diable ! – histoire d’en compenser, au moins en partie, les effets délétères commence à montrer ses limites.
Car à présent, les faits divers se succèdent et se ressemblent et ne pointent pas sur une amélioration de la situation. Au contraire.
Ainsi, en l’espace de quelques semaines, on apprend par exemple que l’un des sites de bureaux de BNP Paribas, actuellement situé à Aubervilliers, va fermer et les salariés qui y étaient installés redéployés dans les autres sites de la banque française. La presse, qui relate l’événement, fait des pieds et des mains pour minimiser les raisons pourtant explicites de cette fermeture, à savoir l’insécurité galopante directement liée aux trafics de stupéfiants tout autour des lieux et dans le quartier Rosa Parks. Certains notent pudiquement que « la greffe n’a pas pris » en lieu et place d’un constat d’échec de faire revenir un semblant de sécurité dans le quartier.
Dit plus crument mais aussi de façon plus réaliste : manifestement, les dealers étaient de meilleurs commerciaux que les banquiers et les autorités ont perdu face aux crackheads, aux dealers et aux gangs installés tout autour.
Du reste, ce qui arrive à BNP Paribas n’est qu’une simple occurrence d’un phénomène plus large puisqu’on apprend la même chose pour l’enseigne Leroy-Merlin dont un des magasins, situé lui aussi – c’est une coïncidence – dans le quartier Rosa Parks va bientôt fermer ses portes.
Et toujours au nord de Paris, on notera la fermeture du Décathlon du Stade de France, pourtant le plus grand magasin de l’enseigne, qui est lui aussi confronté à des soucis économiques. Il ne peut y avoir aucun lien avec l’insécurité générale, voyons.
Pour ceux qui voudraient feindre de croire que ce genre de problèmes n’est qu’un avatar de la métropole parisienne, notons cependant que l’insécurité et les gangs se retrouvent maintenant partout, depuis les villes moyennes jusqu’à la campagne.
La violence qui émaille les faits divers parisien décore maintenant les pages « police & justice » des quotidiens régionaux.
Difficile par exemple de passer à côté de la fermeture d’un site Orange de 1000 personnes à Marseille : les locaux, véritablement assiégés par les dealers et les trafiquants, ont poussé la direction à rediriger ses salariés dans d’autres lieux plus compatibles avec leur sécurité et un commerce plus traditionnel et moins dangereux. Les autorités, appliquant leur seul domaine d’expertise, ont courageusement menti et nié toute existence d’un quelconque problème de drogue aux alentours, et expliquent n’avoir même reçu aucun appel. N’oubliez cependant pas de payer vos impôts.
Ces problèmes de trafic de drogue hors de contrôle qui s’impose par la violence, la présence de dealers et les frictions inévitables avec les forces de l’ordre ou les commerces habituels qui entraînent, là aussi, violence et insécurité, ont donc bel et bien un effet catastrophique de plus en plus visible.
Parallèlement, à Nîmes, c’est le PDG de Bastide, une entreprise spécialisée dans le matériel médical, qui a été enlevé et frappé dans un « homejacking » violent, dépouillant l’homme de plus d’un million d’euros de produits de luxe. Une simple recherche dans Google News donne un bon aperçu de la multiplication de ces kidnappings de victimes (supposées) riches et autres « homejackings », pour des montants parfois ridicules.
Cependant, le délitement de l’autorité, l’incapacité du régalien à faire régner l’ordre sur des zones de plus en plus vastes du territoire s’étendent de façon moins visible mais tout aussi préoccupante à d’autres domaines. Il ne fait pas l’ombre d’un doute que les mafias de la prostitution et des trafics de drogue ont aussi des liens avec celles qui occupent les pickpockets ou les voleurs de métaux.
Ces derniers ont un coût énorme pour la société française : les incidents se multiplient par exemple sur les lignes SNCF – ou dans les stations de recharge – de façon quotidienne, au point d’imposer de nouvelles façons de surveiller les voies et de générer un triplement des préjudices supportés par la société ferroviaire.
Et au-delà du coût économique et social catastrophique, ces exemples et l’abandon par l’État de ces pans entiers de territoire à des mafias locales, cette véritable mexicanisation de l’Hexagone illustrent une fois encore au mieux l’incompétence des politiciens qui refusent de rassembler le courage de lutter contre ces fléaux, ou, au pire, leur complète connivence : pour que ces gangs prospèrent à ce point, c’est que certains politiciens y ont un intérêt direct et indirect.
Dès lors, sans le moindre doute, le peuple français est mené à l’abattoir par des incapables et des corrompus.
Ce pays est foutu.
Christian Dubuis Santini
3/12/2025
Ordinaire du journalisme
3/12/2025
Ordinaire du journalisme
Les médias sont à la vérité ce qu’un vélo à roulettes est au poisson rouge : le 2 décembre 2025, lors d'une rencontre avec les émissaires américains, Poutine a dit : "Мы не собираемся воевать с Европой, я уже об этом сто раз сказал. Но если Европа вдруг захочет воевать и начнет, мы готовы прямо сейчас" (verbatim) qui peut se traduire par : "Nous ne prévoyons pas de faire la guerre à l'Europe, je l'ai déjà dit cent fois. Mais si l'Europe veut soudainement faire la guerre et la commence, nous sommes prêts tout de suite".
Si après la formidable ordalie du covidioclimatisme, vous croyez encore un traître mot aux médias, personne ne peut plus rien pour vous, l’indécrottable crédulité qui vous caractérise conditionne votre obéissance, qui est tout sauf vertueuse ! L’ignorance ne s’apprend pas.
LA RETRAITE PAR RÉPARTITION EST UNE ARNAQUE DE PONZI
Marc Amblard
-3/12/2025- Un smicard cotise à hauteur d’un peu plus de 500 € par mois pour la retraite (pas la sienne puisque nous avons choisi un système par répartition) et ce, durant 43 ans.
Si cette somme était capitalisée et placée sur les marchés boursiers (S&P500 par exemple), notre salarié empocherait en fin de carrière 3.500.000 € environ (si perfs futures = perfs passées).
Si cette somme était capitalisée sur des supports plus diversifiés et plus prudents, il empocherait aujourd’hui 1.500.000 €.
Dans le 1er cas, le capital accumulé lui procurerait une rente mensuelle de 16.500 €. Dans le second cas, 7.000 € environ.
Dans les deux cas, il pourrait, à son décès, transmettre un pactole substantiel à ses ayant-droits.
Le refus de la capitalisation entraîne deux conséquences malheureuses :
a) La pension actuellement versée se limite à seulement 1.200 €
b) Comme il cotise non pas pour sa future retraite mais pour les retraités actuels, il est en réalité, fort peu probable qu’il puisse percevoir cette pension, aussi faible soit-elle. Pour des raisons démographiques entre autres.
La peur n’évite pas le danger mais elle permet de s’y préparer…
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