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15 septembre 2025

Charlie Kirk et l’effondrement démocratique

H16

-15/9/2025- Sans le moindre doute, l’assassinat de Charlie Kirk montre une fois de plus que déshumaniser un adversaire conduit inéluctablement à user de la violence à son encontre lorsque celui-ci refuse de se taire ou de disparaître. Ce n’est malheureusement pas la première fois, ni certainement la dernière, que le rappel de cette réalité sera fait.


Cependant, on lit ici ou là que cette rhétorique déshumanisante est un poison qui rongerait nos sociétés démocratiques.

Ce n’est qu’en partie vrai : refuser de voir l’humain dans celui qui tient des opinions différentes est effectivement une façon aussi toxique que rapide de transformer la relation en conflit et justifier la violence, mais non, cela ne ronge pas nos sociétés démocratiques : à proprement parler, il n’y a plus de démocratie réelle actuellement en Occident.

Si cela ronge quelque chose, c’est malheureusement plus profond que la seule couche démocratique des sociétés : cela a maintenant atteint toutes les strates, depuis les individus jusqu’aux partis politiques. On se déchire autant en famille que dans la rue ou sur des plateaux télés pour des opinions différentes et ces dernière se font chaque jour plus radicales, moins nuancées et moins aptes à supporter l’aménagement, le compromis.

C’est d’ailleurs pour cela que ces sociétés occidentales se meurent assez visiblement.


Grâce à une application lente mais obstinée du gramscisme dans la culture et l’éducation pour transformer la société, inexorablement, les universités, les écoles, les instituts de formation, les outils de production culturelle, les associations lucratives sans but ont tous ou presque été « capturés » par une caste issue des mêmes formations intellectuelles, des mêmes bords idéologiques de gauche, essentiellement marxistes ou au moins collectivistes, qui ont soigneusement, au cours des 50 dernières années, infiltré les postes à responsabilité de la société actuelle, i.e. tous les médias, la magistrature, partis politiques, les grosses associations avec pignon sur rue etc. en y cooptant leurs semblables.

C’est vrai en France, aux États-Unis, au Royaume-Uni, … bref, partout en Occident le schéma est le même et se répète de façon singulière : à chaque fois, on notera qu’arrivée aux postes clés, la caste se protège en distribuant les postes, les subventions, les aides, les facilités et les prébendes aux bonnes associations, à la bonne presse, aux bonnes formations et institutions, aux bons individus (c’est-à-dire ceux qui véhiculent les messages qui leurs sont utiles). Les scandales sur les distributions de l’USAID aux États-Unis dévoilés par le DOGE ou de l’AFD ou des subventions à la presse en France montrent bien, outre l’évident capitalisme de connivence, la dérive non démocratique maintenant en place.

Parallèlement, à l’étage supra-national, ces mêmes individus n’ont eu de cesse de pousser des institutions aussi peu démocratiques que possibles (ONU et institutions filles, OTAN, Union européenne, etc.) qui permettent, là encore, d’y coopter leurs amis idéologiques.

Quand on observe la trajectoire globale des sociétés occidentales sous cet effet, on ne peut qu’observer deux phénomènes : d’une part le déplacement des discours traditionnellement de droite vers le centre de l’échiquier et une poussée de la gauche vers l’extrême-gauche, et d’autre part la polarisation de plus en plus claire des individus.

Tout ceci est logique et se déroule en deux temps.

1- Une fois les médias polarisés, il devient impossible d’exister sans tenir un discours qui y est autorisé, i.e. de centre, de gauche ou d’extrême-gauche, mais certainement pas de droite conservatrice ou libérale.

C’est une censure subtile, mais elle s’illustre sans ambiguïté par exemple (parmi d’autres) avec le refus des gens de gauche d’aller sur CNews, la seule chaîne vaguement de droite du PAF (et toutes les variations sur « on ne discute pas avec les nazis »). Elle s’illustre avec les délicieux plateaux d’intervenants d’émissions de débat de société ou de politique où on retrouve 4 ou 5 personnes issues de la gauche ou de l’extrême gauche, pour une de la droite ou de l’extrême droite – quand il y en a une ! La contradiction sera éventuellement présente, mais comme un gage, pas comme une réelle envie de montrer tous les points de vue à égalité. Du reste, pour la caste médiatique, c’est de bonne guerre : on ne donne pas la parole aux méchants, puis aux ennemis, puis à Hitler, enfin voyons ! Il est intolérable de tolérer les intolérants, et le curseur définissant ceux qui sont intolérants sont dans les seules mains des cooptés de la caste.


2- Cette situation pousse alors les partis à adapter leur discours pour pouvoir être vus : petit à petit, même les partis traditionnellement à droite, libéraux ou conservateurs se font plus étatistes et collectivistes, et se retrouvent systématiquement à jouer en défense pour éviter les anathèmes, d’ailleurs largement relayés par des médias qui sont favorables à ceux qui les distribuent.

La différence entre les partis de gauche, du centre et de droite rétrécit d’années en années. Le parcours économique du Front puis Rassemblement national en France est une illustration parfaite de cette tendance lévogyre.

Le résultat est sans appel : l’offre politique correspond de moins en moins puis plus du tout à ce que demande le peuple et c’est assez visible tant dans les sondages d’opinion que dans l’instabilité politique, en France comme ailleurs. Il y a un fossé de plus en plus large entre le peuple et cette frange qui dirige la politique, les médias, la magistrature, les associations, etc. Cet écart explique à la fois la radicalisation de l’expression sur les rares endroits où elle est encore libre et le besoin de censure rabique qui s’est emparé des institutions qui sentent le pouvoir s’échapper.

Aux États-Unis, l’arrivée du trumpisme a largement accéléré le retour de balancier vers une administration et un gouvernement plus en phase avec le peuple. On observe actuellement les soubresauts de plus en plus violents d’une gauche devenue presque folle qui sent l’abandon du peuple et des leviers de pouvoir qui vont avec, et dont on se doute qu’il aura des conséquences fortes pour ceux qui vont aller trop loin : rapidement, les actes qui étaient avant favorisés par l’establishment ne seront dorénavant plus sans conséquence d’autant qu’ils sont fermement opposés au nouvel establishment en place.

De façon intéressante, un précédent billet mentionnait un « effet domino » provoqué par Trump, Milei ou Bukele arrivant au pouvoir. C’est exactement ce qu’on observe actuellement, avec une panique et des gesticulations de plus en plus affolées des différentes institutions de pouvoir pour ne rien lâcher, une multiplication des pliages de la réalité par le médiavers de plus en plus spectaculaire.

Pour la gauche, la démocratie n’est valable que lorsqu’elle lui permet d’obtenir le pouvoir. Dans ce cadre, ce qui vient d’arriver aux États-Unis avec Charlie Kirk est donc un signal, celui que la gauche a compris qu’elle est en train de perdre le combat culturel et le combat politique et devient donc de plus en plus violente.

C’est aussi, paradoxalement, une preuve que le collectivisme, le marxisme et le fascisme reculent.


https://h16free.com/2025/09/15/81921-charlie-kirk-et-leffondrement-democratique
Radu Portocala

Combien ça coûte ?
Qu'est-ce que ça rapporte ?
Pourrait-on vivre sans ?


14 septembre 2025

Yann Bizien
14/9/2025

Une bonne infographie vaut bien mieux qu'un long discours

Dans les conditions d'engagement "pour la guerre", il y a celle, incontournable, de l'opinion. Lorsque l'indicateur est au rouge, et c'est le cas pour Emmanuel Macron, il est évidemment hors de question d'approuver et de décider un engagement militaire.
Pire, le chef de l'État n'a pas l'opinion avec lui ni de majorité pour se lancer dans une aventure militaire à très hauts risques.
Il y a bien sûr d'autres conditions nécessaires pour juger de l'opportunité d'entrer en guerre, comme, par exemple, l'aptitude à avoir des alliés, à obtenir un mandat clair du Conseil de sécurité des Nations-Unies (mais la Russie dispose de son droit de veto en sa qualité de membre permanent), à disposer d'un outil militaire opérationnel, de ressources industrielles suffisantes sur le long terme, à pouvoir mobiliser toute la nation, à avoir des chances raisonnables de succès...
Certains critères ont beau être au vert, il n'empêche qu'Emmanuel Macron n'a clairement plus la confiance des Français et la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon, sans majorité, ne changera rien à la situation d'instabilité chronique de ce pays. Il pourra s'agiter, faire des annonces, la situation politique restera bloquée et la France en souffrira.
Le piège de la tripartition de la vie politique, avec trois blocs inconciliables, s'est refermé sur la France fracturée et bloquée.
Il nous faut donc faut revenir à un vrai clivage gauche/droite dans l'intérêt du pays. À droite, c'est à Bruno Retailleau, Laurent Wauquiez, Nicolas Dupond Aignan, Eric Ciotti, Eric Zemmour, Sarah Knafo, Marion Maréchal, Marine le Pen, Jordan Bardella et à François Asselineau de se mettre au travail.
Hélas, ils ne sont toujours pas prêts à rompre avec leur égoïsme, au détriment de la Nation. Sur le marché de l'électorat, à chacun sa part du gâteau.

Yann Bizien

-14/9/2025- Je reviens un instant sur la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon par Emmanuel Macron.
Le résultat des législatives issues de sa dissolution devait conduire à un quasi gouvernement de "co-habitation" avec un président défait et déchu sur les deux derniers grands scrutins de la nation.
Or nous avons aujourd'hui un parfait alignement politique et idéologique entre le palais de l'Élysée et l'hôtel de Matignon. Entre les deux centres de gravité du pouvoir exécutif, les états-majors, la vision, les méthodes et les objectifs sont les mêmes.
Une preuve ? Lors de sa prise de pouvoir, Sébastien Lecornu a déclaré qu'il voulait de la stabilité, mais aussi "une rupture, pas seulement sur la forme et sur la méthode, mais aussi sur le fond".
"Stabilité et rupture", les deux mots sont pourtant antinomiques. Ils nous renvoient à l'obsession du "en même temps" du chef de l'État. Il ne faut donc certainement pas voir cette rupture comme une distance entre l'Élysée et Matignon.
Bien au contraire.
En récompensant la fidélité d'un ministre, plutôt que de tenir compte du résultat des urnes, Emmanuel Macron a confisqué le pouvoir et repris en main toute la politique de l'exécutif dans un entre-soi inadmissible.
La nomination de Lecornu suinte le mépris de la volonté du peuple. Ce pouvoir autoritaire et exclusif n'est plus démocratique et bicéphale. Il est arrangé entre amis et certainement monocéphale. Politiquement, et sur le plan idéologique, Emmanuel Macron et Sébastien Lecornu ne font plus qu'un. Ce sont les mêmes.
Le Premier ministre est la "voix de son maître". S'il lui ordonne de cajoler le parti socialiste, il le fera.
Emmanuel Macron est un pervers narcissique qui a besoin de contrôler et de conserver son emprise. À l'international, ses homologues voient bien que la France est ingouvernable. Certains leaders bien élus se moquent même de lui. Et cela lui est insupportable. La nomination de Lecornu à Matignon lui permet donc de reprendre le contrôle sur l'action de l'exécutif.
Il ne faut pas le voir autrement.
Enfin, quand Lecornu prétend ne pas avoir d'ambitions pour la présidence de la République, rappelons-nous de cette citation de Georges Pompidou : "L'envie de l'Élysée naît à la seconde ou l'on gravit le perron de Matignon".
Dans une République démocratique qui considère, dans sa constitution, que le souverain c'est le peuple, le pouvoir est donc ici emprunté, détourné et confisqué. Grâce aux petites combines du régime des partis, ceux qui perdent les scrutins, et qui n'ont plus les faveurs de l'opinion, sont aux responsabilités.
Et ils entendent bien y rester.
C'est grave. Dans le combat politique, le machiavélisme n'a pas de limite, pourvu qu'il soit efficace.

Servir ou se servir ?

Stéphane Rozès

-14/9/2025- Défense sous forme de contre-attaque intenable. Revenons en aux faits.
Des journalistes de l’audiovisuel de service public, Thomas Legrand et Patrick Cohen, expliquent à deux responsables nationaux du PS comment, dans leurs médias, ils savonnent la planche de la candidature de Dati aux municipales de Paris et vont faire la promotion de Glucksmann à la présidentielle.
Pour mémoire, Jean-François Achilli fut licencié de France Info pour avoir échangé avec Bardella et, finalement, refusé d’être son intervieweur pour un livre.
Legrand et Cohen discréditent la profession de journaliste et participent à son image détestable de soumission idéologique et d’intérêt, d’arrogance et d’impunité.
Pire, ils affaiblissent terriblement l’audiovisuel de service public.
Pire encore, ses responsables n’ont ni la hauteur nécessaire ni le sens de l’intérêt général pour remettre les pendules à l’heure : ils couvrent les dysfonctionnements en recourant à des arguments idéologiques et non principiels.
Il est significatif de voir ceux qui font semblant de ne pas comprendre la noblesse et l’exigence du service public, en échange du confort qu’il procure aux journalistes, et ceux qui ont des principes à géométrie variable selon leurs préférences idéologiques.
Il est absolument anormal que l’audiovisuel du service public reflète à environ 75% les opinions de 25% des Français et que l’entre-soi journalistique, ne consultant ni les votes des Français, ni les études d’opinion, ne le voit pas et ne comprenne pas le problème.
Qui défendra l’audiovisuel de service public en cas d’alternance ? À partir de quels arguments solides ?
Ces responsables de l’audiovisuel du service public creusent sa tombe. Sidérant de ne pas le voir, de ne pas agir en conséquence.
(Un défenseur de l’audiovisuel du service public, ancien chroniqueur à France Inter, LCP-AN, Public Sénat et France Culture)

DE LONDRES À PARIS ET RETOUR

Gabriel Nerciat

-14/9/2025- Il y aurait un rapprochement intéressant et sûrement éclairant à faire entre le succès historique des manifestations londoniennes anti-immigration de ce week-end initiées par Tommy Robinson et l'insuccès flagrant du mouvement de blocage du 10 septembre dernier en France (que confirmera sans nul doute le traditionnel baroud d'honneur syndical de jeudi prochain).
Ce rapprochement comparatif pose à mon avis deux types de questions pertinentes voire cruciales, auxquelles les réponses à apporter ne sont pas simples (sauf à faire du zemmourisme et du mélenchonisme) :

1) L'absence de parti de masse national-populiste depuis quarante ans au Royaume-Uni a-t-elle été ou non une chance pour le régime politique néo-libéral et immigrationniste qui a triomphé à partir des années Thatcher, et surtout du règne catastrophique du New Labour de Tony Blair ?
Permet-elle aujourd'hui, avec l'apparition tardive de Reform UK (le nouveau parti post-Brexit de Nigel Farage), d'aborder la question de la colonisation démographique et identitaire du Vieux Continent de façon plus franche et donc plus décisive que les succès électoraux du FN-RN en France ou de la coalition Fratelli d'Italia-Lega en Italie ?
Inversement, le succès politique du national-populisme et, dans une moindre mesure, du souverainisme conservateur illibéral en Europe continentale et aux États-Unis ne risque-t-il pas de favoriser les régimes libéraux en place, par les phénomènes de résistance dissociative que ces victoires électorales suscitent encore, avec l'appui implicite des superstructures médiatiques et judiciaires, ainsi qu'on l'a vu lors du second tour des dernières élections législatives en France ou même après l'arrivée au pouvoir à Rome de Giorgia Meloni ?

2) La tripartition idéologique et parlementaire que génèrent l'intensification des diasporas allogènes apportées par l'immigration de masse ainsi que la paupérisation des provinces périphériques détruites par le libre-échange global est-elle la dernière chance des nomenklaturas libérales et progressistes devenues partout minoritaires, ou bien au contraire ce qui les condamne à plus ou moins long terme à disparaître - en même temps d'ailleurs que la démocratie libérale elle-même, qui suppose l'existence de deux blocs idéologiques alternatifs et relativement homogènes ?
À mon avis, c'est parce que les gauches ne comprennent pas cette dernière dimension, inconnue du XXe siècle où elles prospérèrent, qu'elles échouent à fédérer l'ensemble des victimes du système économique actuel derrière elles.
S'il y avait encore des intellectuels en France, il me semble que c'est d'abord à ces deux champs d'investigation qu'ils devraient de toute urgence se consacrer.
Quelques esprits perspicaces ou précurseurs, comme Christophe Guilluy, Emmanuel Todd, Pierre Manent, Marcel Gauchet, Stéphane Rozès ou en Angleterre David Goodhart, ont commencé à défricher la route, mais je crois qu'il reste encore beaucoup de sites et de paysages insoupçonnés à découvrir en la matière.

Vincent Verschoore
Ze Rhubarbe Blog

-11/9/2025- Une monnaie fiat (dollar, euro, etc...) ne peut pas survivre indéfiniment à une production de liquidités (qui enrichit surtout les grands spéculateurs) déconnectée de la création de valeur réelle. Or c'est aujourd'hui le seul moyen de satisfaire une population qui compare sa propre stagnation, voire sa paupérisation, à l'enrichissement obscène des gens au pouvoir et de leurs amis.
À un moment donné ça va forcément coincer, et soit la classe dirigeante aura pu mettre en place un véritable régime policier totalitaire capable de mater toute forme de rébellion (et ils y travaillent, on peut même dire que c'est l'objectif de la clique des Macron, von der Leyen & Cie), soit c'est la guerre civile.
Une solution alternative serait donc de revenir à une forme de monnaie stable, comme l'était l'or avant son remplacement par le dollar. Et ça, les spécialistes l'ont bien compris, ce qui explique la hausse de l'or et du Bitcoin, qui pour ses adeptes est un "or numérique" stable (sa masse finale de 21 millions de jetons est immuable), même si sa valeur reste volatile.
Cette émission de BFM, pour le coup, me paraît pertinente :

Vidéo de 25 min 32 s ↴
Yann Bizien

-13/9/2025- Zelensky publie un nouveau communiqué très alarmiste ce soir. Depuis plus de trois ans, il cherche à entraîner toute l'Europe dans une guerre qui n'est pas la nôtre.
Nous sommes tous les jours au bord d'une guerre pouvant s'étendre sur tout notre continent.
La "coalition des volontaires" menace toujours plus la Russie qui devient toujours plus agressive : c'est une "logique de guerre", pas de paix.
Depuis des mois j'affirme qu'il s'agit d'une mauvaise stratégie, que la Russie ne cédera jamais et que la France n'est pas du tout prête à entrer en conflit direct avec notre plus grand voisin, même avec quelques alliés européens qui sont eux aussi, dans la même situation que nous : de la dette, de la désindustrialisation, des centaines de milliers de clandestins, de la violence intérieure, une menace islamiste forte et un pouvoir fragilisé.
Halte au feu.

Marc Amblard

13 septembre 2025

Nicolas Dupont-Aignan
13/9/2025

Des centaines de milliers de manifestants à Londres pour dire STOP à la submersion migratoire. De l’autre côté de la Manche le peuple britannique enfin se lève pour défendre sa civilisation millénaire et ne pas mourir. Debout les Français !
Vidéo ↴