L’hôpital craque, ça on le savait. Mais cela va beaucoup plus loin. Sur France-Info, qui n’est pas spécialement une radio complotiste, un président de collectif de défense expliquait que les urgences devaient fermer la nuit et que la sécurité des patients n’était plus assurée. Il prenait comme exemple, une vieille dame, morte dans un service d’urgence, dont France-Info ne mentionnait pas le nom, après avoir passé sept heures sur une chaise, à attendre en vain qu’on la prenne en charge. Le président d’expliquer que ce genre de cas n’était pas isolé. Mais la radio nationale, pourtant légèrement la « voix de son maître », car largement subventionnée, s’est fendue d’un floutage des voix des intervenants qui racontaient ces horreurs. Et pourquoi donc ?
Explication, toujours par le président du collectif : « nous subissons des pressions impensables pour ne pas raconter la réalité » de nos hôpitaux, aujourd’hui. En réalité, malgré le Covid, la période estivale propice aux accidents, les lits ont continué à fermer, en grande quantité, pendant que le gouvernement ne communique pas sur ces décisions et pire, fait croire que tout va bien et ordonne la chape de plomb, au point que personne n’ose raconter quoi que ce soit, de peur de perdre son travail et ne propose de s’exprimer qu’anonymement et avec la voix masquée, dans quel pays vit-on ? À tel point qu’à l’hôpital de Laval, deux syndicats ont déposé un signalement auprès du procureur de la République de Mayenne, alertant sur « la mise en danger du personnel hospitalier de Laval ». Ce service souffre depuis plusieurs mois de fermetures à répétition, à cause d’un manque de personnel et de suppression de lits.
Au Rassemblement du Peuple Français, nous alertons depuis quelques temps sur la tromperie par le discours. L’État ne tente pas de résoudre les crises qui se présentent, contrairement à ce qu’il prétend, il les organise. La destruction méthodique des services publics résulte bien d’une volonté politique, du moins en ce qui concerne la santé, avec les suppressions de lits, la mise à l’écart de personnels non-vaccinés, alors même qu’il est acté que la vaccination n’empêche pas la transmission. Il en va de même, en matière d’éducation, avec la sous-rémunération chronique des profs, les recrutements hasardeux et les suppressions de postes. En matière d’énergie également, puisque le programme a consisté à fermer des centrales nucléaires, sur des critères idéologiques, pour ensuite décréter le rationnement. Ce ne sont pas seulement les personnels hospitaliers de Laval qui sont en danger, c’est la nation tout entière.
Explication, toujours par le président du collectif : « nous subissons des pressions impensables pour ne pas raconter la réalité » de nos hôpitaux, aujourd’hui. En réalité, malgré le Covid, la période estivale propice aux accidents, les lits ont continué à fermer, en grande quantité, pendant que le gouvernement ne communique pas sur ces décisions et pire, fait croire que tout va bien et ordonne la chape de plomb, au point que personne n’ose raconter quoi que ce soit, de peur de perdre son travail et ne propose de s’exprimer qu’anonymement et avec la voix masquée, dans quel pays vit-on ? À tel point qu’à l’hôpital de Laval, deux syndicats ont déposé un signalement auprès du procureur de la République de Mayenne, alertant sur « la mise en danger du personnel hospitalier de Laval ». Ce service souffre depuis plusieurs mois de fermetures à répétition, à cause d’un manque de personnel et de suppression de lits.
Au Rassemblement du Peuple Français, nous alertons depuis quelques temps sur la tromperie par le discours. L’État ne tente pas de résoudre les crises qui se présentent, contrairement à ce qu’il prétend, il les organise. La destruction méthodique des services publics résulte bien d’une volonté politique, du moins en ce qui concerne la santé, avec les suppressions de lits, la mise à l’écart de personnels non-vaccinés, alors même qu’il est acté que la vaccination n’empêche pas la transmission. Il en va de même, en matière d’éducation, avec la sous-rémunération chronique des profs, les recrutements hasardeux et les suppressions de postes. En matière d’énergie également, puisque le programme a consisté à fermer des centrales nucléaires, sur des critères idéologiques, pour ensuite décréter le rationnement. Ce ne sont pas seulement les personnels hospitaliers de Laval qui sont en danger, c’est la nation tout entière.