Une entreprise de diabolisation est en cours en Italie, afin de faire passer Giorgia Meloni pour une candidate d’extrême droite et même, une héritière de Mussolini, rien moins. La réalité est que les Italiens sont aux abois dès le 15 du mois et que l’enjeu du quotidien est de payer les factures et de manger, pour une bonne partie d’entre eux, survivre en fait. Cette candidate, qui rassemble sur des valeurs transversales de travail, de famille et de sécurité, est facilement cataloguée à l’extrême droite par les « progressistes » auto-proclamés, tendance Macron et von der Leyen, qui tentent de substituer, à ces valeurs largement partagées en Europe, le non-genre, le métissage ethnique et le réchauffement planétaire. La doxa, soutenue par l’ensemble de la presse, voudrait ainsi faire croire que le désir d’avoir une famille, de vivre décemment de son travail et de se sentir en sécurité dans son propre pays, seraient des aspirations fascisantes.
Il n’en est rien, vouloir des filles et des garçons hétérosexuels n’a jamais empêché les gens de respecter les homosexuels, c’était le cas jusque dans les années 80. Vouloir vivre en sécurité n’a jamais empêché d’accueillir celui qui arrive pour vivre en paix, nous l’avons bien pratiqué avec les Ibères et justement, les Italiens. La réalité est qu’une minorité déconnectée, fondatrice de concepts hors sols, veut les substituer à des valeurs parfaitement recevables, qui sont populaires, mais aussi totalement archaïques, dans la mesure où elles sont partagées avec les animaux qui nous ressemblent et qui tiennent eux-aussi à leurs groupes sociaux, à leur sécurité et à leurs territoires. Nous y ajoutons la culture.
Au Rassemblement du Peuple Français, nous soutenons également ces valeurs rassembleuses et en premier lieu, celle du travail, qui permet à une famille de vivre décemment dans la société. Mais également, l’histoire, dont nous devons être fiers, la culture, l’une des plus riches au monde et la sécurité, valeur fondamentale dans une société moderne. Que les Italiens se tournent vers un parti n’ayant pas eu de compromission avec les pouvoirs qui les ont menés à la ruine, semble parfaitement légitime. Les gens des pouvoirs actuels sont plus occupés à vouloir substituer à des aspirations parfaitement légitimes, des considérations conceptuelles, contre lesquelles les populations européennes commencent à sérieusement se raidir et ils font le choix de diaboliser plutôt que d’écouter. Ils font eux-mêmes le lit de ce qu’ils dénoncent.