Brochette de rombières ménopausées déguisées en drapeau ukrainien au Parlement européen.
La sorcière du milieu, je ne veux même pas écrire son nom, a déclaré qu'il ne fallait pas aller vers l'apaisement contre la Russie. Déclaration belliciste d'une va-t-en-guerre élue par personne, qui se retrouve on ne sait comment à la tête d'une institution hors sol qui souffle sur les braises au risque de provoquer un incendie.
Il y a quelques mois, la mèche folle de Londres, Boris Johnson, accusait Poutine de « masculinité toxique » et prétendait que si le président russe avait été une femme, il n'aurait pas fait la guerre.
Cette photo démontre la fausseté de son propos : les femmes, dès qu'elles ont du pouvoir, non seulement en usent autant que les hommes pour faire le mal, mais peut-être encore plus qu'eux pour rattraper leur retard. Le fameux zèle des convertis qui se sentent obligés d'en faire des tonnes pour se faire pardonner d'être entrés plus tardivement que les autres en religion.
Le féminisme au pouvoir n'arrêtera pas les guerres, il les fera seulement déclarer par des femmes.