Depuis la victoire de Giorgina Meloni, la meute politico-médiatique est aux abois, car elle craint de voir ses privilèges contestés, et son autoritarisme se heurter à une volonté de souveraineté. Elle lance donc ses chiens de garde, les journalistes, qui en ont terminé avec « la seule solution c’est la vaccination » et ressassent maintenant en boucle, « le fascisme est à nos portes ». On leur fait dire ce qu’on veut.
Rien, quand von der Leyen, promettait des mesures de rétorsions aux Italiens, s’ils avaient le malheur de « mal » voter. Rien non plus, quand la même a dit préférer la guerre en Ukraine à la voie de l’apaisement. Ces « braves » gens relaient en écho que s’afficher chrétien aimant son pays, refuser l’invasion migratoire afro-arabo-musulmane, orchestrée par von der Leyen, c’est être d’extrême droite. Ils font l’apologie de la destruction de leur propre civilisation en remplaçant ses fondements millénaires par une « nouvelle culture », qui n’en est pas une et qu’une minorité tente de faire passer pour la pensée majoritaire.
Souvenez-vous de leur propos lors du Brexit. Les Anglais allaient fuir en masse pour ne pas quitter l’Europe, un peu comme les jeunes Russes aujourd’hui, pour éviter la mobilisation. Le pays devait sombrer dans le chaos, un peu comme la Russie devait le faire grâce aux sanctions si justement distillées par les brillants esprits non élus. Et Poutine, mal en point, devait mourir rapidement. Et ces valets serviles des pouvoirs d’accuser la Russie d’organiser de faux référendums. Ils n’ont quasiment rien dit sur le non au traité européen de 2005, prestement transformé en oui. Observateurs et impartiaux : mon œil.
Pour autant, Meloni est attendue au coin du bois et le souvenir de Tsipras, en Grèce, est encore dans les mémoires, lui dont l’élection promettait tant de changements, s’est rapidement vu défait, corseté par la puissante Europe, qui ne pouvait accepter un trublion dans ses rangs. Il a dû battre en retraite et faire exactement l’inverse de ce qu’il avait promis. Oui, mais l’Italie n’est pas la Grèce, elle possède un tissu industriel conséquent, contribue, comme la France, au budget européen plus qu’elle ne reçoit, et sa dette est détenue en grande majorité par les Italiens eux-mêmes… Attendons de voir si von der Leyen, va, comme il est probable qu’elle le fasse, mettre en application les sanctions qu’elle a déjà imaginées. Cela a déjà dû commencé, car Meloni s’est fendue d’un tweet de soutien à la politique ukrainienne, certes à minima.
Si l’Italie tient bon, à savoir : Les amendes, elle ne les paye pas, et le transfert de son budget, elle ne le fait pas, que va faire la grande démocrate non élue ? Que valent des sanctions sur un pays qui affirme sa souveraineté et se moque de ce qu’une étrangère peut clabauder au loin ? Ursula von der Leyen a eu beau se mettre en colère contre Poutine, lui promettre qu’elle n’achètera plus rien et qu’elle va continuer à lui faire la guerre, est-ce que Poutine est venu ramper à ses pieds ? Meloni serait bien inspirée d’user de la même fermeté, pour faire plier cette dame qui se rêve impératrice de l’Europe avec ses valets préférés, Macron et Sholtz. Ce dernier, maintenant qu’il s’est fait couper le gaz, grâce à deux sabotages, très probablement par ses « amis » américains, va devoir mettre un bon pull et arrêter son industrie… et nous avec.