Nos chers médias ne peuvent être objectifs, puisqu'ils ont pour fonction et pour mission de défendre et promouvoir le système existant, de diffuser et imposer les mots d'ordre et consignes du pouvoir, et de discréditer systématiquement ou empêcher de s'exprimer les opposants et contestataires.
Exactement comme dans les régimes totalitaires !
Il faut voir avec quel acharnement les journalistes mainstream s'en prennent à celles et ceux qui ont l'audace de remettre en cause les thèses officielles, comme si leur honneur et leur sort personnel en dépendaient.
Et, effectivement, le maintien dans leur poste et leurs possibilités de promotion en découlent directement.
Aussi, leur réputation au sein des cercles très fermés de la profession, ainsi que leur intérêt matériel et financier, les contraignent nécessairement et les amènent tout naturellement à la censure et à l'autocensure. Ils finissent même par croire en leurs propres mensonges et à la propagande obligatoire, car ils auraient beaucoup trop à perdre, s'ils acceptaient de voir la vérité en face.
Pris en tenaille entre le désir de plaire et le désir de savoir, leur choix est vite fait.
Ce qui explique la médiocrité et le manque d'intérêt des médias dominants aujourd'hui, qui ne pourraient survivre s'ils n'étaient largement subventionnés par l'État.
Heureusement existe-t-il des médias alternatifs, bien souvent sur internet, qui permettent d'avoir accès à une véritable information, et qu'il convient donc, tout en conservant bien entendu une nécessaire distance critique, de privilégier et de faire connaître le plus largement possible.