Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF chargé du suivi de la vie parlementaire
Secrétaire national du RPF chargé du suivi de la vie parlementaire
« Janine Small, présidente chez Pfizer, vient d’avouer que leur vaccin n’avait jamais été testé sur la transmission du Covid ». L’immunologiste Stéphane Paul précise : « Les essais cliniques n’étaient pas mis au point pour vérifier la transmission ». Si on comprend bien, Pfizer n’a donc pas réalisé les tests, puisqu’ils n’existaient pas. Le résultat est le même, on a vacciné massivement sans savoir vraiment pour la question de la transmission et Pfizer pourrait s’abriter derrière le fait qu’il n’existait pas de test.
Or c’était bien l’argument massue pour imposer la vaccination aux personnels soignants, aux pompiers et à quasiment toute la population, avec le slogan : « Tous vaccinés, tous protégés ». Il n’en était rien, en réalité, puisque la reconnaissance de la possibilité de transmission entre vaccinés est maintenant officielle.
Dans ce cas, la suspension de ces personnels n’a plus lieu d’être et ils doivent être réintégrés avec rappel des salaires volés, et reconstitution de carrière. C’est aux députés de l’opposition de l’exiger et certains, courageux, ont déjà commencé à l’évoquer.
Mais l’action ne doit pas s’arrêter là, ce serait trop facile, trop peu contraignant pour ce pouvoir, qui a lancé la vaccination de masse, sans savoir, à l’aveugle donc et dont on peut considérer qu’il a utilisé la population de manière expérimentale et en l’absence de données fiables. Il faut dès à présent, demander la destitution de Macron et arrêter tous les protagonistes qui ont servi avec zèle ce mensonge. Les drames liés à cette forfaiture sont suffisamment nombreux pour qu’il convienne de les éclaircir judiciairement.
Ce comportement de hauts responsables politiques ne peut pas rester sans explication. Leurs paroles n’étaient ni assurées, ni fiables. Ils ont menti, soit par omission, soit, plus gravement, en connaissance de cause, c’est ce qu’une enquête indépendante doit maintenant déterminer. Et en tout état de cause, les acteurs de ce qui devient un drame, doivent être immédiatement stoppés.
On ne peut plus se contenter de discours offusqués, de colères dans l’hémicycle et d’effets de manche au palais Bourbon. Il faut aller au combat et faire la lumière, sur les connaissances disponibles au moment du matraquage médiatique en faveur des injections, sur la réalité des effets secondaires, sur les taux de mortalité en augmentation partout, dans les pays soumis à la vaccination de masse et sur les sommes versées et encore à verser aux laboratoires pharmaceutiques concernés.
Le peuple est en première ligne et il a élu une opposition majoritaire qui doit elle aussi monter en première ligne à l’Assemblée, faute de quoi, sa crédibilité fondra comme neige au soleil.