Depuis l’audition au Parlement européen, le 10 octobre, de Janine Small, chargée auprès de Pfizer, des marchés internationaux du laboratoire, on sait qu’il n’y avait pas eu de tests des futurs vaccins, concernant la transmission ou pas du virus, par les personnes vaccinées. Et pour la simple raison qu’il n’existait pas, à l’époque, de protocole permettant de vérifier la capacité des personnes vaccinées à transmettre, ou pas le virus. Soit, mais en l’absence de cette donnée primordiale, pourquoi avoir autorisé la commercialisation et l’inoculation de ce produit ?
Mais il y a pire, l’absence de cette donnée rend caduques bon nombre d’assertions martelées durant l’épisode le plus hystérisé de la pandémie. Ainsi « Tous vaccinés, tous protégés », n’était étayé par aucune validation scientifique. Cymès expliquant doctement que des irresponsables, les non-vaccinés, allaient compromettre, en étant des transmetteurs, la sécurité de la nation : c’était faux. Ces journalistes et politiciens qui ont expliqués que les non-vaccinés étaient des contaminateurs en puissance qui ne devaient plus être soignés, ni accueillis en hôpitaux, n’avaient aucun motif valable de tenir ce genre de discours.
Les passe-sanitaire et vaccinal, qui ont interdit aux personnes non-vaccinées de se rendre dans un restaurant ou un cinéma, pour « ne pas contaminer les autres », alors même que les gens vaccinés pouvaient également contaminer, n’avaient aucune justification non plus.
Ces différents intervenants, médecins ou simples commentateurs ont parlé alors qu’ils ne disposaient strictement d’aucune forme de preuve, pour la simple et bonne raison qu’elle n’existait pas. Ils pourraient, dans un premier temps, être poursuivis pour « propagation de fausses nouvelles ». Au moment où l’on parle de faire la chasse aux « fake-news », pas besoin d’aller les chercher bien loin, elles étaient sur les chaînes subventionnées.
Ces gens pourraient également être poursuivis pour appel à la haine, envers les non-vaccinés et certains, pour injures publiques. On se souvient des « pauvres connards », par Didier Bourdon, désignant les non-vaccinés. Sans parler de ceux qui voulaient leur faire payer leurs soins ou les faire piquer de force, entre deux flics.
Il y a fort à parier, qu’avec le temps et l’évidence, qui montre que les non-vaccinés ne meurent pas plus du Covid que les vaccinés, comme le montrent les statistiques des hôpitaux anglais, qui elles aussi, commencent à sortir, que ces gentilles personnes vont adopter des profils discrets. Et si ça se trouve, elles mourront de crises cardiaques avant d’être jugées.