Une belle histoire en trois temps qui prouve que nous autres les patriotes avons plus d'influence que nous le pensons et qu'il faut continuer à occuper les réseaux sociaux :
1. Le compte Twitter du ministère des armées publie la photo du calendrier du ministère sur lequel apparaît, entre autres, une femme voilée. Plusieurs personnalités de notre camp s'en émeuvent et font remonter l'info.
2. Le ministère des armées, obligé de répondre, dit que c'est un photomontage malveillant et qu'il ne faut pas « relayer les fausses informations ».
3. Quelques heures plus tard, le même ministère admet que finalement si, le calendrier est authentique mais qu'il est le fruit d'une initiative locale et qu'il n'a pas été validé par la hiérarchie.
Le point le plus grave est le numéro 2 : sans vérification préalable, leur premier réflexe a été d'accuser les lanceurs d'alerte de diffuser mensonges et « fake news ». C'est devenu un réflexe conditionné, aveugle, automatique. Ils sortent la carte « fake news » sans réfléchir, sans vérifier, sans se remettre en question, jamais.
Ils mentent comme ils respirent.