Si j'en juge par ma consultation des réseaux sociaux depuis hier, la disparition de la sublime Gina Lollobrigida suscite infiniment plus d'émois que la perspective de la grande grève intersyndicale de jeudi prochain.
Dostoïevski avait raison : c'est bien la beauté qui changera le monde.
Tant pis pour Pierre Bourdieu, Laurent Berger et Bidochon.