François Amsallem
« Dans une expérience scientifique, un groupe contrôle, ou groupe témoin, est un groupe d'individus qui ne reçoivent pas le traitement testé. À l'issue de l'expérience, comparer les individus du groupe témoin à ceux du groupe traité (ou groupe expérimental) permet d'évaluer l'effet du traitement. »
On pourrait ajouter quand bien même ce traitement eut été prophylactique mais en fait à la réflexion, il faudrait dire a fortiori si ce traitement l'était, comme c'est théoriquement le cas de ceux qu'on appelle les vaccins, à condition évidemment que leur efficacité ait bel et bien été prouvée.
S'agissant de l'expérimentation sur des cobayes desdits produits appelés vaccins anti Covid, sachant que dans les phases dites 1 et 2 ayant précédé l'expérimentation de masse par l'injection de plusieurs milliards de cobayes humains, aucun résultat concluant (sans contestation méthodologique) à un bénéfice notable, n'ayant jusqu'ici pu être démontré par rapport à un groupe témoin de manière fiable et bien documentée ; de plus, de nombreux effets pour le moins indésirables s'étant manifestés à toutes les étapes de phase 1 et 2, (des effets dont la liste exhaustive n'a pu encore être établie, puisqu'il semble qu'elle s'allonge tous les jours, qui, à ce stade, dépasse tout ce que l'on a pu jusqu'ici connaître du point de vue de la pharmacovigilance) ; sachant désormais que les décideurs et les responsables de la vaccination de masse (c'est-à-dire de l'expérimentation en phase 3 sur des milliards d'individus) savaient tout cela, il est tout à fait légitime de se demander quels étaient les motifs véritables de cette décision.
Sachant que dans leur immense majorité les injectés étaient en bonne santé et ne courraient aucun risque sérieux, voire même quasiment aucun risque du tout comme environ 99,999999 % des enfants, en prenant en compte le fait qu'un grand nombre d'entre eux ont été multi injectés, soit par la manipulation, soit par la contrainte, il est nécessaire de se poser cette question des motifs véritables de ces injections.
Sachant que le simple fait de poser cette question vous vaudra d'être ostracisé en étant qualifié de complotiste, il est parfaitement légitime et même nécessaire puisque logique de soupçonner une mauvaise intention autrement dit de la malveillance intentionnelle dans le but de nuire à la santé des individus et des populations ciblées.
PS: Il serait évidemment très facile de prouver que cette question n'a pas lieu d'être, en analysant les données des non injectés, afin d'exposer statistiquement un quelconque bénéfice (fût-ce pour d'autres pathologies) des injections en question, mais non seulement aucune des institutions mises en cause ne le fait, aucun des responsables ne le propose mais qui plus est, il est quasiment impossible de le faire, les chiffres officiels n'étant plus disponibles ou alors lourdement maquillés et quasiment interdit de le faire aux scientifiques sans risquer des poursuites et une fin de carrière, ceci pratiquement partout dans le monde, cela pour une raison très simple, c'est qu'au lieu d'un bénéfice on trouverait très certainement une augmentation des risques d'une bonne douzaine de pathologie dans des proportions jamais observées jusqu'ici, pour aucun traitement autorisé par les agences de santé et cela dès les premières semaines des injections de masse au titre d'une vaccination en conclusion inutile, inefficace et dangereuse pour les injectés mais peut-être bénéficiaire pour ceux qui en ont fait la promotion et travaillés à permettre la coercition.