Porte parole du RPF
Le narratif sur le Covid a quitté les médias. On sent qu’ils ont compris que ça ne passait plus et ils sentent eux-mêmes, que quelque chose ne va plus. Plus aucun journaliste ne fait l’apologie du vaccin, quand bien même passent encore à la télévision quelques publicités zombies adressées aux plus de 75 ans, afin qu’ils aillent à la quatrième dose, dont la prise n’excède pas quelques pour cent. On avait bien senti que l’efficacité des vaccins était devenue sujette à controverse et les langues s’étaient tues sur le sujet. Voilà maintenant que ressortent des choses que l’on n'attendait pas. Ainsi, l’Institut Pasteur reconnaît l’efficacité de l’Ivermectine. Des intervenants de renom s’interrogent tout haut sur l’opportunité qu’il y avait à se dépêcher d’administrer un produit expérimental à tout le monde. D’autres intervenants racontent maintenant assez communément, que le virus a été fabriqué en laboratoire, en Chine, ou on ne sait où, d’ailleurs.
Courant encore, ces statistiques qui montrent que l’activité hospitalière et de soins a été assez peu élevée, en regard des trains et hélicoptères de malades, soi-disant en phase terminale, dont on nous abreuvait à longueur de journaux télévisés. Également, la mortalité a été largement exagérée, dit-on et l’âge des personnes décédées est plutôt canonique. En Belgique, d’éminents médecins ont conclu a une inefficacité totale des campagnes de vaccination. Ils ont dit « totale ». C’est bien d’ailleurs, ce qu’il ressort de l’analyse pragmatique du bilan. Les pays les moins vaccinés s’en sont mieux sortis que les pays européens. Et les détracteurs de vous dire : « Ben oui, les pays africains ont été peu touchés, mais c’est parce que leurs populations sont jeunes ». Alors pourquoi avons-nous forcé nos jeunes à se faire vacciner pour aller faire du sport ? En réalité, l’obligation vaccinale a surtout touché ceux qui n’avaient quasiment aucune chance de faire des formes graves, du type le jeune de 30 ans qui se vaccine pour partir en vacances, parce qu’il a réservé. Du reste, il est impossible, quand on a été vacciné de savoir si le Covid que l’on fait est « moins grave » que si on avait été vacciné. Certains se contentent d’une « efficacité » en se disant que grâce au vaccin, ils ne sont pas morts : risible, en regard du taux de mortalité dérisoire de la maladie.
La Haute Autorité de Santé a pris acte de la non-efficacité du vaccin sur la transmission et s’oriente vers la suppression de l’obligation vaccinale pour les soignants. Il reste donc que les « complotistes » avaient raison sur toute la ligne et qu’ils n’étaient en fait, que des gens qui ont réfléchi à deux fois et fait preuve d’esprit critique. Les hommes politiques se sont-ils laissés abuser par des pseudo-scientifiques, ou ont-ils sciemment monté les choses en épingle, pour effrayer les peuples et si oui, pour quelles obscures raisons ? Reste le tabou des effets secondaires, qui n’a pas encore sauté. Ils sont effrayants, si on en juge par la subite hausse de mortalité qui frappe les pays occidentaux sans autre raison objective que la campagne de vaccination. Certains doivent commencer à s’interroger sur le temps qui reste à courir entre le moment où les premiers posent les bonnes questions tout haut, le moment où cela va faire la une des médias et celui où il va falloir rendre des comptes. Peut-être jamais, espèrent-ils. À Londres, les victimes du vaccin étaient suffisamment nombreuses, handicapées, mais encore en vie, pour organiser un défilé en forme de manifestation. Le compte à rebours semble avoir commencé.