Il se dit également que la réforme des retraites serait la contrepartie des arrangements d'Emmanuel Macron avec le patronat et la baisse des impôts sur les entreprises.
Au bout de tout, c'est toujours le peuple français qui trinque. Il paie la facture de la guerre en Ukraine, il finance le train de vie économique et industriel des États-Unis, il subit les exigences normatrices de l'Union européenne, il est trahi par les Anglais en Australie, trahi par l'Allemagne sur les dossiers énergétiques et trompé par un pouvoir qui ment.
Le peuple "trinque". Mais il vote pour son bourreau. Il vote aussi pour des élus qui, une fois au pouvoir, oublient très vite d'où viennent leurs mandats.