La science, du moins, les actionnaires de la médecine moderne, n’en finissent pas de nous étonner. Songez donc, il y a moins de trois ans, les médecins de plateau subventionnés venaient nous vanter les méfaits de la chloroquine et de l’ivermectine, tandis qu’ils acclamaient les vertus du masque, du confinement et des vaccins ARN. Ils allaient même jusqu’à nous expliquer que si on était tous vaccinés, la vie serait plus belle, nous ne transmettrions pas la maladie, surtout, nous éviterions les formes graves d’un variant qui n’en faisait déjà plus. Et si par malheur nous n’avions aucun symptôme, on devait rester prudent, car on était quand même malade sans le savoir.
Pauvres ignorants que nous étions, nous ne pouvions que nous incliner devant tant d’habiles démonstrations et boire les paroles de ces érudits. Bien entendu, il y avait quelques rebelles pour contester la validité de ses allégations télévisées ; hérétiques, impénitents et complotistes, qui furent brûlés sur les bûchers médiatiques allumés un peu partout, sur les chaînes subventionnées. Comme si ce n’était pas suffisant, ils furent aussi l’objet d’un lynchage en règle en direct, puis finirent par ne plus être invités, tant leurs discours étaient faussés par une vision totalement à l’opposé des Saintes Écritures, appelées maintenant « narratifs » et qu’à France Info, par exemple, on s’engage à ne point contredire.
Depuis, bien évidemment, sont apparus ce que ces crétins de révoltés alarmistes criaient haut et fort : des effets secondaires terribles. Certes ils sont quasiment absents en France, mais on a eu peur. Nous sommes, comme toujours, le pays où les mauvais nuages s’arrêtent à la frontière et il en va de même pour les effets secondaires. L’exception française est bien là.
Voilà que l’OMS dévoile une augmentation brutale et surtout, totalement inexpliquée, de la mortalité mondiale. 23,6 millions de décès supplémentaires, soit plus que toute la 1ère guerre mondiale, mais en moins de temps. La médecine nous surprend une fois de plus. Hier si sûre et aujourd’hui incapable de nous dire pourquoi tant de gens meurent, surtout de crises cardiaques, et également de cancers foudroyants. Les médecins seraient-ils embarrassés pour trouver une explication plausible ? Les plus hardis ont déjà avancé que c’était le réchauffement climatique, qui subitement, rendrait nos organismes beaucoup plus sensibles, et nos petits cœurs n’y résisteraient pas. D’autres, que c’était la pollution environnante. Mais c’est un peu court, d’autant que le réchauffement et la pollution n’ont pas fait de bonds spectaculaires, avaient même reculé pendant l’épisode des confinements. Rappelons d’abord que l’homme est la seule espèce à s’être adaptée sous tous les climats, mêmes les plus rudes, il n’y a pas de raison qu’il ne parvienne pas à surmonter quelques degrés de plus l’été.
On peut aisément donner une piste de réflexion à nos médecins. Quel événement a été reproduit à grande échelle dans l’ensemble des pays touchés par cette surmortalité ? Ils devraient finir par trouver le pourquoi de ces morts qui ne cessent de s’accumuler. Pour les aider un peu plus, reprenons ici les conclusions du Dr Thomas Levy, qui déclare qu’au moins 7 millions d’Américains ont aujourd’hui le cœur endommagé par les « vaccins », et de poursuivre que ce chiffre pourrait monter jusqu’à 100 millions, toutes lésions cardiaques confondues. La BBC a même lancé un appel à toutes les victimes d’effets secondaires de se manifester auprès d’elle. Des États, nombreux, commencent à dédommager les personnes souffrant de ces bénéfiques effets secondaires, présentés comme le nécessaire risque à prendre pour éviter l’hécatombe due à une maladie qui, au plus fort du pic, ne représentait que 5% des réanimations. La Bavière a mis en place un numéro vert, pour recenser les éventuels effets secondaires des vaccins : le standard a explosé dès le premier jour.
Si avec tout cela il y a encore un doute sur l’inexplicable mortalité, savamment orchestrée… Pourra-t-on dire que tous les médecins savaient dès le début, qu’ils participaient à ce qui ressemble de plus en plus à une expérimentation foireuse, si ce n’est à un génocide ?
Dernière information, l’OMS vient de recommander aux jeunes en bonne santé de ne pas se faire vacciner. Cette annonce devrait faire du bruit, alors qu’on a interdit de pratique sportive les athlètes non-vaccinés. Plus aucun spécialiste, rémunéré par les laboratoires, ne vient ergoter à la télévision sur la nécessité de se faire vacciner et le livre d’Henrion Caude, ex-pestiférée du PAF, cartonne, au grand dam de Cymès, dernier des Mohicans, qui n’a pas vu la roue tourner. Le nuage devrait passer tout de même la frontière française et les explications commencer, ici aussi.