Une oligarchie, qu’on a à peu près identifiée, est en train d’appliquer aux populations les préceptes d’une idéologie se nourrissant de trois courants de pensée :
1) Le malthusianisme : la population doit baisser drastiquement en raison d’une réduction des ressources naturelles – Bill Gates l’a maintes fois proclamé dans ses conférences, notamment durant les sessions TED (voir les vidéos).
2) Le réchauffisme : par leurs modes de consommation, les humains sont responsables du réchauffement de la planète (…) ; on sait à présent qu’il s’agit d’une belle escroquerie.
3) Le collectivisme (ou marxisme) : aux maux du monde, il ne peut y avoir de solutions que collectives et pour qu’elles soient atteintes, il nous faut abandonner nos libertés les plus élémentaires et faire confiance à ceux qui nous gouvernent (dont la nomination n’est plus démocratique).
Un tel paradigme s’apparente de plus en plus à une dérive sectaire et fascisante.
De surcroît, nos oligarques sont convaincus que les objectifs sous-tendus ne peuvent être atteints que si tous les pays du globe agissent de concert. À cette fin, ils aspirent à un effacement progressif des nations pour leur substituer un ensemble d’organisations internationales (ONU, FMI, OMS, Banque mondiale, Banque des règlements internationaux…) auxquelles leur seraient transférés des pouvoirs croissants. Des monstres administratifs gérés par des représentants non élus, qui n’ont de comptes à rendre à personne.
Surtout pas aux populations. C’est le fameux « New World Order » dont les grands dirigeants nous rebattent les oreilles depuis des années.
Les pays devenant alors de simples « provinces » chargées d’appliquer des directives supranationales. Processus au demeurant bien engagé comme on a pu le constater avec l’application étonnamment coordonnée des mesures anti-covid, elles-mêmes anti-science.
Ces puissants se sont donc mis en tête de contrôler les peuples (par la peur et l’appauvrissement) afin de répondre à leurs délires « éco-régulateurs » et imposer leur vision du monde.
L’un d’entre eux, Klaus Schwab, grand gourou du World Economic Forum, a résumé le plan avec sa désormais célèbre formule « Vous ne possèderez plus rien et vous serez heureux… ». Grotesque.
Voilà pour faire très court, ce qui semble être le nœud du problème.
Seul le réveil des peuples pourra y mettre fin. Ne tardons pas trop.
M. Amblard - 30/7/2023