Bonjour les amis,
Je fais un bref passage ici afin de vous signaler que le compte Twitter de Juan Asensio a été suspendu pour avoir dit tout le bien qu’il pensait de Oumar N., l’abjecte ordure de Cherbourg.
Ce n’est pas grave de ne pas avoir de compte Twitter (X), en revanche c’est l’occasion de souligner deux choses : tout d’abord, les pressions exercées par l’Union européenne et notamment la France afin que la vérité sur l’ensauvagement occidental soit masquée, pressions exercées avec véhémence sur Elon Musk, semblent commencer à porter leurs fruits. À suivre.
Mais c’est surtout l’occasion de souligner combien l’œuvre critique de Juan Asensio est sans aucun doute la plus importante, pour ne pas dire l’unique, de ce quart de siècle et, je l’espère bientôt de ce demi-siècle.
C’est donc une excellente occasion de vous inviter à lire ses articles sur le site ici partagé, dont je considère qu’il constitue une œuvre littéraire et intellectuelle à part entière.
L’homme est dur, cruel parfois, intransigeant, mais il a la radicalité nécessaire pour que la littérature demeure autre chose qu’une causerie de midinettes et d’instagrammeurs ravis de la crèche trompant bourgeoisement leur ennui par des phrases, il rappelle que si la Littérature n’est pas absolument nécessaire, elle n’est rien.
Je sais que les positions de ce digne héritier de Léon Bloy blessent parfois, y compris certains de mes amis ou connaissances que j’apprécie au plan humain, mais son oeuvre est à la fois magistrale, incontournable et, surtout, nécessaire. À mes yeux, c’est tout simplement une mine de diamants.
Elle permet de comprendre que la Littérature, ce n’est pas «que de la littérature».
Vous en souhaitant bonne lecture et bonne fin d’été.