Selon certains observateurs et spécialistes avisés, Poutine serait condamné à court ou moyen terme à l'instar de Khadafi et de Saddam Hussein, 69 ans tous les deux, comme Poutine.
Le problème c'est que ces mêmes experts autoproclamés ont dit la même chose en 2011 de Bachar El Assad et que le bougre est toujours en place grâce au soutien de la Russie et de l'Iran.
La chute de Poutine est toutefois assez vraisemblable, vu la tournure de cette guerre et ses conséquences au plan intérieur russe.
Toutefois, la chute de son régime est, elle, beaucoup moins évidente, et il se pourrait bien qu'un jour certains regrettent Poutine, car quoi qu'en dise la médiasphère bien pensante et la doxa officielle, l'autocrate du Kremlin est un modéré qui mène son "opération spéciale" avec beaucoup de retenue, raison pour laquelle son entourage ultra radical le pousse à commettre l'irréparable en rêvant de le renverser afin de prendre le pouvoir.
Ceux qui prétendent encore que Poutine et Hitler sont pareils n'auront que les larmes pour pleurer si d'aventure un jour un de ces fous furieux génocidaires habités par une pensée millénariste apocalyptique, arrivait à la tête du Kremlin avec le doigt sur la gâchette nucléaire, prêt à tirer sans aucun état d'âme.