Ils n’ont pas désobéi pour le port du masque.
Ils n’ont pas désobéi quand l’injection est devenue obligatoire. Ils n’ont pas désobéi quand les familles ne pouvaient plus rendre un dernier hommage à leurs morts. Ils n’ont pas désobéi quand les personnes sans pass ne pouvaient plus accéder aux soins.
Mais ils sont prêts à désobéir si l’aide médicale permettant à des clandestins d’être soignés gratuitement était supprimée.
Le tout, en se drapant du serment d’Hippocrate.
Ces gens n’ont aucune dignité, aucune décence. Ils ont craché sur le personnel médical qui n’a pas voulu se faire injecter, ils ont craché sur les patients qui n’étaient pas injectés, ils ont refusé de faire leur travail, c’est-à-dire soigner avec les moyens dont ils disposaient.
Mais à l’image du gouvernement, tout ce qui vient de l’étranger a droit à leur considération.
La déontologie, oui, mais pas pour les Français.
"La déontologie prescrit le juste soin pour chaque personne qui me consulte. La sagesse dénonce la faute éthique et, en passant, l'erreur épidémiologique", poursuivent-ils. Avant de conclure : "patients d'ici et d'ailleurs, ma porte vous est ouverte. Et le restera".