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6 décembre 2023

PANDÉMIES, GUERRES, ZÉRO CARBONE… MAIS QUE VEULENT VRAIMENT CES OLIGARQUES QUI NOUS DIRIGENT ?

Marc Amblard

La « grande réinitialisation » et son greffon, la lutte contre changement climatique sont largement promus par les mondialistes de Davos (ONU) qui y font souvent référence sous le nom d’Agenda 2030. Ils se parent de vertu en annonçant 17 objectifs de développement durable (« Global goals »). Vous en avez tous entendu parler. Bon, soyons honnêtes et lucides, ces programmes qui affichent une façade humaniste et écologiste n’ont pas pour finalité de sauver la planète. Ils visent des buts hélas bien différents. Tentons de les résumer :

1) Éliminer les acteurs économiques (industrie & commerce) plus petits pour renforcer les grandes entités monopolistiques en partenariat avec les gouvernements (marxisme oligarchique). La récession est alors vue comme un outil de régulation. La période du Covid a permis ainsi aux multinationales d’accroître leur emprise économique et commerciale au détriment des PME.

2) Contrôler totalement les ressources de notre planète, aussi bien énergétiques qu’alimentaires. Que Bill Gates soit devenu en quelques années le plus gros propriétaire de terres agricoles aux USA ne relève en rien du hasard. Juste un exemple parmi d’autres.

3) Encadrer les populations. Le changement climatique (tout comme la pseudo pandémie d’ailleurs) est un cheval de Troie pour introduire l’autoritarisme. Il appauvrira les masses et engendrera suffisamment de désespoir pour que les gens soient prêts à renoncer à leurs libertés en échange d’un semblant de sécurité et de normalité.

4) Imposer un gouvernement mondial selon le sophisme : « à un problème planétaire, il n’est point de solution locale ». Ce "nouvel ordre" que les puissants appellent de leurs vœux implique un affaiblissement des nations vouées à abandonner leur souveraineté au profit d'organisations mondiales multilatérales non élues à commencer par l’Union européenne, l’ONU, le FMI, l’OMS… Ces transferts massifs de pouvoir garantiraient aux multinationales des rentes colossales par le biais des commandes publiques (je vous renvoie alors aux achats de vaccins qui ont fait le bonheur de l’industrie pharmaceutique et ses actionnaires).
Prendre conscience de ces réalités est déjà un acte de résistance.