Marc Amblard
25/1/2024 - Ceux qui me suivent connaissent déjà mon point de vue sur les prochaines échéances électorales américaines :
1. Joe Biden ne sera probablement pas candidat à sa réélection. Il est sénile, corrompu et grillé. Il sera remplacé par quelqu’un de plus présentable (comme Michelle Obama ou autre). La seule éventualité de son maintien serait l’empêchement de D. Trump avant novembre prochain. Auquel cas, la seconde candidate républicaine Nikki Haley, très « démocrate compatible » bénéficierait du soutien de la gauche pour remporter les élections.
2. Donald Trump ne sera pas réélu. Qu’il ait le soutien d’une forte majorité du peuple américain ne change rien à l’affaire. Les élections se gagnent désormais grâce aux votes par correspondance qu’on envoie par la poste ou bien qu’on dépose dans des boîtes de rue. Ils représentent désormais plus de 70% des voix exprimées et ne subissent aucun contrôle. Les démocrates peuvent en produire autant que nécessaire. Soyons bien conscients qu’ils n’ont absolument pas l’intention de laisser revenir Trump. Et ce, quoi qu’il en coûte. Ce serait pour eux catastrophique. Comme ils contrôlent à présent toutes les commissions électorales et les juridictions compétentes, cela ne représente pas un obstacle insurmontable.
3. De nombreux États rouges (républicains), majoritaires sur le plan national, n’accepteront pas le verdict des urnes. Les manipulations seront cette fois-ci trop visibles. Bien plus qu’en 2020 et 2022. Le pouvoir fédéral sera alors incité à prendre des mesures liberticides pour contenir les tentations de révolte. Des mesures que rejetteront les États les plus concernés. En contestant la légitimité de la Maison blanche et du Congrès, ils feront acte de sécession. Le pays a déjà connu cette situation et force est de constater que tous les voyants sont en train de clignoter.
Vous en doutez ? Observez le bras de fer qui se joue actuellement entre le Texas et Washington au sujet de l’immigration illégale. La police d’État chargée de stopper les migrants sur la frontière affronte actuellement la police fédérale mandatée pour favoriser leur accueil. Et le Texas est actuellement rejoint par d’autres États qui adoptent la même position.