17/3/2024 - L’idéologie de la gauche progressiste est complexe et diverse. Pour autant, il est possible de la résumer en quelques mots pour mieux l’appréhender.
Pour ses adeptes, et Dieu sait s’ils sont nombreux, l’effort, le talent, le courage, la prise de risque n’existent pas. A tout le moins, ces qualités ne sont pas déterminantes. Non, les inégalités et les classes socio-économiques résultent de l’assujettissement des opprimés par les oppresseurs dans un système social injustement construit, fondé sur le racisme, la xénophobie, la misogynie et l’avidité capitaliste.
Pour eux, toute la misère du monde se résume à ce constat. Une forme de marxisme revisité.
De fait, il y a peu ou rien dans les sociétés occidentales actuelles qui mérite d’être perpétué. Tout doit être déconstruit. La famille, le genre, l’éducation, le travail… bref, toutes les valeurs qui ont fondé nos structures modernes.
C’est pourquoi les « progressistes », qu’ils soient européens ou américains, veulent transformer nos institutions en un vague système totalitaire qui proscrit les libertés individuelles et qu’ils peuvent contrôler seuls avec quelques conglomérats amis.
Il serait donc plus juste de les appeler non pas progressistes mais fossoyeurs.