Vincent Verschoore
17/3/2024 - Voici quatre ans jour pour jour, naissait la secte covidiste confinatoire. Une incarcération de masse censée durer deux semaines, transformée en une vaste expérience de dictature policière sous couvert "d'applatissement des courbes".
Fondamentalement, le constat est que le Covid aura servi d’accélérateur à une prise de contrôle de type totalitaire de la société mondiale, par une élite économique, technologique et technocratique tout aussi mondiale, dont la problématique majeure est aujourd’hui de "gérer" une vaste population en phase de remplacement par des objets technologiques sur lesquels elle a le contrôle absolu : IA, robotique, monnaies numériques, etc…
Une population de plus en plus composée de "gens qui ne sont rien", ou qui le deviendront dans les mois et années à venir suite à l’effondrement en cours et qu’il faut, et faudra toujours plus, contrôler et réprimer afin qu’ils ne se révoltent pas et ne risquent ainsi de compromettre les énormes privilèges et avantages dont disposent ces mêmes "élites".
Un anniversaire qui passe presque inaperçu dans le contexte actuel d'instrumentalisation de la guerre afin de nourrir, encore, ce climat anxiogène basé sur une forme de déification de l'absurde.
Les euro-atlantistes prirent le relais des covidistes dans la formation psychotique des masses, s'inventent une "guerre" visant l'enrichissement du grand capital "en même temps" que la progression de l'État totalitaire, via moult lois de censure et de forte limitation de la liberté d'expression.
La démocratie régresse par la mise sous tutelle des nations devenues, pour beaucoup en Occident, de simple vassaux au service des intérêts d'organisations supranationales (UE, Otan, OMS) dont les cadres n'ont pas de comptes à rendre aux populations qu'ils rackettent.
Il ne nous reste qu'une petite fenêtre d'opportunité pour virer von der Leyen, pour ceux et celles qui pensent encore qu'il faut arrêter ce train de la mort.