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16 juillet 2024

Trump : un affolement palpable…

Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français

15/7/2024 - La tentative d’assassinat sur l’ex-président Trump laisserait-elle entrevoir une modification de l’arrière plan géopolitique ? Le tireur est issu de l’extrême gauche américaine et une première balle bute sur le gilet de Trump… signe que le tireur n’était pas au courant de la couche de protection de sa cible. Signe aussi que la balle était d’un calibre relativement modeste, sinon, un gilet pare-balles ne l’aurait pas arrêtée. Il tire une seconde cartouche, dans la tête cette fois ci. S’il avait su, il aurait donc directement visé la tête. A moins de 150 mètres, pour un bon tireur, avec une arme longue, ça reste très gérable. Mais mieux, un tireur de la protection officielle, cette fois ci, raconte sur les réseaux sociaux, comment il a eu le visuel sur le meurtrier et l’a signalé, sans recevoir l’ordre de le neutraliser immédiatement. Bien sûr il faudra attendre les résultats d’une enquête pour savoir de quoi il en retourne, mais si cela était avéré, il s’agirait bien d’un meurtre sur commande en provenance de ceux qui ont tout à craindre d’un retour de Trump à la Maison Blanche, que des observateurs politiques estiment inéluctable, particulièrement depuis le débat raté de Biden, où ce dernier est apparu comme sénile. Cela veut dire aussi que le vote présumé en faveur de Trump est tellement massif qu’une triche à la machine électronique à voter est peu envisageable, car elle se verrait plus sûrement qu’il y a quatre ans. Les soupçons avaient été forts, mais c’était passé. Un ingénieur, dernièrement, un de plus, a montré comment on pouvait faire cracher à ces machines, n’importe quel résultat sur commande. Et le fait que Trump dérange n’est plus à démontrer.

Il est toujours taxé de « complotisme » de parler de cette fraude aux machines à voter. Il n’empêche que cette option est de moins en moins incongrue. En France, lors des dernières législatives, les instituts de sondages, qui sont des entreprises cotées en bourse et qui se doivent de ne pas apparaître comme des guignols, sous peine de perdre leurs marchés, se sont pourtant lourdement trompés sur la percée inattendue de l’extrême gauche, lourdement trompés sur le nombre final de députés RN, lourdement trompés également sur l’écart entre Marine Le Pen et Macron, au second tour de l’élection présidentielle de 2022. On ajoute, pour les dernières législatives, un nombre record de procurations et un mode de scrutin dans lequel il faut deux fois plus de voix pour élire un député RN que pour élire un député LFI et cela suffit pour reléguer à la troisième place, en nombre de députés, un parti arrivé premier en nombre de voix. Même de l’étranger, on a regardé le scrutin français avec étonnement. Lors de la dernière présidentielle, le RPF avait, et il était le seul, passé en revue les résultats de la soixantaine et plus de villes électroniques, pour noter qu’elles avaient voté Macron très largement, plus que la moyenne nationale, et pourquoi donc ? Durant l’épisode des vaccins, ceux qui parlaient du passe vaccinal ont d’abord été traités de « complotistes » et quand le passe vaccinal est arrivé, les « complotistes » sont devenus ceux qui le refusaient, la doxa n’étant jamais à court de mauvaise foi. Pour ces machines à voter, on prend le même chemin et il pourrait y avoir en France, un effet cumulatif des méthodes de triche, comprenant à la fois les procurations et les votes électroniques, les deux influant sur un volant de voix suffisant pour inverser la tendance, l’hypothèse n’est plus si fantasmagorique, tant la tambouille donne un résultat inattendu. La première chose que pourraient demander les nouveaux élus, est la suppression de ces fameuses machines, qui même si elles n’ont pas servi à tricher, peuvent de toute évidence, le permettre.

On ajoute aussi, le RPF en a également parlé, cette ostracisation forcenée du président hongrois Orban, courant les rencontres afin de trouver une solution de paix en Ukraine. En quoi serait-ce condamnable de vouloir mettre fin à une guerre qui ruine l’Europe ? Faut-il voir dans ces concomitances une forme d’affolement de cet État profond allant de Biden à von der Leyen, en passant par Macron et quelques autres seconds couteaux ? En tout cas, la tentative de meurtre sur l’ex-président Trump, le meurtre d’un tireur qui aurait pu largement être neutralisé pour être interrogé, mais dont il a semblé préférable qu’il se taise, montre que quelque chose a changé et que l’affolement du clan Biden est palpable. Au RPF, nous avions posé une série de questions. Qu’y a-t-il en Ukraine qui vaut les 150 milliards de dollars qu’ont mis les USA dans cette guerre ? Comment est né ce virus qui a fait irruption dans nos vies et comment s’est négocié l’achat des millions de doses de vaccins ? Quelle est l’origine des surmortalités enregistrées actuellement dans quasiment tous les pays européens ? Si ces questions ont commencé à apparaître devant les tribunaux aux USA, c’est encore l’omerta en Europe, mis à part le procès international intenté contre von der Leyen.

La tentative d’assassinat de Trump, cette mobilisation sans pareille chez nous pour empêcher que le Rassemblement National n’ait trop de sièges à l’Assemblée, cette fronde contre Orban qui ne fait que son travail, pourraient signifier qu’il y a deux camps qui se font ouvertement la guerre, dont l’un a le pouvoir et une peur panique de le perdre, pour des raisons que l’on aimerait connaître. L’alternance est pourtant l’essence de la démocratie et jusqu’à l’avènement de Macron, la France passait de gauche à droite, de Mitterrand à Chirac, de Sarkozy à Hollande, sans plus de soubresaut que cela. Il semble qu’avec l’ère Macron/Biden/von der Leyen, une espèce de clique supranationale ait décidé d’installer ad vitam aeternam, un pouvoir d’une autre nature et qui ambitionne de se jouer des élections, quitte à éliminer les candidats indésirables si la machine médiatique n’y suffit pas, cela apparaît de plus en plus clairement.