Marc Amblard
- 12/12/2024 - Maintes fois jugé comme un extrémiste de droite par les imbéciles, le nouveau président argentin, Javier Milei est un homme de bon sens attaché à la liberté et au respect de l’argent public.
Les dirigeants occidentaux devront, tôt ou tard, suivre la voie qu’il nous montre. Écoutons-le :
« Le déficit était la racine de tous nos maux : sans lui, il n’y a pas de dette, pas d’émissions, pas d’inflation. Aujourd’hui, nous avons un excédent budgétaire durable, sans défaut de paiement, pour la première fois depuis 123 ans. »
Il y a quelques mois, à Davos, devant la foule hostile, Milei a critiqué la glorification du socialisme. « Les principaux dirigeants du monde occidental ont abandonné le modèle de la liberté pour d’autres versions de ce que nous appelons le collectivisme. » « Nous sommes ici pour vous dire que les expériences collectivistes ne sont jamais la solution aux problèmes qui affligent les citoyens du monde, mais qu’elles en sont plutôt la cause profonde. »
Le président argentin a divisé par deux le nombre de ministres et réalisé des coupes franches dans les dépenses publiques. Notamment en virant des dizaines de milliers de fonctionnaires, dont le coût était devenu insupportable pour les contribuables, déjà éreintés par une inflation dépassant parfois 50% sur un mois. Je vous laisse imaginer.
De telles mesures seraient très mal ressenties en France où nous vivons dans le mythe étrange que l’État est forcément bienveillant. C’est pourtant tout le contraire : plus un gouvernement est grand et puissant, plus les citoyens sont petits et vulnérables.