Pierre Duriot
- 7/12/2024 - Il se trouvait encore des « spécialistes » pour expliquer que non, Ursula von der Leyen, ne faisait pas que ce qu’elle voulait, qu’elle n’était pas élue, donc encadrée et maîtrisée. On a eu l’épisode Covid, ses vaccins et ses messages tenus secrets. Puis l’interdiction des véhicules thermiques, puis l’Ukraine, avec ses accolades appuyées à Zelinsky, puis le Mercosur… pour ceux qui n’étaient pas encore convaincus que si, justement, elle menait la barque et mettait en permanence tout le monde devant les faits accomplis. Elle fonctionne avec des commissaires triés sur le volet pour ne pas lui faire d’opposition et un système médiatique acquis à sa cause. Ce n’est que depuis quelques mois que l’on commence à entendre des voix qui expliquent que cela a assez duré. Il y a peu pourtant, les LR européens, Bellamy en tête, votaient encore pour elle sur la base de promesses fumeuses. On se demande ce qu’il faudrait qu’elle invente encore pour qu’on lui demande enfin des comptes…