Régis de Castelnau
13/1/2025
Rubrique : lutte des classes
Depuis mai 1968, je SAIS que la petite bourgeoisie est la pire des engeances. La grande, on sait ce que c’est, et ce qu’elle représente : le Capital. Les choses sont claires.
La petite bourgeoisie, devenue « petite bourgeoisie urbaine » est une couche sociale particulièrement visqueuse.
Arrogante, pratiquant le mépris social, menteuse, passant son temps à trahir (en votant socialiste par exemple), et le pire c’est cette façon qu’elle a de se donner le beau rôle vis-à-vis des couches populaires alors que son destin historique est toujours et partout de les trahir pour sauver la domination du Capital.
Le néolibéralisme est lourdement en crise en Occident, alors vite vite les Jadot, Tondelier, Aubry, Rousseau, etc. se précipitent pour venir au secours du système et réclament à grands cris la fin des libertés publiques. Et ils veulent confier la mission à von der Leyen !
Trop contents du coup d’État en Roumanie et de celui qu’annonce Thierry Breton pour l’Allemagne. Ravis de cette ministre française qui veut faire la chasse aux « fausses opinions » (!!!) sur les médias français. Ils réclament à cor et à cri que l’on interdise de s’exprimer à ceux qui ne pensent pas comme eux.
Coucou Mélenchon pas de problème que vos troupes piétinent la déclaration des droits de l’homme et notamment son article 11 ?
Dans l’Histoire, c’est TOUJOURS la petite bourgeoisie qui a été la base de masse du fascisme.
Ça recommence et ça commence vraiment à puer.