René Chiche
- 18/1/2025 - Deux énormes fautes de conjugaison au dernier paragraphe de la lettre adressée par le Premier ministre aux présidents des groupes parlementaires avec lesquels il a négocié la survie de son gouvernement, ceci expliquant peut-être cela.
J'en suis cependant fort surpris. Ne se relit-on pas à Matignon ?
Et qu'on ne me rétorque pas qu'il y a des choses plus graves en ce monde comme si les morts à Gaza ou l'encombrement des urgences pouvaient excuser le fait qu'un Premier ministre, qui plus est agrégé de lettres, fasse si peu attention à ce qu'il signe de sa main...