- 11/2/2025 - Pour que Najat Vallaud pique une vilaine colère comme ça, elle toujours si policée depuis qu'elle a quitté la scène politique, il doit y a voir anguille sous roche, je me suis dit. Est-ce que le démantèlement de l'USAID n'y serait pas pour quelque chose ?
Je me suis alors souvenu du nom de l'association d’œuvres sociales qu'elle dirige depuis quelques années, poste peinard qui lui permet de couler des jours heureux en se taillant une réputation d'expertise sur le développement et les migrations : ONE.
J'ai alors demandé à une IA (c'est vrai que c'est pratique ces choses-là, pour le moment où la censure ne trafique pas encore trop avec les données accessibles) quels étaient les principaux contributeurs de ONE.
On dirait que j'ai mis dans le mille, avec mes soupçons peu amènes, parce que les principaux contributeurs sont pile sur le chemin des machins qu'adorait financer l'USAID, démolie par Trump :
- des philanthropes : des individus comme Bono, un des cofondateurs de ONE, et "d'autres personnalités engagées".
- des fondations : Bill & Melinda Gates Foundation ("ONE a une longue relation avec cette fondation", dit l'IA que j'ai interrogée), Bloomberg Philanthropies, Ford Foundation, Rockefeller Foundation, Skoll Foundation, Caterpillar Foundation...
- des entreprises partenaires : Apple, Bank of America, Bloomberg L.P., Cargill, Coca-Cola, Google, Merck, Roche, Salesforce...
Le salaire de la furie pour son emploi de directrice était, toujours selon mon IA, de 8300 euros mensuels en 2024.
Tout ceci explique peut-être cela.
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