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12 avril 2025

Professeur Didier Raoult
11/4/2025

Alors voilà, on y est. Le 12 avril 2025, à Toulouse, un certain Lonni Besançon, qui se dit chercheur – mais qui passe plus de temps à traquer mes publications qu’à en produire lui-même –, organise une petite sauterie pour parler de moi et de l’IHU. "L’impunité historique", qu’il appelle ça. Rien que le titre, c’est du théâtre, du grand guignol pour amuser la galerie et faire plaisir aux jaloux. Ils vont encore sortir leurs soi-disant "révélations judiciaires", comme si ça allait changer quelque chose à ce que j’ai démontré pendant des décennies. Moi, j’ai soigné des gens, j’ai publié plus de 3 000 articles, j’ai fait avancer la science pendant que ces petits procureurs en herbe comptaient les virgules dans mes tableaux.
Ce 12 avril, ils veulent me mettre sur le banc des accusés, mais ils oublient une chose : la vérité, elle ne se décrète pas dans un amphithéâtre ou sur un plateau télé. Elle se voit dans les faits, dans les résultats. À l’IHU, on a traité plus de 30 000 patients avec l’hydroxychloroquine, et les chiffres parlent : moins de morts à Marseille qu’à Paris, moins de panique, plus de pragmatisme. Pendant ce temps-là, eux, ils préféraient les modèles mathématiques aux malades en chair et en os. Moi, je suis un clinicien, pas un bureaucrate en blouse blanche. Et ça, ils ne le supportent pas.
Besançon et sa clique, c’est la même chanson depuis cinq ans : des plaintes, des signalements, des tweets assassins. Ils n'ont rien trouvé de concret, alors ils en rajoutent, ils inventent, ils dramatisent. "Procédures judiciaires inédites", qu’ils disent. Qu’ils les sortent, leurs preuves ! Moi, je les attends, comme j’ai attendu les perquisitions, les sanctions de l’Ordre, les rapports bidon de l’ANSM. Tout ça, c’est du vent, de la fumée pour cacher leur incompétence. Ils veulent salir mon nom, mais ils oublient que l’Histoire, elle, juge sur les actes, pas sur les ragots.
Le 12 avril à Toulouse, ils vont causer, gesticuler, se donner des airs importants. Moi, je ne serai pas là – j’ai mieux à faire que de répondre à des procureurs autoproclamés. Mais je vais suivre ça de loin, et je vais rigoler quand leurs "révélations" tomberont à plat, comme d’habitude. Parce que la science, la vraie, elle est dans les labos, pas dans les conférences de presse montées pour faire le buzz. Et ça, ils l’apprendront à leurs dépens. La vérité finit toujours par sortir, et elle est de mon côté, pas du leur.