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20 avril 2025

Yann Bizien
19/4/2025

Donald Trump n'est pas le rival de la France. Il est l'ennemi de ceux qui nous gouvernent et qui nous font du tort.

C'est l'adversaire politique des mondialistes, des technocrates non élus, des progressistes, des multiculturalistes, des islamistes, des bellicistes, des wokistes et des transgenristes.
Il est l'ennemi des idéologues verts, des sans frontièristes et des immigrationnistes de gauche, mais aussi des immobilistes et des déconnectés du centre, de ceux qui sabotent les nations, qui détruisent l'industrie, qui bradent nos valeurs, qui méprisent la famille, qui enterrent nos traditions, qui se moquent de notre sécurité physique, qui se soucient peu de notre identité judéo-chrétienne, comme de notre destin et qui poussent toujours plus à la guerre.
Donald Trump n'est pas un extrémiste. Bien au contraire. Il s'attache à défaire ceux de l'extrême gauche et de l'extrême centre qui se croient propriétaires exclusifs du camp du bien, de la raison et de la sagesse quand ils n'incarnent pourtant rien de tout ça.
Le président américain s'attaque au "gouvernement des juges", à ceux qui dépensent l'argent des contribuables sans compter et à des fins idéologiques, à la cancel culture, à ceux qui manipulent l'opinion, qui complotent derrière les rideaux des Palais du pouvoir et qui fabriquent des gouvernements hybrides peu représentatifs des suffrages exprimés dans les urnes.
Il est l'adversaire de ceux qui étendent leurs tentacules idéologiques de gauche dans les grandes Ecoles, les Facultés, les Universités, dans les médias, sur les réseaux sociaux, et qui font tout pour sanctionner la liberté d'expression quand les idées émises sont à droite.
Il ne reconnait que les Etats nations souverains et les chefs d'Etats légitimes.
Il est le rival des irresponsables qui remplacent leurs peuples.
Donald Trump n'est pas l'adversaire des peuples européens. Il est l'opposant principal des dirigeants progressistes européens qui ne partagent pas ses convictions d'homme de droite et qui nous font du tort.
Une preuve ? Il n'est pas l'adversaire politique de Viktor Orban en Hongrie, ni de Giorgia Meloni en Italie.