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COVID


Un scandale Bill Gates ?
28/10/2024

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Michel Juventin

6/11/2024 – Arrêt de la Cour suprême des États-Unis : Les vaccins Covid ne sont PAS des vaccins. Robert F. Kennedy Jr. a gagné son procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques. Les vaccins Covid-19 ne sont PAS des vaccins. Dans sa décision, la Cour suprême confirme que les dommages causés par les thérapies géniques à ARNm du Covid sont IRRÉPARABLES. La Cour suprême étant la plus haute juridiction des États-Unis, il n’y a plus d’appel et toutes les voies d’appel ont été épuisées. Dans un communiqué, Robert F. Kennedy a souligné que ce succès n'a été possible que grâce à la coopération internationale d'un grand nombre d'avocats et de scientifiques. Bien entendu, cette décision crée un précédent international. En particulier en Suisse, cette décision devrait avoir un impact, car la Suisse occupe une position particulière dans sa Constitution fédérale. D'une part, le Code de Nuremberg apparaît à l'article 118b de la Constitution et en Suisse, l'utilisation inappropriée du génie génétique chez l'homme est interdite, selon l'article 119 de la Constitution fédérale. Ceci est complété par l'article 230bis de son Code pénal et cela signifie que les auteurs RISQUENT jusqu'à 10 ans de prison. Mais cette décision historique devrait également faire réfléchir le reste du monde, car le Code de Nuremberg a une validité internationale et est également contenu dans l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Dans le cas d'accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale Contergan afin d'accorder un poids particulier à l'importance de ces accusations. L'avocat allemand Rainer Füllmich et plus de 100 autres avocats allemands sont activement impliqués dans ces affaires. AUCUN média n'en parle, ni en Suisse, ni en Europe. Malheureusement, il est presque mathématique que, étant donné qu'il s'agit d'un sujet perturbateur capable de modifier les plans financiers et économiques des puissants lobbys du secteur PHARMACEUTIQUE, l'opinion publique n'en soit pas informée. Nous sommes au milieu d’une campagne promotionnelle visant à inciter les gens à se faire vacciner puis à se faire vacciner à nouveau, avant l’hiver prochain. Il est très probable que si jamais la nouvelle de cette décision historique circule, ce sera trop tard pour permettre à la classe médicale corrompue, alignée sur les positions des lobbies pharmaceutiques, d’avancer le plus possible dans la campagne de vaccination. INVITONS donc toutes les personnes honnêtes et de bonne volonté à diffuser au maximum cet ARRÊT historique de la Cour Suprême des USA. Pour notre bien, mais surtout pour le bien de nos enfants et petits-enfants... ne permettons pas à des lobbyistes de ruiner irrémédiablement notre santé et mettre nos vies en danger. Vous pouvez voir l'actualité sur le lien suivant : https://www.foxnews.com/us/new-york-supreme-court-reinstates-all-employees-fired-being-unvaccinated-orders-backpay



Romain Vignest

1/11/2024 – Le rapport de la Chambre des Représentants sur le programme fédéral anti-covid établit officiellement tout ce que nous n’avons cessé de dénoncer : exagération délibérée des risques, coercition gratuite, inutilité des masques et de la distanciation sociale, mensonge sur les injections, censure systématique des opinions médicales dissidentes. Quand les parlementaires français auront-ils ce courage ?


Jean-Dominique Michel

Le harcèlement et les persécutions déployés par les autorités criminelles contre les praticiens honnêtes et intègres ayant soigné leurs patients avec succès (ou même ayant osé refuser de se prêter à une expérimentation médicale dangereuse !) sont non seulement ignobles, mais aussi caractéristiques du totalitarisme.
Émission du 18 octobre 2024.

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COVID : ni oubli ni pardon

Emmanuel Lechypre sur RMC le 29 juin 2021 : "Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics. J'ai une démarche très claire : je ferai tout pour en faire des parias de la société. Vous mettez la vie des autres et la vôtre en danger. Il y a un moment où la connerie, ça suffit (...) Je les attends, appelez-nous. On vous vaccinera de force. Je les ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Il faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s'il faut !"

Laurent Neumann, en face, ainsi que Laure Closier, sont rapidement intervenus, en soufflant qu'il était "complètement zinzin".

Cette idée venait déjà d'être abordée par l'économiste Thomas Porcher dans les "Grandes Gueules" qui disait vouloir "rendre la vie difficile" aux non-vaccinés.



Didier Raoult radié deux ans de l'ordre des médecins

Vidéo de 27mn 48s ↴


L'impressionnant CV du Professeur Didier Raoult

CURSUS UNIVERSITAIRE ET DIPLÔMES

- Doctorat en Médecine (25 Mars 1981)
- Diplôme d'Université de Médecine tropicale, Marseille, 1980-1881
- C.E.S. Bactériologie-Virologie clinique, 1981
- C.E.S. Diagnostic biologique parasitaire, 1982
- Cours de Bactériologie systématique de l'Institut Pasteur, 1983-1984
- Diplômes de l'U.S. Department of Health and Human Service (Center for Disease Control - Atlanta U.S.A.) : Principles of Epidemiology, 1983
- Communicable Disease Control, 1984
- Spécialiste de Médecine interne, 1984
- Cycle de Biologie Humaine
- Certificat-Bactériologie-Virologie générale, 1981
- Certificat de Pharmacologie générale, 1983
- Équivalence de Maîtrise, 1981
- AEA de Bactériologie, (Montpellier 1982)- DERBH Montpellier, 1983 (Etude épidémiologique et sérologique de la Fièvre Boutonneuse Méditerranéenne)
- Doctorat d'État en Biologie Humaine : Nouveaux aspects cliniques, biologiques, physiopathologiques et épidémiologiques de la Fièvre Boutonneuse Méditerranéenne. Mise au point et applications de nouvelles techniques sérologiques (Montpellier 21 Mai 1985)

TITRES ET FONCTIONS UNIVERSITAIRES

- Assistant des Universités, 01 Avril 1984
- Maître de Conférence des Universités : 1986
- Professeur des Universités : 1988
- Professeur de première classe : 1995
- Professeur Classe exceptionnelle 1er échelon : 2000
- Professeur Classe exceptionnelle 2ème échelon : 2003

FONCTIONS HOSPITALIÈRES

- Interne des Hôpitaux de Marseille : 1er Octobre 1978, 1er Avril 1984
- Assistant des Hôpitaux : 1er Avril 1984
- Praticien Hospitalier, de Bactériologie-Virologie, 1986
- Chef de Service : Laboratoire de Bactériologie-Sérologie Hôpital de la Conception, Marseille, 1989
- Chef de Service : Laboratoire de Bactériologie-Virologie, Hôpital de la Timone, Marseille, 1991

PRIX ET DISTINCTIONS NATIONAUX

- Prix Léon Isemein, (Marseille), 1983
- Prix Nourri - Lemarié, (Médecine tropicale France), 1985
- Prix de l'Association des Chefs de Travaux, ( Marseille), 1986
- Prix Science et Défense, (France), 1996
- Prix Piraud, (Fondation médicale de France), 1997
- Prix Jean Valade, (Fondation pour la Recherche), 2003
- Prix du Rayonnement international (Festival des Sciences) (Marseille), 2003
- Lauréat régional des trophées INPI de l’innovation, France, 2006
- Prix de l’Académie Nationale de Médecine, Eloi Collery, 2009

INTERNATIONAUX

- Dénomination d'un genre (Raoultella) de bactéries pathogènes pour l'homme et les plantes, 2002
- Prix des Sciences Médicales d'Outre Mer, (Académie royale de Belgique), 2002
- Prix d'excellence de l'European Society for Clinical Microbiology and Infectious Diseases, (Europeen), 2002
- E. Gardner King Memorial lecture Edmonton, (Canada), 2002
Joseph E. Smadel lecture, Infectious Diseases Society of America, (San Diego), (USA), 2003
- Fred Soper Lecture (American Society for Trop Med Hyg) Washington, 2005
- Medical Grand rounds, 6th International Conférence Northwestern Memorial Hospital in Chicago, (USA) octobre 2005
- Medical Grand Rounds, Medical School, Stanford, (USA) septembre 2006
- Medical Grand Rounds, Massachusetts General hospital , Boston (Massachusetts,USA), 2006
- Distinguished lecture at Washington State University “genomic of rickettsia”, Pullman (Washington,USA), 2006 Introduction lecture (Société Américaine de microbiologie) ICAAC, Chicago, 2007
- Sackler Lecturer award, University of Tel Aviv, Israel, 2007-2008
- Khwarizmi International Award (KIA), Téhéran, IRAN, 2009

DÉCORATIONS

- Chevalier de l'Ordre National du Mérite. 8.5.1995
- Médaille d'argent du Service de Santé des Armées : 12.1997
- Médaille d'honneur de la ville de Marseille : 7.2000
- Chevalier de l'Ordre de la Légion d'Honneur. 1.1.2001.
- Chevalier des Palmes Académiques : 14.07.2003
- Médaille d’argent du Ministère de la Jeunesse et des Sports (2005)

STAGES ET MISSIONS

- Stage au Center for Disease Control. Atlanta U.S.A., Branche des zoonoses (Dr. J.E. Mc DADE) 1 mois, octobre 1986
- Stage au Naval Medical Research Institute. Bethesda U.S.A., Rickettsial Branch, (Dr. G.A. DASCH) 6 mois, du 01.09.1985 au 01.03.1986
- Mission au Brésil (organisée par la Ville de Marseille) Diagnostic biologique des Leptospiroses au cours de l'inondation de Rio de Janeiro (février 1988). Isolement de 16 souches de Leptospires.
- Mission en U.R.S.S. (organisée par l'Académie des Sciences d'U.R.S.S.), mai 1990. Exploration d'une nouvelle maladie (Astrakhan fever), isolement postérieur d'une nouvelle espèce de rickettsie.
- Mission à Goma (Zaïre) organisée par l'OMS, en août 1994. Recherche d'une épidémie de typhus,
(isolement d'une nouvelle espèce de Stenotrophomonas).
- Mission au Burundi organisée par l'OMS, en février 1997. Investigation d'une épidémie de typhus,
identification de la plus grande épidémie de typhus dans le monde depuis 50 ans.
- Mission au Pérou en mars 1998, organisée avec les services de santé du Pérou, investigation d'un
nouveau foyer de Verruga peruana et d'une épidémie de typhus.
- Mission à Genève (OMS) organisation de la lutte contre les filarioses par le traitement des symbiotes
(Wolbachia), décembre 1999
- 2008. Découverte d’un virus géant : Mamavirus, classée 33ème sur 100 au top de l’histoire de la science (revue Discover : Science, Technology and the Future) janvier 2009

INSCRIPTION À DES SOCIÉTÉS SAVANTES

- Société de Pathologie exotique, 1978
- Société de Pathologie infectieuse de Langue Française, 1981
- Société Française de Microbiologie, 1984
- American Society for Rickettsiology, 1984
- American Society for Microbiology, 1984
- American Society for Infectious Diseases, 1990
- European Society for Clinical Microbiology & Infectious Diseases, (ESCMID) 1992
- International Society for Infectious Diseases, (ISID), 1995
- American Academy of Microbiology, 2004 Etc...




Vincent Verschoore

9/10/2024 - Les covidistes estiment que questionner les relations incestueuses entre Pfizer et la Commission européenne relève du complotisme "antivax", cela n'a pas empêché le New York Times de déposer plainte contre von der Leyen pour non-divulgation des SMS échangés avec Bourla dans le cadre des mirifiques contrats vaccinaux Covid :
"Les SMS échangés entre Albert Bourla et Ursula von der Leyen seront-ils dévoilés un jour ? Le New York Times l'espère. Le quotidien américain a demandé à avoir accès aux messages entre le patron de Pfizer et la présidente de la Commission européenne, au titre de la liberté d'informer. N'ayant jamais eu gain de cause, il a saisi la justice de l'Union Européenne. Cette dernière a indiqué lundi que l'affaire sera étudiée le 15 novembre."
Il y aura ensuite des mois avant l'annonce d'un verdict, des mois au cours desquels les pressions politiques et mafieuses pour un non-lieu seront énormes, donc ne pas se faire d'illusions.
Reste le symbole lui-même, l'énormité de l'affaire baignant dans la corruption et le pillage de l'argent public.
Si, par miracle, le tribunal devait se prononcer contre VDL, cela pourrait ouvrir la porte à d'autres actions contre les covidistes, aujourd'hui encore parfaitement protégés par l'establishment, du moins en France.



Alexis Haupt

Sinon, maintenant que les journalistes commencent à reconnaître publiquement qu'ils savaient pour l'inefficacité du vaccin mais qu'il était interdit de le dire, bref maintenant qu'ils reconnaissent qu'on leur a demandé de cacher la vérité et qu'ils ont obéi à cette injonction totalitaire, on attend quoi pour le grand procès international ?
Non, parce qu'en plus de la censure, de la tromperie, de la propagande, du terrorisme d'État, de la répression, de la manipulation de masse, de l'ostracisme, de l'extorsion de consentement, de la fabrique des boucs émissaires, etc., il y a eu des morts suite aux effets indésirables et il y en aura encore. C'est pas rien quand même. – 5/10/2024


Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français



Gilles Casanova

28/9/2024 – La récente dépêche de l'AFP, reprise ici par Le Figaro, mais reprise par toute la presse, ne vous prend pas pour des chèvres. Peut-être pour des ânes… Certainement pour les vaches à lait de Big Pharma. Bien qu'elle prenne soin d'indiquer que ce sont « les autorités sanitaires » qui « martèlent » les « vérités » qui sont proférées ici, Elle reprend toute la terminologie dont les patrons des fabricants des vaccins ont avoué sous serment avoir dit aux dirigeants politiques que ce n'était (malheureusement) pas le cas, dès l'origine… Mais la statistique est là ! On nous donne les chiffres sur les « suspicions de Covid », la belle affaire ! Et par quoi sont-elles produites les suspicions, par la campagne que l'on va orchestrer et monter en puissance, puisque la variole du singe a vraiment du mal à accrocher dans les esprits…



H16

Cela ne peut pas être ce que vous pensez que cela pourrait être. Impossible.

27/9/2024 - Pendant que les Français sont occupés par le petit théâtre gouvernemental et les gesticulations ministérielles grotesques destinées à camoufler l’effondrement économique et social du pays dans la violence et la misère, la situation sanitaire mondiale continue son inquiétante trajectoire.

Cette trajectoire n’est pas nouvelle. C’est même une tendance de fond que quelques précédents articles de ces colonnes permettent de brosser : ainsi, en août 2022, on pouvait noter une petite surmortalité pas tout à fait normale ; en janvier 2023, quelques coïncidences et des statistiques troublantes auraient dû imposer un peu de prudence, qui ne fut pourtant pas de mise ; et en mai de cette année, un billet revenait sur l’épidémie de ces coïncidences sans que personne ne s’en inquiète.

Ces dernières semaines, c’est une étude parue dans Nature qui ajoute des éléments de réflexion inquiétants sur ces précédents constats : selon les chercheurs du Brigham and Women’s Hospital, plusieurs types de cancers voient leur prévalence nettement augmenter ces dernières années. L’étude porte sur les statistiques des cancers observés depuis les années 1990 et montre sans grande ambiguïté une augmentation de leur prévalence, et montre aussi que le risque de développer un cancer augmente pour chaque nouvelle génération.

Compte tenu des types de cancers étudiés dont une majorité concerne ceux atteignant le système digestif, les chercheurs soupçonnent que la population occidentale (celle majoritairement couverte dans cette étude) est de plus en plus exposée, et de plus en plus tôt, à différents éléments cancérigènes essentiellement présent dans l’alimentation.

Cette étude fait suite à une autre étude parue dans The Lancet qui parvient globalement aux mêmes conclusions : sapristi, certains cancers se développent de plus en plus tôt !

Les lecteurs de la presse française ne seront que peu surpris de ces informations tant les journalistes hexagonaux semblent friands de relayer ce genre de nouvelles : pour ces derniers, c’est une véritable épidémie de cancers, et qui apparaît chez les moins de 50 ans et pour lesquels on n’a pas trop d’explications solides, tagada tsoin tsoin.


Cependant, la conflagration des études parue dans The Lancet et Nature avec ces derniers articles de presse est bien pratique puisqu’elle permet de confondre des cancers survenant sur des populations jeunes, de façon très récente, avec des tendances de fond, observables sur des dizaines d’années et qui correspondent, assez probablement, à l’introduction de différents aliments de piètre qualité (sucres comme le sirop de fructose, huiles végétales issues de processus industriels innovants, agents de texture, de goût, de couleur toujours plus hardis, pour ne citer que ceux-là).

Dans les deux cas (tendances de fond et nouveaux cancers agressifs se développant chez les jeunes depuis un triplet d’années), les études et les articles multiplient les raisons possibles : cela doit être les perturbateurs endocriniens, les pesticides, la malbouffe, les microplastiques, le stress de la vie moderne, les écrans et bien évidemment le réchauffement climatique (sans lequel aucun article généraliste ne pourrait naître dans une rédaction et espérer être publié). Mais jamais, ô grand jamais, n’est fait mention d’une série massive d’injections expérimentales dans la population occidentale.

Impossible. Aucun rapport. Cela ne peut pas être ça.

Mieux : avec la publication de ces études de longue tendance, tout est fait pour que l’augmentation des cancers soit devenue complètement admise comme d’une tendance multidécennale. Oui, il s’agit ici de camoufler tout effet potentiellement cancérigène des injections magiques, en expliquant préventivement que les cancers augmentent, qu’ils le font rapidement, que ce n’est pas nouveau et qu’on cherche la raison depuis des lustres.

Mais plus à propos, que ce soit ou non la source du problème pour les cancers les plus récents et les plus agressifs, il n’est en tout cas pas autorisé de simplement poser la question : y aurait-il un lien avec l’injection miraculeuse post-covid ?

Et quand elle est posée, c’est pour immédiatement répondre, avec certitude, “Absolument non”, les données, disent nos médias et les autorités, sont “sans appel”.

D’ailleurs, il suffit d’écumer quelques pages de recherche Google pour s’en convaincre : tout ceci n’est qu’une abominable rumeur, une théorie du complot largement décrédibilisée comme en atteste un commode article Wikipedia. C’est fact-checké, c’est débunké, c’est évident.

C’est tellement évident que poser la question, c’est immédiatement déclencher des réactions outrées…

Ces mêmes réactions outrées qu’on a pu observer lorsque ces imbéciles de complotistes doutaient – sots qu’ils étaient – que le vaccin était effectivement capable d’endiguer la transmission. Ce fut aussi la même réaction lorsque ces crétins de complotistes soutenaient – à tort, évidemment – que le vaccin ne permettait pas d’échapper à l’infection. Ce fut encore une réaction similaire lorsque ces idiots de complotistes imaginaient qu’on allait imposer les vaccins au travers d’un pass, et que ce dernier serait – invraisemblable bêtise – utilisé pour limiter les allées et venues des individus.


Et les réactions agacées, les vagues d’articles de débunkage et les tons doctes pris par les experts de plateau pour balayer d’une main les inquiétudes de ces nigauds de complotistes au sujet des cancers rappellent les mêmes réactions, les mêmes articles et les mêmes tons doctes pris par les mêmes experts lorsqu’il s’est agi d’endiguer les niaiseries complotistes au sujet des myocardites.


Depuis, le temps a permis de ranger ces délires complotistes dans les placards qu’ils n’auraient jamais dû quitter : le vaccin empêche l’infection et la transmission avec brio (mais si, bordel !), le pass n’a jamais été utilisé pour mettre en place une ségrégation inique à l’échelle continentale (arrêtez de revenir là-dessus !), les myocardites et les AVC sont si rares qu’évoquer la fréquence soudainement élevée de ceux qui claquent subitement de ces affections inopinées déclenche des spasmes chez nos experts de plateau.

Maintenant, tout le monde sait que les myocardites sont provoquées par le réchauffement climatique, la tonte du gazon, l’aspartame, le sport, le café, le stress des grosses factures énergétiques mais jamais, ô grand jamais, ces injections miraculeuses.


Allons : la similitude des réactions, des articles et des doctes avis n’est qu’une… coïncidence.

Pourtant, l’hypothèse – bruyamment et violemment rejetée – qu’il pourrait effectivement y avoir un lien n’est pas complètement idiote. Un petit coup d’œil à différentes statistiques, comme celles provenant du Royaume-Uni (ici), jettent une lumière crue sur les tendances longues, qui semblent accélérer depuis avril 2021, subitement, comme en témoigne le graphique officiel suivant (cliquez pour l’agrandir) issu d’un récent rapport sur la santé au Royaume-Uni :


Un hasard, sans doute. Hasard qui est malgré tout corroboré par l’analyse des demandes d’indemnisation du “Personal Independance Pension” (PIP) du même Royaume-Uni, demandes qui augmentent brutalement depuis 2021. La coïncidence est, encore une fois, intéressante et nécessiterait un peu plus qu’un simple haussement d’épaules, des avis doctes, des réactions outrées et des affirmations péremptoires à base d’articles de presse courroucés.

Et lorsqu’on commence à éplucher certaines données statistiques indirectes (par exemple la croissance anormale des dépenses de soins), on trouve effectivement une tendance fort récente à l’accroissement rapide des cancers :



Mais c’est dit : la question, interdite, ne sera pas posée et la réponse, déjà dans les cartons, est actuellement en cours de diffusion. Il s’agit d’une tendance multi-décennalle, ce sont les “produits chimiques” et les satellites qui détraquent le temps et provoque le réchauffement climatique, voilà tout.



Vincent Verschoore

18/9/2024 – La statistique est confondante : lors du Covid, les médecins y compris retraités, âgés et avec comorbidités, n'ont pas connu de surmortalité, alors qu'ils étaient aux premières loges.
L'urgentiste Patrick Pelloux l'avait dit, dès le début : ils se sont soignés, eux, et notamment avec l'hydroxychloroquine.

Extrait de l'article du Dr Gérard Maudrux :

"Non, les médecins ne sont pas des surhommes, ce sont des gens comme vous et moi, ni plus solides, ni plus fragiles. Pour expliquer pourquoi les médecins ont eu 10 à 20 fois moins de décès que prévu, arrêtons de nous voiler la face, regardons les choses en face et cessons toute hypocrisie. Nous savons ce qu’ont fait les médecins : ils ne se sont pas laissés mourir sans traitement, ils ne sont pas bêtes et ne sont pas non plus des anges.
Croyez-vous vraiment qu’en cas d’infection, ils n’ont rien pris sinon du Doliprane, attendant d’appeler le Samu quand cela allait mal, et qu’ils ont demandé à un collègue de les mettre au Rivotril sans rien essayer avant si cela tournait mal ? Soyons sérieux. Chacun y est allé de sa petite recette et il est regrettable que les autorités aient volontairement empêché que l’on sache qui a pris quoi, afin que la population ne puisse bénéficier d’aucun traitement possiblement efficace. On s’en doutait à la lecture du livre d’Agnès Buzyn, mais Patrick Pelloux a été très clair : ils ont tous pris de l’hydroxychloroquine."

Que les médecins cherchent des solutions pour eux-mêmes, ça se comprend. Les médecins honnêtes ont également cherché des solutions pour leurs patients, mais ils en furent empêchés par l'autorité sanitaire et les médias afin de laisser toute la place aux produits onéreux de Big Pharma. Des études plus ou moins bidon tentèrent ensuite de justifier l'interdiction des produits chics et pas chers, allant même jusqu'à inventer des milliers de morts associés à l'hydroxychloroquine (étude Lega, récemment rétractée).
Sans être des panacées, et nécessitant un dosage et un timing précis, l'utilisation généralisée de ces produits immédiatement accessibles aurait sans doute sauvé des milliers de vies.
Dès lors, une accusation envers les têtes de gondole covidistes d'homicide volontaire, en plus de corruption, serait-elle recevable ?

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Vincent Verschoore

Peut-on exclure les vaccins Covid comme cause de la surmortalité hors Covid ?

Ben non.
Article rédigé par le spécialiste en médecine environnementale Günter Kempf dans le très mainstream Berliner Zeitung.
Il analyse les chiffres officiels disponibles (notamment britanniques) montrant une corrélation entre phases de vaccination de masse et hausse de la surmortalité hors Covid.
Reprenant les risques avérés relatifs à cette vaccination, il estime que la relation causale ne peut être exclue, même si les acteurs impliqués dans ces politiques de vaccination expérimentale de masse (politiciens, scientifiques, médecins, médias, et les covidistes en général) ne veulent plus parler de ce sujet.
Évidemment.



Jean-Dominique Michel

Ce jeudi 5 septembre s'ouvrait devant le Tribunal correctionnel de Paris le procès en diffamation contre l'AFP et son directeur Fabrice Fries, suite à la plainte déposée par Pierre Barnérias ainsi que les sociétés T-Prod et Tomawak au sujet du film Hold-Up.
L'AFP, agence véreuse au service du globalo-fascisme et de l'État profond US, a multiplié les turpitudes et les inconduites au cours des quatre années écoulées.
Production et blanchiment de fausses nouvelles, "fact-checking" frauduleux, harcèlement et destruction de réputation, cette affaire nous plonge au cœur du système de désinformation, de propagande et de censure au service des crimes d'État contre la démocratie en cours à travers l'Occident.
Émission du 5 septembre 2024.

[vidéo] cliquer sur l'image ↴


Jean-Dominique Michel

La place des escrocs de la science comme Mathieu Molimard, Gilbert Deray, Antoine Flahault, Karine Lacombe (etc.) est en taule !
Alors que c'est France-Soir, le seul titre historique de la presse française à avoir diligemment et honnêtement informé la population, qui est attaqué par la dictature macronienne et ses sbires des médias prostitués...
Émission du 27 août 2024

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Dictature sanitaire : « Personne ne doit être discriminé pour ne pas s’être fait vacciner. »
(Conseil de l’Europe)


⬦ Cette résolution n'a pas été respectée !
Nous avons là la preuve flagrante d'une violation du droit européen et d'une crise institutionnelle majeure avec une Commission européenne, dont il convient de le rappeler, la Présidente non élue est Ursula von der Leyen, qui ne respecte pas les résolutions du Conseil !
Ce dysfonctionnement gravissime des institutions européennes mériterait à lui seul la destitution de celle qui a été reconduite dans ses fonctions en dépit d'une condamnation pour faits caractérisés de corruption.
Véronique Faucheux

⬦ Les États doivent « s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n'est pas obligatoire », rappelait en janvier 2021 le Conseil de l’Europe, institution distincte de l’UE, dont fait partie la Russie.
Et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner.
Comme un passe sanitaire et un apartheid social, par exemple ?
Anna Rocca


Anna Rocca

Bis repetita - La revue scientifique Biomedecine et Pharmacotherapy rétracte son papier accusant la chloroquine d’avoir fait 17.000 morts

Un article sur lequel la presse propagandiste s’était ruée, davantage pour régler ses comptes avec Didier Raoult que pour pousser à une vaccination qui ne fait plus recette.
Le contentieux entre l'incontrôlable professeur et le petit cercle politico-médiatique parisien date du début du Covid, l'expert ayant fait dérailler l'agenda mondialiste avec son traitement et sa critique de la gestion de crise.
« Qu'on donne de l’hydroxychloroquine, qu'on donne de l'azithromycine, vous avez un truc explosif, 10% de morts en plus », lançait encore le médecin de plateau Matthieu Molimard sur France5, en juin 2023.
Comme si tout le monde avait déjà oublié le fiasco The Lancet et son étude falsifiée sur l'inefficacité de l'hydroxychloroquine.
Et refusait de voir l'éléphant au milieu de la pièce : Big Pharma s'attaque à un traitement efficace et pas cher, concurrence déloyale pour ses « vaccins » à renouveler tous les 6 mois.



Laurence Muller-Bronn
Sénatrice du Bas-Rhin

À écouter sur France Bleu Pays d'Auvergne l'appel de Mathieu Dubois, Président d'AAVIC TEAM pour la reconnaissance et prise en charge médicale des victimes des injections anticovid. Comme lui, de nombreuses victimes potentielles d'effets indésirables graves n'ont pas voix au chapitre, souffrent dans leur corps et sont de surcroît totalement invisibilisées par le système.

AAVIC Team rassemble 1900 membres, 500 victimes d'effets indésirables de 15 à 91 ans, dont 22 maladies de Charcot... et de Covid long (Covid non ou mal soigné) !

C'est un parcours du combattant de tous les jours. Des répercussions sur tous les aspects de la vie : la santé, la mobilité, le travail, la vie conjugale et vie de famille... que l'on ne peut même pas imaginer.
98% des membres de l'asso ne peuvent plus travailler en raison de leurs pathologies.

En 2024 on ne peut plus nier les effets indésirables, ni laisser les gens souffrir ou mourir.
Mathieu est lui même atteint d'une neuropathie des petites fibres et d'une encéphalomyélite.



Romain Vignest

10/8/2024 - Aux États-Unis, on observe en 2021 une nette augmentation de la mortalité des 0-14 ans très exactement concomitante à la campagne d’injection. Mais il ne peut évidemment s’agir que d’une coïncidence…
(La courbe en pointillé correspond à la mortalité attendue, la zone rose à l’écart acceptable par rapport à la mortalité attendue et la ligne pleine à la mortalité réelle.)



Vincent Verschoore

Le monde devient-il "antivax" ?

Selon la très réductrice définition officielle du terme, à savoir :
"Se dit d’un mouvement d’opinion marqué par une opposition à certains vaccins ou à la vaccination en général, dont il remet en cause l’efficacité et l’innocuité."
les chiffres de vaccination contre la grippe et le Covid (moins de la moitié de la population américaine est à jour, selon le CDC) impliquent qu'une majorité est devenue "antivax", au sens de cette définition très réductrice visant à culpabiliser toute opposition. Un peu comme décrire quelqu'un comme "antiviande" s'il ne mange pas de cheval, alors qu'il mange d'autres viandes.
Comme le dit Aaron Siri :
"L'ironie est que décider de ne pas se faire injecter un produit après avoir examiné ses essais cliniques, son dossier de sécurité post-licence, l'absence de responsabilité, etc. est une décision éclairée et réfléchie. Pourtant, ce sont ceux qui se font vacciner sans réfléchir qui sont présentés comme prenant des décisions éclairées et réfléchies... !"
Et d'ajouter, en faisant référence aux covidistes :
"Vous pouvez également leur faire savoir qu'étant donné que les "antivax" sont désormais majoritaires, vous comprenez leur insécurité et leur hostilité. Mais ils ne doivent pas s'inquiéter : la majorité antivax n'est pas intéressée par la suppression des droits de la minorité provax. Ils peuvent se sentir libres de se faire vacciner (ou de ne pas se faire vacciner) autant qu'ils le souhaitent. Nous, la majorité, demandons simplement qu'ils respectent notre droit à faire de même."
Le danger de cette polarisation entre "antivax" et "provax" est d'en faire une question idéologique, où la raison et la prise de décision objective sont remplacées par l'adhésion à des structures de pouvoir et à des narratifs qui ne servent qu'une petite minorité. Et c'est sans doute l'héritage le plus visible de la violence, de la corruption et de la bêtise des covidistes : avoir cherché à transformer une crise sanitaire en un système totalitaire au bénéfice de psychopathes et de l'industrie médicale, provoquant un rejet de la part de populations qui se sentent manipulées et trahies.



Romain Vignest

[COVID] Évidemment ignorée par les médias mainstream, la décision des prud'hommes de Nancy est historique : les soignants suspendus avaient le droit de refuser l'inoculation expérimentale.

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Marc Amblard

CETTE VIDÉO DEVRAIT FAIRE LA UNE DE TOUS LES MÉDIAS DU MONDE

18/7/2024 - Le Dr Robert Redfield, médecin virologue, a été directeur du CDC. Il a donc occupé un des plus hauts postes au sein du département de la santé américaine sous Biden. A ce titre, il a coordonné toutes les mesures sanitaires durant le Covid.
Il vient d’être interrogé par le Congrès à Washington dans le cadre d’une enquête sénatoriale.
Ce qu’il a avoué est effarant. Il a notamment admis que :
- le vaccin ne prévient pas l’infection ;
- pire, l’ARN passe toutes les barrières de l’organisme, la spike est toxique et entraîne de grosses réactions inflammatoires ;
- c’était connu depuis le début (printemps 2021) ;
- les effets secondaires ont été minimisés pour ne pas décourager la vaccination ;
- ces vaccins n’auraient jamais du être imposés ; c’est une erreur.
La vidéo (sous-titrée) est courte, écoutez-la bien jusqu’au bout.



Laurence Muller-Bronn

Ce mardi 17 juillet 2024, La Cour de Justice de l’Union européenne reconnaît les infractions commises par la Commission européenne présidée par Ursula von der Leyen qui perd l'affaire sur la transparence des contrats d'achats de vaccins. La décision intervient un jour avant le vote des députés européens sur Ursula von der Leyen à Strasbourg. Les députés européens qui DEMAIN voteront pour sa reconduction auront des comptes à rendre aux citoyens européens, au nom de l'État de droit.
Qui aura le courage de ne pas l’investir ?

Plus qu’une victoire, c’est un hommage au combat de feu Michèle Rivasi, qu'elle menait depuis 2021. Quelle joie posthume car elle a gagné !


« La Commission européenne n'a pas donné au public un accès suffisamment large aux contrats d’achat de vaccins contre la Covid-19 », écrit la Cour de Justice de l’Union européenne CJUE dans son jugement rendu le 17 juillet 2024.

Cette infraction concerne deux éléments majeurs :

- L’indemnisation des entreprises pharmaceutiques pour d’éventuels dommages et intérêts qu’elles devraient payer en cas de défaut de leurs vaccins. La Cour de Justice souligne en effet que le producteur est responsable du dommage causé par un défaut de son produit et que sa responsabilité ne peut être limitée ou écartée à l’égard de la victime (contrairement aux dérogations voulues par la Commission).
- Le refus, par la Commission, de donner accès aux déclarations d’absence de conflits d’intérêts concernant les membres de l’équipe de négociation pour l’achat des vaccins. Le jugement confirme à cet égard « l’intérêt public de la divulgation de ces informations ».

En vertu du droit d’accès aux documents prévu par les traités de l’Union européenne et la législation relative aux obligations de transparence des institutions européennes, Michèle Rivasi avait demandé, début 2021, avec quatre eurodéputées du groupe Verts/Ale, l’accès aux différents contrats de vaccination signés entre la Commission et les laboratoires pharmaceutiques pour l’achat de vaccins COVID 19 (AstraZeneca, Sanofi-GSK, Johnson and Johnson, BioNTech-Pfizer, CureVac et Moderna, pour une valeur totale de 71 milliards d'euros).
La Commission européenne avait alors tout mis en œuvre pour prolonger les délais administratifs de réponse.
La Présidente Ursula von der Leyen n’ayant jamais répondu, les députées avaient saisi la Cour de justice de l'UE en avril 2022. Au nom du droit fondamental des citoyens européens à la transparence et à l'information.



Laurence Muller-Bronn
Sénatrice du Bas-Rhin

La France fait partie des pays qui ont adopté en mars 2020 les règles de confinement les plus strictes pour lutter contre la pandémie de Covid-19. Historien et sociologue, Nicolas Mariot s'est interrogé sur cette expérience d’obéissance de masse.

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Laurence Muller-Bronn
Sénatrice du Bas-Rhin

Ma question écrite au gouvernement sur la contamination des vaccins Covid par de l'ADN a été validée.



[COVID] vidéo

Le discours scientifique sur le Covid est en train de virer à 180°. Des figures de premier plan remettent en question la gestion de la pandémie et admettent l’existence d’effets secondaires liés aux vaccins. Nous tenterons de comprendre pourquoi ce qui était impensable pendant la pandémie se révèle exact aujourd’hui. Vous découvrirez comment la chaîne de décision en matière de santé a été défaillante et comment des intérêts cachés ont influencé nos vies et continuent de le faire…



Alexis Haupt

Au vu de ce qu’il s’est passé durant la « période covid », je considère que l’un des sujets les plus importants, peut-être même le plus important de tous est celui du consentement médical. Eh oui, des millions de gens s’étant fait vacciner dans l’angoisse et le doute durant cette période qualifiée d’état d’urgence par un seul homme, la moindre des choses serait maintenant de mener des investigations pour savoir si parmi ces millions de personnes, certaines l’auraient fait à contrecœur. Ce qu’il s’est passé est extrêmement grave mais ne pas investiguer sérieusement sur les circonstances l’est tout autant. Non seulement les médias n’abordent pas le sujet du consentement, mais pire, ils continuent de parler d’« antivax » pour désigner les professionnels suspendus ayant refusé l’injection. Je dénonce là une réelle entreprise de tromperie car la plupart des gens qui n’ont pas voulu se vacciner contre la covid-19 n’étaient pas contre la vaccination en général mais prônaient la liberté vaccinale et/ou la pharmacovigilance. De plus, cette tactique est d’autant plus malhonnête qu’elle laisse sous-entendre que tous ceux qui se sont fait vacciner l’ont fait par conviction. J’ai voulu savoir si tel a été le cas, s’il n’y a eu que des sujets volontaires parmi tous ceux s’étant fait vacciner. Pour ce faire, j’ai posé la question sur mon compte Twitter. J’ai demandé dans quelles circonstances les gens s’étaient fait injecter : par contrainte ou par conviction ? À ma grande surprise, j’ai reçu plus de 1400 réponses en une journée. À l’évidence, j’ai constaté le nombre élevé de gens affirmant n’avoir jamais voulu de cette injection. Tout porte à croire qu’il y a parmi les vaccinés, plus d’« antivax » que ne laissent entendre les médias. Il m’a paru important de recueillir ces messages pour qu’ils servent de trace écrite, pour que l’on n’oublie pas que, contrairement au récit diffusé par les médias, le consentement n’a pas eu lieu pour tout le monde ! Un devoir de mémoire s’impose. Et l’objectif de ce livre est d’être une petite pierre à cet édifice.

Avez-vous accepté le vaccin par conviction ou par contrainte ? : Recueil de témoignages sur le consentement au sujet du vaccin covid.



Vincent Verschoore

4/6/2024 – Dans le très mainstream quotidien britannique The Telegraph, ce matin, un article intitulé :
"Les vaccins Covid pourraient avoir contribué à l'augmentation de la surmortalité.
Les experts appellent à davantage de recherche sur les effets secondaires et les liens possibles avec les taux de mortalité."
Outre la surmortalité probablement induite par les mesures incarcérationnistes, l'article cite plusieurs scientifiques qui estiment que la corrélation entre phases de vaccination de masse et pics de surmortalité ne peut être simplement ignorée.
Il cite une étude néerlandaise sur 47 pays, parue dans BMJ Public Health, selon laquelle il y aurait une surmortalité de trois millions depuis 2020 :
"Dans un article publié dans le BMJ Public Health, les auteurs de la Vrije Universiteit d'Amsterdam ont déclaré : "Bien que les vaccins Covid-19 aient été administrés pour protéger les civils contre la morbidité et la mortalité dues au virus Covid-19, des effets indésirables présumés ont également été documentés.
Des professionnels de la santé et des citoyens ont signalé à diverses bases de données officielles du monde occidental des blessures graves et des décès consécutifs à la vaccination.
L'étude a révélé qu'en Europe, aux États-Unis et en Australie, il y avait eu plus d'un million de décès en excès en 2020, au plus fort de la pandémie, mais aussi 1,2 million en 2021 et 800 000 en 2022 après la mise en œuvre des mesures."
Des effets qui, selon un expert allemand également cité, sont largement sous-estimés :
"En ce qui concerne le risque d'effets nocifs des vaccins, M. Wishart a ajouté : "Les auteurs ont raison de souligner que de nombreux effets indésirables graves liés aux vaccins peuvent ne pas avoir été signalés, et ils soulignent le fait que l'apparition simultanée d'une surmortalité et de la vaccination Covid en Allemagne mérite à elle seule un examen plus approfondi."
Si on ajoute à ceci les récents "aveux" de Fauci sur l'inexistence de justification "scientifique" pour la distanciation sociale et les masques, ainsi que le delta entre le marketing vaccinal et la réalité, on imagine que les temps sont durs pour les clowns covidistes et leurs chefs de file à la solde de Big Pharma.
Ça avance, ça avance. J'espère que personne, ce dimanche, ne votera pour les eurodéputés pro-corruption, ceux ayant refusé une audition de von der Leyen sur la question des contrats opaques Pfizer (Hayez, Glucksmann et Bellamy). D'autant qu'il reste 35 autres listes.



Marc Amblard

4/6/2024 – USA - DR FAUCI, GRAND ORDONNATEUR DES MESURES ANTI-COVID APPLIQUÉES DANS LE MONDE ENTIER, AU CŒUR D’UNE ENQUÊTE PARLEMENTAIRE :
IL RECONNAIT DEVANT LE CONGRÈS QU’ELLES N’ÉTAIENT PAS FONDÉES SUR LA SCIENCE.
IL EST MENACÉ DE POURSUITES ET DE PRISON.
VOICI LA VIDÉO (TRADUITE) QUE LES MÉDIAS FRANÇAIS SE GARDERONT BIEN DE DIFFUSER.

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Vincent Verschoore

29/5/2024 - Blast propose une plongée dans les milieux d'influence opaque et de corruption qui ont marqué la "gestion" Covid. Ici, en Belgique, avec une enquête digne d'un film d'espionnage, mais les mêmes acteurs (sociétés de conseils, agents corrupteurs, Big Pharma) étaient présents ailleurs, notamment en France.
Ce que montre ce type d'enquête, par exemple aux USA via la Commission du Congrès, mais aussi en Allemagne avec les "RKI files", et partout où il existe encore suffisamment de contre-pouvoir institutionnel pour questionner les promoteurs de la dictature sanitaire "Covid" et l'enrichissement massif de Pfizer & Cie, c'est que cette gestion n'avait pas grand chose à voir avec "la science", mais relevait d'options politiques et commerciales imposées via un narratif catastrophiste, auquel collaborèrent main dans la main les autorités de santé et policières, un mélange hautement toxique.
Les covidistes, et surtout ceux qui en ont bien profité, tentent d'évacuer tout débat politique en faisant la promotion de toutes sortes de "preuves" de l'efficacité de leurs mesures, mais il est difficile de séparer les chiffres et les modèles bidonnés des données réelles. Autrefois, l'on comptait sur "l'autorité scientifique" pour faire ce travail, par exemple l'ANSM (ou la FDA, le CDC, etc...) mais la désinformation permanente et la soumission aux intérêts commerciaux et/ou politiques de ces agences leur ôtent aujourd'hui toute crédibilité, ainsi qu'aux soi-disant "experts" qui défendent surtout leurs propres intérêts.
C'est une situation non satisfaisante, qui ne pourra se rétablir que par une purge de toute cette corruption. Chose qui n'arrivera évidemment pas avec les gens actuellement au pouvoir (que ce soit en France, en Europe ou aux USA), d'où l'importance de ne rien lâcher.

⇒ https://www.youtube.com/watch?v=FUwkLwlpohA



Gilles La Carbona

Pfizer sur le gaz


24/5/2024 - Pfizer est plus que jamais dans la tourmente, il se murmure que la boîte pourrait être traînée devant les tribunaux aux US, mais pas avant les élections européennes ni américaines. Elle est déjà l’entreprise, ou l’une des entreprises qui a payé le plus d’amendes au monde. Quelle pourrait être la raison objective de ce report ? En quoi ces deux évènements seraient-ils susceptibles de perturber le déroulé des audiences, les investigations ou les interrogatoires ? On ne voit pas. En revanche on comprend qu’un tel procès mettrait dans l’embarras les responsables encore au pouvoir ayant œuvré durant cette période trouble avec des répercussions en Europe. C’est bien entendu le cas de la France où la macronie s’est particulièrement distinguée dans cette affaire. Devoir rendre des comptes, ou du moins être indirectement agité par les effets d’un procès qui prendrait forcément un caractère international en pleine campagne, serait catastrophique pour Hayer, qui n’a pas besoin de cela pour couler lentement dans le fond du classement.

Mais tout de même, une justice indépendante aurait-elle à se soucier de ces échéances pour faire son travail ? D’ailleurs quel est-il exactement, faire éclater la vérité ou protéger un pouvoir qui semble de plus en plus corrompu ? On peut a contrario imaginer qu’une défaite de ceux qui sont à l’origine des politiques Covid de l’époque scellerait le sort des protagonistes. C’est d’autant plus vrai que les révélations sur les intrigues du laboratoire fusent, rendant les malversations ou cachotteries que certains n’ont pas manqué de faire pour soutenir une vaccination de plus en plus douteuse, pour ne pas dire pire. Ainsi, selon la Prescription Medecines Code of practices, Authority, Pfizer a fait la promotion d’un médicament sans licence et a violé un total de cinq codes réglementaires. Si on rajoute à cela l’opacité des contrats signés entre Pfizer et von der Leyen, qui a agi sans mandat et donc à titre privé, cela aggrave considérablement la position du géant pharmaceutique et celle de ses complices. En France tout est fait pour que rien ne sorte, au point que l’on s’empresse de faire voter des lois pour s’assurer que ce type de révélations ne puisse pas voir le jour.

À l’étranger les aveux vont bon train et n’en finissent pas de donner raison à ceux qui chez nous, dénonçaient les vaccins et les pratiques qui y étaient associées comme inutiles et dangereuses. Ils ont été calomniés, bannis, traités de criminels. Mais au fur et à mesure que la vérité voit le jour, ce dernier qualificatif colle de plus en plus à la peau de ceux qui ont fait la promotion de cette vaccination. Un exemple parmi d’autres : Lawrence Tadax, directeur adjoint des NIH (National institues of Health) a été contraint d’admettre que le COVID était bien d’origine biomilitaire, sorti tout droit du laboratoire de Wuhan. Le Docteur Andrew Hupff, ancien dirigeant d’EcoHealth alliance, a concédé que A Faucy en 2018 avait approché la Defense Agency (Darpa) pour financer le projet de recherche DEFUSE sur le gain de fonction (aggravation de la toxicité d’un virus) des coronavirus des chauves-souris. Tout ceci étant confirmé par l’eurodéputé Christine Anderson. On se souvient que le professeur Montagnier avait immédiatement affirmé que l’étude de la structure du virus montrait son caractère non naturel, donc trafiqué par l’homme. Il fut aussitôt banni des plateaux et l’objet de moquerie odieuse et déplacée. Tout comme le furent, peu après Martine Wonner, les docteurs Peronne et Raoult. Rappelons que ces deux derniers géraient habituellement les pandémies en France.

Dans le même temps on apprend qu’AstraZeneca retire son vaccin du circuit. Officiellement il n’y a plus la demande, en réalité c’est parce que les effets secondaires dévastateurs vont finir par rattraper les acteurs de ce drame et qu’ils veulent se mettre à l’abri. C’est bien tard. Aux US pour les moins de 45 ans le nombre de cancers a doublé entre 2022 et 2023, sans que l’on s’aventure pour le moment à relier cette explosion à la vaccination. « On ne comprend pas » : refuser d’admettre, mais jusqu’à quand ? La VAERS, qui est un programme américain de surveillance des effets des vaccins, destiné à mesurer le bilan bénéfice/risque, permettant ainsi de maintenir ou pas un vaccin, vient de publier des chiffres alarmants. Sur tous les décès enregistrés de 1988 à 2021, ceux des vaccins COVID sont équivalents sur un an à ceux de tous les autres vaccins sur 33 ans. Peut-on encore parler de coïncidence, ou de hasard incompréhensible ? Une enseignante marocaine souffrant d’effets secondaires fortement handicapants a porté plainte contre l’État. La justice vient de lui donner raison et a condamné l’État à lui verser 250 000 dirhams à titre de dommages et intérêts. D’un côté un pays assume, de l’autre, l’Espagne, se couvre en refusant de reconnaître les victimes, arguant que tous ont été volontaires. Pourtant il fait quand même le lien entre les injections et les myocardites, mais dégage sa responsabilité sous ce motif. C’est une autre façon de se disculper. Il devient impossible de nier les effets secondaires, alors on renvoie la charge sur les victimes, soi-disant consentantes.

La perversité de l’argument était prévisible, eu égard au document qui devait être signé avant l’injection, alors que celle-ci était nécessaire pour continuer à exercer certaines professions. Rendre obligatoires des substances expérimentales est illégal. C’est bien le cas actuellement et ça l’était encore davantage au moment de la campagne de vaccination. Il devient clair que les politiques et les propos agressifs qui ont été tenus contre ceux qui doutaient, qui alertaient sur la dangerosité de ces faux traitements, sont en passe de retrouver la dignité qu’on leur a sciemment volée. Que vont répondre tous ces caciques devant ces aveux ? Désolé… un peu court tout de même, d’autant que l’on a confirmation que ce vaccin n’empêchait pas non seulement de transmettre le virus mais ne protégeait pas non plus, même pas des formes graves puisque les « variants » n’étaient pas mortels. C’est donc en pleine connaissance de cause que le gouvernement a forcé les soignants, médecins, pompiers, à se vacciner au risque d’exposer des patients au virus et de leur rajouter des complications dont ils se seraient bien passés. La responsabilité des promoteurs devra bien entendu être engagée, tout comme celle de ceux qui ont validé des lois en ne pouvant ignorer leur côté inutile et surtout dangereux dans les effets qu’elles produiraient. Après le sang contaminé, Fabius pourrait bien se retrouver une nouvelle fois compromis dans un scandale sanitaire. Rassurons-nous, il a évité le pire quand il était directement concerné, alors là… C’est la magie de notre grande démocratie, qui a inventé pour ses responsables et uniquement pour eux la formule « responsable mais pas coupable » avant de la compléter par « coupable mais pas condamnable » dans l’affaire Tapie impliquant Christine Lagarde. Prétendre que nos décisionnaires n’étaient au courant de rien ne tient plus et ressemble à une vaste farce, depuis que les révélations venues de l’étranger n’en finissent pas de donner raison à ces « fripouilles » de complotistes. Encore aujourd’hui les autorités helvètes sont démasquées et l’on apprend que les informations faites au public ont été largement épurées de certains éléments qui n’allaient pas dans le sens de la doxa officielle. Nous aimerions bien voir nos parlementaires s’emparer du sujet et demander des comptes. Il est à craindre que ce ne soit pas pour demain encore une fois, quand bien même cela serait, nous aurions droit à une série d’excuses et de regrets éplorés, larmes de crocodile qui n’effaceront jamais ces années noires, ni ces pratiques qui ont conduit à des morts et des blessés graves. Nettoyer la France de ceux qui se sont vautrés dans cette abjecte compromission pour que nous ne revivions plus jamais cela serait nécessaire, mais tant que nous aurons des oppositions complices pratiquant la politique de la chaise vide ce sera clairement utopique. La corruption est profonde et il faudra du courage et un changement total pour en venir à bout. Malgré tout, la vérité avance dans certains pays, mais en France elle arrive encore à rester sous une chape de plomb.


Vincent Verschoore

21/5/2024 - Intéressant et presque courageux article du New York Times sur le déni rencontré par les victimes des vaccins Covid. Des professionnels de santé, souffrant de divers effets handicapants, racontent leur calvaire médical, social et administratif face à des autorités qui ne veulent rien savoir.

L'article estime que le taux d'effets secondaires "officiel" est sans doute largement sous-évalué, mais que personne ne veut en parler par peur de récupération "antivax"...

A contraster avec le reportage de DW (le "France 24" allemand, très mainstream) qui, voici près d'un an, faisait un constat similaire pour l'Allemagne mais estimait le taux d'effets secondaires graves entre 0,01 et 0,02%, soit un cas pour 5000 injectés, ce qui est énorme pour un vaccin en population générale, et inutile pour 80% de la population.


Si ce taux est le même aux USA, il y aurait plusieurs dizaines de milliers de cas, très nettement plus que le chiffre officiel.

L'argument du silence par peur des "antivax" est évidemment risible, ces derniers étant surtout opposés à la dictature sanitaire en général, et à la vaccination expérimentale de masse. Ce ne sont pas eux qui ont inondé les médias de fausses informations sur l'efficacité et la sécurité vaccinale, qui ont imposé la vax par la violence et la discrimination, et qui ensuite se lavent les mains des problèmes tout en ayant bien palpé au passage. Ils ne sont que la réaction, nécessaire même si parfois extrême, à tous ces abus.

L'article note que les autorités médicales balayent le problème au nom du "mais le virus c'est pire", mais estime l'argument un peu léger : le profil risque-bénéfice d'une telle vaccination, pour la majorité en bonne santé, n'est pas évident (euphémisme). Il est évidemment négatif, comme le montrait sans le vouloir l'étude OMS Europe : une vie sur 500 aurait été "sauvée" par la vax, mais 96% de ce 0,002 concerne les plus de 60 ans !

Extrait de l'article :

« Les fonctionnaires ont tous répondu par ce mantra très usé : "mais le virus est pire" », se souvient le Dr Murphy. « Oui, le virus est pire, mais cela n'empêche pas de faire des recherches pour s'assurer qu'il existe d'autres options.

Une meilleure compréhension des effets secondaires possibles, et des personnes à risque, pourrait avoir des implications pour la conception des futurs vaccins, ou pourrait indiquer que pour certaines personnes jeunes et en bonne santé, les avantages des vaccins Covid ne l'emportent plus sur les risques - comme l'ont déterminé certains pays européens.

Des recherches approfondies pourraient également permettre d'aider plus rapidement les milliers d'Américains qui affirment avoir été blessés. »

D'ici à ce que les covidistes traitent le NYT et DW de complotistes antivax, il n'y a sans doute qu'un pas.



Vincent Verschoore

Le retournement de veste de la star médiatique américaine, Chris Cuomo, sur l'usage de l'ivermectine face au Covid, va faire hurler les covidistes, mais illustre la vaste escroquerie menée par l'industrie pharmaceutique et ses affidés politiques, médiatiques et médicaux.
Diabolisée dès le début via toutes sortes d'influenceurs tel Cuomo, malgré une longue et positive histoire et un prix Nobel, l'ivermectine se trouva de facto interdite afin de laisser toute la place aux molécules chères et, bien sûr, aux vaccins expérimentaux.
Cuomo, qui utilise lui-même l'ivermectine car souffrant de Covid long (malgré sa multiple vaccination), sur avis de ses médecins, s'est donc rendu compte, certes trop tardivement, que le narratif covidiste avait plus à voir avec la santé des labos que de la population. Et il pose la question : pourquoi les médecins et autres "spécialistes" qui savaient que l'ivermectine ne pose aucun risque (si utilisée correctement bien sûr) et a un effet thérapeutique, n'ont rien dit.
La réponse me semble évidente : l'ivermectine n'appartient à personne et donc ne rapporte rien. Évidemment j'ignore si Cuomo est de bonne foi, ni dans quelle mesure de nombreux influenceurs covidistes furent dupés plutôt que simplement achetés, mais il n'était pas compliqué de percer le narratif mensonger dès lors que l'on possède un brin d'esprit critique. Ce qui, en effet, n'est pas spécialement l'apanage des habitués des plateaux médiatiques, et pour cause.


Vincent Verschoore

14/5/2024 – Nikolaï Petrovsky est prof à l'université d'Adelaïde et directeur d'une société de développement de vaccins, y compris Covid.

Voici ce qu'il dit sur son compte LinkedIn, suite à l'annonce d'un dépôt de plainte contre AstraZeneca :
"Il faut s'attendre à ce que les litiges liés aux lésions provoquées par le vaccin COVID-19 se multiplient au cours de la prochaine décennie. Cela va malheureusement nuire à la confiance de la communauté et affecter indûment l'adoption d'autres vaccins. La manière inutilement agressive dont les vaccins COVID-19 ont été utilisés dans les pays occidentaux, où toutes sortes de mandats ont été imposés en dépit des preuves évidentes que ces vaccins n'avaient aucun impact matériel sur la transmission communautaire et les vagues d'infection, ne fera qu'aggraver les réactions négatives de la communauté.
Pour minimiser les dégâts, les décideurs politiques concernés doivent admettre qu'au moment où ils ont imposé ces vaccins, ils ne savaient pas vraiment si ces vaccins étaient vraiment sûrs et s'ils avaient une efficacité durable, mais qu'ils espéraient simplement que tout irait pour le mieux. Il leur sera difficile de le faire."
Ah ça, c'est sûr. Von der Leyen n'a toujours pas craché le morceau, et tous ceux ayant pris le pognon n'ont aucune intention de le rendre. Tout comme ceux ayant hurlé (et hurlant encore) avec les loups par ignorance, par intérêt et/ou par conformisme social, vont avoir beaucoup de mal à reconnaître quoi que ce soit, préférant toujours le dénigrement et la censure à la froide réalité. ↴



H16

Les Français en petite santé : l’épidémie de coïncidences s’étend

8/5/2024 - Manifestement, on n’a pas encore fini de payer la période des confinements, loin s’en faut, et l’hystérie sanitaire qui a pris place en France et dans les pays occidentaux entre 2020 et 2022 continue de présenter sa facture aux populations.

Ici, il ne s’agit pas seulement d’économie : cette facture-là est déjà connue, se traduit en centaines de milliards d’euros et on se doute déjà qu’elle ne sera pas remboursée sans grande douleur via des symphonies de ponctions écrites par les Mozart de la finance.

Ici, on parlera aussi de la facture sanitaire, du bilan de santé des Français : il n’est pas bon du tout.

C’est ainsi qu’on observe, depuis la période des confinements, une hausse marquée des suicides chez les jeunes, ceux qui, normalement, ont la plus forte pulsion de vie, dont le futur, vierge, est encore à écrire et qui ont le plus d’opportunités dans un monde qui n’a jamais été aussi riche.

Il faut dire que la période passée n’a pas vraiment aidé les adolescents et les jeunes adultes d’avoir été enfermés, coupés de vie sociale, d’avoir subi les messages anxiogènes permanents de la part des politiciens, des médias qui les ont répétés servilement voire, pire encore, de leurs propres parents – pas fins à répéter les âneries entendues sur les médias de grand chemin. Et le fait que des messages anxiogènes continuent d’être distribués par les mêmes canaux n’arrange rien.


En fait, tout semble montrer que les mesures gouvernementales prises pour lutter contre la pandémie n’ont pas fonctionné, et que, pire encore, elles ont été largement contre-productives.

Sur le plan économique, l’état général des finances françaises montre que les mois de confinement ont ruiné l’économie française.

Les actuelles fanfaronneries grotesques du Bruneau de Bercy alors que la France peine franchement à décoller (0,2% quelle misère) ne masquent absolument pas le désastre qui se profile et les têtes allongées que font les financiers à Bercy lorsqu’il s’agit de rouler la dette actuelle, devenue colossale sous les bons soins de leur actuel patron et grâce à la direction suicidaire impulsée par Macron.

Sur le plan sanitaire, ces confinements furent un fiasco qui n’a absolument rien empêché. C’est maintenant acquis et seuls quelques imbéciles ou corrompus peuvent (timidement) encore prétendre le contraire : le “zéro COVID” était une parfaite clownerie qui a été abandonnée même par les (quelques) régimes plus totalitaires que la France.

Sur le plan social, ces confinements se sont logiquement traduits par des cascades de problèmes : explosion des violences intrafamiliales de tous types, dépressions, pertes de repères, décrochage scolaire, … C’est véritablement une catastrophe à bas bruit que les médias n’évoquent qu’assez peu de peur d’abimer le bilan du gouvernement (pourtant déjà désastreux) sur cette période.

Et tout ceci n’est absolument pas une impression d’échec ou un “sentiment de catastrophe” comme on dit de nos jours. En fait, une étude circonstanciée du CNRS évoque l’ampleur de cet échec et établit même de façon claire que d’autres pays comme le Japon, le Danemark ou Taïwan n’ont absolument pas suivi les choix drastiques du Président et de sa clique pour verrouiller le pays sans pour autant sombrer dans l’hécatombe, au contraire.


Mieux encore, cette étude démontre la véritable frénésie d’interdictions idiotes qui s’est emparée de la France bureaucratique à ce moment-là, montrant en filigrane l’état réel de la société française et la relation véritablement toxique qu’entretiennent les administrations et les institutions de pouvoir vis-à-vis des Français.

À ces constats d’une augmentation générale du mal-être chez les jeunes et dans une bonne partie de la société française – constats déjà amplement douloureux en eux-mêmes – s’ajoutent d’autres observations plus dramatiques, purement sanitaires celles-ci.

Il apparaît ainsi que les cancers pleuvent dru actuellement, même si c’est présenté comme un phénomène certes nouveau mais aussi progressif que prévisible, dans les tendances de la décennies, sans lien avec ce qui s’est passé les trois dernières années spécifiquement.

De la même façon, l’accroissement violent des problèmes cardiaques, et notamment chez les jeunes, ne peut être qu’un phénomène global lié au réchauffement climatique, au jardinage extrême, à une alimentation déséquilibrée, à la sédentarité, à Poutine, à l’extrême-droite ou à de furieuses coïncidences.


Du reste, si un lien semblait clairement établi, en 2021, entre vaccins expérimentaux et effets indésirables sévères, les observations sont depuis devenues si alarmantes qu’il a bientôt été absolument nécessaire ou bien de ne plus en parler autant que possible, ou, plus prosaïquement, de mettre les effets observés sur le compte d’absolument tout, y compris d’un virus qui a tant muté qu’il a pour ainsi dire disparu depuis plus de deux ans, mais surtout pas sur le compte des bricolages génético-chimiques de l’industrie pharmaceutique.

Pour encore beaucoup (surtout s’ils sont directement ou indirectement concernés), il ne peut y avoir aucun lien entre cette subite augmentation de la mortalité (que personne, du reste, ne conteste ni ne commente dans les journaux de grand chemin) et l’intéressante expérience médicale qu’ils ont subie (de gré ou de force) sur les trois dernières années.

Impossible : tout le monde sait que les industries pharmaceutiques sont au-dessus de tout soupçon, ne font jamais de bourdes et que jamais au grand jamais, le gouvernement ne prendrait de tels risques ou ne nous baratinerait ! Quant aux médias, tout le monde sait qu’ils ne mentent jamais et rapportent exclusivement des informations solides, vérifiées et pertinentes. Toujours.

Néanmoins, ceux qui continuent obstinément de compulser les données officielles et d’en tirer des statistiques solides, arrivent systématiquement aux mêmes conclusions : il y a bien eu une augmentation des arrêts cardiaques et des cancers chez les jeunes concomitante aux injections miracles.


En outre, cette vidéo détaillée du Dr Campbell, qui revient sur une étude japonaise (revue par les pairs) précisément sur ce sujet, corrobore les éléments précédemment avancés.

On trouvera toujours un “debunker” ou autre “fact checker” pour hurler, le petit poing fermé, que tout ceci est un complot, une erreur d’interprétation, surtout en France où les chiffres officiels sont soigneusement inaccessibles, mais malheureusement, les statistiques des pays plus ouverts (Japon, Grande-Bretagne par exemple) montrent bien qu’il y a effectivement une augmentation inquiétante des cancers, eh oui, le lien avec les vaccins est maintenant établi (et ceux qui couineront “corrélation n’est pas causalité” montreront juste qu’ils n’y comprennent rien).

Tout ça pour un vaccin médiocre, qui n’a jamais interrompu la transmission, et dont l’efficacité s’écroule si vite qu’elle devient négative en quelques mois, i.e. on augmente ses risques d’attraper la maladie qu’il est censé protéger (et c’est l’étude officielle de Pfizer qui parvient à ce résultat, au passage).

La conclusion est sans appel : les confinements n’ont servi à rien, les bricolages ARNm ont causé et continuent de causer plus de dégâts qu’ils n’ont protégé, et en France, les décisions qui ont toutes été de la responsabilité directe et indirecte de Macron et de ses gouvernements se sont toutes soldées par des catastrophes économiques, sociales et sanitaires.



Vincent Verschoore

Effet accélérateur du vaccin anti-Covid Pfizer sur les cancers ?

22/4/2024 – Une telle hypothèse vaut excommunication immédiate par le clergé covidiste, mais une toute récente étude pointe un tel effet d'un adjuvant au nom barbare, présent dans ces produits afin de protéger l'ARNm injecté des défenses immunitaires.
Traduction de l'abstract :
"En raison de l'urgence sanitaire créée par le SRAS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, la mise en œuvre rapide d'une nouvelle technologie vaccinale était nécessaire. Les vaccins ARNm, qui font partie des nouvelles technologies de pointe, ont suscité un grand intérêt et suscité beaucoup d'espoir. Le potentiel de ces vaccins à prévenir les hospitalisations et les maladies graves chez les personnes présentant des comorbidités a récemment été remis en question en raison de l'affaiblissement rapide de l'immunité des vaccins. Des preuves de plus en plus nombreuses indiquent que ces vaccins, comme beaucoup d'autres, ne génèrent pas d'immunité stérilisante, ce qui rend les personnes vulnérables aux infections récurrentes. En outre, on a découvert que les vaccins à ARNm inhibent des voies immunologiques essentielles, compromettant ainsi la signalisation précoce de l'interféron. Dans le cadre de la vaccination COVID-19, cette inhibition assure une synthèse appropriée des protéines de pointe et une activation immunitaire réduite.
Il est prouvé que l'ajout de 100% de N1-méthyl-pseudouridine (m1Ψ) au vaccin ARNm dans un modèle de mélanome a stimulé la croissance du cancer et les métastases, alors que les vaccins ARNm non modifiés ont induit des résultats opposés, ce qui suggère que les vaccins ARNm COVID-19 pourraient favoriser le développement du cancer. Sur la base de ces preuves irréfutables, nous suggérons que les futurs essais cliniques pour les cancers ou les maladies infectieuses n'utilisent pas de vaccins ARNm modifiés à 100 % en m1Ψ, mais plutôt des vaccins avec un pourcentage plus faible de modification en m1Ψ afin d'éviter la suppression de l'immunité."
Plus de trois ans après le début de cette vaste vaccination expérimentale de masse, de désinformation et de censure baignée de corruption, et face à la très faible efficacité de produits générant par ailleurs de nombreux effets indésirables, la science se penche sur les mécanismes moléculaires à l'œuvre. Mécanismes qu'il aurait fallu évaluer "avant", mais l'hystérie politico-sanitaire et la corruption en décidèrent autrement.