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24 avril 2025

Yann Bizien

-24/4/2025- La Commission européenne veut donc nous imposer un contrôle technique obligatoire tous les ans pour les véhicules de plus de dix ans.
Après les ZFE, ils nous sortent une nouvelle dinguerie.
Les déconnectés de Bruxelles, pro von der Leyen et pro Macron, veulent harceler et broyer les classes populaires.
Ils entendent « emmerder » le plus grand nombre d'usagers pour quelques cas extrêmement marginaux.
C’est bien soviétique. Comme si tout un chacun n’était pas soucieux de sa propre sécurité.
Lamentable. Pourquoi ce sujet n'est-il pas du ressort des nations ? Encore un transfert de compétences, donc de souveraineté.
Je propose un contrôle technique populaire pour Mme von der Leyen. Pas sûr qu'elle puisse être remise rapidement en circulation.

23 avril 2025

Yann Bizien

-23/4/2025- Voilà l'Europe progressiste d'Ursula von der Leyen et d'Emmanuel Macron : elle use et abuse du pouvoir de l'argent et des subventions pour sauvegarder son pouvoir, pour garantir son exclusivité, pour imposer sa domination, pour affaiblir ses opposants et pour favoriser ses courtisans.

21 avril 2025

Yann Bizien

-21/4/2025- Une "coalition des volontés" est en train de se former sous la double impulsion politique d'Emmanuel Macron et du Premier ministre britannique, Keir Starmer, et militaire avec les chefs d'état-major des armées français et anglais.
C'est une coalition anti russe, anti Trump, pro Zelensky, pro OTAN et pro Europe. Elle ne représente pas toute l'Europe. Elle est franco-britannique.
Elle a déjà réalisé sa mission d'évaluation à Kiev autour de Zelensky. On aperçoit sur deux photos ci-dessous les CEMA français et anglais auprès du président ukrainien non réélu.
Elle a même reçu la bénédiction du Roi Charles III.
Cette coalition prétend vouloir la paix à l'est de notre continent, mais uniquement sous ses conditions : le réarmement coûteux de l'Ukraine, son admission dans l'UE, son intégration dans l'OTAN et le renoncement de la Russie aux territoires conquis dans la dureté d'une guerre qui a fait plus d'un million de morts et blessés en trois ans et qui tue encore 2500 soldats par semaine.
Le niveau politique de cette "coalition des volontés" entend également projeter des troupes franco-britanniques en Ukraine, pays en guerre contre une grande puissance nucléaire.
De son côté, le Chancelier Friedrich Merz envisage pour sa part la livraison de missiles de croisière Taurus au régime de Kiev, pour attaquer le territoire russe, sachant qu'ils ne peuvent être lancés et guidés que par du personnel militaire et des moyens allemands (*).
Nous voyons bien ici la logique militaire et de continuité de la guerre qui se met en place en Europe, dans l'entre-soi de dirigeants bellicistes, derrière les rideaux du pouvoir, contre notre plus grand voisin, alors que la paix, pourtant, est possible.
Que font les oppositions dans ce pays ? Que fait le RN, qui prétend toujours être le premier parti de France ? Ils sont tous incapables d'enrayer cette escalade militaire et la montée aux extrêmes dans le brouillard de la guerre.
Ne me demandez pas d'avoir peur de la Russie et de cautionner cette logique européenne qui sabote tout le processus de paix voulu par Donald Trump. Le régime russe se moque bien d'ailleurs de la Grande Bretagne et de la France considérablement affaiblies, qui n'ont plus les leviers de puissance des anciens empires, et qui n'ont plus que la communication et la peur comme moyen.
Je ne redoute en définitive que deux choses : la menace conquérante qui est déjà à l'œuvre depuis des années sur notre sol national, contre laquelle le pouvoir ne lutte pas, ainsi que l'orgueil de nos dirigeants européens.





20 avril 2025

Yann Bizien
19/4/2025

Donald Trump n'est pas le rival de la France. Il est l'ennemi de ceux qui nous gouvernent et qui nous font du tort.

C'est l'adversaire politique des mondialistes, des technocrates non élus, des progressistes, des multiculturalistes, des islamistes, des bellicistes, des wokistes et des transgenristes.
Il est l'ennemi des idéologues verts, des sans frontièristes et des immigrationnistes de gauche, mais aussi des immobilistes et des déconnectés du centre, de ceux qui sabotent les nations, qui détruisent l'industrie, qui bradent nos valeurs, qui méprisent la famille, qui enterrent nos traditions, qui se moquent de notre sécurité physique, qui se soucient peu de notre identité judéo-chrétienne, comme de notre destin et qui poussent toujours plus à la guerre.
Donald Trump n'est pas un extrémiste. Bien au contraire. Il s'attache à défaire ceux de l'extrême gauche et de l'extrême centre qui se croient propriétaires exclusifs du camp du bien, de la raison et de la sagesse quand ils n'incarnent pourtant rien de tout ça.
Le président américain s'attaque au "gouvernement des juges", à ceux qui dépensent l'argent des contribuables sans compter et à des fins idéologiques, à la cancel culture, à ceux qui manipulent l'opinion, qui complotent derrière les rideaux des Palais du pouvoir et qui fabriquent des gouvernements hybrides peu représentatifs des suffrages exprimés dans les urnes.
Il est l'adversaire de ceux qui étendent leurs tentacules idéologiques de gauche dans les grandes Ecoles, les Facultés, les Universités, dans les médias, sur les réseaux sociaux, et qui font tout pour sanctionner la liberté d'expression quand les idées émises sont à droite.
Il ne reconnait que les Etats nations souverains et les chefs d'Etats légitimes.
Il est le rival des irresponsables qui remplacent leurs peuples.
Donald Trump n'est pas l'adversaire des peuples européens. Il est l'opposant principal des dirigeants progressistes européens qui ne partagent pas ses convictions d'homme de droite et qui nous font du tort.
Une preuve ? Il n'est pas l'adversaire politique de Viktor Orban en Hongrie, ni de Giorgia Meloni en Italie.

1 avril 2025

Yann Bizien

1/4/2025- S'agissant de la condamnation de Marine Le Pen et des cadres du RN, les gens sont libres de réagir et de penser évidemment ce qu'ils veulent.
S'ils croyaient que j'étais un adhérent et un miltant aveugle du RN, ils se sont trompés.
Ayant vu certains commentaires aujourd'hui, je tiens à préciser ceci :
Dans le champ politique, comme ailleurs, on ne peut pas réclamer des autres qu'ils soient vertueux et ne pas l'être soi-même. Quand on réclame de la sévérité judiciaire pour les autres, il faut aussi savoir l'accepter pour soi.
Quand on aspire à occuper le poste le plus élevé de la République, on se doit d'être irréprochable.
En 2004, dans une vidéo disponible sur X (image en commentaire), la jeune Marine Le Pen déclare :
1) “Les Français en ont marre de voir des élus qui détournent de l’argent.”
2) "Tout le monde a piqué dans les caisses sauf le Front national."
3) "Les Français en ont marre des affaires."
4) "On ne vole pas l'argent des Français."
5) "Respecter la démocratie, c'est ne pas voler l'argent des Français."
Depuis 50 ans, FN, puis RN ont réclamé des lois fermes sur la corruption et la fraude.
Cette affaire a été instruite sur le fond. Marine Le Pen et ses cadres ont pu se défendre. Ils sont tombés sous le coup de la loi votée par le Parlement. Ils ont été jugés, reconnus coupables de détournement de fonds publics européens et condamnés (avec un jugement de 150 pages).
Aujourd'hui, les partisans de Marine Le Pen crient à la dictature parce que la loi voulue et votée par les parlementaires est sortie de la bouche de juges.
Dans leur processus décisionnel collégial, ces juges n’ont pas à tenir compte de l'intention et de la volonté des électeurs, ni des sondages.
Tous ceux qui contestent aujourd'hui cette décision d'inéligibilité de Marine Le Pen, défendent donc en même temps le "droit des élus à détourner des fonds publics".
Je refuse cette hypothèse.
Marine Le Pen et ses cadres ne sont pas des victimes. Ils sont reconnus coupables d'avoir détourné 4,4 M€ pas seulement pour des assistants parlementaires, mais aussi pour un majordome, une secrétaire particulière, un chef de cabinet, un garde du corps, un chargé d'événements et un dispositif de garde d'enfants, donc avec des gens qui ne travaillaient pas directement pour des parlementaires européens.
Ces gens rémunérés sur fonds publics européens n'étaient quasiment jamais présents à Strasbourg.
Les juges ont tranché sur des preuves irréfutables.
Il n'y a pas de complot contre le RN mais des actes et des faits condamnables qui ont été jugés conformément à la loi.
Ce que la Justice de France a condamné, c'est l'instauration et le fonctionnement de tout un système optimisé qui avait pour but d'améliorer le confort des dirigeants et cadres de ce parti avec... des fonds publics européens.
Dans une démocratie, il y a des lois votées. Elles doivent s'appliquer sans laxisme, sans préférence et sans mauvaise interprétation. Je sais que c'est souvent un problème.
La justice, c'est donc aussi sanctionner ceux qui fraudent avec des fonds publics.
En démocratie, ceux qui fraudent doivent admettre normalement qu'ils ont triché. En démocratie, ceux qui ont fraudé et qui sont condamnés peuvent faire appel de la décision en première instance. À la fin du parcours judiciaire, s'ils sont définitivement condamnés, ils doivent admettre leur peine et elle doit être exécutée.
Dans une démocratie, on ne s'arrange pas avec la vérité.
D'autres partis sont concernés par ce genre de fraude sans que le système mis en place soit pour autant identique à celui utilisé par le RN sur... trois législatures.
57% des Français estiment que cette condamnation est proportionnée aux faits reprochés et je suis de ceux-là.
Voilà. Comme toujours, j'analyse par moi-même avec du discernement sans céder aux positionnements et aux éléments de langage. Car depuis hier soir, ceux du RN s'abattent sur les médias et les réseaux sociaux.
N'ayant pas de carte du RN, je ne vais donc pas reprendre ici leurs éléments de riposte. Je ne suis pas payé pour ça.

Yann Bizien

-31/3/2025- Ils ne sont pas à bonne distance de nos frontières. Ce ne sont pas des Russes.
Non.
Ça se passe sur notre territoire. C'est bien en France. Ils attaquent nos forces de sécurité intérieure de façon ostentatoire et visible. Nos policiers doivent reculer. Ils savent que leur réaction sera scrutée et jugée et qu'ils n'ont pas franchement le soutien politique et les moyens juridiques pour faire face à la racaille qui avance et qui profite des faiblesses et de l'impuissance de "l'État de droit" qui ne s'adapte toujours pas assez vite face à ce fléau du laxisme, de l'impunité et de la violence qui se répand dans tout le pays.
Ce que l'on voit ici est notre plus grande menace. Elle est concrète. Ce n'est pas une fiction, ni une hypothèse.
C'est un autre État, sauvage, décivilisé, communautarisé, qui rejette nos lois, l'autorité, l'ordre et la fermeté.

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28 mars 2025

Yann Bizien

-28/3/2025- Le Gouvernement des Juges a déjà torpillé Nicolas Sarkozy et François Fillon. Ce lundi, il peut générer un nouveau séisme politique en éliminant Marine le Pen de la course à la présidentielle en 2027.
Le Conseil Constitutionnel vient en effet de rendre une décision complexe sur une Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC) portant sur la procédure de démission d’office applicable à un conseiller municipal privé de son droit électoral à la suite d’une condamnation pénale.
Il juge la disposition "conforme, mais en émettant une réserve d’interprétation sibylline" qui n’est toutefois pas sans conséquence sur ce qui pourrait attendre Marine Le Pen ce lundi.
Car cette décision peut empêcher Marine Le Pen de participer au scrutin présidentiel en 2027. Richard Ferrand et les sages de gauche du Conseil Constitutionnel viennent en effet d’amputer sérieusement son avenir politique en ruinant tout espoir de créer une jurisprudence favorable au sujet de l'inéligibilité.
Le RN avait pourtant appuyé la candidature de Richard Ferrand à la tête du Conseil Constitutionnel dans l'espoir qu'il puisse sauver Marine Le Pen de la probable inéligibilité qui l'attend en rendant un jugement favorable à un élu mahorais à l'occasion de cette QPC. Un jugement avantageux aurait créé une jurisprudence pouvant empêcher de rendre une inéligibilité exécutoire, malgré un appel.
C’est donc déjà un camouflet grave pour Marine le Pen qui pourrait recevoir son coup de grâce ce lundi avec la confirmation d'une condamnation entrant dans le même cadre.
Le RN, toujours en quête de respectabilité, toujours disposé à se soumettre au système qui le rejette, comme Jordan Bardella, pourtant alerté par Pascal Praud il y a quelques mois, a voulu faire confiance aveuglément à ses pires ennemis politiques.
Ils ont joué avec des gauchistes en cherchant à les séduire. Ils ont encore perdu, comme toujours. Des millions de Français ont donc eu raison de critiquer le soutien du RN à la récente candidature de Richard Ferrand au Conseil Constitutionnel. Il fallait en effet être bien naïf pour accorder du crédit à un vieux renard macroniste comme Ferrand.
La conclusion de tout ceci est que la stratégie de dédiabolisation du RN n’aura finalement mené à rien, si ce n’est au probable effondrement de cette entreprise politique qui n’a pas su prendre suffisamment la mesure qu’un socialiste avait pris pour neuf ans la direction du Conseil Constitutionnel, qu’un socialiste dirige le Conseil d’État, qu’un socialiste préside la Cour des Comptes et qu’il y en a un autre au Palais de l’Élysée.
Le Parti socialiste a fait 1,75% à la dernière présidentielle. Mais il dirige aujourd’hui les Institutions les plus importantes de France. Ce n’était pas une stratégie de « dédiabolisation » qu’il fallait pour le pays, mais une grande rupture avec l’emprise des progressistes sur le pouvoir, sur nos institutions, sur le présent et sur l’avenir.
Aux États-Unis, Donald Trump l’a parfaitement compris. Il n’a pas fait le choix de la dédiabolisation, mais celui du courage, pas un courage d’apparence, et artificiel, comme Bardella, mais celui qu’il a vraiment dans ses tripes.
Il faut bien comprendre que Marine le Pen et Jordan Bardella verrouillent toute possibilité de faire gagner la droite depuis 2012 parce qu’ils sont exclusifs, ne partagent rien, empêchent l’union des droites, sont rejetés par le système, ne gagnent jamais le pouvoir exécutif, surfent sur les colères et n'ont pas l'expérience de l'exercice du pouvoir à l'échelle de la nation.
Par conséquent, ne me demandez pas de regretter un probable empêchement de Marine le Pen, s’il est confirmé ce lundi. Ne me demandez pas, aussi, de soutenir une éventuelle candidature de Jordan Bardella. Je suis un électeur exigeant. Comme Gabriel Attal, Bardella est trop jeune, inexpérimenté, trop dans la séduction et pas assez besogneux. Il fait surtout semblant d’avoir des convictions qu’il n’a pas vraiment. Son retournement sur la question de la double nationalité durant les dernières législatives m'avait complètement convaincu qu'il n'était pas à la hauteur de l'enjeu.
Tout ce drame a finalement du bon. Car cela peut rebattre les cartes politiques dans ce pays et ouvrir une voie royale pour l’Elysée à Bruno Retailleau, « l’enracinée de Vendée » qui a les qualités humaines et politiques qu'Emmanuel Macron n'a pas. À lui de savoir écouter Philippe de Villiers et de tirer avantage des circonstances. Comme déjà évoqué ici, je ne vais le soutenir que s’il décide de conduire une vraie politique de droite avec un gouvernement et des ministres bien à droite.
Si je ne me trompe pas, la famille le Pen a été battue en 1974, 1988, 1995, 2002, 2007, 2012, 2017 et 2022.
L'hypocrisie, les faux espoirs, la désunion, les défaites, le sabotage et la dérive de la France, ça suffit.
À droite, voyons une opportunité dans le séisme qui peut advenir ce lundi, plutôt qu'un nouveau drame.

Nota : Si Marine le Pen est déclarée "inéligible avec une mention d'exécution provisoire" ce lundi, elle ne pourra pas se présenter à l’élection présidentielle de 2027. Ce billet peut faire hurler les militants du RN. Je les invite à faire un travail sur eux-mêmes : 51 ans d'échecs, ça fait long.

Yann Bizien

-27/3/2025- Restreindre les libertés d'aller et de venir en triant les Français dans les grandes métropoles grâce à des contrôles automatisés : c'est ce que voulaient les gouvernements d'Emmanuel Macron, les déconnectés, les écologistes et la Commission Européenne.
Le système est en train de céder devant ses propres absurdités.
Hier, un amendement a été voté en commission. Il ouvre une perspective d'abrogation totale de ce projet délirant, anti social et liberticide qui pouvait remettre la France dans la rue et engendrer un nouveau cycle de violences, alors que l'Inde se vante de produire un milliard de tonnes de charbon, que les États-Unis se retirent des accords de Paris, que des stocks stratégiques de carburants brûlent en Ukraine et en Russie.
Ce projet de ZFE pouvait exclure les pauvres des villes, abîmer le lien social et accentuer les fractures déjà béantes dans le pays.
Reste à voter son abrogation dans l'hémicycle par une majorité qui semble acquise.

23 mars 2025

Yann Bizien

- 23/3/2025 - [...] En 2009, je travaillais en cabinet à Paris. À l'époque, je louais un appartement au bout de la ligne 13 du métro. Un dimanche matin, vers 9h30, en allant visiter des musées, j'ai été menacé à la limite de l'agression physique par trois individus encore alcoolisés de la veille. Je me rappelle encore ce qu'ils m'ont dit dans le métro en me cernant : "vous, les Français, sales blancs, vous êtes faibles. Pour vous, c'est foutu. On vous a eu. Trop tard. La France est à nous".

16 ans après, nous pouvons entendre les mêmes injures racistes avec la même volonté de conquête dans toutes les portions du territoire national. Pire, ce phénomène est aggravé par l'émergence "d'opportunité" d'un parti politique : la France insoumise.

La France est piégée dans une tragédie civilisationnelle historique et rien, aujourd'hui, ne semble pouvoir empêcher cette longue agonie du peuple de France. Cette agonie a été méthodiquement organisée et subventionnée par notre classe politique qui n'a pas voulu voir venir le mal et qui n'a aujourd'hui aucune solution politique, opérationnelle et de rupture, pour y mettre un terme.

Le résultat, c'est le délitement, le long pourrissement de notre société et, toujours, des victimes innocentes.

Il y a un problème gigantesque d'assimilation et d'intégration dans ce pays. Des responsables politiques comme François Bayrou et Jean Louis Borloo sont parvenus à "enfumer" des millions de Français durant des années et à leur faire croire qu'il ne s'agissait que d'un problème de subventions et d'équipements dans des quartiers "populaires" et "défavorisés", quand il s'agit avant tout d'un choc culturel et idéologique gravissime.

Leur diagnostic était à côté de la réalité et des évidences.

"Il n’y a que les ennemis qui se disent la vérité ; les amis et les amants mentent sans cesse, pris au piège dans la toile du devoir." (Stephen King)

La vérité éclate toujours, tôt ou tard, même aux yeux des aveugles. Sophie Primas vient de l'admettre.

Qui peut être surpris par la dernière agression physique d'un rabbin, devant son fils, par un jeune individu dont le profil confirme évidemment tout ce qui précède ici ?

Personne. La vidéo de cette agression circule d'ailleurs sur X. Mais, chut, pas un mot des élus et militants de la France insoumise. Entre amis et amants, quand les intérêts sont partagés, on s'entend pour le meilleur comme pour le pire.

22 mars 2025

Yann Bizien

- 22/3/2025 - Je viens de publier rapidement ce commentaire sur la page Facebook du chef d'état-major des armées, le général Thierry Burkhard, qui doit pouvoir "entendre directement la voix du peuple" :
Mon général,
Nous ne sommes ni dans le contexte de 1938, ni dans celui de 1939. Les dirigeants européens font une erreur politique et stratégique majeure dans cette guerre par "procuration" à l'est de notre continent dont la cause originelle reste l'expansion ostentatoire et incessante de l'OTAN vers les frontières russes.
Poutine nous avait tous prévenus qu'il pouvait réagir si l'OTAN allait trop loin dans son processus d'élargissement. Il n'a pas surpris ceux qui le suivaient attentivement depuis le sommet de l'OTAN à Budapest.
En planifiant aujourd'hui le "réarmement" de l'Ukraine et le déploiement de troupes otano-européennes à la porte de la Russie, vous allez recréer les conditions identiques de la guerre déclenchée en février 2022, les mêmes causes produisant toujours les mêmes effets.
Il y a dans la pensée actuelle de nos dirigeants une panique, une obsession, une absurdité, qui inquiètent beaucoup.
Il faut bien sûr réarmer la France sans nous soumettre aux conditions du "Livre blanc" rédigé par des technocrates et validé dans l'urgence par des Commissaires non élus et sans légitimité démocratique, que nous ne verrons jamais près de chez nous.
Mais ne vous laissez pas entraîner dans la logique dangereuse de Zelensky qui n'attend qu'une chose : nous entraîner physiquement dans ce conflit pour que la Russie fasse tomber le premier soldat européen.
Prenez par ailleurs bien conscience que la France d'aujourd'hui n'est plus celle de notre grand-père en 1914, ni celle de nos parents en 1940.
Celle de jadis, paysanne, patriote, pouvait se mobiliser entièrement pour la guerre et pour la Patrie.
Celle d'aujourd'hui est surendettée, en faillite, déclassée, ensauvagée, décivilisée, envahie (par 600 000 à 900 000 clandestins), divisée, fracturée, enfoncée dans la corruption liée aux trafics, dans son délitement et son pourrissement, en voie d'islamisation et menacée gravement tous les jours de l'intérieur.
Il y a donc un immense travail intérieur de remise en ordre qui n'est toujours pas engagé faute, principalement, de courage et à cause de trop nombreux remparts idéologiques.
Le plus important, mon général, et le plus urgent, c'est la France, en perdition, pas l'Ukraine. D'ailleurs, la plus grande arnaque de la propagande occidentale, depuis février 2022, c'est de se prétendre patriote au titre du soutien à l'Ukraine. C'est une arnaque grotesque ! Notre patriotisme doit aller tout entier à la France submergée, oubliée, négligée et abandonnée par les européistes, les multiculturalistes, les immigrationnistes et les mondialistes aujourd'hui dans une fuite en avant coupable vers l'Europe fédérale, donc le sabotage de notre souveraineté nationale !
Tout ceci va bien trop loin.

21 mars 2025

Yann Bizien

- 20/3/2025 - Le parquet du tribunal de Dar El Beida, près d'Alger, a requis dix ans de réclusion à l'encontre de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, accusé d'atteinte à l'intégrité territoriale, â la sûreté de l'Etat et à l'unité nationale de l'Algérie.
C'est la condamnation à mort déguisée et lente d'un écrivain de 75 ans atteint d'un cancer et détenu arbitrairement depuis 124 jours.
La vie d’un innocent soucieux de vérité et de liberté est en jeu.
La sécurité des Français est également en jeu à cause d'Algériens dangereux, présents sur notre sol et sous OQTF.
L’honneur de la France méprisé par un régime autoritaire est aussi en jeu.
Mais Emmanuel Macron se couche et se soumet.
Boualem Sansal croupit dans les geôles du régime algérien pour avoir osé penser autrement.
C'est son seul « crime ». Il est imaginaire.
Exigeons sa libération immédiate auprès d'Emmanuel Macron qui doit mouiller immédiatement sa chemise et dénoncer "en même temps" les accords de 1968 !
Courage, monsieur le président ! Pas de complaisance coupable avec le régime algérien ! Défendez fermement notre compatriote !
La France des droits de l'homme, c'est tout de suite !
Ne laissons pas le silence et l'inaction être complices de cette injustice infamante.

17 mars 2025

Yann Bizien

Incroyable calamité

- 17/3/2025 - Confirmation de l'effacement civilisationnel occidental : en Angleterre, les lieux clefs et symboliques de la vie de Shakespeare ont été purgés de leurs liens avec la "suprématie blanche".

La fondation de Stratford-upon-Avon avait prévenu que le génie de Shakespeare pouvait être considéré comme un symbole de la « supériorité culturelle britannique ». Pour ses détracteurs, le culte de Shakespeare ferait partie d’une vision du monde « blanche, anglocentrique, eurocentrique et de plus en plus "occidentale" qui continue de causer du tort dans le monde d’aujourd’hui ».

Nous ne devrions plus être ce que, pourtant, nous sommes.

Comme disait Swift : « Quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui. »

Dans de nombreux quartiers des grandes métropoles britanniques, les minarets remplacent les clochers, les boutiques halal remplacent les pubs, le Coran remplace la Bible et Shakespeare et, enfin, un peuple étranger remplace petit à petit et de façon certaine nos voisins Anglais.

Notre civilisation est celle des cathédrales gothiques et de la renaissance italienne, celle de Racine qui résonne avec Homère, Goethe, Shakespeare, Hugo, Montesquieu, Rousseau et Cervantès.

La honte couvre tous ceux qui se soumettent, qui reculent, qui cèdent face à la poussée multiculturaliste et islamiste et qui ne défendent plus notre civilisation.

« C’est un malheur du temps que les fous guident les aveugles. » William Shakespeare, Le Roi Lear

16 mars 2025

Yann Bizien

- 16/3/2025 - La crise du COVID aurait donc "révélé la force de notre unité" selon Emmanuel Macron qui s'est exprimé sur son compte X.
Notre unité ?
Est-il sérieux ?
J'ai plutôt l'ardent souvenir de sa brutalité et de ses décisions qui ont clivé les Français, entre partisans de la vaccination obligatoire pour tous et ceux qui plaidaient à l'époque pour la liberté de choisir.
Il y a au moins quelque chose de constant chez ce président : sa déconnexion.

23 février 2025

Yann Bizien
23/2/2025

Jean-Noël Barrot est une calamité politique, un professionnel du bobard et de la fantaisie d'apparence

Il glisse comme un serpent sur les réalités et assure le service après-vente de la folie narcissique de Macron : l'intégration de l'Ukraine dans l'OTAN est la cause principale d'une guerre meurtrière et couteuse engagée il y a 3 ans à l’est de notre contient. L’élargissement sans limites de l’OTAN nous a apporté la guerre, pas la paix. L'Ukraine est désormais dévastée, Zelensky est défait, mais Jean Noël Barrot persiste dans cette absurdité géopolitique dangereuse d'une intégration de l'Ukraine dans l'OTAN qui reste une ligne rouge pour la Russie.
Pour notre élite française déconnectée, peu importe le million de morts et blessés et les centaines de milliards brûlés dans une guerre que nous savions ingagnable et qui cesse d'autorité avec la fin des aides américaines.
Sur l’Algérie, même glissade de couleuvre, même hypocrisie, même idiotie, même naïveté et même aveuglement. Avec le regard faux, Jean Noël Barrot s’affiche incapable d’instaurer un rapport de force indispensable avec un régime qui nous impose ses terroristes et ses influenceurs du djihad chez nous.
S’agissant des 15 milliards d’aides au développement à des pays qui ne nous veulent pas du bien, comme les Comores, ou encore l'Algérie, il les justifie en considérant que ces dépenses principalement idéologiques seraient « utiles aux Français », négligeant l’état épouvantable de nos comptes publics et de notre système de retraites dans le rouge écarlate.
Enfin, sur la fermeture d’une chaîne du groupe Bolloré, il ment comme Emmanuel Macron sur le mobile idéologique de l’ARCOM.
Jean-Noël Barrot est l’archétype de l'apparatchik macroniste. Il incarne à merveille cette élite déconnectée qui n'a jamais connu le monde réel du travail. Propulsé Ministre chargé des affaires européennes et des Affaires étrangères sans la moindre expérience diplomatique, sa nomination relève davantage du népotisme et de la République des copains que du mérite, du talent, de l’excellence et de la compétence.
À défaut d'avoir une stature d’homme d’État, il compense ses faiblesses par des rodomontades pathétiques contre Donald Trump et un bellicisme presque hystérique dans le conflit ukrainien, multipliant les déclarations martiales dont chacun sait qu'elles ne seront jamais suivies d’effets puisque la France est désormais, à cause de son idole narcissique, un pays tiers-mondisé et déclassé.
Il est grand temps que notre pays soit incarné et représenté par des hommes courageux et réalistes dotés de l’honnêteté et de la virilité nécessaires pour défendre avant tout nos intérêts diplomatiques, de sécurité et économiques dans le monde entier.
Nous n’avons aucun cadeau à faire à cette classe politique incapable, déplorable et honteuse qui nous ridiculise et organise méthodiquement notre chute fatale en décidant de tout sans nous et contre notre volonté.
Soyons tous assurés que l’Amérique de Trump ne nous fera aucun cadeau tant que nous aurons ces individus nocifs au pouvoir.
Notre sursaut nous appartient. Il faut le provoquer dans les urnes en dégageant ces ignobles individus du pouvoir.

21 février 2025

Yann Bizien

- 21/2/2025 - Lors de leur dernière rencontre, Donald Trump a bien secoué le bras et l'épaule d'Emmanuel Macron.
Lundi, si sa visite à Washington est confirmée, il pourrait bien prendre une vraie claque.
Car le narcissique repousse toujours les limites. Il dépasse les lignes rouges sans aucun remord. Il ne voit pas son narcissisme car c'est sa nature et sa nourriture.
Trump sait qu'il va accueillir un président finissant, sans majorité pour le soutenir, un chef d'État en disgrâce et à la tête d'une France surendettée, sans souveraineté, tiers-mondisée, ensauvagée et fracturée.
Trump connaît aussi parfaitement l'état de nos armées fragilisées par des décennies de coupes budgétaires.
Macron se rend à Washington pour prendre la lumière dont il a tant besoin pour lui-même et pour sa survie politique. Il y va pour remonter les bretelles d'un président pourtant élu par 77 millions d'Américains et qui dispose d'une majorité solide pour le soutenir au Sénat et à la Chambre des représentants. Il va donner des leçons à un président qui dispose de l'armée la plus puissante au monde.
Il y va pour "tutoyer" Donald Trump.
La morale de ce moment géopolitique est que l'orgueil, l'arrogance et la narcissisme conduisent à tous les abus, tous les culots et à tous les excès.

19 février 2025

Yann Bizien

- 19/2/2025 - Depuis quelques jours, les grands perdants de la guerre en Ukraine utilisent la peur pour soumettre les peuples européens à leur volonté belliciste.

Ils ne veulent pas vraiment la paix, mais la continuité de la guerre avec la peur de la Russie comme moyen de la prolonger "jusqu'à la victoire" de l'Ukraine.

Depuis plusieurs années maintenant, la peur est au centre de la politique d'Emmanuel Macron, de ses gouvernements, et de Mme von der Leyen.

Levez-vous ce matin, écoutez-les, et vous subirez alors le langage de la peur.

On nous ordonne d'avoir peur de tout : du réchauffement climatique, des catastrophes naturelles, du COVID, de la grippe, de la France Insoumise, de la censure, des narcotrafics, des nouveaux nazis, de l'extrême droite française, britannique, hongroise, italienne et allemande, mais aussi de la Chine, de la Russie de Poutine et, désormais, de l'Amérique de Trump.

La peur gronde dans la bouche de la classe politique européenne au pouvoir. Elle est devenue le moyen exclusif et central de toute politique.

La peur est un sentiment de danger imminent. Elle peut entraîner une inhibition de la pensée, et prépare l'individu à fuir ou se défendre.

Soyez de bons citoyens obéissants, ayez donc peur de tout, les amis, y compris de votre ombre, et, surtout, marchez sur la pointe de vos pieds, ayez de bonnes sueurs froides et le sang glacé.

Soyez surtout prisonnier de la peur de Vladimir Poutine qui va attaquer à partir de demain les pays membres de l'OTAN en Europe, après trois années d'une guerre pourtant épuisante et meurtrière contre l'Ukraine.

Si, si, croyez ce pouvoir. Il vous le dit. C'est donc vrai. Poutine va certainement nous attaquer.

Le pouvoir vous l'assure. Ayez peur. Dans ces conditions, tout ira mieux.

Pendant que Donald Trump gouverne avec l'optimisme de la grandeur et l'espérance de la paix, nos "élites" nous enferment dans leur logique de la peur permanente.

Si vous voulez contrôler un peuple, surtout, faites-lui peur. C'est le meilleur moyen de l'auto-conservation, et de garder du pouvoir.

La peur est une arme puissante qui repousse toutes les limites. Elle va permettre à Emmanuel Macron et à Mme von der Leyen de dépenser encore plus l'argent que nous n'avons plus, faute d'économies, pour notre défense.

Le pouvoir veille donc à ce que votre peur soit bien une réalité. Il nous faut vivre dans un climat d'angoisses perpétuelles entretenu dans des médias qui ont perdu toute notion critique d'indépendance, de recul et de hauteur de vue.

Écoutez Jean-Noël Barrot. C'est un professionnel de la manipulation des masses par l'usage habile de la peur sur des citoyens conditionnés donc obéissants.

L'ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine, la haine conduit à la violence, donc à la guerre.

Voilà l'équation du pouvoir, alors que la peur est pourtant une mauvaise conseillère.

La peur est une vieille potion politique qui n'est pas toujours magique.

JD Vance avait raison. Nous devons nous inquiéter davantage du comportement de nos élites qui usent et abusent de la peur comme moyen permanent de la politique.

Yann Bizien

- 19/2/2025 - [Extraits] La nomination de complaisance de Richard Ferrand au Conseil Constitutionnel est donc validée par les commissions des Lois du Sénat et de l’Assemblée nationale grâce à l’abstention des députés du Rassemblement national.
Un militant politique de la gauche et du centre est nommé président du Conseil constitutionnel grâce aux laquais, aux valets et aux collaborateurs d’Emmanuel Macron dans une République des copains en état de putréfaction avancée.

Le Rassemblement national se « dévoile » aujourd'hui à la face de tous les Français. Obsédée par le souci de plaire au système qui l’a longtemps combattu, ainsi que par la volonté de se libérer de ses contraintes judiciaires, et d’un risque d’inéligibilité, Marine le Pen vient, au contraire, d’hypothéquer gravement ses chances de victoires à la présidentielle de 2027 après trois échecs consécutifs.
La Rassemblement national ne peut plus donner à personne des leçons de courage, de fermeté et de rupture. Il vient de trahir ses militants et ses électeurs. Ce Parti politique est désormais enclavé dans le camp de la dictature technocratique, de l’immobilisme et de la défiance.

Richard Ferrand va donc rejoindre Véronique Malbec au Conseil Constitutionnel, c’est-à-dire celle qui a classé sans suite l’affaire des Mutuelles de Bretagne où il était mis en cause.

Le délitement de la France s’intensifie, s’accélère et s’étend petit à petit dans toute la République avec des conséquences très lourdes pour le destin de la France, pour notre quotidien et pour notre avenir. Et ce délitement s’accompagne de l’écœurement des électeurs, de la submersion migratoire, de l'ensauvagement et du surendettement du pays.
JD Vance avait donc raison à Munich. Notre classe politique ne nous écoute plus, ne nous comprend plus, décide contre notre volonté et contre les intérêts de la nation. Elle ne fait qu'assurer la survie de tout un système qui neutralise toute possibilité de changement.

11 janvier 2025

Yann Bizien

- 10/1/2025 - La volonté de censurer Elon Musk en Europe a quelque chose de suspect et même de coupable. Il suffit de parcourir les « Unes » de la presse française, britannique et allemande depuis 18 mois pour comprendre et pour admettre qu’elle n’a jamais cessé ses efforts pour tenter d’empêcher la réélection de Donald Trump, pour espérer abattre le régime de Poutine ou, même, pour affaiblir le régime israélien.
L’Américain le plus riche et le plus optimiste sur terre, qui dort régulièrement dans ses usines, qui porte des tee-shirts à 10 dollars et qui dirige six entreprises en même temps, a également la volonté d’entreprendre au-delà des États-Unis pour changer le monde, notre rapport à l’intelligence artificielle, au futur, à l’exploration spatiale, à la technologie, à la mobilité, à la connexion du champ de bataille, aux villes autonomes, à la communication et, c’est tout le problème aujourd’hui, face à la désinformation, à la vérité.
Peu importe les hurlements de Thierry Breton et de Valérie Hayer sur ses déclarations.
Elon Musk, l’homme aux mille projets, et à l’empire high-tech, ne s’interdit rien dans son activisme diplomatique. Il bouscule. Ses ambitions détonnent, comme ses fusées. Ses idées multi planètes survolent la terre, comme ses satellites. Bref, le petit prodige du 47ème président des États-Unis tire du pouvoir de son génie et de ses constellations de satellites, au point de traiter d’égal à égal dans les rapports géopolitiques mondiaux avec Poutine, Zelensky, Erdogan, Giorgia Meloni, les gouvernements chinois et argentin.
Il n'a donc aucune raison de se gêner avec le chancelier allemand et avec le Premier ministre travailliste islamo-gauchiste britannique. En appelant récemment à leur démission, pour incompétence, l’Ovni Musk nous démontre et nous rappelle que le combat nécessaire des idées n’a pas de frontières physiques, temporelles et morales.
Pour lui, le travail d’influence ne doit avoir aucune limite, surtout quand il s’agit de grands enjeux, de parler du réel, de maîtriser l'avenir, de faire remonter des vérités à la surface, comme en Grande Bretagne, ou de lutter contre le fléau islamiste qui vient de frapper l'Allemagne sur un marché de Noël.
Il fait donc ce qu’il veut et ce qu’il juge indispensable à distance de l’Europe et sur son compte Tweeter/X.
Il le fait parce qu’il est guidé par ses expériences personnelles, par ses convictions, par ses intérêts dans le monde, par son souci de l'avenir et par son esprit de responsabilité.
Le surdoué, qui ne s’arrête pas aux compromis, et qui aime les rapports de forces, nous rappelle aussi que sans les Américains nous parlerions peut-être allemand ou russe. Nous pourrions lui rappeler également que sans le marquis de La Fayette, il ne serait probablement pas américain (né en Afrique du Sud en 1971).
Avec la réélection de Donald Trump, Elon Musk va recevoir pour mandat de démanteler la bureaucratie d’État, de sabrer les régulations contraignantes, de traquer les redondances, les contradictions et les gaspillages et de réduire les dépenses publiques du système fédéral.
Quand l’Union européenne multiplie les règlements paralysants et la production de normes contraignantes, Elon Musk va s’employer à libérer la créativité et à rendre l’administration américaine moins pesante, plus flexible, plus réactive, plus agile, plus efficace et plus géniale.
Il y a bien sûr une charge idéologique dans les manœuvres de communication internationale du milliardaire. Elle est dirigée contre tout le système conventionnel progressiste et de gauche qui conduit actuellement l’Occident à la faillite morale et au déclin.
Le milliardaire américain est en réalité un pionnier du troisième millénaire et un révolutionnaire, à sa façon. Avec ses immixtions régulières dans la vie politique, il dynamite le calendrier ainsi que les projets immigrationnistes et wokistes du bloc élitaire gauchiste et centriste en Europe. Il réveille surtout les droites souverainistes et patriotes.
Bref, grâce à ses ingérences politiques disruptives dirigées sur l’Europe à la dérive et décadente, et avec ses 212 millions de followers sur Tweeter/X (la fameuse internationale réactionnaire évoquée par Emmanuel Macron), il donne des sueurs froides à von der Leyen, Emmanuel Macron, Olaf Scholz et à Keir Starmer, et des espérances aux peuples européens de droite.
C'est une bonne chose, et il faut bien sûr s'en réjouir parce que nous avons besoin d'une rupture politique qui n'arrive toujours pas par les urnes.
La bataille des idées a également un coût. Elon Musk aurait dépensé près de 260 millions de dollars pour la dernière campagne de son candidat préféré, Donald Trump. Il se dit qu’il est également prêt à investir pour nous sortir de l’ornière et de l’impasse gauchiste et centriste.
Le rouleau compresseur américain va changer le monde.
Vive Uncle Elon !

7 janvier 2025

La bonne et la mauvaise ingérence politique

Yann Bizien

- 6/1/2025 - Il y aurait d'un côté les bons milliardaires qui soutiennent le camp du bien, du politiquement correct et de la pensée unique. Ils avaient jusqu'ici l'exclusivité du combat des idées. Ils pouvaient les déployer et les imposer largement dans la grande majorité des médias, sur les réseaux sociaux, dans les écoles, les facultés, Sciences Po, les universités et les hémicycles.
Ils se permettaient jusqu'ici toutes les ingérences sans être jamais inquiétés.
Et il y aurait désormais le "mauvais" milliardaire conservateur, souverainiste, patriote, anti woke et anti LGBTQ. Il a été un des piliers du sursaut électoral américain et du retour de Donald Trump au pouvoir. Aujourd'hui, il dénonce à distance, et sur Tweeter/X, les dérives gauchistes, progressistes, multiculturalistes, immigrationnistes, ainsi que la violence et la criminalité associées, comme en Allemagne et en Grande-Bretagne.
Elon Musk inquiète le monde de la gauche. Il est craint et redouté. Il révèle. Il rappelle. Il ouvre les yeux. Il éveille les consciences.
Il y aurait donc la bonne et la mauvaise ingérence politique, l'ingérence légitime de gauche et mondialiste, celle de Georges Soros, et l'ingérence interdite de droite et patriote, celle d'Elon Musk, l'ingérence autorisée et l'ingérence proscrite, l'ingérence conforme et l'ingérence qu'il faut dénoncer quoi qu'il en coûte, l'ingérence de l'angélisme et de la langue de bois, face à l'ingérence du pragmatisme et du réel.
Après tant d'années de domination des idées progressistes, et tant de dégâts, je suis heureux de voir enfin l'émergence d'une ingérence internationale de droite sous initiative américaine.
Cette ingérence de droite va faire bouger les lignes en Europe. Elle va déstabiliser les régimes qui confisquent le pouvoir avec des fronts douteux, suspects et anti démocratiques.
Il était temps de revenir au réel. Giorgia Méloni, Alice Weidel, Marine le Pen, Marion Maréchal et Sarah Knafo ne vont pas s'en plaindre.
Cinq femmes !
Nota : les électeurs de ma génération se souviennent encore du second tour de la présidentielle de 2002. Jean-Marie le Pen avait été la cible d'une ingérence politique étrangère massive, que la gauche n'avait pas contesté. Évidemment.

27 décembre 2023

Yann Bizien

Elle est fière de sa fibre macroniste et de sa proximité avec Brigitte Macron.
Mais le problème est que la liste des ministres voyous s'allonge dans la République des copains et des affaires. Car, selon Marianne, Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’État à la Ville et à la Citoyenneté, aurait sous-évalué de près de 100 000 € ses déclarations d'intérêts envers la HATVP.
Il s'agit d'un délit passible de trois ans de prison et de 45 000 €uros d'amende.
Muriel Pénicaud, Sabrina Agresti-Roubache, Agnès Firmin Le Bodo : en à peine 48 heures, la presse révèle trois scandales autour de ministres toutes issues de la macronie.
Sabrina Agresti-Roubache apporte donc du crédit à l’idée que cette macronie n’est plus qu’une association de malfaiteurs bien-pensants. Car elle aurait également domicilié l’une de ses sociétés, lorsqu'elle travaillait dans l’audiovisuel, chez un Corse condamné dans l’affaire du cercle de jeux Wagram.
Emmanuel Macron ne parvient plus à attirer à lui des ministres compétents, exemplaires et irréprochables. Ce gouvernement est miné par de trop nombreuses affaires, qui vont jusqu'à la consommation de produits stupéfiants dans ses cabinets.
La France décadente, en faillite et ensauvagée, poursuit sa marche vers son effondrement politique et moral.