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2 avril 2024

Anne-Laure Bonnel : "Monsieur Glucksmann, vous m'avez mis une cible dans le dos !"

https://www.youtube.com/watch?v=rtQQb9prJyA

Glucksmann et la négation de la nation

Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire


2/4/2024 - Glucksmann, la face à peine dissimulée du gauchisme anti-France. Le sourire de façade, enrobé d’humanisme préfabriqué, en guise d’aile rouge de la macronie. Sa pensée est exactement semblable à celle de celui avec qui il vote tout sans sourciller et dont il approuve tous les excès, dès qu’il s’agit de rejeter le tissu historique, ou d’abolir les racines nationales, au profit d’une mondialisation martelée « heureuse », mais qui brime tout le monde. On se demande pourquoi il n’a pas fait alliance avec Valérie Hayer, puisqu’il n’y a aucune différence dans la résolution de gommer l’État français et son peuple. Il va jusqu’à imiter les axes de campagnes en s’attaquant au RN, en lieu et place de nous expliquer ce qui le différencie des autres partis européistes. Attendu qu’il s’en dispense, faisons un bref état des lieux à sa place.

C’est un adepte de la dissolution des Nations au profit d’un super État tentaculaire européen. Il hait la France et ses origines, comme ses terroirs. Dans son vocabulaire, nation, patrie, sont des noms exclus, rances. Volontiers partisan d’une surenchère guerrière avec la Russie, il fait partie de ceux qui ont le désir macabre du sacrifice, y voyant le moyen d’asseoir sa notoriété. Pétri des mêmes éléments de langage, il invoque ces fameuses valeurs que l’Occident ne cesse de jeter en pâture à la face d’un monde de plus en plus perplexe et sceptique, tant les intentions tranchent avec les réalisations. Il s’était d’ailleurs illustré dans les tentatives de déstabilisations en Géorgie et en Ukraine. Russophobe convaincu, c’est un Otanien fanatique à tel point que sa grande peur est que Trump gagne et qu’il lâche l’OTAN laissant l’Europe seule face aux Russes. Globaliste résolu, il est pour une immigration massive, capable de renverser les traditions, d’effacer l’histoire de notre pays grâce à une société métissée. Il a été membre et l’est peut-être encore, de plusieurs cercles néo conservateurs qui soutiennent les intérêts des US. Opportuniste, comme tous ceux qui cherchent à faire carrière, il s’est d’abord hasardé avec Sarkozy. N’obtenant pas ce qu’il désirait, il s’est rabattu vers le PS, avec lequel il a remporté son premier poste de député européen. Un véritable homme politique moderne, changeant d’écurie selon les tendances, toujours prêt aux concessions nécessaires pour arriver à ses fins.

C’est ce personnage qui recueillerait plus de 10% des voix. Son CV devrait laisser perplexe plus d’un citoyen, mais, après tout, le sentiment anti national et la répugnance pour nos racines et notre culture ont été depuis si longtemps enseignées, qu’il n’est pas étonnant de découvrir un public pour ce type de candidat. Rien d’étrange hélas, à voir des électeurs en pâmoison devant cette farouche volonté de détruire ce qui fit la grandeur de la France. Ceux-là même qui savourent un narratif trouvant de la noblesse dans un effacement de la souveraineté et une désintégration méticuleuse de nos racines et traditions au profit d’un homme « nouveau », dans une société sans passé, et forcément, sans avenir. Voter Glucksmann, « monsieur Salamé », compagnon de Léa à la ville, c’est manifester son désir de faire disparaître encore plus vite les nations et de leur imposer un pouvoir central technocratique, très éloigné des problèmes locaux et des intérêts nationaux. C’est faire un pas de plus vers la guerre, pour laquelle il semble vouer une fascination à l’égal de Macron. C’est accepter et cautionner l’effondrement de notre modèle culturel, le nier comme l’a fait la macronie. S’il reproche, sans pouvoir le démontrer, que le RN c’est la haine des autres, lui c’est celle des siens et il le prouve, lui, par ses engagements, ses propos. Ce qu’il reproche à son adversaire naturel, n’est que l’exacte réplique de ce qu’il entend mettre en œuvre contre le peuple de France.

Pour le 9 juin prochain, il faudra faire attention à tous ces candidats d’un nouveau type « d’internationale socialiste », qui pratiquent la négation permanente de la nation, qui demandent même, comme ce fut le cas dernièrement, l’annulation de la présidentielle au suffrage universel et le RPF, dans sa tradition gaulliste, soutiendra ceux qui se réclameront sans arrière-pensée et sans ambages, des notions de souveraineté, de nation et de légitimité des peuples européens à choisir eux-mêmes leur avenir en fonction de leur Histoire et de leur Culture.

24 janvier 2024

Vincent Verschoore

Dans sa lettre à l'euro-député Raphaël Glucksmann, François Ruffin décrit tout ce qui ne va pas avec le modèle politique accaparé par la classe hors sol, irresponsable et arrogante que représente Glucksmann.
Extrait :

"Ce déni, ce mépris, nourrissent un profond ressentiment, qui pèsent sur les âmes comme un couvercle. Parfois, rarement, le couvercle saute. Ainsi du 17 novembre 2018, quand les Gilets jaunes se sont installés sur les ronds-points. Je lisais quoi, sur les chasubles ? « Faire l’amour une fois tous les cinq ans, ce n’est pas une vie sexuelle. Voter une fois tous les cinq ans, ce n’est pas une vie démocratique. » Et cette exigence s’est répandue, très vite, avec une demande, une revendication : le Ric, le référendum d’initiative citoyenne. Vous connaissez la suite : les éborgnés, le blabla du Grand débat, les pelleteuses détruisant les cabanes… De quoi remettre le couvercle, de force.
Puis la France a enchaîné les calamités : la crise Covid, la guerre en Ukraine, la réélection de Macron. Et avec son hubris, sa folie, plutôt que d’apaiser, plutôt que de rassembler, il est venu déchirer encore : la réforme des retraites, seul contre sept Français sur dix, contre neuf salariés sur dix, contre les syndicats unis, contre des manifs records jusqu’aux plus reculés des sous-préfectures, et même contre les députés à l’Assemblée. Une loi ratifiée sans vote, à coup de 49.3.
Voilà les derniers temps forts de notre démocratie représentative. « Il faut accepter d’être représentés », dites-vous. Mais les gens l’acceptent, très volontiers même : ce qu’ils refusent, c’est d’être trahis. Et les dernières expériences n’inspirent pas la confiance."

L'UE étant devenue le cœur de cette pseudo-représentativité, où la grande majorité des acteurs sont corrompus et ne fonctionnent qu'en vertu de leurs propres intérêts, il est essentiel de virer les gens comme Raphaël Glucksmann, virer les von der Leyen et autres Thierry Breton, et l'élection parlementaire de cette année est probablement la dernière chance avant l'installation définitive de l'EuroSoviet.
Soit le nouveau parlement reprend le contrôle de la Commission européenne et agit dans l'intérêt général des populations, soit ce n'est pas le cas et il faudra alors défaire le monstre. En Allemagne, l'AFD prévient déjà que si l'UE ne se réforme pas, si elle accède au pouvoir elle proposera un référendum sur le "Dexit".