- 9/3/2025 - De plus en plus de voix s’élèvent contre les folies de ces nains politiques qui veulent nous mener à la mort.
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9 mars 2025
6 mars 2025
5 mars 2025
UN MARDI GRAS À PERPÉTUITÉ
Gabriel Nerciat
- 5/3/2025 - Toujours aussi faux, prétentieux et sournois, notre Président.
La prochaine fois, il devrait faire carrément ses allocutions foireuses en anglais puisque, visiblement, c'est à Donald Trump qu'il voulait s'adresser et pas aux Français dont il se moque éperdument (mais il est vrai que ce n'est pas une nouveauté).
Trump veut faire la paix ? Lui veut continuer la guerre (avec l'argent des contribuables de l'UE et le sang des Ukrainiens).
Trump aimerait se réconcilier avec Poutine ? Lui nous annonce une guerre de Cent Ans contre la Russie, nouvelle URSS qui s'apprête à gober la Pologne et l'Allemagne sauf si l'on crée une armée européenne.
Trump veut se débarrasser de Zelensky ou le tenir en muselière ? Lui n'envisage pas un avenir européen sans la promotion du pétomane sanglant en costume de Ninja.
Trump ne veut pas vraiment d'une présence militaire française et britannique en Ukraine, car il sait que ce serait aux yeux de Moscou un motif pour refuser toute négociation de paix ? Macron, lui, nous l'annonce déjà triomphalement, alors même qu'aucun traité n'est encore signé et que Trump n'entend pas lui demander son avis pour élaborer le contenu de l'accord ou négocier quoi que ce soit.
Trump ne veut pas garantir quelque forme de sécurité collective que ce soit vis-à-vis de Kiev ? Macron croit encore qu'il va réussir à le faire changer d'avis en partageant un chewing-gum.
Trump veut défendre la liberté d'expression et la souveraineté des peuples historiques ? Macron applaudit au coup d'État que l'UE a laissé perpétrer en Roumanie et à la censure institutionnalisée des réseaux sociaux et des chaînes de télévision privées.
Etc, etc.
Les Français peuvent-ils encore se laisser convaincre par ce type qui a tout échoué, menti sur l'état des comptes publics du pays, que l'Algérie humilie ostensiblement tous les jours sans qu'il fasse mine de s'en émouvoir outre mesure et qui, faute de mieux, compte désormais sur la diabolisation de la Russie ou de Poutine pour rester encore deux ans à l'Elysée ?
À la limite, ce n'est même plus une question pertinente à poser.
Demain, à Bruxelles, Giorgia Meloni, Viktor Orban, Robert Fico et même son ami Donald Tusk vont l'envoyer dans les cordes, en lui faisant comprendre, comme l'a déjà fait en partie Keir Starmer à Londres, que la dissuasion nucléaire française ne les intéresse pas et qu'il est hors de question d'envoyer des troupes en Ukraine.
Mais pendant 24 heures, il se sera fait plaisir, et aura sûrement ravi tous les imbéciles de droite ou de gauche qui se donnent des frissons depuis deux semaines en se disant que nous sommes en 1938, à la veille des accords de Munich et de l'invasion de la Tchécoslovaquie par les armées d'Hitler.
Après tout, à un jour près, on était encore dans mardi gras. Le carnaval est de rigueur à l'Elysée, tous les jours que Dieu fait depuis 2017.
Comment lui a-t-il dit, Trump, dans le Bureau ovale ?
"Ce gars est un petit malin".
Pas si malin que ça, en fait.
Ses tours commencent à lasser. Il est vraiment temps qu'il parte.
25 février 2025
Conférence de presse Macron - Trump : Rien.
Kuzmanovic Georges
- 25/2/2025 - Avec ce voyage à Washington, Emmanuel Macron démontre une nouvelle fois son incompétence dans le domaine des relations internationales et place la France dans une position humiliante.
À Paris, Emmanuel Macron communique – si l’on peut qualifier de communication ses pitreries sur les réseaux sociaux – et proclame urbi et orbi : « Je vais dire à Donald Trump : tu ne peux pas être faible face au président Poutine. Ce n’est pas toi, ce n’est pas ta marque de fabrique. »
Comme l’écrit Stéphane Rozès : « La capacité du président Macron à dire à Washington l’inverse de ce qu’il affirmait auparavant en France et en Europe est impressionnante. On passe de “On ne négocie pas avec Poutine” à “On négocie avec Poutine à ses conditions”. »
C’est pathétique et surtout révélateur de l’incapacité d’Emmanuel Macron, comme de la plupart des leaders européens actuels, à tenir un raisonnement réaliste en géopolitique. Ils s’enferment dans un raisonnement néocon « idéaliste », désormais obsolète.
Évidemment, Emmanuel Macron n’a obtenu aucune garantie américaine de soutien à un éventuel déploiement de troupes européennes en Ukraine. À Riyad, la Russie a clairement exprimé que cela serait inacceptable. Trump, quant à lui, a surtout répondu à des questions de politique intérieure.
Pire encore, le même jour que sa visite à Washington, dans la matinée, quelques heures avant la conférence de presse, les États-Unis ont imposé un texte au Conseil de sécurité de l’ONU, voté avec la Russie et la Chine, stipulant qu’il fallait trouver un chemin vers la paix en Ukraine, sans toutefois tenir la Russie responsable du conflit ou exiger qu’elle restitue les territoires annexés – car telle est la réalité géopolitique du moment.
Plus humiliant encore, tous les amendements proposés par les quatre membres de l’UE siégeant au Conseil de sécurité (France, Slovénie, Grèce, Danemark) ainsi que par le Royaume-Uni ont été rejetés. La résolution a été adoptée par 10 voix pour, et surtout aucune contre. Alors que les Européens avaient bataillé pour obtenir des résolutions favorables à l’Ukraine et condamnant la Russie à l’Assemblée générale de l’ONU, ils se sont simplement couchés au Conseil de sécurité ! La France, comme le Royaume-Uni, aurait pu utiliser son droit de veto, mais ils n’ont rien fait, s’abstenant lâchement. En réalité, ils se sont alignés sur Trump.
La conférence de presse entre Trump et Macron n’était dès lors qu’une farce ridicule, un passage obligé et un peu gênant.
D’un côté, une hystérie communicationnelle ; de l’autre, une vassalité sans limite. Quand il s’agit de jouer les matamores, de jurer sur tous les dieux qu’on combattra la Russie (jusqu’au dernier Ukrainien), il y a foule. Mais quand il faut aligner les actes sur les déclarations, il n’y a plus personne. C’est un rare cas de tartufferie qui rabaisse la France, car tous les pays en sont témoins : la parole de la France, du Royaume-Uni et de l’Union européenne ne représente rien ! Et c’est cela, la réalité brutale de la géopolitique mondiale, comme l’a d’ailleurs déclaré avec mépris Vladimir Poutine dans sa dernière interview.
Face à cette réalité, les globalistes, les européistes et les néocons s’égosillent et sculptent de l’air chaud.
On n’a jamais vu autant de tribunes et d’émissions sur la prochaine invasion de l’Europe par la Russie – oubliant que la Russie est aussi en Europe et que, dans le même temps, ils se moquent de son armée, réduite à démonter les puces électroniques des machines à laver, à manquer de munitions ou à s’en remettre aux chameaux et aux ânes.
Ils appellent à un sursaut, à une armée européenne, certains finissant par s’inquiéter eux-mêmes à force de prononcer des inepties. Demain, ce sera la « souveraineté européenne », le « rebond européen », « l’armée européenne » et, pour les plus lucides et machiavéliques, la fédéralisation accélérée de l’Union européenne, sans même consulter ses peuples.
C’est une grande et ridicule agitation. Pourtant, il ne reste plus aux néoconservateurs, aux va-t-en-guerre et aux amis des ultranationalistes ukrainiens qu’à se rallier piteusement au suzerain américain.
Tant de morts et de destructions en Ukraine pour un résultat aussi pitoyable devraient réduire l’hubris des dirigeants européens à néant – mais il n’en est rien, ils continuent à faire les paons.
Donald Trump a donné une leçon à Emmanuel Macron, et il en donnera une autre à Keir Starmer, le Premier ministre britannique : les décisions et actions entreprises par l’administration Trump, notamment le rétablissement des relations diplomatiques avec la Russie, sont dues à l’échec du projet mégalomaniaque des néocons de saborder la Russie en menant une guerre par procuration en Ukraine.
Les néoconservateurs, qui façonnent le monde depuis 1991, sont les seuls responsables, ainsi que leurs vassaux occidentaux.
Trump est brutalement réaliste et doit faire face à deux réalités : la défaite de l’Ukraine et de l’OTAN sur le champ de bataille, et le renforcement de l’alliance russo-chinoise, qui constitue le cauchemar géopolitique américain, tel que formulé par Henry Kissinger, au point de menacer l’hégémonie du dollar dans l’économie mondiale.
La réalité de la victoire russe dans la guerre en Ukraine implique que le vainqueur dicte ses conditions : l’Ukraine sera dépecée (peut-être même au profit de la Pologne, de la Hongrie, de la Moldavie et de la Roumanie), et ce qu’il en restera sera un État fantoche failli, maintenu à bout de bras, comme l’est le Kosovo par l’UE.
Les États-Unis n’ont aucun levier ; ils s’adaptent donc à la réalité multipolaire du monde. Les Européens, eux, s’agitent, et Trump les fera payer.
Les récents événements nous donnent une leçon, amère mais nécessaire : en géopolitique, il faut être réaliste et indépendant. Il faut faire table rase des quarante dernières années et de l’approche idéologique des relations internationales qui l’accompagne.
Nous, Français, ne devons plus nous laisser entraîner dans des aventures internationales catastrophiques, embobinés par des idéologues qui nous ont servi à grand renfort de moraline, de « valeurs », de « droits de l’homme », de « bien » et de bons sentiments, les objectifs des néoconservateurs : l’hégémonie américaine sur le monde.
Le monde a changé. Il est multipolaire. La France doit retrouver son indépendance totale, en commencer par s’extraire des filets de l’Union européenne, de l’OTAN, des volontés de Washington et se préoccuper, d’abord, de ses intérêts. Bref, il faut retrouver une géopolitique gaullienne.
21 février 2025
Grâce à Macron, la France est en marche arrière dans un monde qui court
H16
- 21/2/2025 - Alors que les États-Unis prennent décidément le chemin de réformes fondamentales et ajoutent indubitablement de l’incertitude à un monde en constante mutation, la France, elle, décide avec fermeté de conserver un cap précis vers exactement les mêmes recettes qui lui ont permis d’arriver avec brio à sa place actuelle.
C’est ainsi, après une dissolution, des jeux olympiques, moult débats et un renversement de gouvernement que le budget pour cette année a finalement été voté sous les vivats d’une foule en délire : youpi, les prochaines dépenses de l’État sont maintenant sécurisées et la vie peut reprendre son cours tranquille.
D’ailleurs, les bonnes nouvelles se bousculent déjà au portillon de la République : on apprend par voie de presse que le déficit commercial français sera nettement moins lourd que prévu ! Pas de doute, l’économie se redresse et l’avenir s’annonce radieux : avec autour de 81 milliards d’euros de déficit commercial, la France fait donc mieux qu'en 2023, notamment grâce au secteur énergétique qui nous tabasse moins que prévu.
Et puis ce différentiel s’explique évidemment par les investissements étrangers importants (certainement, la balance des paiements est positive, n’est-ce pas ?), ou une monnaie – l’euro dans notre cas – solide et attractive pour le reste du monde ce qui permet de produire et financer le déficit commercial comme le font les Américains avec leur dollar, bien sûr, ou, mieux encore, parce que des dépenses importantes dans les infrastructures et les technologies de demain sont actuellement lancées avec pertinence par un gouvernement et un chef de l’État décidément au taquet, non ?
Non ?
En tout cas, les choses sont déjà prises en main par Emmanuel Macron qui ne s’en laissera pas compter : malgré ce budget voté dans la liesse, malgré les bonnes nouvelles qui s’empilent de toute part, il reste à résoudre l’enquiquinante question des déficits budgétaires trop élevés dans le cadre européen. Avec cette année un déficit prévu au double de ce que le pacte de stabilité prévoit, la France pourrait se retrouver bêtement sanctionnée par les autorités européennes alors que sa situation économique est évidemment florissante.
Macron propose donc de supprimer cette règle caduque : l’Europe, sur l’autoroute du succès, n’a pas à s’embarrasser des glissières de sécurité et doit donc s’en affranchir et accélérer. Youpi.
Hum, quelle délicieuse odeur de réussite et de victoire !
Cette tempête de bonnes nouvelles est probablement ce qui motive les fines équipes de Bercy à aller traquer les impôts aussi loin et aussi tôt que possible à tous les étages de la société française. C’est donc sans surprise qu’on découvre qu’elles réclament actuellement certains impôts… en avance des revenus de 2025. Voilà qui est malin et qui constitue une progression logique dans la collecte des impôts en France : jusqu’à l’instauration du prélèvement à la source en 2019, les Français payaient – assez logiquement – les impôts sur les revenus perçus l’année passée. Depuis, ils payent hardiment les impôts des revenus de l’année en cours. Avec ces nouveaux impôts en avance, ils vont aussi payer ceux de l’année prochaine.
Si, de loin, vous trouvez que cela ressemble à une fuite en avant voire à de la cavalerie, c’est essentiellement parce que vous avez l’esprit mal tourné.
Et comme les questions économiques semblent clairement résolues, le chef de l’État peut se lancer dans d’autres projets.
Lesquels ? Eh bien justement, demandons aux Français : ceux-ci voudraient bien qu’on évoque (en vrac) l’immigration, l’insécurité, la fiscalité, le pouvoir d’achat voire la géopolitique internationale.
C’est donc le moment où jamais de ne surtout pas aborder ces sujets et de leur demander s’ils sont d’accord pour interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans ou s’il faut étendre la mesure à tout le monde, s’ils voudraient que l’euthanasie soit autorisée avec décontraction ou dans un cadre un peu formel (soyons ouverts au débat), ou toute autre question sur la durée de travail hebdomadaire qu’on pourrait ramener à 40 heures ou garder à 39 heures (payées 35, cela va de soi), voire d’autres sujets du même acabit.
C’est important, ce genre de questions : cela permet d’engluer de cimenter le corps social français, et surtout, cela permet d’occuper durablement les commentateurs, chroniqueurs et autres experts de plateau pendant des semaines.
Là encore, Macron marque ici son originalité. Là où un référendum est normalement convoqué lorsqu’une question politique, économique ou sociale particulièrement prégnante s’impose au peuple, le passage par les urnes constitue une étape essentielle d’une démocratie en bonne santé.
Ici, le président a courageusement choisi de faire exactement l’inverse en écartant les questions justement les plus importantes, pour décider d’un référendum ex nihilo pour n’établir sa ou ses questions que par la suite et dans les prochaines semaines, tranquilou-bilou.
À l’évidence, s’il y a bien un dirigeant qui a compris le message lancé la semaine dernière par la première puissance mondiale, c’est bien Macron : dans un monde qui court, le président français a choisi de faire marcher la France et les Français, dans une direction globalement opposée, et avec cet aplomb qui sied aux cuistres ou à ces personnages qui se savent perdus mais tentent le tout pour le tout, comme des parieurs compulsifs que la chance a quitté depuis longtemps et dont l’issue, fatale, est déjà scellée.
Peut-être doit-on d’ailleurs voir cette fuite en avant ridicule qui frise le loufoque dans la nomination de Ferrand au Conseil constitutionnel, ce dernier représentant pour l’actuel locataire de l’Élysée le seul espoir, aussi improbable que baroque, de modifier la constitution afin de lui permettre un invraisemblable troisième mandat qui repousserait un peu sa fin de règne (et l’immunité attachée).
De ces éléments, une chose surnage, de plus en plus évidente.
Avec un tel guignol toxique au pouvoir, ce pays est foutu.
Yann Bizien
- 21/2/2025 - Lors de leur dernière rencontre, Donald Trump a bien secoué le bras et l'épaule d'Emmanuel Macron.
Lundi, si sa visite à Washington est confirmée, il pourrait bien prendre une vraie claque.
Car le narcissique repousse toujours les limites. Il dépasse les lignes rouges sans aucun remord. Il ne voit pas son narcissisme car c'est sa nature et sa nourriture.
Trump sait qu'il va accueillir un président finissant, sans majorité pour le soutenir, un chef d'État en disgrâce et à la tête d'une France surendettée, sans souveraineté, tiers-mondisée, ensauvagée et fracturée.
Trump connaît aussi parfaitement l'état de nos armées fragilisées par des décennies de coupes budgétaires.
Macron se rend à Washington pour prendre la lumière dont il a tant besoin pour lui-même et pour sa survie politique. Il y va pour remonter les bretelles d'un président pourtant élu par 77 millions d'Américains et qui dispose d'une majorité solide pour le soutenir au Sénat et à la Chambre des représentants. Il va donner des leçons à un président qui dispose de l'armée la plus puissante au monde.
Il y va pour "tutoyer" Donald Trump.
La morale de ce moment géopolitique est que l'orgueil, l'arrogance et la narcissisme conduisent à tous les abus, tous les culots et à tous les excès.
Emmanuel Macron confirme sa rencontre avec Donald Trump à Washington et il sait déjà ce qu’il va lui dire
Emmanuel Macron veut notamment mettre en garde son homologue américain contre toute faiblesse face au président russe Vladimir Poutine.
20 février 2025
UN MÉTIER PRESQUE COMME UN AUTRE
Gabriel Nerciat
- 20/2/2025 - Notre Banquier Président, sans majorité ni légitimité mais toujours vaillant, a réuni ce matin les représentants parlementaires des principaux partis politiques du pays pour leur expliquer à quel point l'heure est grave.
Pensez donc : le dictateur en disgrâce de Kiev l'a averti, grâce à un traducteur danois rémunéré par George Soros, que Poutine, appuyé par des fascistes américains originaires du Texas et affiliés au Klu Klux Klan, s'apprêtait à envahir la Pologne, l'Allemagne, l'Autriche, l'Italie et sans doute la France.
À nouveau, donc, c'est le retour des heures les plus sombres de notre histoire, le moment où le crépuscule enfante des monstres, etc., etc. (tout le monde connaît la chanson).
Après cette brillante philippique, notre chef d'État, infoutu de se faire respecter par le président de l'Algérie ou celui des Comores, va s'envoler vers Washington pour rappeler à Trump qu'il faut se montrer d'une dureté d'airain face à Poutine, permettre à Kiev de mener la guerre contre Moscou jusqu'au dernier Ukrainien valide, et que toute autre attitude relèverait d'une sympathie inavouée pour l'ancien Führer allemand.
Au besoin, il est prêt à envoyer 4 à 5000 soldats français sur place, pour faire la cuisine pendant que les soldats ukrainiens iront au casse-pipe le ventre plein.
Beaucoup de gens, moi le premier, accusent souvent Emmanuel Macron d'être stupide, lâche, inconséquent, narcissique ou versatile.
Mais finalement je crois qu'on se trompe.
Cet homme est très cohérent : il a été désigné pour anéantir tout ce qui pourrait encore représenter l'idée ou la trace d'une souveraineté et d'une dignité françaises, afin que par ses destructions et ses amputations répétées l'Union européenne en tant qu'empire bureaucratique supranational souverain soit.
Un peu comme Landru, Charles Ponzi ou Lolo Ferrari, il fait simplement le métier qu'il a choisi.
Plutôt bien, hélas, il faut l'admettre ; reconnaissons cela. Ceux qui l'ont élu et réélu avaient un instinct sûr.
10 février 2025
Isabelle Alexandrine Bourgeois - Planète Vagabonde
Affaire Brigitte Macron : et si la France était «hackée» par des maîtres-chanteurs ?
Dernière mise à jour : 7 février 2025
Affaire Brigitte Macron : et si la France était «hackée» par des maîtres-chanteurs ?
Dernière mise à jour : 7 février 2025
[EXTRAITS] Si le dossier sur Brigitte Macron est digne d’intérêt, c’est que son traitement pourrait mettre en lumière, non pas les chromosomes de la femme du président qui sont finalement d’importance secondaire, mais plutôt la question de l’influence des services secrets américains, notamment la CIA, sur les gouvernements dans le monde et celui de la France en particulier. [...].
Depuis son entrée en fonction en 2017, le président Emmanuel Macron a pris plusieurs décisions politiques et économiques qui se sont alignées sur les positions du gouvernement américain plutôt que de servir les intérêts des Français. Par exemple, la France a renforcé son engagement au sein de l’OTAN, une alliance dirigée par les États-Unis, en augmentant ses dépenses militaires et en participant activement aux missions de l’alliance. L’alignement de la France sur l’OTAN ces dix dernières années a affaibli son autonomie stratégique, accru ses dépenses militaires, et aggravé les tensions nationales et internationales. Cet engagement a également pesé sur les finances publiques et contribué à l’explosion des prix de l’énergie en raison notamment des sanctions économiques contre la Russie. Pour les Français, cela s’est traduit par une forte baisse du pouvoir d’achat, des tensions géopolitiques accrues et une dépendance indéniable aux décisions militaires et économiques américaines.
Paris et Washington ont également collaboré étroitement dans la soi-disant «lutte contre le terrorisme», notamment au Moyen-Orient et en Afrique, en partageant des renseignements et en menant des opérations conjointes, privant la France de toute autonomie d’action et de souveraineté. En suivant les États-Unis dans leurs interventions militaires, elle s’est aussi exposée à des représailles terroristes.
En 2017 toujours, le président Macron a exprimé sa volonté de travailler avec les États-Unis pour «stabiliser la Syrie» (en soutenant des milices djihadistes salafistes), jusqu’à la chute du régime Assad en décembre 2024. L’isolement économique total de la Syrie imposé par les États-Unis a empêché la France d’exercer la moindre influence diplomatique et économique après la guerre.
Quant à la participation de la France aux sanctions contre la Russie dans le conflit ukrainien avec l’interdiction du gaz et du pétrole russe, elle a provoqué une hausse importante des prix de l’énergie, la flambée des coûts de l’électricité, du gaz et des carburants, ce qui a directement affecté les ménages français. En outre, galvanisée par son allégeance à l’OTAN, la France a fourni pour plusieurs milliards d’euros d’aide militaire (chars, obus, systèmes de défense) et économique à l’Ukraine, alors qu’elle souffre déjà d’un endettement record. Des associations caritatives et des centres d’hébergement ont été réorientés vers l’accueil des Ukrainiens, au détriment d’autres populations précaires (SDF, demandeurs d’asile africains, etc.).
L’une des décisions les plus incompréhensibles prises par Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, fut la vente en 2014 au groupe américain General Electric, pour 12,35 milliards d’euros, de la division énergie d’Alstom, un acteur stratégique français spécialisé dans le transport et l’énergie, dont les turbines nucléaires, les centrales thermiques et hydroélectriques. Pourtant, la branche énergie d’Alstom était considérée comme stratégique, notamment en raison de son rôle dans la production des turbines pour les sous-marins et les centrales nucléaires français. Cette mesure a été vécue par beaucoup de Français comme une trahison de plus.
Pantin ou chef d’État ?
En résumé, après un quinquennat marqué par deux crises majeures (celles des Gilets jaunes et du Covid-19), le démantèlement du système de santé (5 700 lits d’hôpitaux supprimés en 2020, environ 15 000 soignants suspendus), 3 228 milliards d’euros de dette, un rapport dette/PIB de 120 %, des scandales tels que l’affaire Benalla, McKinsey et la méga-commission secrètement perçue par Emmanuel Macron lorsqu’il était banquier d’affaires chez Rothschild, de nombreuses trahisons et un mépris affiché envers les Français, la question se pose des objectifs réels de la politique mise en œuvre par le président. En effet, il n’agit manifestement pas en faveur des intérêts français. Monsieur Macron serait-il simplement incompétent ? Ou serait-il un menteur qui prétend travailler pour la nation, alors qu’il sert en fait d’autres patrons ? Est-il vraiment maître de ses agissements ? Intéressons-nous à l’analyse du psychiatre italien Adriano Segatori qui a empoigné cette difficile question.
Psychopathie et perversion narcissique
Adriano Ségatori est catégorique : il explique l’état mental actuel d’Emmanuel Macron par un acte d’agression sexuelle commis durant son adolescence. Sa liaison avec son professeur de lettres Brigitte, de 24 ans son aînée, serait à l’origine de ses agissements irresponsables. Traumatisme, selon lui, destructeur, enclenchant un processus de psychopathie. Loin de la «romance à l’eau de rose» entre un professeur et son élève, vendue par les médias de masse, il s’agirait plutôt d’un «mariage réparateur d’un viol». Cet acte en soi aurait empêché Emmanuel Macron de grandir de façon normale, et l’aurait transformé en un «enfant dans un corps d’homme». Selon lui, l’origine de la psychopathie du président français est donc liée à un traumatisme de pédophilie. Et l’individu, ayant dépassé «les tabous» en se mariant avec son professeur de théâtre, serait devenu omnipotent : plus rien ne pourrait l’arrêter. «Un narcissisme qu’il n’est pas interdit de définir comme malveillant», avance le professeur italien.
De son côté, Michel Fize, sociologue, politologue, auteur de «Un président anormal, essai sur la mégalothymia d’Emmanuel Macron» (Ed. Perspectives libres, novembre 2024) n’épargne pas non plus le chef d’État : «À partir de l’examen de ses discours, de ses postures, gestes, mimiques – matériaux méthodiquement analysés –, nous avons pu mettre à jour un certain nombre de traits de caractère distinctifs qui dessinent le portrait d’un homme dominant, voulant toujours avoir raison, croyant de bonne foi que pour agir, il suffit de vouloir, n’accordant aucun crédit à la parole de l’autre, simple faire-valoir, miroir de soi, arrogant, parleur infatigable, méprisant jusqu’à l’insulte et la grossièreté.»
1 février 2025
Eric Vial
- 31/1/2025 - Emmanuel Macron est-il un pervers narcissique, un dingue ? Son électorat a-t-il un esprit assez faible pour s’être laissé manipuler ? Ce sont les questions très sérieuses que se pose Marc Joly, sociologue, chargé de recherche au CNRS, spécialiste de la perversion narcissique et de la violence morale.
« La Pensée perverse au pouvoir » (éditions Anamosa) est une analyse profondément détaillée, une démarche scrupuleusement scientifique, du cas Macron. L’auteur utilise des outils de sciences sociales et de la psychanalyse pour confondre son patient. Et ses conclusions font peur. Mais qu’est-il arrivé à la France ? Pourquoi avoir accepté « cette violence » ? C’est tout l’objet du livre.
Marc Joly ne s’arrête pas là. Il pointe les responsabilités et les complicités : Bernard Arnaud, Brigitte Macron « un délire commun qui soude le couple » ou la CFDT. Il décortique toute l’actualité et les petites phrases pour les analyser une par une. Il constate les trahisons et les explique ; s’enfonce dans la petite enfance du président pour déterminer ce qui a cloché dans ses relations avec sa grand-mère. Il conclue que le profil a la volonté de détruire, qu’il n’a aucune capacité de création, qu’il cherche constamment à compenser ou à cacher ses incompétences.
Bien sûr, Marc Joly explique l’organisation d’une résistance face à cette pensée perverse du pouvoir, celle de Laurent Berger ou de Marine Tondelier, mais il ne peut que constater un renversement des valeurs d’une partie de la presse ou de certains électeurs complètement obnubilés par le charme destructeur sans fond du président, son ironie, ses mensonges : l’emprise perverse.
Le style du livre est enlevé, pas besoin d’être un spécialiste de la psychanalyse pour comprendre de quoi il en retourne. L’argumentaire est étayé par la sociologie réflexive de Pierre Bourdieu ou les études de Paul-Claude Récamier.
« C’est ici, précisément, qu’est susceptible de s’épanouir la perversion, via la transformation en objets de jouissance personnelle et de rehaussement narcissique de mécanismes impersonnels, certes nécessaires, mais dont sauf exception des bénéficiaires, nostalgiques de la violence savent qu’il n’y a pas lieu de se vanter. S’il est possible de voir dans l’action du président Macron, par-delà les continuités, une rupture qualificative avec ses prédécesseurs, c’est parce qu’il se joue quelque chose de ce type. »
Le pamphlet brillant est terriblement méchant. Tellement inquiétant que cela en devient drôle. À croire que personne ne met son cerveau en ON pour constater qu’effectivement « il y a un problème, là ».
Personne n’aimerait passer ainsi sur le grill de l’analyse psychologique et sociologique, aux yeux de tous.
En même temps, pour seulement 20 € vous avez une étude détaillée et poussée de votre cas. Ceux qui suivent une thérapie durant plusieurs années savent qu’à ce prix là, c’est cadeau !
Jouissif, intelligent, particulièrement inquiétant sur notre manière d’aborder aujourd’hui la pensée au pouvoir, mais tellement rassurant pour ceux qui se sont aperçus de la supercherie. Il faut lire Marc Joly !
21 janvier 2025
Kuzmanovic Georges
Emmanuel Macron est pathétique
Emmanuel Macron est pathétique
- 21/1/2025 - Il appelle l’Europe à "se réveiller" face à l’arrivée au pouvoir de DonaldTrump.
L'UE doit, selon lui, renforcer ses capacités de défense et réduire sa dépendance à l'égard des États-Unis.
Ce serait "l’opportunité pour un réveil stratégique européen".
Mais voilà, l'UE, justement, EST une organisation bâtie de A à Z pour être inféodée militairement, économiquement et politiquement aux États-Unis.
Ses dirigeants sont quasiment tous, comme Macron, passés par des officines américaines et sont pieds et poings liés par leur passé au service des USA.
Par ailleurs, il n'y a aucun consensus européen au plan géopolitique. Macron ne s'est-il pas rendu compte, en 7 ans de présidence, que l'est de l'UE et l'Allemagne obéissent directement à Washington ?
Trump méprise Macron, comme toute l'Europe ou presque.
Et malgré sa posture communicationnelle, Macron obéira au premier coup de sifflet trumpiste.
Bref c'est pathétique.
Pauvre France.
L'UE doit, selon lui, renforcer ses capacités de défense et réduire sa dépendance à l'égard des États-Unis.
Ce serait "l’opportunité pour un réveil stratégique européen".
Mais voilà, l'UE, justement, EST une organisation bâtie de A à Z pour être inféodée militairement, économiquement et politiquement aux États-Unis.
Ses dirigeants sont quasiment tous, comme Macron, passés par des officines américaines et sont pieds et poings liés par leur passé au service des USA.
Par ailleurs, il n'y a aucun consensus européen au plan géopolitique. Macron ne s'est-il pas rendu compte, en 7 ans de présidence, que l'est de l'UE et l'Allemagne obéissent directement à Washington ?
Trump méprise Macron, comme toute l'Europe ou presque.
Et malgré sa posture communicationnelle, Macron obéira au premier coup de sifflet trumpiste.
Bref c'est pathétique.
Pauvre France.
15 janvier 2025
Monsieur « Trouposol » continue...
Pierre Duriot
- 14/1/2025 - Macron a financé avec nos sous une brigade ukrainienne qui a déserté après nous avoir coûté un bras. Il a envoyé le matériel de notre armée, des milliards d’Euros, sans le moindre contrôle des parlementaires. Tout le monde a obéi bêtement et passivement, personne ne lui a demandé le moindre compte, on ne sait même pas à l’heure actuelle, combien exactement nous a coûté cette guerre. On sait également que même si nous n’avons pas envoyé de soldats français sous uniforme national, certains combattants français étaient là-bas, financés par la France, avec des « conseillers », eux aussi payés par la France. On ne parle pas de notre aide logistique. Et maintenant que nous sommes à l’aube d’un règlement du conflit, que plus personne ne veut y aller, que tout le monde temporise, Monsieur « Trouposol » veut aller faire la guerre, tout seul. Enfin, seul à vouloir la faire faire à nos soldats, sous uniforme, cette fois-ci et officiellement, nous faire entrer en guerre, en clair, alors que tout est presque fini. Il veut quoi exactement, un missile hypersonique sur la rade de Toulon, ou la base de Landivisiau ? Déclencher l’article 16 ? Et on se demande si les militaires vont enfin lui expliquer qu’il n’est pas sérieux et que personne ne va y aller. Si les parlementaires vont enfin lui expliquer qu’ils ont leur mot à dire. Ou si on va laisser ce mauvais élève faire sa crise au milieu de la cour de l’école, alors que tout le monde est prêt à rentrer en classe.
31 décembre 2024
« Le fait du prince » : la colère de Stéphane Bern contre le projet d'Emmanuel Macron de poser de nouveaux vitraux à Notre-Dame
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© Amaury Cornu / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP |
C'est "un caprice" d'Emmanuel Macron pour Stéphane Bern. L'historien et animateur sur Europe 1 dénonce la volonté du président de la République d'installer six vitraux contemporains sur une façade de la cathédrale Notre-Dame de Paris, fraîchement rouverte au grand public. Celui qui est aux commandes d'Au cœur de l'Histoire fait part de sa volonté de s'y opposer, avec l'aval de la ministre de la Culture Rachida Dati, afin de mener des recours contre le projet.
"Pardon de le dire, mais l'Etat contrevient aux règles de défense du patrimoine en voulant démonter des vitraux anciens", déplore le défenseur du patrimoine français. "C'est l'Etat qui est propriétaire de la cathédrale Notre-Dame de Paris, donc c'est cela qui me choque le plus : l'Etat s'arroge le droit de ne pas respecter des règles qu'il impose à tous", poursuit Stéphane Bern.
Au micro d'Europe 1, l'un des animateurs préférés des Français "ne peu(t) pas (s)'empêcher de penser que c'est le fait du prince de vouloir avoir des vitraux contemporains". "C'est contre ça que je m'érige : on ne peut pas à la fois faire respecter la loi et en même temps contrevenir soi-même à la loi."
Et Stéphane Bern de rappeler la situation économique de la France. "Est-ce qu'on a vraiment quatre millions d'euros à dépenser pour démonter des vitraux qui ont résisté à l'incendie pour mettre des vitraux contemporains ? Je ne crois pas", conclut l'animateur sur Europe 1.
29 décembre 2024
Avec le RPF, des vœux de réalisme et de combat
Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire
29/12/2024
2024 s’achève et nos yeux sont depuis quelques temps déjà tournés vers 2025. D’abord parce que le monde entier libre et patriote attend l’investiture de Trump pour vérifier que sur certains thèmes au moins, il rompt avec la politique mortifère et décadente de son prédécesseur et de la clique de Davos. Ensuite parce que les élections en Allemagne pourraient déboucher sur un bouleversement radical au sein de l’UE et nous obliger à changer notre vision des choses. Pour notre propre compte, nous attendons que le gouvernement de Bayrou tombe à son tour et bien plus rapidement que celui de Barnier, avec non pas l’angoisse de voir Macron déclencher l’article 16 en réaction épidermique, suite à une nouvelle censure, mais bien pour le pousser dans ses derniers retranchements. Et s’il avait recours à ce stratagème déplacé, sa fin serait assurée. Il se murmure qu’il s’apprêterait à faire un discours du jour de l’an en forme de demande de pardon des Français ! Trop tard, trop de mal a été fait, mais il serait étonnant que malgré cette incroyable indiscrétion, Macron se livre à un tel exercice, l’homme est bien trop égocentrique, narcissique et imbu de sa personne pour, ne serait-ce que feindre le repentir. De toute façon il est hors de question qu’après avoir avoir ruiné, éborgné, insulté, méprisé, taxé, confiné, vacciné, masqué, endetté, brimé, empêché, livré en pâture aux criminels étrangers, assommé de normes… nous lui accordions un quelconque pardon.
Les peurs agitées tout au long de ces derniers mois n’ont pas entamé la détermination des patriotes, pas plus qu’elles ne nous ont effrayés. Ces désirs de guerre se sont dissipés au fil du temps face à la réalité du terrain. Ses prétentions de grandeurs s’amenuisent également et il constate amer, qu’il ne suffit pas de décréter avoir une majorité, ou bricoler un gouvernement avec des personnalités dont plus personne ne veut, pour créer la concorde qu’il aimerait voir s’installer autour de lui. 76% des Français sont mécontents de lui et on se demande bien, à converser avec nos entourages, qui sont ces 24 % qui restent… c’est là un record. En tire-t-il des conclusions ? Non. Son épouse aurait avoué qu’il n’écoutait plus personne, mais mon Dieu, s’est-il un jour plié à cet exercice ? Pas que nous sachions. Donc jusque-là rien n’est nouveau, si ce n’est que ce qui pouvait passer quand il avait encore une armée d’idiots utiles pour courber l’échine et le suivre, ne fonctionne plus aujourd’hui.
Au RPF, nous avons combattu sans relâche sa politique de ruine et de déclassement et nous avons quelque part gagné cette bataille de la réinformation, avec beaucoup d’autres, allant contre la sphère médiatico-politique pratiquant la propagande. Et nous poursuivrons cette lutte qui ne cessera qu’avec son départ et l’installation d’un pouvoir de salut public, dont la première tâche sera de rétablir une constitution qui protège le peuple, en lui donnant la parole plus aisément et dont les contre-pouvoirs ne sont pas des chambres d’enregistrement ou le bras armé de l’exécutif. La restauration pleine de la souveraineté du peuple, sans qu’aucun domaine ne soit délégué à une instance supranationale reste un objectif intangible. Nous n’avons jamais cru en ceux qui se commettaient à ses côtés au soi-disant principe de sauver la France, ou de vouloir la servir. S’associer à Macron, ce fut toujours trahir, agir pour son propre compte ou pire pour celui de commanditaires étrangers, sans jamais se soucier de l’intérêt général. Ceux qui se sont livrés à cette comédie sont complices de la destruction voulue et programmée par Macron. Ceux qui se vautreront dans cette compromission ne pourront à nos yeux se prévaloir de l’alibi de l’ignorance du dessein du prince qu’ils ont choisi de louer. L’idéologie macroniste doit être combattue jusqu’au bout, quel qu’en soit le prix, nous savons que les amis de cette clique tenteront par tous les moyens de ruiner le pays et de semer la misère parmi le peuple de France, jusqu’au dernier moment. Qu’à cela ne tienne, nous supporterons ces attaques, relèverons ce défi. Notre pays dispose des ressources humaines et morales capables de surmonter ces bassesses à venir, et de juger ceux qui auront conspiré contre les intérêts de notre nation.
Nous poursuivrons notre combat, et le but premier est bien de voir Macron quitter ce pouvoir qui ne lui appartient déjà plus, mais qu’un artifice légal l’autorise à conserver encore un peu, le temps de l’erreur de trop, celui du réveil des parlementaires ou pire, celui d’un peuple jusque là endormi, et qui ouvre de plus en plus les yeux. La liberté et la dignité ne se cultivent pas dans le confort de l’ignorance ou du renoncement, il est plus facile de se contenter de la servilité que de se débarrasser de ses chaînes, mais bien plus honorable de vivre debout que couché. La France a connu bien des vicissitudes et c’est sur un champ de ruine qu’elle s’est relevée pour briller à nouveau, le temps que des félons, des rampants, s’approprient le pouvoir que des hommes de hautes valeurs avaient rétabli, pour détourner les richesses et la saveur de notre nation à force d’intrigues et de mensonges. 2025 doit être la continuité de cette lutte qui commence à porter ses fruits. Partout les consciences s’éclairent et découvrent, parfois avec stupeur le personnage qu’est réellement Macron et l’avenir qu’il nous promet, à base de surveillance, de normes et de contraintes, sous des prétextes climatiques ou sanitaires. Il chancelle et finira par tomber. Toute cette dynastie est en fin de règne, c’est donc là qu’elle est la plus dangereuse, et que nous devons rester debout. La victoire est devant nous, elle sera celle de tous ceux qui désirent en priorité le changement de direction sur des bases redessinées pour le bien de tous et non dans l’intérêt de quelques-uns, à l’image de cette France gaulliste, qualifiée de « glorieuse ». Puissions-nous la voir se concrétiser définitivement en 2025. Bonne et heureuse année…
Le groupe Telegram du RPF :
26 décembre 2024
Macron c'est fini ?! La chute d'un fou-furieux
Jean-Dominique Michel
-21/12/2024 - Si Capri c'est fini, il est fort probable que ce soit le cas pour Macron aussi. Les outrances délirantes de ce personnage pervers finissent par lui aliéner jusqu'aux pouvoirs qui l'ont mis en place. Et quand ceux-ci tirent la prise... D'aucuns se rêvent déjà à sa place, comme cela est de coutume en Vème République. Il se pourrait toutefois que celle-ci, émanation d'une France qui n'existe plus, rejoigne Capri et Macron dans la catégorie du "c'est fini"... Sauf à vouloir garder la caste des parasites et des bouffons qui prétendent représenter une population au demeurant très majoritairement abstentionniste !
Cliquer sur l'image (vidéo de 22min 40s) ↴
21 décembre 2024
L'ULTIME PROVOCATION DU MÉPRISANT DE LA RÉPUBLIQUE
Nicolas Maxime
- 21/12/2024 - Avant même son accession à la présidence de la République, Emmanuel Macron avait déjà fait preuve d’un certain mépris envers les classes populaires. On se souvient de ses propos sur les "illettrées de Gad" ou de sa célèbre formule : "La meilleure façon de se payer un costard, c’est de travailler."
Ces déclarations laissaient entrevoir une attitude condescendante, qui s’est confirmée après son élection. Les petites phrases dédaigneuses se sont multipliées : "Une gare, c’est un lieu où on croise les gens qui réussissent et ceux qui ne sont rien", "On met un pognon de dingue dans les minima sociaux", "Je traverse la rue et je vous trouve un travail", "Les Gaulois réfractaires au changement", "Les fainéants", ou encore "Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder".
Ces remarques, répétées au fil du temps, témoignaient d’un mépris constant pour une partie de la population, et d’un décalage entre le président et les préoccupations des Français les plus précaires.
Dans le même temps, on a découvert qu’Emmanuel Macron, qui n’a cessé de promouvoir une image inclusive, aurait tenu des propos, en privé, ouvertement racistes et homophobes : « C’est rempli de Mamadou », « La cage aux folles », « Les cocottes ». Devrait-on vraiment être surpris, au fond ?
On aurait pu croire qu’Emmanuel Macron avait modéré ses propos pendant son second mandat, mais il n’en est rien : son naturel a rapidement repris le dessus. Lors d’une visite à Mayotte après le passage d’un cyclone dévastateur, le président, fidèle à sa réputation de "Méprisant de la République" – pour reprendre les termes de Monique Pinçon-Charlot – a lancé à une foule endeuillée et en colère : « Si ce n’était pas la France, vous seriez 10 000 fois plus dans la merde ! »
Ces paroles, marquées par une absence flagrante d’empathie, reflètent également un discours néocolonial. En insinuant que les Mahorais seraient incapables de faire face à leurs difficultés sans la France, il adopte la posture du colonisateur moralisateur, dénigrant la capacité d’autonomie de la population. Et si, au contraire, les difficultés rencontrées à Mayotte étaient aggravées par la présence et la gestion de la France ?
Cette déclaration à Mayotte constitue une ultime provocation de la part du "Méprisant de la République", qui, dans un contexte où les habitants sont privés d’eau, de nourriture et confrontés à des pénuries, franchit cette fois-ci la limite de l'abject.
Malgré cette ultime provocation du "Méprisant de la République", il ne s’agit pas de faire d’Emmanuel Macron le bouc émissaire de notre colère, mais de comprendre qu’il n’est que le symptôme d’un Occident en phase terminale, incarnant le degré zéro de la politique.
Emmanuel Macron n’est que le réceptacle d’une classe bourgeoise dirigeante, cet extrême centre néolibéral qui n’a cessé d’afficher son mépris social envers les classes populaires. Si ce mépris était relativement mesuré sous les cinq premiers présidents de la République, il a ressurgi avec Nicolas Sarkozy, s’est accentué avec François Hollande, et a atteint son paroxysme avec Emmanuel Macron. Il est fort probable que ce phénomène se poursuive, voire s’intensifie, avec ses successeurs désignés comme Édouard Philippe, Gabriel Attal ou Jordan Bardella.
Il est impératif que nous réfléchissions collectivement à une alternative concrète au capitalisme néolibéral, qui dépasse le simple fait Macron, afin de résister à un système de plus en plus dominé par le narcissisme pathologique et le mépris de ceux qui en sont les représentants.
14 décembre 2024
5 décembre 2024
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