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30 août 2024

CONCERNANT LES AVEUX RÉCENTS DU PDG DE META (FACEBOOK)

Marc Amblard

28/8/2024 - Selon un rapport du journaliste d’investigation, Lee Smith, Mark Z. aurait été contraint par l’équipe d’Obama de donner plus de 400 millions de dollars lors de l’élection de 2020, en guise de punition pour ne pas avoir censuré certains contenus sur la plateforme lors de l’élection de 2016. Ils ont même envoyé un faux lanceur d’alerte pour témoigner contre lui.
L’actuelle administration aurait également fait pression sur Meta pour censurer de nombreux contenus liés au covid et au vaccin afin de conforter le récit officiel, fût-il éloigné des réalités scientifiques.
La Maison Blanche a réagi hier en publiant une déclaration affirmant qu’elle avait fait ce qu’il y avait de mieux pour « protéger la santé et la sécurité publiques ».
Apparemment, Mark Z. en aurait assez d'être utilisé et malmené par l'administration Harris-Biden. Il aurait alors pris la décision d’adresser publiquement la fameuse lettre au membre du Congrès Jim Jordan.
Selon Monica Showalter, une autre journaliste, il se pourrait que le jeune dirigeant milliardaire soit en train de changer de camp politique, ne serait-ce que pour échapper à l'ingérence du gouvernement et diriger son entreprise comme il l'entend.
Pour sa part, l’économiste Martin Armstrong a conclu ce matin un article ainsi : « craint-il (Mark Z.) d’être traduit en justice après la victoire de Trump, ou peut-être redoute-t-il de voir sa richesse disparaître sous la présidence de Kamala ? Quoi qu’il en soit, Biden et Harris devraient également être tenus pour responsables d’avoir ouvertement ignoré la Constitution et d’avoir fait de la liberté d’expression un délit punissable ».

28 août 2024

François Asselineau

ZUCKERBERG LANCE UNE BOMBE DANS LA CAMPAGNE ÉLECTORALE AMÉRICAINE

Le patron de Meta (Facebook) vient de dénoncer publiquement - et par écrit - les méthodes fascisantes des Démocrates.
Il fait 3 aveux :
1) L'administration Biden-Harris a «fait pression» sur Facebook pour qu'il censure les Américains.
2) Facebook a obéi à Biden-Harris, en pratiquant en effet la censure.
Ces deux points sont capitaux car ils violent l'amendement n°1 de la constitution.
Or cet amendement, qui garantit la totale liberté d'expression aux États-Unis depuis 1791, est considéré comme le symbole sacro-saint de la nation américaine.
3) Facebook a sciemment étouffé le scandale de l'ordinateur portable de Hunter Biden.
Preuve que Biden a des agissements de type mafieux.

Conclusion :
Tout semble s'accélérer depuis quelques semaines
- tentative d'assassinat de Trump, très probablement fomentée par la CIA et le FBI sur instruction de la mafia Obama-Biden-Clinton
- ralliement de Robert Kennedy Jr. à Trump
- annonce de Trump qu'il veut rouvrir les enquêtes sur l'assassinat de John Kennedy et Robert Kennedy
- émeutes aux Royaume-Uni et décisions tyranniques inouïes du gouvernement britannique en réponse
- arrestation de Durov par Macron et coup d'État rampant de Macron qui veut ôter tout effet aux raclées électorales qu'il a subies
- et maintenant les révélations de Zuckerberg, pourtant d'opinion politique démocrate, qui dénonce les méthodes fascistes des Démocrates.
Tout cela donne l'impression que la partie consciente des opinions du monde occidental est au bord d'une révolution générale contre le Deep State et la mafia mondialiste.
Les mois qui viennent vont sans doute être historiques.

26 août 2024

Natalia Routkevitch

25/8/2024 - Robert F. Kennedy Jr, candidat indépendant qui s'est retiré, il y a deux jours, de la course à la présidence américaine au profit de Donald Trump, résumait son programme en trois points : détruire le pouvoir du complexe militaro-industriel, assurer la sécurité des frontières et reconstruire la classe moyenne de son pays.
Il est assez remarquable que Kennedy, régulièrement présenté comme populiste, était détesté par ce qu'on appelle les MSM (mainstream media) presque plus que Trump, tout en étant, selon Yougov, l'homme politique préféré des Américains (https://today.yougov.com/.../48441-what-do-americans...).
En français, le premier article sur lequel on tombe en cherchant des informations sur l'ex-candidat s'intitule : "Le monde fou, fou, fou, fou de Robert F. Kennedy Jr" (sic).
On le voyait sans doute comme un traître qui a quitté son camp historique, à savoir le parti démocrate. Pourtant, Kennedy Jr s'est toujours réclamé de l'héritage de son célèbre père, Robert Kennedy, tué durant la campagne présidentielle le 5 juin 1968. On peut se douter que ce dernier serait aujourd'hui qualifié, lui aussi, de populiste complètement toqué. Rien que pour son célèbre discours prononcé à l’université du Kansas, le 18 mars 1968 :

"Notre PIB prend en compte, dans ses calculs, la pollution de l’air, la publicité pour le tabac et les courses des ambulances qui ramassent les blessés sur nos routes.
Il comptabilise les systèmes de sécurité que nous installons pour protéger nos habitations et le coût des prisons où nous enfermons ceux qui réussissent à les forcer.
Il intègre la destruction de nos forêts de séquoias ainsi que leur remplacement par un urbanisme tentaculaire et chaotique. Il comprend la production du napalm, des armes nucléaires et des voitures blindées de la police destinées à réprimer des émeutes dans nos villes.
Il comptabilise la fabrication du fusil de Whitman et du couteau de Speck (Whitman et Speck étant des tueurs de masse américains des années 1960), ainsi que les programmes de télévision qui glorifient la violence dans le but de vendre les jouets correspondants à nos enfants.
En revanche, le PIB ne tient pas compte de la santé de nos enfants, de la qualité de leur instruction, ni de la gaieté de leurs jeux.
Il ne mesure pas la beauté de notre poésie ou la solidité de nos mariages.
Il ne songe pas à évaluer la qualité de nos débats politiques ou l’intégrité de nos représentants.
Il ne prend pas en considération notre courage, notre sagesse ou notre culture.
Il ne dit rien de notre sens de la compassion ou du dévouement envers notre pays.
En un mot, le PIB mesure tout, sauf ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue."

25 août 2024

Discours complet doublé en français de Robert Kennedy Jr. en Arizona

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Vincent Verschoore

24/8/2024 - Après avoir quitté le parti des Démocrates américains et lancé sa propre campagne en tant que candidat indépendant, Robert F. Kennedy jette l'éponge et rallie le camp Républicain de Donald Trump.
L'épisode est significatif : le neveu de JFK a passé sa vie au sein des Démocrates, avant de faire le constat amer qu'il ne représentait plus ses valeurs traditionnelles de liberté d'expression, de démocratie et d'intégrité morale et intellectuelle.
Il partage en cela l'avis de cette autre ex-pillier des Démocrates, Tulsi Gabbard, ex-candidate aux primaires de 2020 puis alliée de Biden, avant de claquer la porte d'un parti corrompu par les intérêts du grand capital, va-t-en guerre, et dirigé par un appareil tout sauf démocratique.
Pour les médias de désinformation français, Robert Kennedy est un complotiste d'extrême-droite "antivax" réactionnaire, quantité négligeable du paysage politique, mais c'est tout le contraire : il représente le désarroi de très nombreux Démocrates qui font le même constat, qui se considèrent "indépendants", et qui voteront pour celui où celle représentant le mieux (même si très imparfaitement) leurs idées.
En l'occurrence, plutôt Trump que Harris, cette dernière étant issue du même système opaque, projetée à la nomination sans l'ombre d'un choix, d'un débat ou d'un vote, et porteuse de rien sinon des intérêts d'un establishment totalement corrompu et coupé des réalités du terrain, à l'image des macronistes d'ici.
La jonction Kennedy-Trump pourrait donc (et c'est leur calcul) apporter son lot de voix cruciales dans les "swing states", pillant le vivier des Démocrates déçus au profit des Républicains.
La promesse faite par Kennedy de reprendre en main la santé des Américains, perclus de malbouffe et des rackets de l'industrie médicale, tout comme son opposition aux dépenses folles pour la guerre en Ukraine et à la toute-puissance des officines secrètes (CIA, FBI, NSA...), ne peut que plaire à un électorat conscient du désastre. Un programme que Trump reprend désormais à son compte, en y associant évidemment Kennedy.
Tout ceci est bien décrit dans l'article du New York Post en annexe, de plus écrit par un Démocrate.

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22 août 2024

IMPRESSIONNANT ALIGNEMENT DE 𝗧𝗢𝗨𝗦 LES MÉDIAS FRANÇAIS SUR LE CAMP MONDIALISTE

François Asselineau

C'est simple : pour TOUS nos médias, il y a :
- le Bien : Harris
- le Mal : Trump

Ils s'extasient tous d'une prétendue "Kamalamania", mais ils cachent ou minimisent soigneusement :
- la nullité de ladite Kamala
- sa totale soumission au "deep State" et à sa volonté d'une 3ème guerre mondiale contre la Russie
- ses mauvais sondages
- son wokisme délirant
- les innombrables casseroles de son colistier Walz
- etc.

En revanche, TOUS nos médias décrivent Trump et Musk comme des sinistres dingues et font silence sur les révélations qui tendent de plus en plus à prouver que l'assassinat de Trump avait été prémédité par la CIA et le FBI.

Le constat est effarant : l'ensemble de la presse française est plus soumise au parti Démocrate, qui n'est plus que le faux nez des mondialistes de l'État profond, que la presse américaine elle-même.

21 août 2024

Nordstream : les complotistes avaient encore une fois raison

H16

21/8/2024 - Il était pourtant clair que la Russie était dirigée d’une main de fer par un fou assoiffé de puissance et que ce dernier, faisant fi de toute rationalité et alors que le conflit avec l’Ukraine s’éternisait, avait fait sauter le pipeline sous-marin Nordstream, plongeant les Allemands dans le désarroi.

Abominable Vladimir Poutine, incapable de contrôler ses pulsions destructrices ! Au lieu de simplement fermer le robinet de ses gazoducs, il avait en septembre 2022 – c’était certain, la presse n’en doutait guère – fait sauter ses tuyaux pour pouvoir ensuite accuser les Occidentaux de la forfaiture.


Depuis lors, les enquêtes menées notamment par l’Allemagne semblaient patiner et la discrétion était de mise. Petit à petit, la thèse officiellement acceptée sur les plateaux télés n’était plus vraiment débattue et ce d’autant plus que des éléments de doutes s’accumulaient. La fourberie du dirigeant russe étant sans limite, il était certain que de nombreuses couches de mensonges avaient été construites pour présenter de faux coupables (des Ukrainiens soi-disant cornaqués par les Britanniques et avec l’aval de Washington).

Las.

Presque deux ans après les explosions des gazoducs, voilà que Berlin émet un mandat d’arrêt contre un Ukrainien. Probablement un agent russe infiltré, me direz-vous. Eh bien apparemment non, au plus grand dam de tous les experts de plateau qui, une fois encore, se retrouvent à danser sur leur monocycle, seul cycle permettant un rétropédalage à vitesse soutenue.

Il apparaît en effet que, selon la presse lancée à pleine contre-vitesse dans ce nouveau narratif, qu’il s’agirait d’une opération menée par une poignée d’Ukrainiens ayant reçu l’aval de Zelensky lui-même. Actuellement, la situation – présentée comme embarrassante mais qui pourrait bien être fort commode pour un maximum de monde côté occidental – est que le poseur de bombes a disparu. Zut alors.


Petit à petit se dessine donc une opération qui aurait été, comme le décrit le Wall Street Journal dans un article qui fera certainement date dans son côté loufoque et à la crédibilité de plus en plus fine, organisée par une bande de joyeux drilles ukrainiens quelque peu alcoolisés qui se seraient donc lancés dans le défi d’aller faire sauter les tuyaux sous-marins ; un masque, un tuba, un pain de plastic et – plouf – l’affaire est réglée en quelques plongées sportives.

Si, bien évidemment, l’historiette fournie par le Wall Street Journal n’est pas impossible (l’Histoire connaît bien quelques uns de ces coups de force d’une poignée d’hommes déterminés), l’évacuation conséquente de toute implication des Britanniques, des Américains ou même des Norvégiens, des Danois ou des Polonais est si pratique avec cette version qu’elle frise la gourmandise.

Quoi qu’il en soit, on se retrouve potentiellement dans la situation où il pourrait être prouvé qu’un pays tiers (et ici, pas la Russie donc) aurait donc attaqué une infrastructure stratégique russo-allemande afin de faire du tort à l’Allemagne. On est en droit de se demander si les clauses d’assistance mutuelle de l’OTAN ne devraient pas entrer en application. Il serait… disons intéressant de voir l’Alliance Atlantique commencer à demander des comptes à Zelensky, pendant que le peuple allemand pourrait commencer à comprendre qu’ils se sont fait cocufier par leurs alliés occidentaux, américains notamment.

Il faut dire qu’en parallèle à ces découvertes croustillantes concernant Nordstream, les Américains continuent tranquillement leurs affaires tant avec les Européens (en leur facturant copieusement le gaz liquéfié qu’ils leur font parvenir par bateaux) qu’avec… les Russes. Car s’il était semble-t-il admis que continuer à commercer avec eux était, pour les Européens, une faute difficilement pardonnable – à tel point que des entreprises européennes et notamment françaises furent instamment priées de quitter la Russie – il en va autrement pour les entreprises américaines qui, elles, ont toute latitude pour y continuer leurs affaires, notamment dans le domaine pourtant sensible du pétrole comme en témoigne l’expansion récente d’un groupe américain sur place.


Autrement dit, si la presse, égale à elle-même c’est-à-dire enfilant pignouferies sur pignouferies, recherche encore ingénument qui pourrait bien avoir eu un réel intérêt à la destruction de Nordstream, les gens normaux, eux, commencent à comprendre et à admettre qu’au final, le premier bénéficiaire de ce sabotage n’est nul autre que l’Oncle Sam… Comme, du reste, ce qu’annonçaient les pires complotistes et ce dès septembre 2022, ou quelques mois plus tard comme le faisait aussi Seymour Hersh (même si les détails du scénario qu’il propose sont encore largement sujet à controverse).

Oui, il semble qu’encore une fois, les vapeurs délirantes qui s’étaient infiltrées dans les cerveaux torturés des complotistes leur avaient fait voir une bonne partie de la réalité que la presse, malgré l’intervention plus ou moins subtile d’experts en expertise professionnelle, n’aura pas su discerner au long des 24 mois qui suivirent. Il apparaît encore une fois que les discours officiels et ceux qui furent autorisés sur les plateaux télé et dans les colonnes des médias subventionnés sont exposés pour ce qu’ils sont : du baratin.

Logiquement, il apparaît qu’on doivent à présent se poser la question de savoir combien de temps la nouvelle histoire – le nouveau narratif, comme on dit maintenant – va tenir face à la réalité. Combien de temps ces organes pourront-ils camoufler toute participation des Britanniques et de la CIA américaine.  Combien d’explications loufoques les médias de grand chemin vont-ils à nouveau imaginer pour expliquer de nouvelles informations explosives qui ne manqueront pas de sortir, quel narratif invraisemblable de la complosphère débridée va encore se révéler exact, dans les prochaines semaines, les prochains mois ?

Combien de temps peut encore continuer l’enfumage actuel qui vise à vassaliser toujours un peu plus l’Union européenne aux Américains ? Et surtout, quel nouveau bobard grossier vont trouver les médias et les politiciens pour camoufler la déroute ukrainienne et le bilan catastrophique de cette guerre qui était au demeurant aussi inutile qu’évitable ?


https://h16free.com/2024/08/21/78517-nordstream-les-complotistes-avaient-encore-une-fois-raison

14 août 2024

Eber Haddad

14/8/2024 - Quand je suis arrivé aux États-Unis en 1976, j’étais fasciné par la liberté de la presse et la qualité des journalistes, Walter Cronkite, David Brinkley, William Safire et autres… ça me changeait de la presse française aux ordres du pouvoir, la partie audiovisuelle appartenant carrément à l’État. Les années sont passées et, jusqu’au premier mandat de Clinton, les médias tout en ayant perdu en qualité et en objectivité restaient encore acceptables. Le vent a commencé à tourner au deuxième mandat de Clinton et sous Bush fils où les grands médias devenaient de plus en plus propagandistes pour atteindre leur apogée sous Obama qu’on a rendu, en quelques semaines, une « rock star » ! Il « marchait sur l’eau » et tout ce qu’il ânonnait devenait parole d’évangile. Les superlatifs et la flagornerie la plus servile ont remplacé l’information et l’objectivité. Aujourd’hui, on le voit avec la « starification » de la pire vice-présidente que ce pays ait eu, pire encore que Dan Quail le VP de Bush père, comment en quelques semaines on a fait d’un bourricot, un cheval de course. Les médias américains sont devenus, pour la plupart, une arme de désinformation massive.
Kamala Harris n’a rien accompli en 4 ans, a eu un turnover de 92% de son staff et a été nommée responsable (czar) de la frontière sud sans jamais y avoir mis les pieds ! Plus de 11 millions de personnes sont rentrées illégalement pour le plus grand profit des trafiquants de drogues et d’êtres humains. On ne se souviendra que de ses éclats de rire ou ses gloussements ponctuant chaque phrase et des « lapalissades », stupidités et bourdes qu’elle a accumulées.
C’est la première candidate « élue » avec 0% des voix de son propre parti ! Ce n’est même pas une élection, c’est un couronnement, le plus antidémocratique possible.
Kamala et Walz, la pire équipe qui pouvait se présenter à la présidence des États-Unis. Un grand merci à la presse pour ce travail de propagande digne du « Quotidien du Peuple » ou encore de la « Pravda » sous Staline. Si les Américains sont assez idiots pour les élire, ils mériteront le sort qu’ils se seront infligés.

9 août 2024

3 SEMAINES APRES AVOIR ÉTÉ ADOUBÉE, KAMALA HARRIS N’A TENU AUCUNE CONFÉRENCE DE PRESSE. DU JAMAIS VU. POURQUOI ?

Marc Amblard

Parce qu’elle en est strictement incapable. Cette dame est sotte et ne dispose d’aucune compétence pour argumenter dans le cadre d’une interview ou d’un débat libre.

Elle ne doit sa carrière qu’à sa longue liaison adultère avec Willie Brown, ancien maire de San Francisco et président de l’Assemblée de Californie. Elle avait 29 ans. Il en avait 60 et était marié.
Si elle a un talent particulier, ne le cherchez pas du côté de l’esprit d’analyse et de la capacité à prendre des décisions collectives appropriées.

Les rares entretiens que Kamala a donnés à des journalistes dans le passé ont été catastrophiques. Comme elle a très peu de culture, il est lui est difficile de répondre aux questions. Sa botte secrète pour s’en sortir : balancer une phrase qui n’a ni queue ni tête et éclater de rire. On l’appelle la ricaneuse. Véridique. Et surtout très gênant.

Voir la vidéo.

Aucune inquiétude cependant, les médias prendront soin de lui organiser des entrevues totalement scénarisées. On lui demandera simplement de lire son prompteur et on coupera toutes les scènes jugées inappropriées. Surtout pas d’improvisation. On lui façonnera une personnalité et une histoire totalement fictive. Celle d’une Madone providentielle envoyée par le Seigneur pour sauver la démocratie menacée par Trump le fasciste.

Ceux qui vivent dans le médiavers (univers parallèle façonné par les médias) et ils sont nombreux, n’y verront que du feu.

Et le suffrage du 5 novembre 2024 ?

Aucune d’inquiétude pour les démocrates, devenus experts en ingénierie électorale à coups de milliards et de bulletins fantômes. Ils ont bien réussi à écarter Donald Trump, alors président en fonction, pour imposer Joe Biden aussi médiocre et stupide que sa vice-présidente. Pourquoi ne parviendraient-ils pas cette fois-ci à caser une chèvre déguisée en licorne ? - 9/8/2024

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24 juillet 2024

LE RÉCIT ET LE RÉEL

Marc Amblard

24/7/2024 - Le mal de nos sociétés modernes est là : cet affaissement de l’esprit critique qui nous empêche de distinguer le récit du réel.
En d’autres termes, nous prenons le narratif des médias pour argent comptant alors même que nous devrions fortement douter du message transmis. Derrière chaque information se cache l’intention de celui qui la transmet.
Un exemple très actuel : la vice-présidente des Etats-Unis, pressentie pour être la candidate démocrate aux présidentielles de novembre.
Les médias sont en train de fabriquer d’elle l’image d'une héroïne qui s'apprête à sauver la démocratie.
La réalité est pourtant tout autre : elle est sotte et inculte, parfaitement incapable de gérer correctement un dossier. On l'a vu avec la crise de la frontière sud qui est probablement la plus grande catastrophe migratoire que les USA aient connue.
Rappelons qu’en décembre 2019, Madame Harris a dû abandonner les primaires démocrates, un sondage la situant à seulement 3% parmi les autres candidats. C’est dire.
C’est un fait, les Américains ne l’aiment pas, même dans son propre camp.
Pourtant, vous verrez, si elle est investie le 19 août, les sondages se retourneront miraculeusement en sa faveur.
Pourquoi ?
Parce que les sondeurs (appartenant généralement aux mêmes groupes que ceux qui possèdent les médias) ont une fonction dont nous ne sommes pas forcément conscients : produire artificiellement la légitimité d’un candidat afin que son élection ne soit pas trop suspecte. Quiconque comprendra aisément que si Harris a 10 points de retard sur Trump à quelques jours du scrutin, elle ne peut pas honnêtement remporter la course.
The show must go on…

23 juillet 2024

Marc Amblard

HOURRA KAMALA MAIS SAUVE QUI PEUT

Gabriel Nerciat

23/7/2024 - Lors des primaires démocrates qui ont précédé l'élection présidentielle de 2020, Kamala Harris, créditée dans les sondages de 3% d'intentions de vote, a dû retirer sa candidature quelques semaines avant la fin du scrutin, pour ne pas subir l'humiliation cuisante de finir bonne dernière de la compétition.
Les mauvaises langues disent même que Biden l'a choisie ensuite pour son ticket présidentiel à seule fin de dissuader toute tentative de destitution.
Son bilan de vice-présidente, de l'aveu même des journaux libéraux, est au mieux insignifiant au pire calamiteux.
Notamment en ce qui concerne le règlement de la question de l'immigration illégale, dont elle avait été chargée par le président (un peu comme Ségolène Royal chez nous, elle ne s'est jamais rendue physiquement à la frontière du Mexique).
En gros, c'est un peu comme si Macron, subitement empêché de se présenter en 2022, avait cédé la place à la dernière minute à Anne Hidalgo ou Jean-François Copé.
Mais cela n'empêche pas les libéraux progressistes du monde entier de nous expliquer que désormais tout change, et que Trump tremble maintenant d'être confronté à cette nullissime grande bourgeoise d'origine tamoule et jamaïcaine (même pas afro-américaine) sponsorisée à coups de dizaines de millions par les réseaux Soros.
Seul Barack Obama ne semble pas très convaincu. Il a sûrement de bonnes raisons.
Moyennant quoi, les louanges que la presse assermentée lui décerne depuis 48 heures des deux côtés de l'Atlantique font penser à la précipitation de ces femmes enceintes abandonnées par leur vieil amant volage, qui en public doivent se montrer ravies d'épouser un jeune héritier idiot et bossu disposé à leur glisser la bague au doigt.

22 juillet 2024

JOE'S BLUES

Gabriel Nerciat

Pourtant, il était parfait, le vieux Joe : élu en 2020 grâce à la plus fabuleuse entreprise de fraude postale de l'histoire de l'Amérique (qui en a compté plus d'une), vieillard totalement sénile, persuadé en son for intérieur que Macron était en réalité Mitterrand, Poutine Leonid Brejnev et Xi Jinping l'impératrice Turandot, père d'un escroc cocaïnomane et dépravé dont se servait libéralement le boucher de Kiev pour renflouer les trafics d'armes de son clan d'affidés et d'oligarques, corrompu jusqu'à l'os depuis son premier banquet, au début des années 1970, en compagnie des représentants officieux du KKK avant d'aller draguer quelques années plus tard les militants des Black Panthers (le plus drôle, c'est que c'est Kamala Harris elle-même qui l'avait révélé lors du débat des primaires démocrates il y a quatre ans), il démontrait surtout, en vieux forban irlandais impavide, que l'État profond washingtonien peut s'abriter aussi bien derrière une statue de cire du musée de Madame Tussaud que derrière un acteur de série B comme Ronald Reagan ou, pourquoi pas, un pornographe qui joue de la trompette comme Bill Clinton.
À la place des éditorialistes du New-York Times ou de CNN, j'aurais gardé le vieux cheval : on sait que ce sont les vieilles carnes à moitié aveugles ou aphasiques qui administrent sans qu'on s'y attende les plus sournois coups de sabot.
Mais bon : une juriste-technocrate à la peau mate d'origine jamaïcaine et de sexe féminin, ça peut le faire aussi.
Si vraiment elle ne passe pas la rampe, on pourra toujours élaborer une image de synthèse de Tina Turner et d'Angela Davis qui mettra en musique les sermons de Martin Luther King et proclamera au nom de l'affranchissement conjoint du grand capital et des minorités raciales ou sexuelles la fin de tous les empires mondiaux autres que l'américain.
A priori, vu le niveau d'exigence civique des électeurs moyens du parti d'Andrew Jackson, ça devrait pouvoir malgré tout faire l'affaire.

21 juillet 2024

Marc Amblard

RETRAIT DE BIDEN : UN POINT RAPIDE

1. Joe Biden renonce à être candidat à sa réélection. Il ne démissionne pas de son poste. Il restera donc président des États-Unis durant les 6 mois restants (jour pour jour).

2. Lui-même, mais également les Clinton, et Alex Soros soutiennent la VP Kamala Harris malgré son impopularité auprès du peuple et ses capacités limitées. Barak Obama ne la soutient pas.

3. En réalité, des millions d’électeurs ont désigné quelque 4600 délégués à travers les 50 États et ce sont ces délégués qui voteront lors de la convention du parti le 19 août prochain à Chicago pour désigner le candidat démocrate.

4. Dans un message sur X, le candidat indépendant, Robert F. Kennedy Jr, a estimé hier que le processus de désignation sera truqué par les élites démocrates pour faire de Harris la candidate.

Affaire à suivre...

16 juillet 2024

Trump : un affolement palpable…

Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français

15/7/2024 - La tentative d’assassinat sur l’ex-président Trump laisserait-elle entrevoir une modification de l’arrière plan géopolitique ? Le tireur est issu de l’extrême gauche américaine et une première balle bute sur le gilet de Trump… signe que le tireur n’était pas au courant de la couche de protection de sa cible. Signe aussi que la balle était d’un calibre relativement modeste, sinon, un gilet pare-balles ne l’aurait pas arrêtée. Il tire une seconde cartouche, dans la tête cette fois ci. S’il avait su, il aurait donc directement visé la tête. A moins de 150 mètres, pour un bon tireur, avec une arme longue, ça reste très gérable. Mais mieux, un tireur de la protection officielle, cette fois ci, raconte sur les réseaux sociaux, comment il a eu le visuel sur le meurtrier et l’a signalé, sans recevoir l’ordre de le neutraliser immédiatement. Bien sûr il faudra attendre les résultats d’une enquête pour savoir de quoi il en retourne, mais si cela était avéré, il s’agirait bien d’un meurtre sur commande en provenance de ceux qui ont tout à craindre d’un retour de Trump à la Maison Blanche, que des observateurs politiques estiment inéluctable, particulièrement depuis le débat raté de Biden, où ce dernier est apparu comme sénile. Cela veut dire aussi que le vote présumé en faveur de Trump est tellement massif qu’une triche à la machine électronique à voter est peu envisageable, car elle se verrait plus sûrement qu’il y a quatre ans. Les soupçons avaient été forts, mais c’était passé. Un ingénieur, dernièrement, un de plus, a montré comment on pouvait faire cracher à ces machines, n’importe quel résultat sur commande. Et le fait que Trump dérange n’est plus à démontrer.

Il est toujours taxé de « complotisme » de parler de cette fraude aux machines à voter. Il n’empêche que cette option est de moins en moins incongrue. En France, lors des dernières législatives, les instituts de sondages, qui sont des entreprises cotées en bourse et qui se doivent de ne pas apparaître comme des guignols, sous peine de perdre leurs marchés, se sont pourtant lourdement trompés sur la percée inattendue de l’extrême gauche, lourdement trompés sur le nombre final de députés RN, lourdement trompés également sur l’écart entre Marine Le Pen et Macron, au second tour de l’élection présidentielle de 2022. On ajoute, pour les dernières législatives, un nombre record de procurations et un mode de scrutin dans lequel il faut deux fois plus de voix pour élire un député RN que pour élire un député LFI et cela suffit pour reléguer à la troisième place, en nombre de députés, un parti arrivé premier en nombre de voix. Même de l’étranger, on a regardé le scrutin français avec étonnement. Lors de la dernière présidentielle, le RPF avait, et il était le seul, passé en revue les résultats de la soixantaine et plus de villes électroniques, pour noter qu’elles avaient voté Macron très largement, plus que la moyenne nationale, et pourquoi donc ? Durant l’épisode des vaccins, ceux qui parlaient du passe vaccinal ont d’abord été traités de « complotistes » et quand le passe vaccinal est arrivé, les « complotistes » sont devenus ceux qui le refusaient, la doxa n’étant jamais à court de mauvaise foi. Pour ces machines à voter, on prend le même chemin et il pourrait y avoir en France, un effet cumulatif des méthodes de triche, comprenant à la fois les procurations et les votes électroniques, les deux influant sur un volant de voix suffisant pour inverser la tendance, l’hypothèse n’est plus si fantasmagorique, tant la tambouille donne un résultat inattendu. La première chose que pourraient demander les nouveaux élus, est la suppression de ces fameuses machines, qui même si elles n’ont pas servi à tricher, peuvent de toute évidence, le permettre.

On ajoute aussi, le RPF en a également parlé, cette ostracisation forcenée du président hongrois Orban, courant les rencontres afin de trouver une solution de paix en Ukraine. En quoi serait-ce condamnable de vouloir mettre fin à une guerre qui ruine l’Europe ? Faut-il voir dans ces concomitances une forme d’affolement de cet État profond allant de Biden à von der Leyen, en passant par Macron et quelques autres seconds couteaux ? En tout cas, la tentative de meurtre sur l’ex-président Trump, le meurtre d’un tireur qui aurait pu largement être neutralisé pour être interrogé, mais dont il a semblé préférable qu’il se taise, montre que quelque chose a changé et que l’affolement du clan Biden est palpable. Au RPF, nous avions posé une série de questions. Qu’y a-t-il en Ukraine qui vaut les 150 milliards de dollars qu’ont mis les USA dans cette guerre ? Comment est né ce virus qui a fait irruption dans nos vies et comment s’est négocié l’achat des millions de doses de vaccins ? Quelle est l’origine des surmortalités enregistrées actuellement dans quasiment tous les pays européens ? Si ces questions ont commencé à apparaître devant les tribunaux aux USA, c’est encore l’omerta en Europe, mis à part le procès international intenté contre von der Leyen.

La tentative d’assassinat de Trump, cette mobilisation sans pareille chez nous pour empêcher que le Rassemblement National n’ait trop de sièges à l’Assemblée, cette fronde contre Orban qui ne fait que son travail, pourraient signifier qu’il y a deux camps qui se font ouvertement la guerre, dont l’un a le pouvoir et une peur panique de le perdre, pour des raisons que l’on aimerait connaître. L’alternance est pourtant l’essence de la démocratie et jusqu’à l’avènement de Macron, la France passait de gauche à droite, de Mitterrand à Chirac, de Sarkozy à Hollande, sans plus de soubresaut que cela. Il semble qu’avec l’ère Macron/Biden/von der Leyen, une espèce de clique supranationale ait décidé d’installer ad vitam aeternam, un pouvoir d’une autre nature et qui ambitionne de se jouer des élections, quitte à éliminer les candidats indésirables si la machine médiatique n’y suffit pas, cela apparaît de plus en plus clairement.


15 juillet 2024

Tentative d’assassinat de Trump : tout se déroule comme prévu

H16

15/7/2024 - Après Jair Bolsonaro, Shinzo Abe, Robert Fico, c’est donc au tour de Donald Trump de subir une tentative d’assassinat. Comme de coutume aux États-Unis, la tentative a immédiatement versé dans le spectaculaire, surtout du côté de la presse de grand chemin.

Et spectaculaire est probablement le seul qualificatif pour la façon dont cette dernière a relayé le drame au cours des minutes puis des heures qui l’ont suivi : tout fut fait pour en réduire l’importance et la portée. Il faudra attendre plusieurs heures pour que ce qui était pourtant évident dès les premières secondes soit officialisé par une presse complètement aux ordres des autorités américaines qui ont clairement choisi de minimiser l’affaire.

Suivant les recommandations initiales des Services secrets américains, les médias sur place auront donc fait assaut d’une prudence spectaculaire pour ne surtout pas qualifier l’événement d’attentat, multipliant les euphémismes, les litotes et les périphrases pour éviter d’expliquer simplement que l’actuel candidat républicain à l’élection présidentielle américaine venait d’échapper à une tentative d’assassinat.

Entre la description de l’événement (une chute pour certains, des bruits pour d’autres), et le doute projeté dans des expressions typiques (“Trump dit que…”) qui transforment des faits en opinion, il est – une fois encore – très difficile de trouver quelque qualité au travail de la presse grand public qui, décidément, se vautre plus facilement dans la désinformation éhontée que le journalisme de base.



Les journalistes français, fidèles à leur réputation de folliculaires besogneux, se sont rapidement mobilisés pour faire exactement le même minimum syndical. L’art du copier-coller et du périplaquisme ont atteint de nouveaux sommets.



Finalement, France24 se mouille un peu : Trump aurait été blessé, il y aurait un tueur, mais tout ceci ne justifie pas encore de parler d’une tentative d’assassinat alors qu’il pourrait s’agir d’un échange de petits projectiles en plomb mostly peaceful globalement pacifiques, après tout.




Et lorsque les médias ne minimisent pas, ils n’hésitent pas à retourner l’accusation et charger Trump, qui serait donc lui-même responsable de cette situation (et d’être pris pour cible).

Quand, finalement le FBI confirme enfin, la presse garde spectaculairement son sang-froid, et ose une titraille un tantinet plus proche de la réalité, sans toutefois omettre de précieuses guillemets afin de se conserver une porte de sortie si jamais il s’avérait qu’en réalité, c’était un simple différend familial ou quelque chose du style.


En pratique, ce traitement ne doit pas surprendre : l’occasion était en effet trop bonne pour cette presse minable de passer à côté d’une si belle série de pignouferies. Entre la victime (Donald Trump), le cadre (un rassemblement républicain), le résultat (un échec du tueur) et la façon dont l’ancien président américain avait réagi suite à cet événement, tous les éléments étaient rassemblés pour qu’aucun article neutre et factuel ne puisse sortir.

Il faut dire que cette presse n’est pas à proprement parler exempte de responsabilités dans ce qui s’est passé contre Trump et oublie donc presque instantanément son énorme passif sur la question. Pourtant, les journalistes des deux côtés de l’Atlantique n’ont pas été en manque pour produire des quantités spectaculaires d’articles haineux contre l’ex-président américain, en ce compris des appels direct au meurtre, relayant en cela avec une gourmandise même pas cachée ces mêmes appels portés par des politiciens aussi corrompus qu’eux.

Ceux qui ont la mémoire courte pourront regarder à profit ces quelques vidéos qui rappellent justement cette production particulière.

De façon croustillante, cet événement est un caillou qui s’ajoute aux nombreux déjà dans les chaussures des anti-conspirationnistes de combat. Ces derniers, en plein déni de réalité, restent niaisement coincés sur un discours du type “voila qui va faire mousser les complotistes” alors que l’organisation d’un assassinat est un complot, quasiment par définition. Les experts anti-complots ne voient plus les complots les plus évidents, et, plus drôle encore, refusent de comprendre qu’encore une fois, ce sont bel et bien ceux qu’ils qualifient stupidement de “complotistes” qui avaient vu juste.

On se rappelle en effet qu’il y a quelques mois, Tucker Carlson et d’autres (comme Dan Bongino par exemple) s’étaient par exemple inquiétés du fait que, voyant chacune des tentatives judiciaires contre Trump échouer lamentablement et l’assassinat politique orchestré par ses opposants se retournant spectaculairement contre eux, ces derniers en arriveraient certainement à la tentative d’assassinat littéral.

Bien évidemment, Tucker Carlson et ceux qui avaient eu le même raisonnement furent copieusement qualifiés de complotistes.



Le bilan est cependant encore une fois en faveur des “complotistes” et laisse encore une fois la presse patauger dans sa morale douteuse et sa crédibilité nulle, à tel point que les gens sains d’esprits ont maintenant compris que lorsque la presse réfute un événement, c’est qu’il s’est très probablement effectivement produit.

Dans cette tentative d’assassinat, cette presse fera assaut d’explications douteuses (ou d’un silence compact, ça marche aussi) pour tenter d’en passer sous silence les circonstances étonnantes et la légèreté des Services secrets américains : ainsi et comme s’interrogent certaines personnalités, comment le toit sur lequel le tireur se trouvait, à 130 m environ, pouvait-il avoir été laissé sans surveillance ?


De la même façon, pourquoi plusieurs témoins (ici et par exemple), qui ont prévenu les autorités de la présence du tueur avant qu’il ne tire, n’ont pas été pris en compte et pourquoi les autorités n’ont même pas fait l’effort de vérifier ? :

Notons sans surprise que, pour nos indécrottables “fact-checkers” habituels, le fait de poser ces questions projette immédiatement et violemment celui que les pose dans la catégorie des complotistes alors que cela devrait plutôt être les réponses, éventuellement, et encore. Il est vrai que s’interroger sur l’efficacité des Services secret peut mener à des conclusions dérangeantes : coïncidence malheureuse ou tendance de fond qu’on retrouve dans d’autres endroits (Boeing ?), la Directrice des Services secrets, Kimberly Cheatle, avait déclaré il y a quelques temps qu’elle souhaitait rendre les services secrets plus inclusifs.


Cette tentative d’assassinat se déroule donc exactement comme prévu : elle illustre, une nouvelle fois, le travail spectaculairement consternant de la presse.

Sur le plan politique, il ne fait pas le moindre doute que ce événement marque déjà la campagne électorale américaine, et donne plusieurs longueurs d’avance sur le candidat républicain. Très probablement, ce 13 juillet, les Démocrates ont perdu les élections et, avec eux, le Deep State. Ce dernier ayant encore plus d’un tour dans son sac, on peut s’attendre à une fin d’année particulièrement agitée.

En tout cas, on peut parier que l’image suivante passera à la postérité.


https://h16free.com/2024/07/15/78111-tentative-dassassinat-de-trump-tout-se-deroule-comme-prevu

14 juillet 2024

USA - LA CAMPAGNE ÉLECTORALE A COMMENCÉ LE 13 JUILLET 2024

Marc Amblard

Nul doute que cette photographie fera date dans l'histoire des États-Unis.
L'image d'un homme qui se relève après avoir été touché et se dresse contre la tyrannie des élites. Contre une mafia qui a pris le contrôle des institutions et prétend défendre la démocratie alors qu'elle oeuvre sans cesse à sa destruction.
Trump ne fait pas partie de ce milieu. Il a juré de nettoyer l'état profond (comme Kennedy il y a 61 ans), et s'est mis en travers de leur agenda. C'est précisément pour ça qu'ils le détestent. Ils ne reculeront devant rien pour l'empêcher de retourner à la Maison-Blanche. Leurs moyens sont illimités.
Il ne leur manque toutefois l'essentiel : la grandeur, l'héroïsme et le soutien du peuple.


◻ [Olivier Delorme Romancier] Je disais hier au téléphone à Fulbert De Saint-Pourceau que Trump avait intérêt à être prudent maintenant que la sénilité de l'autre marionnette des bellicistes ne peut plus être niée, sauf par notre crétin cocaïné national.
Ils feront tout pour l'empêcher de faire la paix en Ukraine et peut-être d'euthanasier l'OTAN, comme il avait menacé de le faire durant son premier mandat.
Il n'y a pas que chez nous où les factieux soient prêts à tout pour fausser un scrutin. Quand la combine et la diabolisation ne suffisent plus pour voler une élection, on passe à d'autres moyens.

◻ [Vincent Verschoore] L'État profond US ne veut en aucun cas que la guerre en Ukraine s'arrête, et comme le sénile Biden ne veut pas démissionner, il n'y a pas 36 solutions.
Ici, pas besoin de l'agent Ruby pour éliminer le tireur, un personnage sans doute psychologiquement fragile et donc très manipulable. Le FBI, qui déteste Trump depuis l'affaire Comey, est coutumier des "faux attentats", où des gens influençables sont poussés au crime par des agents secrets, pour être arrêtés juste avant le passage à l'acte, à la gloire de l'institution.
Vu le nombre de snipers sur les toits lors de l'allocution de Trump, on se doute bien qu'en temps normal un civil armé dans les parages aurait été immédiatement détecté, d'autant que des spectateurs l'aurait signalé au FDO.
Cet attentat raté va sans doute booster Trump et alimenter les braises de la guerre civile qui couve aux USA, ce qui fait d'ailleurs peut-être partie du plan. Là-bas comme ici, les nouveaux fascistes font tout pour générer le chaos et se présenter ensuite comme les sauveurs.