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25 février 2025

L'EAU ET LA SOURCE

Gabriel Nerciat

Je comprends son indignation.
Elle aussi avait le droit d'être employée par l'USAID. Quand on vieillit, que la chirurgie vous rend disgracieuse et qu'on a de plus en plus de mal à décrocher des rôles, ce n'est pas rien que de pouvoir empocher deux ou trois millions de dollars (un peu plus que Van Damme, mais moins que Sean Penn) pour aller à Kiev faire la bise à Zelensky, ou bien soutenir les révolutions de couleur dans le Caucase.
Concilier la défense de la civilisation libérale globalisée avec le sens de son confort matériel et moral, c'est ça le vrai luxe que les plèbes vindicatives et jalouses ne pourront jamais s'offrir.
Pauvre Manon, elle est devenue plus désespérée qu'Ugolin.
"Ma petite est comme l'eau, elle est comme l'eau vive... Jamais, jamais vous ne la rattraperez", chantait son génie de père.
Mais Trump connaît la chanson ; ne pouvant rattraper l'eau, il a préféré tarir la source. 25/2/2025

"Nous sommes en danger", Emmanuelle Béart inquiète, ce président qui lui "glace le sang"

19 février 2025

USAID gelé : panique institutionnelle et médiatique totale

H16

- 19/2/2025 - Donald Trump et Elon Musk sont vraiment des gros vilains : en gelant aussi subitement la distribution des fonds d’USAID, ils vont – c’est certain – tuer des millions de gens. Et, ô surprise, ils mettent à la rue des douzaines d’ONG et de journalistes. Que c’est étonnant !


On s’en souvient, il y a quelques jours, on découvrait au travers des travaux menés actuellement par le Department Of Government Efficiency (DOGE) que l’USAID servait essentiellement à rediriger des sommes colossales du contribuable américain (on parle d’une centaine de milliards de dollars chaque année !) vers différentes organisations dont l’aspect « développement et aide internationale » semble à l’analyse de plus en plus accessoire.

Or, dans ces organisations pas si « non gouvernementales » que cela, on découvre que les fonds d’USAID – et, en parallèle, du Department of Defense, DoD – arrosaient (généreusement) la plupart des associations de presse, des organismes de formation de journalistes ou d’aide à la presse sur différentes zones chaudes. Associated Press, Reuters ont ainsi reçu de larges sommes du contribuable américain et pour des programmes dont la finalité ne fait aucun doute : Reuters a par exemple reçu directement de l’argent de la part du Pentagone pour des programmes de « tromperie sociale à grande échelle » (« large scale social deception »). L’Agence France-Presse (AFP) n’est évidemment pas en reste :


Un autre exemple, celui de l’ICFJ (International Center For Journalist) a été commenté sur les réseaux sociaux : de nombreuses donations de la part d’USAID ont ainsi largement abondé aux finances de ce qui aurait dû être une organisation non gouvernementale indépendante, et qui s’avère donc à y regarder de plus près être une organisation gouvernementale très dépendante de l’aide américaine.

Il va de soi qu’une fois ce fait connu, les tweets relatifs à USAID et l’ICFJ ont rapidement été effacés. On en retrouve d’intéressantes traces dans les caches de Google…


En France, cela se traduit par des fonds voyageant donc depuis l’Oncle Sam jusqu’à l’IJNet qui affiche son affiliation avec l’ICFJ. Les uns aident les autres qui aident les premiers en retour dans un délicieux ballet d’argent passant de poches en poches, rendant (à dessein) l’ensemble à peu près impossible à suivre.


De fil en aiguille, on comprend que l’ensemble de la caste médiatique occidentale est tenue, de près ou de loin, par cette cataracte de fonds américains qui se déversaient régulièrement, d’année en année et dont le bon versement était (commodément) conditionné à une certaine attitude et certaines opinions, progressivement de moins en moins compatibles avec la notion d’indépendance voire d’honnêteté.

Ce n’est pas une exagération : l’une des principales ONG ainsi arrosée par USAID et directement liée à des campagnes massives d’information et de coordination de journalistes dans le monde est Internews Network, dont vous n’avez probablement jamais entendu parler, mais qui a reçu jusqu’à présent près d’un demi-milliard de dollars (472 M$) et dont les services se sont étendus sur 4291 médias dans le monde, produisant en une année 4799 heures d’émissions touchant jusqu’à 778 millions de personnes. Internews Network a tout de même « formé » plus de 9000 journalistes (en 2023) dans une discrétion particulièrement remarquable.

On notera que cette organisation est enregistrée à une adresse en Californie dont les locaux sont montrés ci-dessous. Décidément, pour 500 millions, on n’a plus grand chose de nos jours.


De façon très intéressante, le gel brutal d’USAID et, par conséquence, l’arrêt des subventions aux officines médiatiques diverses et variées a immédiatement déclenché la panique dans toute la classe jacassante occidentale, et notamment européenne. À cette panique financière, il faut ajouter la panique existentielle qui s’empare des rédactions alors que leurs messages perdent rapidement de leur audience. Outre-Atlantique, les chaînes d’information jadis très regardées n’ont plus que des petites fractions de l’audience de podcasts alternatifs et très politiquement incorrects. En France, le lectorat des principaux organes de presse s’est effondré (Le Parisien se sépare de 29 journalistes par exemple), l’audience des principaux journaux et autres émissions d’information baisse continuellement.

Affolés, les médias du service public (France Téloches, Radio France etc…) lancent donc une « Alliance pour les faits » pour « lutter contre la désinformation » et enquêter sur les réseaux sociaux, espérant sans doute que ces recettes du passé permettront de revenir dans les grâces d’un public qu’ils continuent pourtant à insulter à chaque occasion.


Le contraste avec ce qui se passe aux États-Unis est frappant.

Ainsi, pendant que l’Europe construit une nouvelle mouture d’organes de censure plus ou moins « soft », et que ses institutions vont jusqu’à confirmer (ici par jurisprudence) qu’elle peut réclamer la suppression de certains contenus dans le monde entier y compris aux États-Unis, on observe que dans le même temps un nombre croissant d’entreprises privées ayant compris que le vent tournait se désolidarisent franchement des organes de censure (présentée comme « fact-checking ») à la Newsguard.

Pas de doute : la fermeture de l’arrosoir USAID a provoqué une onde de choc dont les classes jacassantes ont énormément de mal à se remettre. Aux États-Unis, le « Blob » de l’État profond gesticule dans tous les sens pour essayer d’arrêter les opérations du président américain à peine arrivé ; en Europe, le réseau médiatique, véritable organe de propagande de cet État profond américain, est en plein désarroi et, comme un poulet sans tête, multiplie les initiatives ridicules pour tenter de perdurer alors qu’il n’a plus ni financement ni raison d’être.

Ses jours sont comptés et compte-tenu du niveau insupportable de propagande que déversent actuellement les journaux français, il était plus que temps.


11 février 2025

Serge Rivron

- 11/2/2025 - Pour que Najat Vallaud pique une vilaine colère comme ça, elle toujours si policée depuis qu'elle a quitté la scène politique, il doit y a voir anguille sous roche, je me suis dit. Est-ce que le démantèlement de l'USAID n'y serait pas pour quelque chose ?
Je me suis alors souvenu du nom de l'association d’œuvres sociales qu'elle dirige depuis quelques années, poste peinard qui lui permet de couler des jours heureux en se taillant une réputation d'expertise sur le développement et les migrations : ONE.
J'ai alors demandé à une IA (c'est vrai que c'est pratique ces choses-là, pour le moment où la censure ne trafique pas encore trop avec les données accessibles) quels étaient les principaux contributeurs de ONE.
On dirait que j'ai mis dans le mille, avec mes soupçons peu amènes, parce que les principaux contributeurs sont pile sur le chemin des machins qu'adorait financer l'USAID, démolie par Trump :
- des philanthropes : des individus comme Bono, un des cofondateurs de ONE, et "d'autres personnalités engagées".
- des fondations : Bill & Melinda Gates Foundation ("ONE a une longue relation avec cette fondation", dit l'IA que j'ai interrogée), Bloomberg Philanthropies, Ford Foundation, Rockefeller Foundation, Skoll Foundation, Caterpillar Foundation...
- des entreprises partenaires : Apple, Bank of America, Bloomberg L.P., Cargill, Coca-Cola, Google, Merck, Roche, Salesforce...
Le salaire de la furie pour son emploi de directrice était, toujours selon mon IA, de 8300 euros mensuels en 2024.
Tout ceci explique peut-être cela.

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10 février 2025

USA - L’ESTABLISHMENT DÉMOCRATE EST TERRIFIÉ PAR ELON MUSK, VOICI POURQUOI

Marc Amblard

- 10/2/2025 - Les audits actuellement menés au sein de diverses agences fédérales apportent un nouvel éclairage sur la politique outre-Atlantique.
Depuis plusieurs décennies, la gauche américaine mène un combat sans relâche pour faire avancer son agenda dit « progressiste » : depuis le changement climatique vers la folie du transgenrisme en passant évidemment par l’ingérence électorale. Et ce partout dans le monde.
Nous étions alors nombreux à penser que l’hydre se nourrissait de fonds privés fournis par quelques oligarques (Soros, Rockfeller, Gates…) désireux de promouvoir une forme d’idéologie qu’ils ne cachent plus depuis longtemps.
Les équipes du DOGE (Department of Government Efficiency) dirigées par Elon Musk nous apprennent qu’il n’en est rien : toutes ces actions étaient en fait financées à coup de milliards par des agences fédérales (dont l’USAID dont on parle abondamment en ce moment, et pour cause) et de sombres associations affiliées. Toutes étant alimentées par des fonds publics. Ainsi les oligarques précités et autres groupes de pression ont mené leur activisme non pas avec leur fortune personnelle mais avec l’argent du contribuable américain.
Et c’est précisément pourquoi la gauche américaine est si terrifiée et remontée contre la nouvelle administration et notamment Elon Musk : il est très probable qu’avec la fermeture du robinet par le nouveau président élu, l’establishment démocrate et ses actions répétées contre la démocratie seront très affaiblis voire anéantis, au moins temporairement.
Plus de fonds, plus d'actions.
Trump ne l'ignorait pas et c'est pour cette raison que son premier fait d'arme fut la création du DOGE.
L’année 2025 qui démarre sur les chapeaux de roues nous réservera bien des surprises. Ce n’est que le début.

Pourquoi le « DOGE » étripe USAID

H16

- 10/2/2025 - Si vous vous en tenez à la presse française, vous n’avez probablement pas entendu grand-chose au sujet du DOGE, le Department Of Government Efficiency américain, créé par Donald Trump pour qu’Elon Musk fasse le ménage dans les dépenses fédérales. C’est dommage, parce que ce que Musk fait avec « DOGE » est particulièrement intéressant, et notamment la façon dont il procède pour obtenir le bon résultat au final.


Lui, comme d’autres, sont parfaitement au courant du niveau de corruption du gouvernement fédéral et comment un groupe de voleurs (le « Blob » ou le parti unique) en a pris les rennes. Mais un grand nombre de normies – et d’opposants politiques à Trump ou Musk – ne sont pas au courant et refusent même d’y croire.

Le plus simple est alors de montrer l’ampleur du problème et c’est exactement ce à quoi sert le scandale USAID, où l’on découvre que cette agence distribue du pognon du contribuable américain à des causes de plus en plus farfelues.

USAID est en substance utilisé comme caisse noire.

Il est en effet à peu près impossible d’inscrire au budget fédéral américain une ligne spécifique pour des pots-de-vin, du favoritisme, etc. Ca ne passera évidemment pas. En revanche, si on cache les dépenses frauduleuses au milieu de milliers de dépenses présentables voire légitimes, ça ira.

USAID est un fonds général utilisé pour créer une série d’agences portant des noms tels que « Bureau Fédéral de Sauvetage Des Chatons Mignons ». L’avantage est que ces agences font partie de l’Exécutif, mais s’occupent des petits détails opérationnels des grandes politiques lancées par le Président et son administration. À leur tête, on place des bureaucrates embauchés (et donc non élus) et elles sont financées par une seule ligne budgétaire.


Ce qui permet de remplacer des multitudes de lignes genre « Fonds pour de la poterie créative en Ukraine » ou « Fonds pour des Préservatifs pour les jeunes de Gaza » par une seule grosse ligne « 50 milliards pour le Bureau Fédéral de Sauvetage des Chatons Mignons ».

Si quelqu’un pose des questions, il est alors facile de faire le choqué et d’exiger de savoir pourquoi on veut nuire à des chatons. L’opinion suivra l’indignation, les fonds continueront de couler.

Quant à la réalité des fonds, ils sont distribués à des entreprises qui appartiennent au politicien qui a voté pour ces fonds pour réaliser des trucs idiots. Ou distribués à des maisons d’édition qui vont produire des livres que personne ne lira et qui iront direct au pilon mais qui permettront à certains de toucher des avances sur droits d’auteur. Ou filés à des firmes de Wall Street pour qu’elles paient des fortunes pour des speechs de 20 minutes de politiciens en retraite. Bref, il s’agit de distribuer de la thune, ceux qui la reçoivent font semblant de faire des trucs plus ou moins idiots et empochent l’argent (et en reversent une partie au(x) généreux politicien(s) impliqués).

Le but n’est pas ce qui est réalisé avec l’argent fédéral, mais le fait que cela permet de le transférer vers les poches de certains bénéficiaires bien identifiés. Au passage, notons qu’en France c’est exactement le même procédé avec les myriades d’associations lucratives sans but, liées au climat et à toutes les causes militantes variées. À la fin, tout le monde en croque : les politiciens bien sûr, leur famille aussi, puis certains « entrepreneurs » et leurs accointances, et rapidement les journalistes, les médias en général, etc.


Dans le cas américain, une fois la machine enclenchée, et en fonctionnement depuis des dizaines d’années, rapidement, tout est corrompu, y compris les juges.

Bien évidemment, quand Trump est élu, c’est un peu une autre musique : en nommant Musk à la tête du DOGE, il nomme quelqu’un qui n’a pas besoin de piller quoi que ce soit pour s’enrichir puisqu’il est déjà l’homme le plus riche du monde.

En prenant en main le DOGE, Musk sait qu’il va se heurter à une opposition féroce. Il a donc besoin d’un élan politique et d’un soutien public imparables, et ce rapidement. Il doit donc prendre les devants, avant que le Bureau Fédéral de Sauvetage des Chatons Mignons ne puisse mobiliser son pouvoir médiatique (tous les médias corrompus par exemple) pour se mettre en travers de son chemin. Cependant, en agissant le plus vite possible, en gagnant rapidement le soutien du public, toute forme de défense du statu quo sera considérée comme une preuve de corruption.

On pourrait taper sur l’IRS (le fisc) et l’ATF (l’agence réglementant les armes, l’alcool, le tabac et les explosifs) car ils sont très impopulaires, mais l’USAID est un meilleur choix : cette caisse noire n’a pas de comptes à rendre et finance des foules de « petits » projets, souvent loufoques ou très discutables.

En mettant au jour ce qu’il découvre, Musk force les politiciens du Blob, du « parti unique », et les bureaucrates de l’État profond à défendre ces fonds ; et ce n’est pas simple : au lieu de débattre sur le degré de contrôle des dépenses des agences fédérale (ou savoir si Musk est le mieux placé pour faire le ménage), les corrompus doivent défendre la pertinence de payer la facture de 1,5 M$ pour « donner aux femmes les moyens de s’adapter au changement climatique dans le nord du Kenya ». Bonne chance !

Et ils doivent absolument justifier ces dépenses, car sinon, cela revient à admettre qu’il ne s’agit que de détournement ou de blanchiment, ce qui signifie… la prison pour eux au bout du processus.

C’est pourquoi les médias, les politiciens s’agitent Outre-Atlantique, pourquoi ça s’inquiète fort en Europe (qui était aussi arrosée par ces fonds) : l’idée est de générer suffisamment de « contre narratif » pour éviter d’aller en prison fédérale. On peut voir des exemples de ces « narratifs en pleine panique » se déployer actuellement sur les médias et les réseaux sociaux


C’est bien sûr encore trop tôt pour parler de procès, d’inculpations et de sentences. Mais ça commence à se profiler et c’est pour cela que certains ont déjà les mains moites.

Reste à savoir si cela ira jusqu’au bout. Pour le moment, tout semble indiquer que Musk et Trump sont décidés. Achetez du pop-corn, cela pourrait devenir franchement croustillant.


https://h16free.com/2025/02/10/80107-pourquoi-le-doge-etripe-usaid

8 février 2025

USAID : L'INCROYABLE AFFAIRE QUI SECOUE WASHINGTON ET AFFOLE LA GAUCHE AMÉRICAINE

Marc Amblard

- 8/2/2025 - Il importe que les Européens portent une attention toute particulière sur ce qui se passe actuellement aux États-Unis. Elon Musk et son équipe de jeunes génies de l’informatique sont en train de recourir à l’intelligence artificielle pour analyser des milliards de données relatives à une agence fédérale (l’équivalent d’un ministère) : l'USAID (Agence américaine pour le développement international).
Celle-ci se révèle être en fait une caisse noire pour les démocrates progressistes (mais pas uniquement) destinée à financer des projets aussi douteux que la promotion du changement de sexe un peu partout dans le monde, des recherches à Institut de virologie de Wuhan en Chine d’où serait sorti le Covid 19, la distribution de préservatifs à Gaza, le renversement de gouvernements jugés inappropriés ou encore des groupes terroristes au Moyen-Orient liés au Hamas.
Vous voulez d’autres exemples délirants : M. Musk a découvert que l’agence a donné 7.900.000 $ pour former les journalistes sri-lankais à éviter le "langage binaire sexué". Elle a également alloué 2.000.000 $ pour promouvoir la chirurgie de transition au Guatemala. Ou encore 3.900.000 $ pour la cause LGBT en Macédoine. 8.300.000 $ pour l'éducation à l'équité et à l'inclusion au Népal. Une liste sans fin.
N.B. Les liens vers les preuves ont été publiés sur le site de la Maison blanche.
Inutile de mentionner que chaque subvention versée entraîne très souvent le paiement discret d’une rétro-commission au généreux donateur. Tout cela bien sûr avec les impôts des Américains qui apprécient…
Ce qui se joue actuellement aux USA est juste incroyable.
Si Trump et Musk parviennent à réformer et nettoyer l'administration américaine en profondeur, c’est une nouvelle ère qui s’ouvre pour ce pays qui profitera ainsi d’un allègement de sa fiscalité et partant, d’un regain de dynamisme économique. Une tempête qui ne laissera pas l’Europe indifférente même si on peine encore à évaluer les conséquences pour notre vieux continent. Nul doute qu’à terme, elles seront très importantes.