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Affichage des articles dont le libellé est Zelensky. Afficher tous les articles
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17 février 2025

Denis Albisser

- 16/2/2025 - Ces deux visages incarnent parfaitement le cancer qui ronge l'Europe.
Une russophobie primaire, la guerre à tout prix, la corruption, l'incompétence, l'immigration de masse, la trahison des Ukrainiens et des Européens.
Bref, l'idéologie des dégénérés de Davos, avec l'escroquerie climatique...
Et, la censure pour museler toute voix discordante...
C'est devant ces gens-là, que se prosterne toute la caste politique et médiatique...
Ils savent tous ça, jusqu'au dernier député, ou sénateur...
Ils savent que nous savons, qu'ils ne servent à rien, à quelques exceptions près.
Et, nous, nous savons, que nous devons nous débarrasser de cette caste de nuisibles...

16 février 2025

GUIGNOL'S BAND 2025

Gabriel Nerciat

- 16/2/2025 - Décidément, depuis l'investiture de Trump, ça n'arrête pas. Tous les jours, on a droit à une perle.
Cette fois, c'est le chef-escroc en déroute de l'entité ukrainienne qui vient tout naturellement proposer de créer une armée intégrée européenne indépendante des Etats-Unis et dirigée par... lui !
Rien que ça, ma bonne dame !
La CED de Jean Monnet et de Ike de sinistre mémoire, ressuscitée d'un coup d'un seul par le pétomane mafieux de Kiev – lequel, confronté aux rebuffades de Trump, ne sait plus trop où trouver armes, dollars et munitions avant que son armée s'effondre.
Engagez-vous, rengagez-vous, les amis. Les corps francs et la division Charlemagne, c'était vraiment le bon temps. D'ailleurs, même le viril Renaud Camus a envie d'y aller.
À côté du drapeau marial de l'UE qui a déjà éclipsé le drapeau tricolore, nous aurons désormais le fanion jaune et bleu de l'entité kiévienne, sous la bannière duquel nous enverrons nos cadets se faire trouer la peau dans la boue enneigée du Donbass pour l'amour du lithium, des terres rares, du charbon et des droits LGBTQ.
Depuis ce matin, BHL, Guetta, Tenzer, Cohn-Bendit, Françoise Thom et les autres évidemment trouvent ça génial. Quand elles y pensent, Madame Van Rentherghem et son amie Ursula défaillent de bonheur. On devine leurs poitrines palpitantes dès que Zelensky ouvre la bouche, et tend la main.
Le Banquier-Président, dit-on, va revêtir sa plus belle panoplie de boy-scout pour en parler demain, à l'Elysée, à ses homologues du Conseil européen. Ce sera grandiose.
En fait, j'ai vraiment l'impression d'être en colonie de vacances. Il ne manque plus que le calamiteux Pierre Perret pour venir nous jouer à la guitare des marches militaires.
À propos, Le Déserteur de Boris Vian a-t-il été traduit dans l'idiome ukrainien ? Il semblerait que oui.

8 février 2025

Frank Guisnet

- 6/2/2025 - La guerre en Ukraine est le théâtre d’une gigantesque fraude orchestrée par la mafia kiévienne, mais également par quelques généreux donateurs occidentaux, aussi corrompus que la clique au pouvoir à Kiev. Tout cela est caché depuis trois ans.
Il est temps que les dirigeants occidentaux cessent de tromper et de mentir à leur peuple. Depuis trois ans, les médias nous font pleurer sur le sort d’un régime criminel et corrompu qui s’adonne à des ignominies inavouables pour s’enrichir sur le dos de son peuple et aux dépens du contribuable occidental.
L’Ukraine n’a jamais été le bouclier de l’UE face à l’ogre russe, elle est son tombeau. Agiter le spectre d’un retour à l’URSS est la fable la plus grotesque qui soit. C’est l’Otan qui a voulu la guerre, pas la Russie.
Selon le SVR, Zelensky et sa clique ont détourné 1,5 milliard de dollars de l’aide occidentale et ont élaboré un montage crapuleux pour percevoir la solde des soldats morts sur le front mais déclarés toujours vivants. Sans parler des matériels revendus sur le darknet depuis trois ans. Des fortunes colossales se sont bâties depuis 2022 sur les cadavres de centaines de milliers de soldats ukrainiens.
Pendant que l’UE, totalement aveugle et imperméable aux réalités du front, clame haut et fort qu’il faut poursuivre l’effort de guerre au profit de Kiev, même sans les Américains, pour ne pas être avalés par l’Ours russe, Zelensky et sa clique d’oligarques sans foi ni loi s’en mettent plein les poches sur le dos de leur peuple saigné à blanc. Les chiffres des pertes sont effrayants mais le prix de la chair à canons, pour les prédateurs de Kiev, se juge au poids des détournements sur l’aide occidentale.

Estimations des pertes militaires (24/01) :
RUSSIE : 55 400 tués, 143 500 blessés (dont graves : 15%) ; UKRAINE : 740 000 tués, 800 000 blessés (dont graves : 67%) +6 900 mercenaires OTAN tués. SOURCES croisées confidentielles : FR/OTAN/RUS/UKR/US, selon l’historien militaire Marc Legrand.

Dans la région de Koursk, c’est un massacre :
L’armée ukrainienne a perdu 22 690 tués et 26 920 blessés, depuis le 6 août 2024, dans l’oblast de Koursk, où elle mène une opération militaire contre des civils russes… 322 chars, 1 983 véhicules blindés, 1 680 véhicules, 452 pièces d’artillerie, etc.
1000 dollars sont donc détournés pour chaque soldat ukrainien tué ou blessé. Puisse cette guerre fraîche et joyeuse pour la clique au pouvoir, durer encore des années.
En 2023, la CIA avait reconnu que Zelensky avait détourné 400 millions de dollars. Mais depuis cette époque, tout le monde veut en croquer, oligarques, généraux et autres prédateurs bien placés pour dépecer le pays.
Selon le SVR, le service russe du renseignement extérieur, les détournements atteignent 1,5 milliard de dollars, pris sur l’aide réellement arrivée à Kiev.
Car l’aide octroyée n’arrive pas en totalité en Ukraine. Les rétrocommissions que perçoivent les généreux donateurs occidentaux sont à déduire des sommes théoriques fournies à Zelensky.
Bref, cette guerre enrichit aussi bien une armée de prédateurs ukrainiens que quelques Occidentaux sans scrupules.

En effet, de son côté, Zelensky déclare que plus de 100 milliards ne sont jamais arrivés en Ukraine sur les sommes promises.
https://reseauinternational.net/zelensky-je-ne-sais-pas.../

Au total, ce sont 400 milliards qui ont été accordés à l’Ukraine, sans aucun contrôle.
Une gabegie savamment orchestrée sur le dos du contribuable occidental, gros dindon de la farce.
Poutine ayant déclaré qu’il refusait de discuter avec Zelensky, dont il juge le maintien au pouvoir illégitime depuis la fin de son mandat début 2024, les Occidentaux envisagent la mise à l’écart du saltimbanque ukrainien, tombé en disgrâce.
Toujours selon un communiqué du SVR, une vaste campagne de diffamation serait en gestation pour discréditer Zelensky afin de l’écarter. De nouvelles élections seraient organisées avant l’automne au plus tard .
Et pour torpiller le Churchill ukrainien, rien de tel que de rendre publiques quelques informations soigneusement occultées jusque là :
- « le détournement par le « président » et son entourage, de plus de 1,5 milliard de dollars de fonds destinés à l’achat de munitions »
- « le montage d’un système frauduleux dans lequel des paiements destinés à 130 000 soldats ukrainiens tombés au combat – qui restent officiellement répertoriés comme personnels en service actif – ont été acheminés à l’étranger par Zelensky et ses associés »
- « l’implication du « commandant en chef suprême ukrainien » dans la vente de grandes quantités d’armes et de véhicules donnés par l’Occident à divers groupes armés dans les pays africains ».
Voilà l’ignoble Rapetou que l’Occident vénère depuis trois ans, en nous faisant pleurer sur le sort de l’Ukraine, alors que ses dirigeants pillent allègrement l’aide occidentale et envoient leur peuple au massacre, en lui faisant miroiter une victoire impossible.
États-Unis et Europe sont coresponsables de ce carnage sans fin.
Cela dit, pas question pour l’Otan de faire le moindre cadeau à Poutine. Il s’agit d’écarter Zelensky, totalement grillé, pour ensuite geler le conflit en vue de négociations futures.
À ce jour, aucune rencontre n’a encore eu lieu entre Poutine et Trump.
Les Russes sont prêts à négocier, mais selon les bases du protocole d’Istanbul de 2022, torpillé par Boris Johnson, dangereux va-t-en-guerre.

– une Ukraine neutre et non alignée
– une Ukraine dénucléarisée
– une Ukraine démilitarisée et dénazifiée
– Pas de troupes étrangères déployées sur son sol
– Nouvelles réalités territoriales prises en compte
– Éradication des causes profondes qui ont conduit au conflit.

« En outre, tous les aspects juridiques concernant l’illégitimité de Zelensky et son décret interdisant les négociations bilatérales doivent être résolus avant que les négociations puissent être lancées ».
Cette guerre va donc durer encore plusieurs mois. Bien difficile de prédire ce que décideront Trump et Poutine. Quant à l’Europe, divisée et affaiblie comme jamais, elle ne pèse guère dans ces négociations.
Ce qui n’empêche pas la clique irresponsable de Bruxelles d’avoir la prétention de poursuivre la guerre contre la première puissance nucléaire mondiale. Il est clair que ce ne sont pas les proches des va-t-en-guerre qui se font déchiqueter dans les tranchées.
Rien de bien nouveau en Europe.
1,5 million de victimes, 400 milliards partis en fumée, alors qu’il suffisait d’appliquer les accords de Minsk pour éviter la guerre. C’était la seule exigence de Poutine. Mais l’Occident lui a ri au nez.

3 février 2025

Péonia

Le pianiste le mieux payé de la planète a déclaré que l'Ukraine n'avait reçu qu'environ 75 milliards de dollars sur les 177 milliards d'aide envoyés par les États-Unis.
« Je ne sais pas où est tout cet argent. »
Sans blague !!


Medvedev

"Dans un moment de franchise, le chef du régime bandériste a admis que lui et ses associés avaient détourné 100 milliards de dollars.
Il l'a fait timidement, comme le petit voleur Alchen dans Les Douze Chaises, en laissant entendre : "Nous n'avons jamais vu cet argent. Demandez au vieux Biden où il est passé". Bien entendu, il s'agit d'une tromperie flagrante et cynique. L'argent a disparu dans les poches d'escrocs en tout genre, de Washington à Kiev. Les poches profondes du ministère américain de la défense, de la CIA et du complexe militaro-industriel l'ont aspiré avec empressement - étant donné le volume des fonds alloués, ils l'ont fait pendant longtemps et avec un plaisir non dissimulé. Le pillage s'est poursuivi à Kiev, où des milliards ont été volés, non seulement en espèces mais aussi en armes, que l'on retrouve aujourd'hui un peu partout dans le monde.
Que se passe-t-il ensuite ? Rien. Les voleurs se gracieront eux-mêmes. Biden a déjà entamé le processus. Même les tentatives bien intentionnées mais naïves d'Elon d'enquêter sur le vol idéologique au sein de l'USAID et sur la corruption dans l'aide à l'ex-Ukraine ne mèneront nulle part. Il y aura bien quelques cris, des poings serrés, des auditions au Sénat et quelques licenciements de boucs émissaires, mais c'est tout. L'aide à Kiev se poursuivra sous le slogan de l'ère Reagan « La paix par la force ». Et le soutien aux marionnettes politiques formées par l'Amérique à travers les révolutions de couleur reprendra, accompagné du roulement de tambour des soi-disant intérêts nationaux américains.
Pendant ce temps, l'insatiable Gorge Profonde de l'État profond continuera à satisfaire tous ses clients lubriques".

30 novembre 2024

Le comique Zelensky

Pierre Duriot


- 30/11/2024 - La Russie a envahi l’Ukraine parce qu’elle ne voulait pas de bases américaines à ses portes. Et aujourd’hui, Zelensky, devenu illégitime car non réélu, propose de laisser quelques territoires à la Russie à condition que l’Ukraine rentre dans l’OTAN, c’est-à-dire  à condition que les États-Unis puissent installer quelques bases le long de la frontière russe. Et il se propose ensuite de récupérer les territoires cédés « momentanément ». L’art de prendre Poutine pour un lapin de six semaines et accessoirement de se ficher de la poire d’un peu tout le monde. Il fut un comique troupier, il n’a pas changé. Le mieux serait qu’il se fasse oublier et qu’il laisse des gens plus sérieux que lui gérer le bazar. Parce qu’en plus, on risque d’y trouver des trucs pas très catholiques.

16 novembre 2024

Pierre Duriot

16/11/2024 – Bizarrement, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui présentait, jusqu’à ces dernières semaines, plan sur plan pour battre la Russie, souhaite, depuis l’élection de Donald, la fin du conflit en 2025 par «des moyens diplomatiques». Gageons qu’il souhaite surtout arriver à sauver sa propre peau, dont les jours sont comptés. Et accessoirement, éviter qu’on lui demande avec trop d’insistance, ce qu’il a fait de tout le fric qu’on lui a donné…

17 janvier 2024

Zelensky à Davos

Vincent Verschoore

Zelensky à Davos, l'acteur en action. Il commence par poser trois vraies questions : quand la guerre va-t-elle finir, une troisième guerre mondiale est-elle possible, est-il temps de négocier avec Poutine ?
Ensuite, il charge Poutine de tous les maux, l'assimilant aux pires des régimes, la lie de l'humanité, le seul responsable et coupable. Il semble ignorer que la majorité de la planète est plutôt du côté de Poutine, non parce qu'elle serait contre l'Ukraine, mais contre l'Occident et ses mensonges, ses guerres, et ses doubles standards.
Il regrette avoir écouté le conseil de l'Otan: "don't escalate". Il réitère sa demande pour toujours plus de matériels en vue d'une guerre totale avec la Russie, semblant totalement ignorer la réalité du rapport de forces. Il demande toujours plus d'argent pour supporter et reconstruire l'Ukraine, tentant de se présenter comme le cœur battant de la lutte pour la démocratie, alors même qu'il mène un régime corrompu jusqu'à l'os, décime sa population en refusant toute négociation prenant en compte la réalité du rapport de forces, lui imposant une police (SBU) digne du KGB et une mobilisation par la force d'hommes en bonne partie inaptes au combat.
La situation en Ukraine est misérable, d'abord et avant tout pour les Ukrainiens. L'Amérique, qui n'a pas d'amis mais que des intérêts, va lâcher Zelensky, comme elle lâche tout le monde (sauf Israël, et encore), car ses objectifs sont atteints : tirer un profit économique de la situation de guerre, et casser pour longtemps le lien Europe-Russie qui menaçait sa propre emprise sur le vieux continent. De l'Ukraine, elle se fiche complètement, et ne fera que la piller.
J'imagine que l'audience qui applaudit Zelensky à Davos le sait. Elle sait que tout ceci n'est qu'un théâtre morbide, où les riches se font plaisir sur les corps déchiquetés des soldats de fortune. J'imagine que Zelensky sait qu'elle sait. Ils sont tous à vomir. 17/1/2024



31 octobre 2023

ZELENSKY, ASSISTANT PRODUCTEUR DE POGROMS

Gabriel Nerciat

Non content d'avoir sans remords ni complexe fourni son nom d'origine juive comme alibi à une indigne et ahurissante alliance politique avec les dernières forces néo-nazies revendiquées du continent européen pour le compte de l'OTAN, le répugnant escroc-pétomane de Kiev, seul responsable officiel de la sanglante et ruineuse contre-offensive de cet été dont l'échec complet est désormais entériné par toutes les chancelleries, essaie en vain de se rappeler au bon souvenir de l'oublieux Occident en imputant à la Russie la responsabilité de la tentative de pogrom qui a éclaté il y a deux jours dans un aéroport du Daghestan.
Manque de chance pour lui : on sait désormais que l'organisateur de ce lynchage anti-juif n'est autre que le "dissident" russe Ilya Ponomarev, ancien député de la Douma, "réfugié" à Kiev sous la protection des autorités ukrainiennes, et fondateur d'une légion de volontaires russes désireux de se battre sous le drapeau bandériste contre leur patrie.
Ce dernier a utilisé la chaîne Telegram russophone Le Matin du Daghestan afin de faire connaître aux activistes fréristes de la république musulmane caucasienne la présence de voyageurs israéliens à l'intérieur de l'aéroport de Makhatchkala et les inciter à s'y rendre.
Vous me direz que tant qu'on parle de ça, on évite de se demander pourquoi certains commandos du Hamas ont utilisé des armes de provenance ukrainienne pour abattre des civils israéliens lors de la tuerie du 7 octobre.
Quoi qu'il en soit, le moins qu'on puisse dire est qu'il ne semble pas très confraternel envers ses coreligionnaires, le courageux président de l'Ukraine.
Nul doute qu'à Paris et à Washington, ses principaux souteneurs, pardon soutiens, vont finir par s'en émouvoir, et qu'ici même BHL, Glucksmann fils ou l'inénarrable Galia Aeckerman vont séance tenante effectuer à son sujet des révisions déchirantes (c'est une blague).
En réalité, il fait penser à ces parrains italo-américains de la prohibition qui, pour essayer de conserver une petite partie de leurs anciennes activités illicites après la fin de l'interdiction de la vente d'alcools, entreprenaient de livrer aux flics leurs anciens associés ou de les faire trucider par des tiers tout en entretenant fastueusement pour la galerie des associations caritatives.
Il y a toujours un bon côté dans les tragédies : il se situe en général à la fin, lorsque les masques tombent et que le faux héros qu'on applaudissait au début se révèle tel qu'il est et doit quitter la scène, dans l'hostilité ou l'indifférence générales.

31 août 2023

Gilles Casanova

Il a suivi le conseil de L'Express, sa famille vient de s'acheter une villa de 5 millions de dollars au bord de la mer Rouge, il faut quand même bien ça pour tenir… il pourra y inviter Raphaël Glucksmann.

20 mai 2023

Radu Portocala

Une poésie que, dans la Roumanie communiste, tous les élèves de ma génération ont dû apprendre par cœur et étudier commençait par ces mots : « Le parti est en tout. »
Aujourd’hui, « le parti » pourrait être remplacé par le nom de Zelensky, sans que le rythme (dans la version roumaine du texte) ait à souffrir. Car l’homme au tricot kaki est en tout, partout. À l’ONU, aussi bien qu’à la cérémonie des Oscars, à l’Union européenne, aux grandes compétitions sportives, dans les parlements du monde, à la Ligue arabe, au G7 – rien, aucun grand sommet, aucune cérémonie ne s’ouvre ou ne se ferme sans sa présence virtuelle ou réelle.
On lui fait le même type de propagande qu’on faisait au parti communiste dans la Roumanie stalinienne. Et, comme le parti, il admoneste et il donne des directives, il distribue au monde les bonnes et les mauvaises notes, il nous montre que nous n’avons pas d’autre choix que de l’accompagner dans son échec.
Mais c’est la facilité, le naturel avec lequel l’Occident a fait sien ce type de propagande qui m’étonne – alors qu’en réalité, l’ambiance dans laquelle nous vivons depuis un certain temps devrait m’empêcher de trouver cela curieux. Comme l’abominable poète roumain de naguère, l’Occident ne sait plus autre chose que d’être le chantre docile des idées – en général, mauvaises – que les excités de toutes sortes imposent à son attention. Révolutions tordues, fausses causes qui le font mourir lentement, les yeux écarquillés et la bouche ouverte tel un poisson que l’air suffoque.

19 avril 2023

Vincent Verschoore

M'enfin ! Hors les euro-atlantistes qui nieront en bloc, j'espère quand même que personne ne fera semblant d'être surpris. Avant sa mise sur piédestal en février 2022, l'Ukraine et ses institutions, dont évidemment le personnel politique et fonctionnaires, était réputée comme championne du monde (au moins occidental) de la corruption.
C'est pour cela que s'y joue l'affaire Hunter Biden, et que les US y font ce qu'ils veulent depuis 2014. Pour une ordure comme Zelensky, 400 millions de dollars ça doit couvrir la mise à mort de quelque 100 000 à 200 000 soldats ukrainiens (pour rien) et la destruction économique et politique de son pays au profit du grand capital US.
Les détournements de moyens (armes, argent, vivres) envoyés à nos frais à l'Ukraine sont tellement énormes que le régime US, ne pouvant le nier, vient d'allouer 20 millions de dollars pour vérifier que son aide militaire n'est pas détournée... Total foutage de gueule.
Entre-temps, le massacre continue, et la propagande euro-atlantiste n'y change rien. La fameuse contre-offensive semble repoussée au fur et à mesure que les réserves ukrainiennes sont englouties dans le hachoir à viande de Bakhmout, et que les armes et munitions, payées par nous, sont détournées et revendues sur le marché noir.

24 février 2023

HAPPY BIRTHDAY ORDURE

Gabriel Nerciat

Pas la peine de faire cette gueule, fripouille.
Tu as l'air encore plus pitoyable et dénudé avec ton treillis de bazar que lorsque tu jouais de la musique avec tes roubignoles – ton seul rôle notable.
Qu'est-ce que tu crois ? Ce n'est pas parce que c'est ton anniversaire aujourd'hui qu'on va t'offrir la Lune ni tes avions à la noix, que tes branquignoles de soldats de toute façon ne savent pas plus piloter que les chars dont tu manquais.
Une seule grande ville de conquise en un an pour presque 200 milliards de dollars venus de l'Ouest et 120 000 morts, ça ne le fait pas au compteur, arsouille.
Maintenant tu nous les brises sérieusement, sache-le. Tu es encore plus nul que le général Petraeus ou le satrape Hamid Karzaï, c'est dire. Et eux au moins, même s'ils coûtaient presque aussi cher que toi, ne réclamaient pas la Troisième Guerre mondiale tous les quatre matins après chacun de leurs fiascos.
Il y a un an, seuls les Russes te détestaient ; maintenant, c'est nous, et tu n'as encore rien vu.
Pour une partie croissante des peuples européens, tu incarnes le visage de la fourberie, de l'escroquerie, du danger mortel et de la scélératesse bavarde.
Au final, tu n'auras fait que mener à la destruction de plus en plus complète de ce que tu appelles faute de mieux ton pays, et tu l'auras fait au nom d'intérêts inavouables qui ne sont même pas ceux des tiens.
On s'est longtemps demandé contre quoi pourrait un jour se définir l'Europe. Eh bien, c'est par le refus de tout ce que tu es, et de ce vers quoi tu désires nous mener. Jamais toi et les tiens ne ferez partie des nôtres ; do you understand, Matamore ?
Ta défaite sera notre victoire, peut-être bien plus que celle de Poutine.
Car la destruction et la dislocation de ton État croupion seront la pierre d'angle de notre souveraineté et de notre sécurité futures.
Maintenant, ferme-la pour de bon et tire-toi. On t'a déjà beaucoup trop vu. Va faire les poches des Polonais ; ils sauront se faire rembourser sur ta gueule le moment venu, crois-moi.

17 novembre 2022

L’encombrant camarade…

Pierre Duriot

Des sources diplomatiques officieuses ont craché une partie du morceau : Zelensky aurait tenté un coup tordu pour enclencher une guerre totale, à savoir, balancer un missile sur la Pologne, membre de l’OTAN, pour forcer l’organisation à entrer en guerre, conformément à sa vocation : si l’un des pays membres est attaqué, on y va tous. Durant les premières heures qui ont suivi l’impact, la tension est montée, puis les Polonais eux-mêmes, ont eu la sagesse de douter. Puis tout le monde, a eu la sagesse de douter aussi. On se dit tout de même, qu’avec le nombre de satellites au-dessus de nos têtes, tout le monde, ou presque, doit savoir d’où est parti ce missile malencontreux et quelle trajectoire il a eu. Et qu’à l’évidence, il ne venait pas des Russes, dont les positions sont parfaitement connues.

L’ennui est que ça ne cadre pas avec le narratif : « Zelensky est un héros, il reprend des territoires, Poutine est en difficulté ». Dans l’euphorie de la victoire promise, pourquoi l’homme au maillot kaki prendrait-il le risque de déclencher un conflit majeur avec une frappe sur la Pologne ? Peu de gens sont dans le secret des modalités de cette guerre, mais il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que le camarade Zelensky ne remporte aucune bataille. Il se réinstalle sur les territoires que les Russes abandonnent, ce n’est pas pareil. "Guerre" sous-entend "communication de guerre", donc plutôt propagande. Difficile de savoir qui de Poutine ou de Zelensky est le plus en difficulté, mais c’est le second qui tente le tout pour le tout, dans un coup de poker foireux.

Aux États-Unis, quelques représentants commencent à demander des éclaircissements sur les dépenses engagées pour soutenir ce président fantoche, installé là où il est par la grâce du cabinet Mac-Kinsey. Et tout le monde se demande aussi ce que les États-Unis ont de si précieux en Ukraine pour y passer plus de 70 milliards ? Les bougres ne nous ont pas habitués à la « défense des valeurs démocratiques », ni à la philanthropie : ils se battent uniquement quand ça leur rapporte. Du coup, le camarade qui, à une époque, traînait à demi-nu, avec perruque frisée, dans les villes américaines branchées, est devenu encombrant. Les USA le poussent à la négociation avec Poutine qui donc, ne serait plus tant que ça aux abois. Et la France assiste impuissante au dézingage millimétré de ses canons Caesar payés par le contribuable français. Que va-t-on faire de ce guignol devenu ingérable et que pourrait-il raconter qui serait gênant, si on cesse de satisfaire ses caprices ?

Économiquement, tout le monde a essayé de se passer de gaz et de pétrole russe et ma foi, ça semble plus compliqué que prévu. L’idéal serait finalement que tout redevienne comme avant, mais personne n’a l’air de trop savoir comment s’en sortir sans perdre la face… au RPF, notre position n’a jamais varié : il fallait régler le problème des russophones ukrainiens du Donbass autour d’une table.


10 octobre 2022

Yann Bizien

Depuis des mois maintenant, le Président Zelensky catalyse une logique, inédite depuis 1939, de guerre mondiale. Il cherche en permanence à entraîner tout l'Occident dans une grande confrontation militaire contre la Russie qui a perdu son "glacis stratégique" historique progressivement préempté par l'OTAN.
Ce matin, il appelait le président français, et d'autres, à une "réaction forte face à Moscou". Hier, il se moquait du sabordage du Pont de Crimée. Il y a quelques jours, il appelait l'Occident à des frappes nucléaires contre la Russie, à abattre le président russe et à tuer tous ses soldats 'un à un". Il y a quelques semaines, il exigeait la fourniture de missiles américains à très longue portée pour obtenir un potentiel de frappes dans la profondeur du territoire russe. Il vient d'ailleurs d'essuyer un refus catégorique des États-Unis qui jugent sans doute le président ukrainien incontrôlable, voire dangereux.
Le président ukrainien entretient un climat très éloigné du statu quo et d'une perspective de paix. Bien au contraire, ses appels, son discours belliciste, ses décisions, ses actes, et son comportement ironique semblent dépasser, désormais, l'idée d'une guerre simplement conventionnelle.
Avec son "aura" d'invincibilité, Monsieur Zelinsky a perdu son sang froid et toute maîtrise. Certains diraient même qu'il a désormais la "grosse tête". Il n'a plus aucun recul, plus aucune raison et plus aucune sagesse. Il surfe sur les émotions internationales suscitées par la guerre. Il tire avantage de son audience planétaire, de ses invitations dans tous les hémicycles nationaux, de la compassion et de la complicité des dirigeants occidentaux et du soutien des très nombreux médias partisans et anti russes. Pour se donner de l'assurance, il s'appuie également sur la convergence de flux très importants d'argent et d'armements vers l'Ukraine qui alimentent sa soif de gloire, sa communication et son effort militaire.
Je me pose la question du contrôle de tous ces soutiens occidentaux fournis et livrés à l'Ukraine, pays réputé pour sa corruption endémique. Je me pose aussi la question des aptitudes du président Zelinsky à la conduite de la guerre et, surtout, à imaginer les conditions de la paix.
Les pronostiqueurs de victoires se sont trompés avec leur triomphalisme hâtif de ces dernières semaines : nous pouvons déjà dire que le président Zelinsky ne sera jamais Winston Churchill.