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21 novembre 2024

La tolérance zéro pour ceux qui doivent tout tolérer

Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français




- 20/11/2024 - La bourde récente de Retailleau, pourtant le ministre le moins mal-aimé de ce gouvernement qui ne représente quasiment personne, en dit long sur le chemin que prend la France. Pour en connaître le tracé, il faut regarder de l’autre côté de la Manche, où le premier Ministre laisse sortir de prison des délinquants étrangers, ou d’origine étrangère, auteurs de faits graves, pour faire de la place afin de faire exécuter des peines de prison fermes pour des Anglais de souche coupables simplement d’un tweet anti-gouvernemental. Retailleau donc promet la « Tolérance zéro ». L’expression a été popularisé par Rudolph Giuliani, maire de New-York, quand il s’est agit de reprendre la main dans cette ville gangrenée par la délinquance. Mais chez nous Retailleau l’envisage pour les agriculteurs qui auraient le toupet de ne pas accepter de mourir en silence. On l’attendait, ce Bruno, sur les caillasseurs de policiers, les auteurs de délits de fuite et de rodéo, les dealers de drogue, les violeurs, auteurs de violence en réunion, décapiteurs de profs, terroristes et habituels casseurs et incendiaires d’un peu tout… mais non. Il faut dire que les auteurs des forfaits précités ont tous une caractéristique commune, ethnico-religieuse, dont il ne faut pas parler et qui semble les mettre à l’abri des foudres d’une justice qui persiste, non pas à être laxiste, mais à donner sa pleine mesure pour un seul type de profil : la population d’origine, comme en Angleterre.

Et nous aurions tort de penser que cela pourrait en être autrement. Macron a publiquement soutenu son homologue britannique et on se souvient qu’il avait envisagé de faire tirer à balles réelles sur les Gilets Jaunes, ces séditieux. Quant à tirer sur les auteurs exotiques de délits de fuite à bord de voitures volées, c’est une autre histoire, ils sont objectivement protégés, à la fois par leur origine et par une presse qui monte au créneau au quart de tour pour défendre ces racailles, quand le décès d’un Thomas ou d’une Lilou, sous les coups de ces mêmes racailles, est systématiquement amoindri, dévalorisé et même moqué.

Retailleau donc, en droite ligne de ses prédécesseurs, prône la tolérance zéro uniquement pour ceux qui doivent tout tolérer et pour pour qui l’armada politico-médiatico-judiciaire veille bien à ce qu’ils ne soient pas tentés de se défendre et qu’ils acceptent de disparaître en silence, comme dans cette Angleterre qui montre le chemin. En réalité, les Français ont bien compris que leur propre gouvernement travaillait contre eux, qu’ils seraient ratissés jusqu’au dernier euro, pour que l’on puisse continuer à financer l’AME et l’aide sociale au tout-venant, alors même que tous les départements, régions, ou presque, sont en quasi cessation de paiement et qu’on soigne moins bien les provinciaux qui cotisent que les migrants oisifs et revendicatifs. La « tolérance zéro », on l’attend avec ceux qui rentrent dans des maisons qui ne leur appartiennent pas et s’y installent avec la protection du législateur, avec les fauteurs de trouble habituels, qui malgré une recherche d’excuses permanente et des motifs de libération alambiqués, arrivent tout de même à être majoritaires dans les prisons et quasiment dans toutes les prisons d’Europe. À l’image de ce père d’élève venu menacer de mort un proviseur parce que l’institution scolaire avait eu le malheur de demander à sa fille de retirer son voile. Huit mois de vie gâchée pour le fonctionnaire et au final un stage de citoyenneté et une simple amende pour le coupable, autant dire, rien. L’ethnicisation de la justice n’est pas qu’une impression, c’est une réalité quotidienne que nous avons déjà dénoncée au RPF, au vu de peines souvent incroyablement clémentes pour des faits graves, à condition que le prévenu ait le profil habituel. Il faudrait, comme l’a fait le Général de Gaulle en son temps, faire le ménage dans les juges collabos.

En réalité, il faut exécuter les OQTF, utiliser des moyens de pression sur les pays d’origine. Expulser à la première condamnation. Réserver les prestations sociales aux seuls Français. Déchoir de nationalité française les binationaux condamnés. Supprimer le droit du sol. Instaurer la faute professionnelle pour un juge qui libère un condamné qui récidive immédiatement. Supprimer les prestations sociales pour les multirécidivistes. Rétablir la responsabilité de leur progéniture pour les parents habituellement déresponsabilisés. Remettre au goût du jour le principe gaulliste de « un seul pays et une seule loi », pour tout le monde, dans un paysage où une catégorie spécifique de personnes est systématiquement exonérée au prétexte de son statut de « victime d’un racisme systémique ». Retailleau qui a fait illusion apparaît maintenant en droite ligne des pires gauchistes protégeant leur fond de commerce issu de l’importation. La France attend autre chose pour sortir du bourbier de l’échec sécuritaire dans quasiment tous les registres de la délinquance.

Non seulement nous n’en prenons pas le chemin, mais la presse propagandiste garde sa tendance à vouloir expliquer que ce qui nous arrive est une richesse et un bienfait, au moment où les entreprises du 93 doivent faire escorter leurs salariés pour être sûres de les retrouver en bonne santé le lendemain. Ce ministre-là doit encore prouver qu’il est à l’écoute des Français, ou du moins qu’il en a la simple intention, se reconnecter au réel et comprendre d’où vient la réalité de quasiment toute la délinquance française.

13 décembre 2023

Les crapules restant libres, leurs actes se multiplient

H16

Parfois, en France, il ne fait pas très bon tenter de vendre sa voiture sur certains sites de petites annonces : un individu l’a tenté récemment, s’est fait poignarder et voler son véhicule. Ce n’est pas le premier cas.

Parfois, en France, il ne fait pas très bon tenter de vendre un pantalon de jogging dans certains quartiers. Un adolescent l’a tenté récemment et s’est fait poignarder et tuer pour un vêtement de quelques dizaines d’euros. Apparemment, les guet-apens aux fausses petites annonces sont depuis plus de dix ans une “spécialité” des petits délinquants de ces quartiers.


Parfois, en France, il ne fait pas très bon enseigner l’histoire ou le français dans certaines communes, la représentation de certains tableaux classiques pouvant choquer nos petites têtes blondes ou presque, ce qui ne manque pas, toujours dans certaines communes, de déclencher des angoisses d’autant que ce n’est qu’un nouvel épisode “d’une longue liste depuis la rentrée”… Angoisses du reste compréhensible lorsqu’on découvre parfois des armes à feu ou des couteaux dans les mains des élèves. Rassurez-vous, le rectorat a clairement identifié que le danger n’était ni grave ni imminent. Ouf.


Parfois, en France, la jeunesse s’improvise cambrioleuse et manque de tuer une femme enceinte. Heureusement, cette jeunesse, affûtée comme du beurre chaud, laisse des indices subtils que la police parvient parfois à remonter.


Les cas se multiplient de jeunes déçus un peu virulents, de supporters anglais agités, de Kevin ou de Mattéo un peu trop vigoureux, d’adaptations ratées car trop passionnées d’un Roméo et Juliette modernisé

Ne verrait-on pas là encore une fois une nouvelle preuve d’un réchauffement climatique délétère ?

Ou n’est-ce pas encore une fois la preuve indéniable d’une montée en puissance de l’ultra-droite violente et revancharde sur laquelle on va donc devoir cogner très fort, à coup de dissolutions et de discours martiaux ?

La question est complexe, et on comprend qu’elle titille. Le gouvernement, en ébullition, montre chaque jour qu’il s’est emparé du sujet.


Malheureusement, le travail de fond sur la justice n’est pas fait. C’est ballot.

Les propositions de réformes s’empilent comme autant de bricolages à la marge pendant que les budgets sont mesquinement inadéquats pour un pays comme la France. Comme dans tout le reste du système social français, la bureaucratie engloutit le plus gros morceau du gâteau : les procédures judiciaires sont devenues si complexes et si longues qu’elles nécessitent toujours plus de moyens qui ne sont plus dévolus à rendre la justice, mais simplement à huiler les petits engrenages de l’Institution, ce qui n’a plus rien à voir.

Concrètement et contrairement à ce qu’en rapporte une presse toujours plus veule, la racaille qui pourrit l’existence de millions de Français n’est tout simplement pas condamnée.

La prison et l’isolement qui la caractérise sont sous-utilisés, ne permettant donc aucun répit aux populations confrontées toujours aux mêmes crapules. Petit-à-petit infuse l’évidence qu’à ne plus mettre en taule que les pires numéros (et encore), on favorise l’émergence obstinée de tous les autres dont les pires penchants s’expriment d’autant plus librement que les sanctions peinent à trouver application.

On dit (certes facilement) que la prison transformerait les délinquants en criminels. Ce n’est pas si certain puisque cela dépend avant tout de l’organisation (logistique notamment) de la mise à l’écart des individus dangereux, de la dynamique des groupes présents, de l’encadrement. Et il est clair que la France a d’énormes efforts à faire de tous ces côtés ; les gardiens sont en sous-effectif chronique, mal formés et mal payés, l’accompagnement et l’encadrement ou la formation des prisonniers sont insuffisants voire inexistants.

Mais surtout, la prison n’étant plus utilisée qu’à titre exceptionnel pour des crimes particulièrement graves, elle devient un véritable rite de passage bien plus efficace à marquer l’entrée dans la vie adulte qu’un diplôme en carton comme l’actuel Baccalauréat ou le Brevet des collèges qui fait rire tout le monde.

On sait inversement que l’application de sanctions systématiques et rapides (i.e. pas rares, fluctuantes et molles) est l’unique façon réellement testée et éprouvée de discipliner les individus qui n’y parviennent pas autrement sans d’ailleurs que la sévérité soit la règle. L’important reste de la cohérence de ces sanctions d’une personne à l’autre et dans le temps, ce qui est devenu une vaste blague en France.

Enfin, les sanctions ne peuvent être suivies de récompenses imméritées, qui envoient des signaux parfaitement contradictoires. Là encore, le système pénal français, distribuant des sanctions trop souvent inadéquates, de façon aléatoires, et après des temps calamiteusement longs, s’ajoute à un environnement d’aides sociales délirantes, trop nombreuses et saupoudrées de façon aussi laxiste qu’aveugle qui ne parvient pas à encourager les comportements désirables par rapport aux autres.

Ici, on se heurte à un problème idéologique : on a décidé depuis un demi-siècle qu’il était inconcevable de garantir l’utilisation logique et normale de la sanction, en la posant aussi rarement que possible. La société sociale-démocrate, câline et bisounoursique, s’est voulue douce, aimable, ouverte, ultra-inclusive et cotonneuse, maternelle au point de refuser l’usage raisonné de la force.


Et en France Bisounours, le manque de prisons constitue une excellente excuse pour ne pas en user.

Cependant, compte-tenu de la taille de la population, on pourrait (devrait !) doubler le nombre de cellules disponibles et on serait encore en-dessous des besoins réels, notamment pour compenser la vétusté de certains établissements qui feraient honte même à des pays du Tiers-monde. Mais là encore, comme pour l’application de sanction de façon rapide et logique, on se heurte à un problème idéologique profond que je détaillais dans un précédent article.

Dans une société équilibrée, l’application des sanctions fait aussi partie du rôle des autorités parentales, des institutions d’encadrement. Or, lorsque les parents sont globalement absents et que leurs enfants ne sont plus soumis à des figures d’autorité parce que les institutions, partout, refusent d’user de la force, de la contrainte et de la sanction, pourtant seuls marqueurs de l’interdit, alors c’est le groupe qui se charge de le faire et ce dernier s’auto-alimente et se calibre en boucle interne ce qui ne peut aboutir qu’à toujours plus de violence et de comportements extrêmes (ce qu’on observe assez bien actuellement).

L’aboutissement est toujours l’auto-destruction, vers laquelle on se dirige de façon assez guillerette si l’on en juge par la gourmandise avec laquelle les clowns au pouvoir nous y emmènent.

Ce pays est foutu.


https://h16free.com/2023/12/13/76141-les-crapules-restant-libres-leurs-actes-se-multiplient

24 novembre 2023

UN VISAGE ET UN NOM

Gabriel Nerciat

Le jeune homme qui a assassiné Thomas lors de la razzia nocturne de la Drôme le week-end dernier s'appelle Chaïd Akabi.
Pour une raison que j'ignore, les médias assermentés refusent de donner son identité et de révéler son visage, se contentant de dire qu'il est "français" - et donc à ce titre aucunement concerné par les problèmes relatifs à l'immigration.
Dès lors, il me semble opportun d'user des réseaux sociaux pour le faire à leur place.
On peut d'ailleurs voir à ce cliché qu'il s'agit d'un jeune Français parfaitement intégré et même remarquablement assimilé, jusque dans la marque de ses vêtements que sa victime n'aurait peut-être pas pu s'offrir.
Il faut vraiment avoir l'âme nauséabonde de "l'extrême-droâte" pour oser prétendre le contraire.

21 novembre 2023

Yann Bizien

Je reviens et j'insiste sur les causes et les conséquences de la tragédie de Crépol :

BFMTV estime qu'il s'agit de pain bénit pour l'extrême droite. France inter, France info effleurent les faits.

Les journalistes en oublient le sang qui a coulé, la mort du jeune Thomas, les deux victimes en urgence absolue et les 14 autres blessés. Ils ne voient plus les criminels, ni leurs motivations et surtout pas leur haine. Ils ne condamnent plus franchement et moralement la violence.

Au nom de la culture de l'excuse d'une minorité islamisée et agressive, il ne faudrait surtout pas la stigmatiser. Au contraire, il faudrait quasiment l'amnistier, l'acquitter et la blanchir.

Un certain journalisme est devenu indigne, ignoble et complice de la racaille, des voyous et des criminels.

Le silence des médias ou leur interprétation des faits favorise toujours plus l'impunité et la violence. Ces jeunes anti France n'ont plus peur des forces de l'ordre, plus peur de la justice et plus peur de la prison.

Emmanuel Macron s'était prononcé sur la mort de Nahel. Mais il n'a toujours pas fait part de son indignation sur le massacre de Crépol.

Gérald Darmanin est dans son ambiguïté, dans l'attente des conclusions d'une enquête qui ne dira pas tout sur les motivations réelles des assaillants armés de couteaux aux lames de 25 centimètres.

Tout ce qui nous arrive n'est pas la "faute de la société". Il ne s'agit pas de notre faillite personnelle ou collective. C'est la responsabilité de la classe politique au pouvoir depuis plus de 40 ans. Elle n'a jamais rien entrepris de sérieux pour empêcher ce phénomène. Aujourd'hui, elle est débordée et dépassée.

Nous ne sommes plus à l'abri de cette menace dans la France profonde. Mais les Français en danger ont bien conscience de ce qui se passe dans tout le pays. L'État ne peut plus garantir leur sécurité. Ils vont donc s'adapter. Ils doivent aussi voter massivement contre les responsables politiques pour les sanctionner.

20 novembre 2023

Pierre Duriot

Je me marre… les « amis » de Nahel en pleine manif, masqués, cagoulés, pour ne pas qu’on les reconnaisse. Y aurait-il une honte à être l’ami de Nahel ? Seraient-ils prêts à quelques gestes pour lesquels il vaut mieux qu’ils soient masqués ? On ne saura pas, mais ce sont de bons garçons, selon la formule habituelle, ils n’ont brûlé ou volé que quelques… enfin rien quoi. Mais ils sont masqués, on ne sait jamais, dans cet État structurellement raciste. Les journalistes ne s’en offusquent pas et tendent les micros quand même. Puisque c’est comme ça, je vais moi aussi, aller dire un truc à la télé, avec un masque sur le nez. Comment, ça ne marchera pas ? Et eux alors ? Ben eux, c’est pas pareil, ma brave dame.

15 octobre 2023

Gastel Etzwane

On se demande qui est le président et qui est majoritaire au parlement depuis six ans ? Si ce sont les conventions internationales qui empêchent les expulsions, en particulier, la jurisprudence de l’union européenne et la Convention européenne des droits de l’homme, alors les partis qui ne proposent pas de quitter l’Union européenne et de révoquer l’adhésion à la Convention européenne des droits de l’homme sont des tartuffes. C’est-à-dire 99 % des partis politiques français.

30 juin 2023

Affaire Nahel

Catherine Gaillard

Lu : « Le récit du procureur de la République de Nanterre est glaçant. Un gamin mineur, n'ayant pas de permis, roule à vive allure en agglomération à bord d'un bolide depuis 7h50 du matin. Il emprunte la voie de bus, grille un feu rouge, manque de renverser un piéton, puis un cycliste, est pris en chasse par deux motards, est sommé de s'arrêter à deux reprises, refuse d'obtempérer, est finalement obligé de s'arrêter à cause de la circulation, est arrêté par les motards vers 8h20. Le motard lui pointe son arme dessus et le menace en lui disant qu'il va tirer s'il redémarre. Et le gamin redémarre la voiture.
La suite, on la connaît. Un drame regrettable. Le policier tire. Il aurait dû ne pas tirer.
Mais le gamin, aurait-il dû redémarrer ?
Et pourquoi le fait-il ? Parce qu'il n'y a plus de respect de l'autorité. Parce qu'il est en roue libre et il est conscient du laxisme de la justice. Il sait qu'il ne risque rien s'il blesse ou tue un policier ou un autre usager de la route à bord de son bolide. C'est la vérité. Elle déplaît, elle fait mal. Mais, c'est la réalité ! »