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Affichage des articles dont le libellé est dictature sanitaire. Afficher tous les articles
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17 février 2025

Christian Dubuis Santini

« Ce que tu fais sait ce que tu es. »
(Lacan, Les non-dupes errent)

29 décembre 2024

Dérive totalitaire

Alexis Haupt. Philosophie
28/12/2024

N’empêche, je crois que l'on sous-estime une chose : l'état d'esprit des gens qui ont été ostracisés pendant le Covid. Ostracisés pour avoir prôné la pharmacovigilance, ostracisés pour avoir eu raison avant tout le monde, ostracisés pour avoir défendu le droit de disposer de leurs corps, ostracisés pour s'être opposés à un État totalitaire. En effet, une véritable cassure s'est produite dans l'esprit de ces personnes. Une cassure qui se réparera petit à petit avec le temps mais qui ne disparaîtra jamais totalement. À nouveau, je crois que les personnes qui ne se sont pas opposées au totalitarisme ne mesurent pas à quel point le propos que je soulève ici est réel et sérieux. À titre d'exemple, pour ma part, en plein Covid, c'est-à-dire en pleine dérive totalitaire et en plein délire collectif, je m’étais préparé. Préparé au pire. En effet, après m'avoir interdit de m'asseoir aux terrasses de café ou d'entrer dans les restaurants avec les "gens normaux" au motif que j'étais un "pestiféré", après m'avoir interdit de prendre les transports en commun pour la même raison, de visiter des proches à l’hôpital pour la même raison, de rentrer dans certaines galeries marchandes ou grandes surfaces pour la même raison, etc., et en entendant le discours de haine de certaines personnes – politiques, chroniqueurs ou journalistes – vis-à-vis des non-vaccinés (rappelons-nous qu'on voulait nous "emmerder", venir nous chercher à notre domicile, nous laisser mourir dans notre coin si nous avions besoin de soins urgents ou d'être opérés, nous mettre dans des camps...), eh bien après tout cela disais-je, je m'étais préparé au pire. À un moment, j'avais intériorisé l'idée : "eh bien soit, si après m'avoir retiré tous mes droits et libertés fondamentales, ils veulent me mettre en prison, qu'ils m'y mettent".
Je ne sais pas si les gens mesurent la gravité de ce que je j'explique ici. Je suis en train de dire que je m'étais préparé psychologiquement à ce que l'on m'incarcère éventuellement. Bref, tout cela pour dire que l'on ne revient pas d'une telle période comme si de rien n'était. Aujourd'hui, les personnes non-vaccinées portent en elles des blessures que les autres n'ont pas connues et ne comprendront par conséquent jamais. De ce point de vue là, le Covid ne terminera jamais. Cette période est inscrite dans la chair de nombre d'êtres humains et je suis heureux de faire partie de ceux qui ont tenté et qui tentent encore aujourd’hui de mettre des mots sur ce qu'ont vécu ces humains qui ont été de véritables boucs émissaires. Que ce soit pour les aider à aller mieux ou pour leur rendre justice. Ce que nous avons vécu nous autres les "non-vaccinés" est d'une extrême gravité, mais cela nous donne un avantage certain sur la majorité de la population, laquelle vit encore dans le "déni de tyrannie" ou dans le médiavers : nous savons ce dont sont capables nos dirigeants, nos médias et l’élite ploutocratique qui les pilote. Nous connaissons leurs intentions et leur degré de malveillance. C'est là un avantage certain ! Eh oui, tout compte fait, il y a bien une choses contre laquelle nous sommes vaccinés, nous autres les "complotistes" : leur propagande, leur manipulation et leurs mensonges.

23 février 2024

Cédric Zaroukian

SOUS CONTRÔLE (sanitaire)
une satire de la gestion sanitaire et de la docilité ambiante

Sommes-nous en train de glisser lentement mais sûrement vers une société de contrôle ? Une société faussement bienveillante où l'individu ne cherchera pas à résister puisqu'il ne se sentira pas enfermé mais protégé par ses oppresseurs.

⇒ https://youtu.be/nyFqcS-aDjo

4 mai 2023

[Covid]

Réintégration des personnels suspendus : une première victoire. Reste à obtenir le versement des indemnités.


Nicolas Dupont-Aignan

11 avril 2023

Pierre Duriot

Je me marre… à l’heure où sort un rapport, qui, en mots choisis, dézingue la gestion d’une épidémie, qui n’en fut pas une, par le gouvernement et qui nous aura coûté plusieurs centaines de milliards, en pure perte, il faut tout de même se pencher sur quelques détails croustillants, que nous avions dénoncés et qui nous avaient fait passer pour des « complotistes ». Maintenant que les cerveaux sont reposés, on peut y réfléchir, avec un peu plus d’acuité et un peu moins de matraquage télévisuel. Les premiers vaccins sont arrivés dans des camions frigorifiques, à moins 70°C, escortés par des motards et les derniers traînaient des jours, sur les étagères, dans les barnums improvisés, pour vacciner en masse. Et pourtant, c’était censé être le même produit. Il fallait se faire vacciner « pour les autres », je vous laisse cogiter sur un processus scientifique permettant ce tour de passe-passe. La moyenne d’âge des gens qui mouraient du Covid était de 83 ans, ça n’a jamais été un secret et les 12-65 ans, y sont allés pour faire « une forme moins grave ». Intéressant non ? Les masques, dans un premier temps, interdits à la vente chez les pharmaciens et dont la porte-parole du gouvernement ne savait pas se servir, ont finalement été rendus obligatoires, à partir de six ans. Un type qui nageait tout seul dans la mer, pouvait être verbalisé. Selon que vous buviez votre café debout ou assis, la contamination n’était pas la même. La caissière du super marché qui tripotait vos produits avant de vous les rendre, opérait derrière un plexiglas. Les rayons des livres et journaux n’étaient pas dangereux, celui des petites culottes, si. Les parachutistes pouvaient enlever leur masque dans l’avion, au-dessus de 2500 mètres, mais pas avant. Les mecs en bonne santé étaient asymptomatiques. Des types se baladaient tout seuls, dans leur voiture personnelle, avec un masque, etc… à se demander si un jour, nous aurons des explications rationnelles…

1 avril 2023

18 MOIS DE HONTE

Lola-Jane Brooks

La Haute Autorité de Santé (HAS) a recommandé ce jeudi 30 mars de « lever l’obligation de vaccination » contre le Covid pour les soignants et le ministre de la Santé François Braun a déclaré à l’AFP qu’il « suivra[it] cet avis ».

Les suspendus vont donc être réintégrés.

Mais ce n'est pas suffisant. Il importe qu'ils récupèrent tous leurs salaires et qu'ils reçoivent des dommages et intérêts pour le chantage, la haine et les préjudices subis.

Suite à cette nouvelle, j'aimerais dire à tous les covidistes, tous les pourris, les égoïstes, les sadiques, les sans esprit et les sans cœur, d'aller bien se faire enQrcoder profond.
 
Je vous emmerderai jusqu'à mon dernier souffle pour le mal que vous avez fait à ces soignants, à ces pompiers, à ces gens que vous applaudissiez et qui vous ont peut-être sauvé, vous ou un proche, un jour. À votre place, j'aurais honte de me regarder dans le miroir.


16 mars 2023

Pourquoi ce silence des syndicats subventionnés sur les soignants / personnels suspendus ? Entretien avec le syndicat GJ

https://www.youtube.com/watch?v=Tq5wA5zkSjE

10 février 2023

Santé : la terreur continue

Pierre Duriot

Non seulement le gouvernement français détruit l’hôpital, en fermant régulièrement des lits et des services, en licenciant les médecins et personnels non-vaccinés, mais bien que l’épisode Covid soit passé, bien que les autres pays reviennent de ce qui fut à la fois une erreur de gestion et une violence faite au pays, il continue à semer la terreur chez les médecins. Ainsi, à défaut de schéma vaccinal complet contre le Covid-19, le médecin généraliste Nadine De La Fuente s’est vue interdire d’exercer à Carmaux dans le Tarn, le 27 janvier, soit il y a quelques jours seulement. À quoi rime cette inquisition ? Nous sommes pourtant, à cet endroit, dans un désert médical. L’incompréhension est totale chez les patients, qui ont lancé une pétition pour récupérer leur docteur qui exerce là depuis vingt ans, à la grande satisfaction de la population.

Le docteur Nadine De La Fuente a reçu la mauvaise nouvelle par un courrier de l’ARS Occitanie, le vendredi 27 janvier 2023, car elle n’a pas fourni de « preuve de statut vaccinal contre le Covid-19 ». Le maire, Jean-Louis Bousquet, pensait logiquement être sorti de là, sachant que masque, confinement, passe-vaccinal, étaient de l’histoire ancienne, à juste titre. Et pourtant non, la terreur continue, même après la bataille illusoire qui a surtout servi à sidérer la nation. L’ARS, façon inquisition, applique strictement la loi qui n’a pas été retirée et culpabilise le médecin « qui ne fait pas le nécessaire pour se mettre en conformité à la loi et qui met aussi les patients dans la difficulté ». Cela, selon une inversion de la faute qui est bien la marque de la macronie, pour qui les « coupables » sont ceux qui ne se soumettent pas aux pires infamies. Qui, non seulement sont des infamies, mais sont en plus, des erreurs, puisque cette vaccination, recommandée pour éviter les contaminations, s’est révélée inefficace. La pétition en ligne, initiée par les patients a déjà récolté plus de 950 signatures.

Nous redisons, au RPF, notre souhait de voir cette obligation inique cesser, demandons également, depuis le début, la liberté vaccinale et la réembauche des personnels non-vaccinés qui le souhaitent, avec des indemnités.


26 décembre 2022

Terrible témoignage d'un médecin suspendu

FLORENCE
Médecin (Haute-Savoie)

- 26/12/2022 -

« C’est extrêmement violent d’être convaincue qu’il y a des traitements qui fonctionnent et ne pas pouvoir les utiliser. »

Florence a 53 ans, elle est mariée, elle a 3 enfants. Elle est médecin dans une structure privée d’Hospitalisation à Domicile (HAD). Suspendue le 15 septembre 2021 après 25 ans d’exercice.

À la maison, on a toujours eu d’autres sources d’informations que les seuls médias mainstream. Au début de la crise sanitaire, j’étais médecin dans une équipe d’HAD, engagée dans les soins palliatifs et l’accompagnement de fin de vie au domicile. Malgré la peur propagée et l’inconnu, notre cœur de soignant n’a pas hésité deux secondes. Il n’y a quasiment personne, au sein de notre équipe, qui a refusé de se porter volontaire pour les soins Covid. Nous sommes des soignants, on ne peut pas nous empêcher de soigner.

On faisait partie d’une structure avec de véritables moyens humains et matériels. On avait tous les équipements, les masques, les blouses, les gants. Mais on ne mettait pas les masques entre nous. On vit ensemble, on travaille ensemble, on est dans les voitures ensemble, on mange ensemble, ça n’avait aucun sens. Il est arrivé que des collègues infirmières, du jour au lendemain, aient le Covid et se retrouvent arrêtées. Bien qu’ayant été étroitement à leur contact nous ne l’avons pas attrapé. La notion de contamination est complexe, aucune étude n’a réellement montré l’efficacité des masques et nos systèmes immunitaires sont bien plus complexes que ce qu’on veut nous le faire croire !

On est rapidement intervenu dans les EHPAD, où un grand nombre de personnes âgées ont été touchées. Ce qui m’a surtout frappée, c’était l’abandon dans lequel elles se trouvaient. En rentrant chez moi, j’ai dit : « Même si vraiment c’est très grave, s’il y a un risque pour nous, moi je le prends ». On ne peut pas laisser mourir les gens seuls. C’est une question de dignité humaine. Accompagner, c’est mon métier, c’est l’engagement de ma vie. Le regard qu’on leur porte est essentiel, s’ils ne peuvent se voir dans les yeux d’un autre être humain ils perdent tout, y compris leur sentiment de dignité. Ensemble, avec les soignants, on est resté auprès de ces personnes, on leur a tenu la main et on n’avait pas peur. Il n’y avait à priori pas d’hospitalisation, ils restaient dans les EHPAD. Le seul soin qu’ils recevaient c’était de l’oxygène, mais aucune thérapeutique, aucun traitement médical. Et j’étais appelée avec mon équipe au tout dernier moment, alors qu’ils étaient en détresse respiratoire aigüe. Le gros risque de toute infection virale respiratoire c’est la surinfection bactérienne, qui se traite avec des antibiotiques. Mais là, c’était : « On ne traite pas » et quand on arrivait ils étaient en train de mourir. C’est à peine si on avait le temps de poser nos perfusions pour les soulager. C’est extrêmement violent d’être convaincue qu’il y a des traitements qui fonctionnent et ne pas pouvoir les utiliser. Il y a eu beaucoup de décès lors de cette première vague, toutes ces personnes, on les a vraiment laissées mourir, abandonnées.

Il y a des médecins qui ont soigné dans des EHPAD parisiennes. Avec l’hydroxychloroquine pour commencer, puis avec l’Ivermectine, et tous en témoignent : il n’y a eu aucun décès parmi les personnes traitées ! J’ai moi-même soigné dans une O.N.G. et il est évident que, dès que l’on utilise des traitements précoces efficaces, ça fait une énorme différence.

Il y a eu l’abandon des soins et il y a eu l’abandon par les familles. Certaines ne se sont pas beaucoup battues, mais je pense que la plupart ont ressenti une énorme détresse. Les visites étaient interdites. Impossible même de voir les morts, qui étaient immédiatement « emballés » dans des sacs plastiques et enfermés dans les cercueils. Pas d’accompagnement, ni des vivants, ni des morts, pas de rituel. Là, on a vécu la plus grande honte et atteinte à la dignité humaine. Tous ces deuils vont être très difficiles à faire. Quand on n’a pas pu se dire au revoir, quand on n’a pas pu tenir la main des gens qu’on aimait, il y a quelque chose qui déshumanise.

Quand les injections sont arrivées, j’ai demandé à la direction que notre structure reste un lieu de débats et d’échanges. C’était une structure familiale et sympathique, mais ça n’a pas du tout été possible. Il y a eu une campagne pro-vaccinale très forte. On a joué sur la peur, la morale, le devoir de solidarité. J’avais de très bons rapports avec ma hiérarchie, qui n’a jamais contesté mes compétences. D’ailleurs, aucune direction n’a pu utiliser comme argument que nous étions de mauvais soignants. Bien au contraire, tous ceux que je rencontre au sein de Réinfo Covid sont des soignants compétents, très engagés et aux grandes qualités humaines. Mais refuser de se soumettre à l’injection, c’est mal ! Les soignants connaissaient ma position, je tenais à leur disposition les études et les éléments fondés sur lesquels je m’appuyais, mais personne n’est venu me voir. Cela m’a beaucoup questionnée. Sortir du rang implique de faire des choix, qui vont conduire encore plus loin dans la différenciation et éventuellement l’exclusion. Et ça, tout le monde le pressentait. J’avais des liens assez étroits avec les infirmières coordinatrices, mais je les ai vues faire des petits arrangements avec leur conscience, progressivement, jusqu’au jour où l’obligation est arrivée et là, elles étaient prêtes pour se faire vacciner. Elles se sont laissées manipuler par les médias et ont fini par se ranger, par se plier, on a extorqué leur consentement, qui n’était ni libre, ni éclairé ! J’ai vu les gens s’abandonner, c’était très douloureux. Mais en même temps, je voyais la puissance de ce chantage, ce rouleau compresseur auquel j’avais la chance de pouvoir résister, grâce à une certaine assise intérieure associée à une sécurité matérielle et affective. J’avais beaucoup de tristesse et de compassion, car je pense que 80% des soignants de mon équipe se sont fait injecter malgré eux.

Quand, le 12 juillet, la vaccination obligatoire a été annoncée, j’avais beau y être préparée, j’étais sidérée. Je pensais que les gens réagiraient et personne n’a réagi ! J’ai commencé à ranger mes affaires, je ne voulais rien laisser, car je sentais au fond de moi que je ne reviendrais pas. Et le 15 septembre je suis partie avec mes cartons, c’était fini. La suspension c’est une étape, c’est difficile, c’est une désillusion. J’ai vécu ce départ avec effroi, comme un deuil, une infinie tristesse… Mais j’ai aussi entendu cette petite voix à l’intérieur : « Il n’y a pas que la fin de vie, tu es aussi psychothérapeute, médecin de l’âme, c’est peut-être une opportunité ! ». Et c’est vrai, j’aime tellement accompagner les gens dans la vie, dans la reconnaissance de leur grandeur, de leur valeur, que j’ai senti qu’il fallait que je suive cette direction et que je ne serai pas sans métier. Mais j’ai encore besoin de temps pour digérer tout cela. Il y a une forme d’humiliation, dont j’ai pris conscience récemment, ainsi que la façon dont j’étais identifiée à mon métier. Il faut se déconstruire par rapport au statut qui nous est conféré par les gens. C’est un peu comme un dénuement : comment se rapprocher de notre nature profonde et comment manifester, sous une autre forme, ce qui est au cœur de nous, ce pour quoi nous sommes faits ? C’est un chemin à la fois douloureux et fécond à parcourir, une re-création.

C’est un métier pour lequel j’ai fait de longues études, un métier éprouvant et riche, où j’ai vécu ce qui m’est essentiel : l’humanité, la fraternité, la solidarité, l’amour de l’être humain, de la vie. J’y ai aussi beaucoup appris. Quand on côtoie la mort, ça rend humble et ça vous rapproche de l’essentiel. J’ai accompagné un patient qui avait passé sa vie en Inde et était venu en France pour sa fin de vie. Une nuit, on m’appelle et on me dit : « Il fait n’importe quoi, il se lève, ça fait dix fois qu’il fait sa valise, il est en pleine confusion ». Je suis venue m’asseoir auprès de lui et je l’ai regardé droit dans les yeux :
« Qu’est-ce qui se passe ? »
« Je suis en train de m’effacer. »
« C’est votre corps physique qui est en train de mourir, mais vous, vous êtes là, et vous n’allez pas disparaître, vous le savez. »
« Oui, c’est vrai. »

C’était ce qu’il avait besoin d’entendre et de reconnaître, plus besoin de refaire sa valise, il est mort apaisé.

C’est une histoire bouleversante et pour de telles situations je veux continuer de porter ce regard aimant. La communication que l’on fait passer dans les visages est énorme et les visages masqués ça a été une très grande douleur. On ne peut pas faire passer notre humanité à travers un masque, les yeux ce n’est pas suffisant.

Pendant la crise, on a été inondé de messages de la D.G.S., de l’H.A.S., de l’Ordre des Médecins, qui tous relayaient le discours officiel. Je suis atterrée que les médecins n’aient pas voulu s’informer autrement. Pour eux, la notion de corruption, de contrôle de la population, accepter le fait qu’il y ait de la censure dans notre pays, dans notre « démocratie », c’est quelque chose de totalement inconcevable. Nous sommes extrêmement conditionnés, dès nos études. Nous lisons les revues scientifiques, nous participons à des séminaires, à des congrès, mais derrière il y a toujours les lobbies pharmaceutiques. On ne nous a pas appris à interroger, à remettre en question, or il faudrait tout questionner, y compris les référentiels normalement très solides, on l’a vu avec le scandale du Lancet et de l’Hydroxychloroquine. La recherche médicale est très coûteuse et qui finance ? Big Pharma. Lorsqu’une nouvelle molécule voit le jour, les labos viennent la « vendre » à l’hôpital et on voit rapidement les prescriptions se conformer à ces nouveaux produits, sans aucun recul. Cette omniprésence des laboratoires ne date pas d’hier : le développement du marché du médicament s’est accompagné de la suppression dans les facultés de médecine, de l’enseignement des médecines traditionnelles, de l’acupuncture, de l’homéopathie, de la naturopathie, toutes ces autres approches thérapeutiques.

Dans cette crise, les médecins ont été contaminés par la peur, celle d’être contaminés eux-mêmes et celle de contaminer les autres patients. On entendait des témoignages de personnes auxquelles les médecins libéraux avaient refusé l’entrée dans leur cabinet, les avaient auscultés sur le balcon, ou bien leur avaient dit de rester chez eux avec du doliprane. Et au-delà de la peur il y a eu cette confiance aveugle dans les discours propagandistes, contradictoires, absurdes, qui a fait disparaître le bon sens. Mes collègues disaient qu’ils n’avaient pas le temps de s’informer davantage, de lire les études, ni celles de Pfizer, ni les autres. Très vite je me suis sentie seule avec le constat que les informations importantes que je voulais partager étaient censurées. Il est très difficile d’aller à contre-courant. J’avais le sentiment d’être dans une cage de verre sur laquelle je tapais mais personne ne m’entendait. Tout cela je l’ai vécu avant même que la question de la vaccination obligatoire pour les soignants ne se pose.

La population s’est soumise, elle a accepté de faire porter les masques aux enfants dans les écoles, auprès des bébés dans les crèches. Aujourd’hui les psychologues parlent de retards dans l’apprentissage, de souffrances morales majeures. Les dégâts psychiques sont considérables, avec entre-autres un taux de suicide comme jamais chez les enfants. Certes il y a eu des décès liés au Covid, par retard de prises en charge thérapeutique, par interdiction des traitements précoces. Mais on ne parle pas des dégâts collatéraux. Les gens ne veulent pas voir, c’est plus confortable.

Quant à la toxicité de ces injections expérimentales, on observe une augmentation des thromboses, des embolies pulmonaires, des myocardiopathies, des accidents vasculaires cérébraux, des infarctus, des cancers qui ont flambé suite à la « vaccination » Covid. J’ai une collègue, chef de service en cancérologie, qui me disait : « En réanimation ce sont des patients non vaccinés » et moi je répondais : « Est-ce que tu as regardé leur statut vaccinal ? » Parce que sont considérés non vaccinés les patients qui sont à moins de 15 jours de leur vaccination et au statut vaccinal incomplet ! Et il y en avait justement beaucoup. Quand elle a su que j’allais être suspendue, elle a eu une réaction d’effroi : « Non, pas toi ! » Alors que nous travaillions ensemble depuis 15 ans, y compris à l’espace éthique, elle m’a dit « Nos positions sont irréconciliables », sans me poser de questions…

Dans le cas de ces injections expérimentales, pour lesquelles on a extorqué le consentement des populations, le principe de précaution, l’imputabilité, ont été totalement écartés. Quand un patient signale des symptômes nouveaux à son médecin, celui-ci doit le questionner : « Qu’est-ce qui s’est passé récemment, qu’est-ce que vous avez fait, quel traitement avez-vous pris ? » Tous les médecins ont appris ça, c’est l’anamnèse. Là, ça n’existe plus, d’emblée le vaccin est écarté, on est dans un déni massif.

Pourtant de nombreux patients n’ont aucun doute sur le lien de cause à effet, mais leur médecin refuse de les écouter, on leur dit que c’est dans leur tête. Ils sont malades, parfois sévèrement handicapés suite à ces injections. Ils faisaient confiance et ils se sentent trahis. Il n’y a aucune reconnaissance de leur statut de victime.

Le déni, c’est un mécanisme de protection et je pense qu’il est vital pour tous ces gens qui ont vacciné, qui se sont fait le relais de la propagande. Que vont-ils faire sinon de cette responsabilité, de cette culpabilité ? Le déni est là pour essayer de maintenir une cohérence face à toute cette violence et ces mensonges, pour nous protéger d’un effondrement trop violent. Mais plus on s’enfonce dans le déni et plus le réveil est brutal.

Quand on a eu accès aux études Pfizer, on a découvert que les effets secondaires étaient connus dès le départ, mais avaient été tenus secrets. C’est le mensonge permanent. Tous ceux qui ont tenté d’élever la voix ont été immédiatement censurés, étiquetés, calomniés afin d’écarter tout dialogue et toute pensée différente.

La vaccination Covid, c’est un dogme devenu religion et je la refuse : ma première raison est médicale, ce n’est pas un traitement, c’est une injection expérimentale, et plus on avance dans le temps, plus on a les preuves de l’escroquerie, jusqu’à l’Union Européenne par les laboratoires eux-mêmes (efficacité sur la transmission non testée !)
On a des thérapies qui fonctionnent sans toxicité, contrairement à ces injections. Elles ont été interdites pour pouvoir vendre ce vaccin, qui ne pouvait obtenir une A.M.M que s’il n’existait pas de thérapies efficaces.
Je refuse de céder au chantage. Il n’y aucune justification à cette injection. Le consentement libre et éclairé est la base de notre serment d’Hippocrate. Il a été bafoué. On ne m’achète pas, on n’achète pas ma liberté, sous aucune contrainte… Quel que soit le prix à payer !

Les « grands » qui dirigent ce monde ont nourri notre peur de la mort inhérente à l’être humain. Puis ils ont promis que, grâce à eux, on allait repousser la mort. Déposséder les gens de leur pouvoir sur eux-mêmes et les faire s’en remettre aux interventions extérieures, c’est ça la plus grande escroquerie. Ce n’est pas une crise sanitaire. C’est une crise spirituelle ! Les gens devraient se demander : « Souhaitons-nous vraiment vivre dans un monde sous contrôle avec des passes, des QR Codes, des masques et avoir peur tout le temps ? » Il faut que chacun reprenne les rênes de sa vie, mais ça va se faire lentement. Je crains malheureusement que ce ne soit en voyant les effets secondaires se multiplier que les gens commenceront à se réveiller, à se poser des questions.

Quand le public nous applaudissait, j’étais très mal à l’aise. J’ai trouvé ça ridicule. Jouer avec l’émotion des gens, pour ensuite les retourner comme une crêpe, c’est tellement facile ! Aujourd’hui, personne ne cherche à connaître les raisons de ces soignants qui ont refusé l’injection. Depuis deux ans, on ne cesse de s’informer, à l’aide d’articles scientifiques, d’éléments sourcés mais censurés, produits par des personnes ultra compétentes, courageuses, dépourvues de liens et conflits d’intérêt, en quête de vérité… Nous traiter d’antivax, de complotistes, d’extrémistes, c’est extrêmement mensonger, humiliant, irrespectueux. Mais on ne peut pas étouffer longtemps la vérité. Elle finira par toucher le cœur des gens.

Soigner, prendre soin, c’est dans nos tripes, c’est dans nos cœurs. Venez découvrir qui nous sommes, nous les « suspendus » ! Lisez nos témoignages, rencontrons-nous. Brisons les barrières qui ont été volontairement érigées entre nous.

« La liberté commence où l’ignorance finit. » (Victor Hugo).

Aujourd’hui, je donne toute la place à la musique dans ma vie, je développe l’accordéon avec des amis musiciens, je reprends le piano, au service du Beau… J’ai besoin de nourrir la beauté et la joie pour ne pas être engloutie dans cette folie humaine…




20 décembre 2022

L’Assemblée nationale lâche les soignants suspendus


- 16/12/2022 -



Nous vous invitons à regarder la vidéo de Maître Guyon, avocat, à propos de la situation des soignants suspendus, la plupart fonctionnaires, dont certains sont désormais convoqués par la Police. Depuis la loi du 5 août 2021, l’agent suspendu est considéré comme étant toujours en activité, un statut hybride qui place le soignant « entre deux mondes » puisqu’il est en activité, mais plus rémunéré, en activité, donc sans droit à une allocation de retour à l’emploi ni aux aides sociales notamment au revenu de solidarité active (RSA). Concrètement être soignant suspendu sans rémunération est pire que d’être licencié.
Mais auparavant lisez ces quelques lignes. Car comment taire ce qui s’est passé à l’Assemblée nationale tout récemment et dont les soignants suspendus font les frais alors même que les hôpitaux ne peuvent plus prendre en charge les malades ?

Revanchards, calculateurs, dégonflés. C’est ainsi que l’on pourrait qualifier les piètres députés de l’Assemblée nationale. Faut-il préciser qui est qui et qui fait quoi ?

Revanchards les Renaissance (qu’il serait plus exact de nommer Start Up World Company) qui ont multiplié les obstacles pour que le texte présenté par LFI en faveur de la réintégration des soignants suspendus depuis plus d’un an, faute d’être vaccinés contre le Covid, ne soit jamais soumis au vote à l’Assemblée nationale. Rappelons que dans presque tous les pays, les soignants suspendus ont été réintégrés. Mais le gouvernement de Macron s’entête à mettre à genoux ceux qui lui résistent, et « quoi qu’il en coûte ». Le trépignant est le chef suprême, na ! On lui obéit et c’est tout. À cela s’ajoute une affaire de gros sous : puisque le gouvernement continue la purge d’effectifs et de lits dans les hôpitaux, faudrait pas quand même que les non vaccinés fassent leur retour !

Dégonflés et virevoltants les LFI qui retirent leur texte favorable au retour des suspendus qui a été bloqué par les manœuvres de Renaissance, pour que le RN ne le représente pas en janvier 2023 dans le cadre de sa niche parlementaire. Petit bras et gros ego ! Ne parlons pas des NUPES pluri-couleurs qui ne sont d’accord sur presque rien, surtout pas sur la réintégration des soignants suspendus, et qui préfèrent jouer les vierges effarouchées pour mieux faire oublier qu’ils pataugent dans les eaux troubles du néolibéralisme depuis un bon bout de temps.

Calculateurs et tacticiens les RN qui voulaient faire deux coups en un : montrer qu’ils peuvent se situer au-delà de querelles « idéologiques » pour servir l’intérêt général et piéger les LFI terrorisés d’être accusés de pactiser avec « l’extrême-droite » parlementaire.

Et hop ! Le tour est joué. Résultat : Renaissance ricane en coulisse et gagne sur toute la ligne, le RN prend des points dans l’opinion et LFI est ridiculisée et écœure une partie de son électorat. Elle a, en effet, choisi son camp : la politicaillerie plutôt que la cause à défendre. À force de vouloir être purs les LFistes sont désincarnés : ils flottent au-delà du réel, dans leur nébuleuse gazeuse ! Pourtant il y avait moyen de retourner le piège qui leur était tendu : au nom de l’intérêt général LFI prenait la main en janvier et démontrait qu’elle n’était pas manœuvrière, elle ! Mais ce n’est pas le peuple ni l’intérêt général qui a prévalu à leur décision : c’est leur ego, leur image, leur bonne conscience de bien nourris, éduqués et propres dans leur tête ! Piètre tactique puisqu’au final ce sont les soignants suspendus qui ne reviennent pas travailler à l’hôpital, en Ehpad, là où pourtant les malades ont tant besoin d’eux ! Suspendus par Macron, ils sont désormais lâchés par « la gauche » qui pense avec ses pieds ! Et pour l’histoire, il faut dire et redire que même les marchands de « vaccins » Covid ont reconnu qu’il ne protègent pas de la transmission du virus. Conclusion : vaccinés ou pas, les soignants peuvent avoir le Covid et transmettre le Covid. C’est pas beau l’obscurantisme ?

Voir la vidéo : https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-convocation-par-la-police-des-soignants-suspendus-david-guyon

16 novembre 2022

Réintégration des soignants suspendus

Le message d'Anny Duperey au gouvernement

- 16/11/2022 -

« Qu’est-ce qu’on attend pour les réintégrer ? Ce sont 15.000 soignants prêts à travailler. »

⇒ VIDÉO



21 août 2022

La vaccination est-elle un marqueur social ?

Roland Hureaux


À mesure que se durcit la campagne gouvernementale pour la vaccination universelle contre le covid, court le bruit que le vaccin serait un « marqueur social » : se faire vacciner, c’est montrer qu’on appartient bien à la société des gens raisonnables, acceptant le progrès scientifique, bons citoyens, respectant les autres pour éviter de les contaminer, faisant confiance à l’administration, comme à tout ce qui est officiel.

Ceux qui sont contre sont des gens irrationnels, voire demeurés : ils ne croient pas à la science, comme autrefois certains ne croyaient pas que la terre était ronde, ils sont spontanément rebelles à l’autorité, peu fréquentables ; ils ne font pas « comme tout le monde ». D’ailleurs, les catégories les plus réticentes ne viennent-elles pas de marges suspectes : beaucoup de « souverainistes » du genre Philippot, des « Gilets jaunes », les gens des banlieues (on voit même des femmes voilées dans les manifestations), l’outre-mer (comme on vient de s’en apercevoir avec le tour de vis féroce de Macron contre les Antillais rétifs au vaccin), les cathos intégristes (pas les autres qui montrent au contraire une discipline exemplaire, comme ils avaient en majorité voté Macron.)

Il se peut que cette rumeur selon laquelle seuls des gens hors du « cercle de raison » seraient hostiles au passe, ait été répandue à dessein pour presser le mouvement de vaccination. Ce chantage social sournois peut expliquer ce fait étonnant que, dans cette Gaule frondeuse, malgré les doutes de beaucoup d’experts, tant de gens se précipitent, à la demande de l’État, pour se faire vacciner.

La peur de la mort

Mais cette précipitation peut s’expliquer d’autres manières. D’abord la peur de la mort, spécialement chez les personnes âgées, très répandue en ces temps d'incroyance, y compris curieusement chez de supposés croyants. Confusément, le vaccin n’est pas seulement tenu pour une garantie contre une maladie précise, le covid, mais comme un acte magique destiné à exorciser la mort en général.

Ensuite l’esprit grégaire, que tout nourri que nous soyons des idéaux individualistes de la Révolution française, n’a fait que se développer dans la société moderne. Quand tombe la foudre, les animaux du troupeau se serrent les uns contre les autres, même sous les arbres où le danger est le plus grand ! La stratégie qui a été adoptée pour riposter à l’épidémie : annonces dramatiques, confinement, interdiction de promenades en plein air, transports de malades en surnombre par hélicoptère – parfaitement inutiles si les propositions de concours du secteur privé avaient été acceptées, tout cela a créé un climat d’anxiété sans précédent, d’autant plus stressant que le président français avait annoncé que nous étions « en guerre ». Nous découvrons à cette occasion que plus on s’élève dans la hiérarchie sociale, plus on est discipliné et grégaire. C’est après tout normal : les plus gradés étaient les meilleurs élèves à l’école ; dans les grosses organisations publiques et privées qui se sont multipliées, on ne fait pas carrière sans discipline – voire, de plus en plus, sans conformisme.

La crise de l’esprit critique

Il reste tout de même surprenant de voir l’absence d’esprit critique de la bourgeoisie française, devant des faits pour le moins troublants : l’interdiction de soigner faite aux médecins au moment où l’épidémie commence, sans précédent dans l’histoire de médecine alors que, d’après les courriels de Fauci, les autorités sanitaires mondiales savaient dès le départ que ces traitements, le plus souvent, guérissaient le covid. Interdiction récemment réitérée en Guadeloupe où tous les médicaments susceptibles de guérir le covid, y compris le zinc, ont été retirés de l’île.

Aucune conscience non plus chez des gens qui se croient plus éclairés que les autres, que les « vaccins » officiels de Pfizer and Co utilisent une technique nouvelle, qui se trouve toujours à l’état expérimental et qui n’a été autorisée qu’à titre provisoire : a-t-on jamais traité des milliards de personnes sur des bases scientifiques aussi incertaines ?

Aucun esprit critique non plus face à la disproportion entre le déploiement d’un immense appareil d’État, qui n’a jamais autant mis en cause nos libertés, et les chiffres devenus résiduels, en France et presque partout ailleurs des cas et surtout des décès relevés : 44 le 15 août pour toute le France, dont 91 % au-dessus de 65 ans et 0 % au-dessous de 45 ans.

Un sujet que presque personne n’apprend à l’école : le calcul de probabilité : des gens très cultivés et sûrs d’eux ne savent pas toujours la différence entre une chance sur cent et une chance sur cent mille.

La fin de l’État hégélien

Il est clair que ceux qui suivent la consigne de vaccination générale croient encore à l’État hégélien, expression de l’intérêt général, s’appuyant sur une administration bien réglée au service exclusif de cet intérêt, comme on l’enseignait dans les manuels de droit public. L’intérêt général commande le vaccin ; comme dans toutes les épidémies, il faut faire des sacrifices, et ces braves gens (braves mais souvent féroces pour ceux qui ne partagent pas leur point de vue simpliste) s’exécutent. Ces bons Français disciplinés n’ont pas compris que nous sommes entrés dans un monde nouveau : pas le grand reset du vieux Schwab, mais un océan de corruption et de mensonge étendus à la terre entière, particulièrement dans le domaine de la santé.

La quasi-unanimité de la presse, la censure de l’Internet, les poursuites judiciaires acharnées que risquent les dissidents empêchent de voir ce monde nouveau. Et s’ils le voyaient, ces honnêtes fonctionnaires qui avaient jusque là vécu dans un monde normal, comment en supporteraient-il le choc ?

Une administration qu’ils présument régulière et seulement animée du souci du bien public ayant décidé que, pour se débarrasser du virus, il fallait vacciner le monde entier, les récalcitrants ne sont dans cette logique que des mauvais citoyens qui mettent en danger la vie d’autrui. Si on n’a aucun doute que le vaccin est efficace et sans danger pourquoi pas ? Personne ne leur a donc dit que les quatre vaccins à ARN messagers ont déjà tué 1000 personnes depuis le début de l’année, plus que tous les autres vaccins depuis 1970 (source : CNRS) ! Sans compter les suites à moyen terme encore inconnues.

Il est vrai que toute la bourgeoisie n’est pas devenue aveugle. Mais il faut aller dans ses très hautes sphères pour entendre, en France et à l’étranger, que les gens vraiment informés se font faire des certificats de complaisance. Chut ! que cela ne se sache pas.

Non, l’immense vague de protestation, non point contre le principe du vaccin comme le disent ses détracteurs, mais contre ceux-là, qui ne sont pas de vrais vaccins, et surtout contre l’obligation imposée par des méthodes terroristes, chantage à l'emploi, à l’accès aux services publics et privés, aux spectacles, à la scolarisation, voire aux soins médicaux, n’est pas que le fait d’hilotes !

Très peu de Français savent la différence entre un vrai vaccin et une application à caractère génique. Je gage qu’on la sait bien mieux chez les supposés illettrés qui manifestent que chez les bourgeois, grands et petits, qui font sagement la queue devant les vaccinodromes.

La résistance n’est pas le fait de bêtes mais de gens lucides, de vrais citoyens, qui se tiennent au courant, attachés à leurs libertés et peut-être même à leur santé. 22/8/2021

Roland HUREAUX

Ancien élève de l’ENS et de l’ENA, agrégé d’histoire, homme politique (ancien 1er adjoint au maire de Cahors), essayiste, auteur de nombreux livres et articles.Chroniqueur à Marianne2, Valeurs actuelles, Le Figaro etc.

Pass sanitaire

Marie-Laure Ruiz-Maugis

- 21/7/2021 - À ceux qui se réjouiraient que l'on pourrisse la vie des « autres », je répondrais que l'on ne pourrit pas ainsi la vie des « autres » sans s'étonner des réactions et sans faire peser une lourde menace sur les institutions et l'ordre public.
Certains responsables d'associations, de festivals, comme le festival de Flamenco de Perpignan, certains maires, ont préféré annuler les manifestations prévues plutôt que d'avoir à trier les « bons » des « mauvais ».
Ainsi le dit le maire de Villeneuve-Loubet (Alpes-Maritimes) : « C’est une société de flicage. Nous sommes dans l’absurde total », a-t-il affirmé. « J’annule purement et simplement les spectacles. Il n’y a pas les bons et les mauvais citoyens. Quelle société bâtissons-nous là ? », s’est-il interrogé.
Quand je lis le décret qui entre en vigueur aujourd'hui, j'ai le tournis...
À part les lieux de culte, rien n'est épargné.
Même les bibliothèques, quel symbole...
« Cette règle concerne les salles de spectacle, de conférence, les théâtres, les cinémas, les chapiteaux, les salles de jeux, de danse, les salles omnisports et les terrains de sport, les gymnases, les piscines couvertes et extérieures, les patinoires. Mais aussi les foires-expositions et les salons temporaires, les musées, les bibliothèques – sauf les bibliothèques universitaires – ainsi que les événements culturels, sportifs, ludiques ou festifs organisés dans l’espace public lorsqu’ils sont « susceptibles de donner lieu à un contrôle de l’accès des personnes ». Sont également concernés les lieux de culte, mais uniquement pour les événements « ne présentant pas un caractère cultuel ».
Le décret précise également que le pass sanitaire sera demandé lors des compétitions et événements sportifs amateurs dès lors qu’ils rassemblent au moins 50 participants par épreuve.
Par ailleurs, il sera nécessaire pour accéder aux piscines ou aux salles de spectacle des campings et clubs de vacances, comme nous le confirme Sylvie Henry, présidente de l’Union nationale des campings et des parcs résidentiels de loisirs (Unaparel). Cela signifie que les personnes en congé dans un de ces lieux et ne disposant pas du pass ne pourront pas accéder aux infrastructures concernées et qui font le succès de ces endroits.

CONTRE LE PASS VACCINAL

lundimatin#323

Depuis septembre 2021, le Théâtre National de Strasbourg exige la présentation du fameux pass sanitaire. Mais cette obligation ne se limite pas au public, elle s’étend aussi aux étudiants et comédiens qui s’y forment. Extension du domaine du contrôle sanitaire. En réaction, trois étudiantes se sont mises en « grève » et passent les heures de cours sur le parvis du théâtre, assises sur des chaises. Alors qu’elles détiennent le fameux pass, elles refusent néanmoins qu’il conditionne leur accès au bâtiment et donc à leurs cours de théâtre. L’une d’entre elle nous a transmis la lettre qu’elle a lu lors de l’assemblée générale du TNS et qui explique son refus.

Chers toutes et tous,

Je vous écris aujourd’hui pour tenter de rompre, à ma moindre échelle, une politique de silence, d’invisibilisation, de discrédit et donc de division.

Si, parmi les droits fondamentaux, le droit de circuler librement, le droit au travail, à l’intégrité corporelle, à la liberté de réunion... sont bien victimes directement d’un gouvernement qui scinde par la loi la population en deux catégories (les bons citoyens et les mauvais, voire les citoyens et les anciens-citoyens), le droit à l’éducation n’a, à ma connaissance, pas encore été entravé par des pratiques liberticides. Me positionner de façon neutre ou continuer à rester dans le silence, face aux dérives d’un gouvernement qui foule l’article premier de sa constitution, ne m’est plus possible. Me positionner de façon neutre face à des idéologies aux dérives fascisantes ne m’est plus possible.

Les conséquences du "maintien de l’ordre public" après la loi anti-casseurs lors de maintes manifestations ayant eu lieu ces dernières années ne sont que la partie visible d’une politique d’État répressive et dangereuse pour les droits fondamentaux de toutes et tous.

À partir de demain, mercredi 19/1/22, je vous informe donc que je ne pourrai plus avoir accès au bâtiment du TNS, mon lieu d’études. Lorsque je dis "je ne pourrai plus avoir accès au bâtiment", entendons-nous. "Légalement", je peux y entrer. Je peux, une nouvelle fois me résigner, prendre sur moi et montrer mon QR Code pour passer les portes du théâtre afin d’aller étudier. Fermer les yeux, non par bêtise mais par survie, comme je l’ai fait jusqu’à présent. Éthiquement, en revanche, je ne le peux plus. Je ne le peux d’autant plus, que pour faire valoir mon droit à l’éducation, nulle part ailleurs en France - à ma connaissance - des étudiants n’ont à se soumettre à ces mesures... Je le peux en revanche si on ne m’y empêche pas l’accès sans que j’aie à présenter un passe, quel qu’il soit. Si nous sommes parmi les premiers, encore étudiants, à être soumis à la présentation d’un passe (sanitaire ou vaccinal), ne doit-on pas craindre que celle-ci soit bientôt élargie aux autres lieux d’apprentissage ? Car je ne suis pas la seule à constater que le classique « à contexte exceptionnel, mesures exceptionnelles » peut se transformer en « à mesures exceptionnelles, inscriptions progressives dans le droit commun ».

Ayant une pensée empathique et solidaire à l’égard de toutes celles et ceux ne pouvant plus avoir accès à leur lieu de travail, qu’ils soient de cet établissement ou ailleurs, je ne me résous pas à me taire face au constat que les étudiants de cette école soient soumis à un contrôle de passe pouvant, qui plus est, dorénavant être accompagné d’un contrôle d’identité. Que cette mesure de contrôle de passe (sanitaire ou vaccinal) ait été appliquée pour rentrer dans l’école sans concertation avec les étudiants est d’autant plus offensante, la mise en application des directives de l’État ne doit pas exclure le débat.

En septembre dernier, aucune solution n’ayant été trouvée pour venir étudier sans contrôle de passe, cela a abouti à une acceptation de l’inacceptable (par contrainte). Je me suis déjà sentie une première fois privée de mon droit à l’éducation, et j’atteste ne pas avoir été la seule, lorsqu’il a fallu présenter un passe sanitaire sans concession pour entrer dans l’enceinte du bâtiment. Comme beaucoup je m’y suis faite, en me disant qu’il n’y aurait pas pire.

Mais, jusqu’à quand faut-il attendre le pire ? À quel moment dire : stop, je ne me rends plus complice ? Est-ce si radical de ma part, de faire apparaître, par mon impossibilité d’entrer dans le bâtiment, l’absurdité à laquelle nous sommes toutes et tous confrontés ? De rendre visible le refus d’accepter l’addition d’une contrainte de droit, qui n’est imposée par aucune loi ? (je dis imposée et non justifiée à dessein).

Je ne jubile pas à l’idée d’avoir à rester à l’extérieur. D’avoir à ne plus pouvoir exercer ma pratique artistique en tant que comédienne. J’ai peur moi aussi, de cet avenir auquel je ne crois qu’avec amertume, dans lequel toute perspective de projection me semble amputée. La situation actuelle me fait perdre des heures de sommeil, du poids, de l’énergie. Ce qui arrive n’est un choix pour personne. Les conséquences physiques et psychologiques sur les individus se font sentir, deviennent presque palpables. Pour la première fois, comme de très nombreux jeunes de ma génération, la possibilité du suicide m’est parfois apparue comme une solution. Que retenir de cela ? Car si pour ma part l’endroit n’était que de l’ordre de pensée furtive, cette pensée est tentative voire acte pour de nombreux jeunes, surtout ces 2 dernières années. Cela relève aussi de santé publique.

Mais c’est en tant qu’artiste d’abord, que je me positionne. Prendre la parole et rendre visible ce qu’une stratégie politique parvient à rendre invisible (par autocensure, par silence, par peur, parce que questionner c’est être suspect, parce qu’on nous incite à devenir partisan d’une politique de délation, où chacun est potentiellement le flic de l’autre). Prendre la parole en tant qu’étudiante artiste-comédienne de 24 ans, en école supérieure de théâtre, au sein d’une institution, c’est aussi parce que je n’ai pas su trouver d’écho avec mes pairs, chez les artistes. Parce que je refuse qu’on me vole ma voix, ma pensée critique, mon humanité.

En 2017, la ligue internationale des droits de l’Homme s’est dite “inquiète de l’avenir de l’Etat de droit en France, vacillant dangereusement sous prétexte de lutte contre le terrorisme”. Aujourd’hui, j’étends cette inquiétude au prétexte de lutte contre la pandémie. Et si je ne remets pas en question la réalité du contexte sanitaire (d’autant plus grave que l’hôpital public meurt à petit feu depuis des années par manque de moyens et par fermetures de lits, même en temps de crise) je questionne l’endroit de bascule entre protection sanitaire et projet politique.

Ainsi, je demande afin de ne pas bafouer un droit supplémentaire, à ce que, comme tous les étudiant.es de France, nous n’ayons plus à être soumis.es à un contrôle de passe, sanitaire ou vaccinal, et à ce que le droit au secret médical soit respecté. À ce que chaque étudiant, vacciné ou non, en possession d’un passe valide ou non, ait accès à son lieu d’étude.

J’entends que notre statut légal nous considère comme public à l’intérieur du bâtiment. Or, j’ai une carte d’étudiante en Jeu au TNS au sein du groupe 47 et non une carte de “public”. J’ai passé les concours d’entrée pour être étudiante comédienne et non public. Nombreux sont celles et ceux ayant payé des frais d’inscription et cela afin d’être étudiant et non "public".

Je demande à ce que des solutions soient appliquées afin que toutes et tous nous puissions, sans discrimination, avoir accès à notre lieu d’étude, de recherche, de création.

Car ce qui nous relie devrait se tenir dans la conviction qu’être vivants, c’est être les témoins de notre temps. Que le vivre-ensemble tient dans le fait de se sentir responsables, vitalement, passionnément, brutalement responsables, de l’avenir collectif de notre société.

Merci de m’avoir lue, Juliette Bialek, comédienne G47

Le pass vaccinal ou la déchéance de citoyenneté

Xavier Méra

Après les propos de Macron sur les non-vaccinés, doit-on comprendre qu’avec l’instauration du pass vaccinal, il s’agit de remettre en question le statut juridique de citoyen des personnes non-vaccinées ?

Si l’actuel président de la République française, chef des armées et grand maître de l’ordre national de la Légion d’honneur, a tenu des propos gravissimes dans Le Parisien, ce n’est pas parce qu’il a utilisé un gros mot à l’encontre des personnes non-vaccinées. En réglant immédiatement leur focale sur la forme de ses déclarations, les éditorialistes de la presse bien-comme-il-faut ont fait mine de ne pas entendre l’essentiel. Car, n’étant certainement pas totalement incompétents dans les fonctions qu’ils occupent, ni le chef de l’État ni les rédactions concernées ne peuvent ignorer ce que le mot « citoyen » signifie normalement dans la bouche d’un président.

Lorsqu’il explique que les « antivax » s’en prennent à la « solidité d’une nation », menacent la liberté d’autrui, sont ainsi irresponsables et qu’« un irresponsable n’est plus un citoyen », on est fondé à comprendre qu’avec l’instauration du pass vaccinal et au-delà, il s’agit de remettre en question le statut juridique de citoyen des personnes non-vaccinées contre la covid. On l’est d’autant plus qu’il parle de ce pass vaccinal comme d’une « nouvelle étape » dans une série de mesures prises depuis juillet dernier, laissant ainsi entendre que d’autres ne sont pas à exclure, dans sa volonté de leur mettre la pression « jusqu’au bout ».

Pass vaccinal : les non vaccinés sont-ils toujours des citoyens ?

Autrement dit, ce très officiel gardien – et donc interprète – de la Constitution, suggère que l’État n’est pas obligé de leur reconnaitre, entre autres, un droit d’être propriétaire, de se marier, et d’être soumis aux mêmes lois que les autres en matière d’accès aux emplois publics, de liberté de pensée, d’opinion et d’expression, de religion, de circulation, de réunion, d’association, de manifestation et de fiscalité. Il suggère que l’État peut licitement leur retirer le droit de travailler et d’obtenir un emploi, le droit de grève, le droit à l’éducation et à la sécurité sociale. Et alors que l’élection présidentielle approche à grands pas, il sous-entend que l’État n’est pas tenu de leur reconnaître le droit de voter et de se présenter à une élection.

De plus, on se rappellera que la définition du « schéma vaccinal complet », requis pour avoir un pass vaccinal valide, a déjà changé et est susceptible de changer à nouveau par simple décret du gouvernement, alors qu’on avait initialement fait miroiter aux personnes inoculées deux fois une vie normale en récompense de leur coopération. Le statut de citoyen pourrait alors être modifié sur cette base, les vaccinés d’aujourd’hui étant potentiellement les non-vaccinés et ex-citoyens de demain, s’ils ne se soumettent pas à de nouvelles mises en demeure. D’autant que, comme l’a expliqué le Premier ministre, la limitation dans le temps du dispositif, sur un critère sanitaire à déterminer, « n’est pas ce qui, à ce stade, est prévu ». (...) 

La question immédiate à laquelle chacun d’eux se sentirait obligé de répondre serait plutôt de savoir si les menaces du président sont compatibles avec son rôle de gardien de la Constitution et, si ce n’est pas le cas, de savoir ce qui peut et doit être fait pour en finir avec de tels comportements au sommet de l’État. De tels débats auraient certes plus de chances d’avoir lieu si les médias en question n’étaient pas largement sous tutelle étatique, ne bénéficiaient pas en permanence de subventions et autres exonérations, et que l’Élysée ne les avaient pas fait bénéficier en plus de rallonges covid.

12 août 2022

CharlElie Couture
19/3/2021

Au secours c’est trop long... Dans le mou, dans le dur, un an que ça dure, un an de balbutiements et de n’importe quoi, un an d’errance, une année en apnée, une année de brimades et de frustrations, un an de pouvoir absolu, un an d’énarques (et de copains affairistes qui ont su tirer profit de la situation), un an d’affirmation « c’est comme ça et pas autrement », et puis, changer d’avis et jurer l’inverse le lendemain avec encore plus d’aplomb. Un an à vouloir faire croire qu’ils détiennent la solution lumineuse en s’appuyant sur les avis « éclairés » de centaines d’épidémiologistes, de virologues, de chercheurs, de réanimateurs hospitaliers, de pneumologues, de cardiologues, d'hématologues, radiologues, gérontologues ou pédiatres, professeurs et autres spécialistes en tous genres, un an qu’on les voit défiler, fanfaronnant comme des stars venues de nulle part aux micros des radios/télés/internet, tantôt adulés, tantôt abandonnés, dénigrés ou conspués, eux qui nous ont démontré tout et son contraire. Un an de fables ineffables et milliers d’heures de blabla. (...)
Un an de travail de jour mais interdit de jouir de la nuit. Un an de stades vides, de spectacles interdits, de Culture au rancart, (d'ailleurs on n'en parle même plus), un an d'âmes broyées, hachées. Démarrer les trucs dans l’urgence puis les annuler en dernière minute. Redémarrer et à nouveau décaler. Un an de hoquet.
Une année de mensonges et de fausses promesses, une année d’âmes damnées. Une année de survie au jour le jour, une année à suivre, haletants, les médias au fil des scoops du monde, un an de graphiques à la noix et de fausses infos, ivres de vérités médias inféodées, soumises aux ires des hommes de l’Ordre, des sbires de la communication et vassaux du terrible roitelet. Un an de « faites ceci, faites cela », de messages sanitaires et de matraquages : « le port du masque est désormais obligatoire » (sans que ça ait vraiment plus d’effet que lorsqu’il ne l’était pas), un an de décisions hasardeuses et de godilles, changements de directions. Un an à devoir coûte que coûte obéir aux injonctions les plus idiotes et devoir attendre sur les trottoirs.
Un an de mauvaises décisions, de punitions et d’amendes, de vexations et d’autorité malveillante, et à l’arrivée nous voilà revenus au même point. La honte ! Et ils ont continué de fermer des lits dans les hôpitaux, ils ont jeté les milliards d’argent par les fenêtres, ils ont fait des généralités à partir des cas d’exceptions sans prendre du recul et sous prétexte de précaution, encore récemment gaspillé des milliers de doses d’un vaccin qu’on attendait comme le sauveur, et ridiculisé les généralistes en leur disant ce qu’il fallait faire ou NE PAS faire, tout en essayant de nous faire croire qu’ils se trouvaient face à un impondérable, un an de pleurnicheries de midinettes, un an de sourires masqués, une année d’injures et de tensions, un an de pure méchanceté déguisée en « je fais ça pour votre bien ».
Nous voilà après un an de cercle vicieux, un an d’ulcères et de maladies non détectées à temps, un an de diagnostics repoussés d’un mois / deux mois ou plus, oui, voilà une année que les autres maladies sont laissées sur le carreau, un an que les petites sociétés qui se cassent la gueule mais les grosses compagnies (de distribution) ramassent le pactole des subventions et s’en mettent plein les fouilles, un an sans partage, sans restau, sans fête, sans famille, (un an sans pouvoir rencontrer "les amis des amis" comme dit très justement je ne sais plus qui), un an d'alcool et de "philtres", un an de malades sans suivi psychologique, un an de suicides, un an de couples qui se déchirent... Un an passé à s’enlaidir ! Un an à réaliser qu’on n’est rien que des brebis dociles dans une société qui promet d'en profiter pour se réinventer, mais qui ne cesse de reproduire les mêmes schémas, parce que l’homme est ainsi fait qu’il faut prendre sur soi, être éduqué, encouragé par une forme de communion et d’entraide et s’ouvrir à la Culture pour prendre conscience qu'on fait partie d'un Tout et penser aux autres.
En guise d’En marche, un an de surplace. Tous aussi nases que je le suis moi-même, n’arrivant à démontrer que leur incapacité à maîtriser la « chose ». Mais maîtriser quoi ?? Peut-on seulement « maîtriser » l’invisible?
CharlElie COUTURE
Mars 2021

9 août 2022

Pass sanitaire

⬦ J’adore les pass qui passent et repassent de main en main...
ADK   

⬦ Pas de laissez-passer dans le métro, par contre exigé à la terrasse du café du village. Tellement absurde que ce serait drôle, si cela ne servait pas une politique aussi folle.
AN

⬦ À quand une subvention aux organisateurs des manifestations ANTI PASS SANITAIRE qui animent la ville gratuitement depuis 13 semaines avec chants, danses et bonne humeur ?
C.K.

⬦ URGENT Jean Castex vient d'annoncer que le Pass Sanitaire sera désormais obligatoire pour pouvoir aller se faire vacciner. Mesure sévère mais juste à mon sens.
F.N.

⬦ Je voulais vous dire que tout va si mal que tout va bien.
F.E.

⬦ Cette politique de santé publique, autoritaire et délétère, bafoue tous les principes ! le QR code est un premier test vers le contrôle social numérique à la chinoise pour récompenser les bons citoyens obéissants et mettre les autres au ban de la société. Seuls les idiots utiles qui pensent mordicus que c'est pour leur bien, ou les complices, peuvent applaudir ce pass liberticide et discriminatoire.
C.N.


☐ Comment fabriquer de faux pass sanitaires ? L'État panique. (Animation vidéo)

Depuis quelques heures, vous pouvez voir sur les réseaux sociaux le pass sanitaire de Mickey Mouse et d'Adolf Hitler. Vous pourriez croire à des blagues... Mais les QR Codes fonctionnent. L'application TousAntiCovid Verif les reconnaît et nous indique qu'Adolf Hitler, né en 1900, a reçu une dose de Pfizer le 1er octobre 2021. Il est autorisé à voyager, tout comme Mickey Mouse et Bob l'éponge. Pourtant, le système des QR Codes était réputé inviolable.

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