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Affichage des articles dont le libellé est variole du singe. Afficher tous les articles
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24 août 2024

REGARDEZ BIEN CES DEUX PHOTOS

Marc Amblard

La première est extraite du Figaro en date du 16 août 2024. Apparemment, elle illustre la variole du singe chez les enfants (Mpox).
Quand vous faites une recherche Google, vous découvrez que cette même photo est apparue en réalité dans le magazine Toutvert le 30 juin 2020 dans un article sur la rougeole. Donc rien à voir.
Comme les cas sont quasi inexistants et qu'on tient à vous faire avaler coûte que coûte ce scénario de la peur, les fourbes sont allés récupérer une photo bidon vieille de 4 ans.
Cela reflète la malhonnêteté patente des médias aujourd’hui, véritables prostituées au service d’intérêts financiers et politiques qui cherchent à tout prix à vous terroriser.
Ne tombez pas dans ce piège.


21 août 2024

Gilles Casanova

Il ne faut pas seulement mentir de manière effrontée, comme cela se voit de manière évidente, il faut en plus annoncer que ceux qui verront la supercherie, ce sont eux les menteurs, et que ce sont de grands malades, à enfermer…

18 août 2024

LES MUTANTS DE PANURGE

Christian Rol

Je redoute déjà le prochain palier totalitaire qui s'annonce avec leur variole du singe ou je ne sais quelle arnaque montée dans les coulisses des labos et de l'OMS.
Si tous les moutons n'avaient pas marché dans la combine au temps du COVID, c'est-à-dire la grippe, nous n'aurions pas pour prochaine perspective, cette nouvelle ingénierie sociale qui va décimer un peu plus encore le bon sens élémentaire des populations.
Si le truc est véritablement dans les tuyaux comme le promettent Bill Gates et ses obligés, alors c'est reparti pour un tour. Flics en roue libre, masques panurgiens, voisins suspicieux, médias hystériques, vaccins bidons et obstacles à tous les étages pour les récalcitrants.
Le temps est vraiment venu où les fous gouvernent les imbéciles...

17 août 2024

Dr Luc Perino

Le mot "épidémie" a encore frappé : lorsque j'ai entendu une radio parler d'épidémie en Europe parce qu'il y avait eu un cas, j'ai réalisé que la catastrophe sémantique nous menaçait plus que la catastrophe infectieuse.
Une épidémie (du grec au-dessus du peuple) est la propagation rapide d'une maladie infectieuse connue ou inconnue qui frappe en un même lieu un grand nombre de personnes. Comme les lois, les définitions disposent d'une marge d'interprétation. Le terme "rapide" est sujet à discussion : quelques jours, semaines ou mois. Le même lieu peut être une école, une vallée, une caserne ou une ville. Le terme "pandémie" est utilisé quand il s'agit du monde entier, alors que les termes "épiscolie" ou "épipolis" n'existent pas.
Mais c'est assurément "grand nombre" qui est sujet à la plus grande variété d'interprétations. La raison mathématique impose de parler en pourcentage : cinq écoliers dans un établissement de 1000 élèves est plus important que deux millions de personnes dans le monde.
Le record de tous les temps est évidemment celui de la peste qui a décimé 30% de la population de tout un continent. Record indépassable, espérons-le, qui a diabolisé le mot épidémie dans l'inconscient collectif de toutes les générations suivantes.
Personnellement, il m'est agréable de savoir que je suis un descendant de ceux qui ont survécu assez longtemps pour avoir eu le temps de se reproduire. Cela me rassure quelque-peu sur la qualité de mon système immunitaire.
Les infectiologues et épidémiologistes, par nature plus raisonnables, utilisent plus volontiers le terme "émergence" qui se définit comme une infection nouvellement apparue dans une population ou qui a déjà existé mais dont l’incidence ou la répartition géographique augmente rapidement. Définition plus modeste par ses termes "incidence" et "répartition". Quant à l'adverbe "rapidement", elle sous-entend plutôt des mois ou années.
Entre 1940 et 2004, on a dénombré 335 émergences dans le monde et plus de cent au XXIème siècle. Quant aux infections humaines véritablement nouvelles, la moyenne est de cinq par an. J'ignore pourquoi le grand public n'a connaissance que d'une partie infime de ces émergences, alors que d'autres occupent la une des médias pendant des mois. Cette question de sociologie est trop complexe pour moi.
Le seul facteur que j'ai réussi à noter concerne les annonces de l'OMS. Il semble que lorsque cette institution internationale décide d'alerter sur une émergence, tous les pays sans exception mettent leurs ministères au pas quel que soit le lieu de cette émergence. Cela prouve au minimum que nos dirigeants et leurs experts attitrés, n'ayant plus ni opinion, ni autonomie de décision, se soumettent aux médias et aux aléas des précautions de quelques influents leaders de l'OMS.
Sans pouvoir présumer de l'avenir de cette deuxième émergence de mpox virus, nous pouvons au minimum affirmer qu'elle s'inscrit dans une très longue liste familière aux épidémiologistes. Et lorsque j'ai entendu une radio parler d'épidémie en Europe parce qu'il y avait eu un cas, j'ai réalisé que la catastrophe sémantique nous menaçait plus que la catastrophe infectieuse.