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16 septembre 2022

Pourquoi il faut se méfier de l’Europe d’Ursula von der Leyen

Natacha Polony

- 16/9/2022 - NP décortique le discours de von der Leyen pour nous donner son analyse de la situation actuelle : une solidarité de façade très favorable à l'Allemagne et une soumission totale à Washington.

Habillée aux couleurs du drapeau ukrainien, la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen a prononcé ce 14 septembre son troisième discours sur l’état de l’union. S’y esquisse une vision d’un futur européen qui peut inquiéter...

15 septembre 2022

Le choix du suicide européen

Pierre Duriot

La pénurie des énergies est une équation à plusieurs entrées. Bien sûr, il y a la guerre en Ukraine avec qui, rappelons-le, nous n’avons aucun accord militaire, ou diplomatique. Mais les pénuries viennent bien des décisions des dirigeants européens, non élus, von der Leyen en tête, qui ont décrété des sanctions contre Moscou, sans même que les élus nationaux n’aient à se prononcer. Celle-ci, on la sait déjà trempée jusqu’au cou avec les pharmaceutiques, par l’intermédiaire de son mari et on ne peut guère lui accorder la moindre confiance.
Macron a menti sur l’état de santé de la centrale de Fessenheim, pour pouvoir la fermer et plaire à des groupes de pression écologistes peu représentatifs, en terme de poids électoral. Ou organiser à dessein la pénurie énergétique. Pour cela et pour tout le reste, on ne peut pas lui faire confiance non plus.
En cause également, les fournisseurs d’énergie alternatifs, qui n’ont aucune existence commerciale viable puisqu’ils ne font qu’acheter de l’électricité à un producteur EDF monopolistique et la revendre en prenant un bénéfice. Il s’agit d’un non-sens économique, une construction financière inutile, mais qui rapporte gros à quelques amis des pouvoirs en place. Dans la situation de pénurie, ils pourraient tous perdre gros et on ne peut pas laisser des amis actionnaires perdre de l’argent, selon la bonne formule des profits privatisés et des dettes mutualisées.
En arrière-plan, des millions de foyers européens, dont beaucoup ne pourront pas encaisser financièrement les augmentations et des millions de PME et même des grands groupes, dont la comptabilité ne supportera pas des factures multipliées par quatre ou cinq. Ils mettront la clé sous la porte et enverront à la rue des millions de travailleurs qui pourront encore moins s’acquitter des factures énergétiques.
L’équation revient donc à faire de savants calculs, pour savoir jusqu’où on peut faire payer le peuple, sans qu’il ne rouspète trop, grâce à un « bouclier tarifaire », que nous payons, puisque l’État c’est nous. Jusqu’où on peut étrangler les entreprises, sans qu’elles ne meurent trop et jusqu’où on peut demander à des amis actionnaires de perdre un peu d’argent, pour que tout le monde ne soit pas trop mécontent et que l’édifice tiennent encore debout.
Parce que s’il y a un truc qu’on ne fera pas et qui pourtant serait la meilleure solution : on n’achètera plus rien à Poutine. Pour ne pas se dédire, les dirigeants arrogants qui nous gouvernent préféreront nous faire crever jusqu’au dernier, plutôt que de changer de cap. D’où les discours alambiqués de Borne et de von der Leyen, la première tentant de nous faire croire que tout va se résoudre en économisant 10 % de notre consommation. La seconde en préconisant d’envoyer nos factures d’électricité à Moscou, comme si ce n’était pas elle qui était à l’origine de ce suicide collectif.
À moins que la contre-offensive soi-disant ukrainienne, en réalité menée avec le matériel de l’OTAN, à défaut des troupes, ne sonne comme une déclaration de guerre totale, histoire de pousser Poutine à la guerre nucléaire, sinon, plus de Russie.
Il semble de plus en plus qu’il n’y ait plus rien à attendre de ces dirigeants, tous incapables d’auto-critique, d’écoute et de bon sens, soit par intérêt financier, soit pas fierté inconsidérée, soit encore par soumission totale à des intérêts américains. Il faudra à minima, les mettre dehors, on ne sait encore pas trop comment, même si certains en ont une petite idée, et leur demander des comptes.


- 15/9/2022 -

Martin Sonneborn, eurodéputé allemand, s'adressant à Ursula von der Leyen :

« Quand vous avez commencé votre service ici, je pensais que vous étiez juste incompétente et un peu criminelle ... »




14 septembre 2022

L’Union européenne, une dictature ?

François Asselineau

NOUVEAU NARRATIF

Selon Le Figaro, les crises auraient « renforcé » von der Leyen et son mandat pourrait aller jusqu'en 2029.
Ce narratif promeut cette femme corrompue et vaniteuse parce qu'elle est soumise aux États-Unis, à l’Ukraine et à Pfizer.

LES FRANÇAIS N'ONT PAS LEUR MOT À DIRE !

L’Union européenne est très exactement une DICTATURE

• dirigeants imposés et non élus
• cooptés par un gang de type mafieux
• menteurs
• corrompus
• servant exclusivement les intérêts des milliardaires qui les soudoient
• imposant une censure médiatique féroce
• poussant sciemment à la guerre


Véran et Amazon au Royaume des Fragiles

H16

Chargée comme l’haleine de l’alcoolique un lendemain de cuite mémorable, l’actualité devient difficile à suivre : il se passe trop de choses trop vite, et on a vite fait de louper une information primordiale, une de celles qui changent une vie (au moins). Par exemple, vous ne le saviez pas, vous n’en aviez assez probablement rien à carrer et vous aviez raison mais néanmoins, on apprend qu’Olivier Véran, l’actuel porte-parlote de Gouvernemaman, vient de sortir un livre résumant sa vision de la gestion de la pandémie par le gouvernement français.


Oui, Véran aurait donc écrit un livre sur ce qu’il aurait retiré de la gestion de la crise pandémique, dans lequel il pousserait même l’auto-analyse jusqu’à reconnaître ses erreurs lorsque furent émises certaines des injonctions paradoxales concernant le masque. Ici, le conditionnel est de mise tant on devra se demander si le ministricule a réellement fait cet effort d’écriture sans passer par un factotum comme l’époque nous y habitue, et tant la contrition dont il fait la démonstration bruyante sur papier 80g semble parfaitement artificielle.

On comprend bien qu’il joue ici l’air facile et politiquement assez usé du « Faute avouée, à demi pardonnée » qui pourrait fonctionner quand le politicien qui l’utilise a fait une petite bévue mais qui passe nettement moins quand la « petite boulette » revient à mettre 65 millions d’individus en résidence surveillée, à favoriser la distribution de Rivotril aux ainés, à interdire aux médecins de traiter, à édicter les protocoles les plus absurdes – le virus n’attaque que les gens debout donc « restez assis pour sauver papy ! » – à fermer des pans entiers d’hôpitaux en pleine pandémie et à instaurer une ségrégation artificielle et inique entre citoyens.

Sortir à présent un « oups, bon, on a peut-être été un peu loin » ressemble à un énorme moquage de visage.


C’est d’ailleurs exactement ainsi que les internautes l’ont interprété, qu’ils se sont empressés de le faire savoir sur la principale plateforme de vente des livres en question : multipliant les avis négatifs et les commentaires incendiaires, la production de Véran s’est rapidement vue affublée d’une note bien poivrée… Qui n’a pas trop plu ni à l’intéressé, ni à la plateforme : au bout de quelques heures, des commentaires ont commencé à disparaître d’Amazon et les notes ont été substantiellement revues à la hausse.

Décidément, l’establishment a le cuir sensible et supporte mal les petites remarques acidulées. Le Royaume des Fragiles, mélange des connivences entre les politiciens d’un côté et les grosses entreprises (ici, du Big Data) de l’autre, n’arrive pas à encaisser quelques faits bien sentis et la réalité est trop cruelle pour lui qui s’emploie donc à la cacher.

Car cette bidouille du réel n’est pas la première : rappelez-vous de la disparition des petits « pouces rouges » sous les vidéos Youtube de propa… pardon d’information du gouvernement ; il est vrai que certaines communications gouvernementales étaient devenues des clickodromes de l’enfer où les internautes rivalisaient d’inventivité pour un trolling de compétition et que l’establishment, absolument infoutu d’endiguer le phénomène, n’avait rien trouvé de mieux pour le faire disparaître…

(Ici, pensez à la fièvre et à un thermomètre cassé)

Dernièrement, ce fut la pitoyable série « Rings of Power » qui bénéficia d’un traitement similaire devant la montée des avis catastrophiques de ce qui est, il faut bien le dire, une œuvre de propagande wokisto-contortionniste avec les mannes de Tolkien.

Bien évidemment, de camouflages en nettoyages politiquement corrects, l’internet des normies et des consommateurs lambda ne veut plus rien dire et n’est plus que le champ d’expression d’une seule pensée, d’un seul avis (bien douillettement favorable et forcément ★★★★★, awesome et tout ça).


La dérive est très inquiétante et ses étapes donnent une bonne idée de la profondeur descendue dans le gouffre du silence que la société s’emploie à creuser.

Nous avions jusqu’à présent l’auto-censure (les journalistes, qui la pratiquent maintenant au quotidien en sont un bel exemple).

Nous avions aussi eu l’occasion de tester, en grandeur réelle, la cancel culture qui consiste – pour rappel – lorsqu’un article ou un avis différent du mantra général ou opposé au discours officiel est émis, à l’enfouir sous des tombereaux de dénégations, de mépris, d’injures, d’insultes, afin d’ostraciser durablement les auteurs de cette infâmie. Le dernier exemple en date – certes comique mais néanmoins réel – fut celui de Ségolène Royal mais on devra se rappeler, plus inquiétant encore, du sort qui fut fait aux camionneurs canadiens dont les protestations se soldèrent par une annulation de leurs comptes bancaires, avec tout ce que cela suppose ensuite.

Nous pouvons être témoins, tous les jours, de cette réécriture grotesque et navrante de l’Histoire, à coups de wokisme, de décolonialisme et autres fanfrelucheries marxistes des temps modernes.

Et maintenant, nous voyons à présent l’effaçage pur et simple, quasiment en temps réel, des éléments gênants qui viendraient égratigner les puissants.

Il ne faut plus se plaindre des dirigeants que nous avons : cela sera systématiquement interprété comme une « menace à la démocratie » (qui n’est plus l’expression du débat mais seulement celui de l’accord inconditionnel qu’on pourrait trouver dans une secte). Et si vous ne voulez pas être catégorisé de complotiste ou d’ennemi de l’intérieur, de terroriste, vous aurez à cœur de ne surtout pas déposer de commentaire critique sur les productions littéraires (ou autres) de nos politiciens officiels.

Soyez gentils, c’est un ordre. Ce serait ballot de se faire swatter pour un commentaire négatif sur Amazon, vous ne trouvez pas ?

« Tous les documents ont été détruits ou falsifiés, tous les livres récrits, tous les tableaux repeints. Toutes les statues, les rues, les édifices, ont changé de nom, toutes les dates ont été modifiées. »
G. Orwell, 1984

Jean Mizrahi

On va mesurer la cohérence de la bonne conscience européenne.


13 septembre 2022

Vincent Verschoore

Les USA se félicitent de leur succès aux côtés des Ukrainiens face aux Russes, mais n'ont pas le courage de déclarer la guerre à la Russie et d'assumer pleinement leur posture.

L'Europe continue d'enrichir la Russie et les USA tout en s'appauvrissant, seuls effets des sanctions.

Le reste du monde s'en fiche, profitant le plus possible de la situation en achetant du gaz et du pétrole à bon prix chez les Russes, pour nous le revendre le double.

Tout est donc fait pour que cela dure, pour que les troupiers ukrainiens et russes en paient le prix du sang (sous les applaudissements du camp du Bien), et nous, la facture économique.

Sur les médias de propagande français, Ségolène Royal est bannie pour sa liberté d'expression, mais BHL y fait bonne figure malgré ses mains rouges de sang.

Pourquoi si peu de gens semblent se poser la question : à qui profite le crime ?

Prospective politique : sortir de l’Europe

Pierre Duriot

L’Europe commence à se craqueler avec les dissensions entraînées par les effets économiques désastreux des mesures d’embargo contre la Russie. Même la taille imposante de certaines entreprises ne les empêche pas de penser à mettre la clé sous la porte, tant le prix de l’énergie plombe les factures. Ainsi, les gros sidérurgistes allemands, ou les champions de la chimie, sont au bord de la rupture, avec le risque d’entraîner vers le chômage des dizaines de milliers de travailleurs. La question se pose encore avec plus d’acuité, de savoir s’il faut rester dans cette Europe folle, désormais en guerre contre les États qui la composent, ou s’en sauver le plus vite possible ?
On l’a vu avec le Royaume-Uni, entamer des négociations de sortie est difficile et le sombre Attali expliquait lui-même, que tout avait été fait, à dessein, pour qu’on ne puisse jamais sortir de ce piège. Un chef d’État français pourrait alors tenter de nous en faire virer, selon le scénario suivant. On ne paye plus notre cotisation à l’Europe. En conséquence, elle ne nous reverse plus la moindre subvention. On s’en fiche un peu, on donne plus que ce qu’on reçoit. Elle empêche logiquement nos députés européens de siéger. Nous répondons en n’appliquant plus les règlements européens et leur substituons nos règlements nationaux. L’Europe nous inflige amende sur amende. On ne les paye pas. Nous remettons en service une monnaie nationale. Elle n’a pas d’armée pour nous envahir, mais pourrait éventuellement décréter des mesures de rétorsion économique, est-ce bien possible, tant les économies européennes sont intriquées ? Et encore, si la France se lançait dans ce genre de fronde, elle ne serait sans doute pas la seule, ce qui augmenterait le poids de sa démarche.
La Hongrie montre la voie. Pas tout à fait entrée complètement dans l’Europe, elle refuse ostensiblement de se suicider, c’est à dire de sacrifier, comme nous, son économie qui dépend entièrement du gaz russe, elle attise la colère de Mikulas Beck, le ministre tchèque des affaires européennes, qui évoque la non finalisation du processus d’adhésion de la Hongrie. Rappelons que la République Tchèque préside actuellement l’Europe. Certes, il n’est pas prévu dans les textes que l’Europe puisse virer l’un de ses membres, mais cela pourrait bien arriver à Orban, qui persiste à être un président au service de son pays. Et si d’aventure la Hongrie était virée, rien ne s’opposerait à ce que nous tentions le coup nous aussi. Il faudrait juste destituer Macron avant.


Kelly Scott

Des milliards d’euros et de dollars ont été et sont toujours versés par l’UE et les USA à l’Ukraine depuis le début de la guerre.
Cet argent c’est aussi le nôtre et je voudrais savoir, nous voudrions savoir, quel usage en est fait par le gouvernement ou les instances ukrainiennes.
Sert-il à acheter des armes, ce qui signifierait que nous contribuons à ce que cette guerre perdure et s’aggrave.
Sert-il à reconstruire les villes balayées par les combats ?
Sert-il à la population ? Aux réfugiés ?
On ne sait absolument pas où va cet argent, ni comment il est distribué.
Je dois avouer que L’Ukraine n’a jamais fait partie des pays qui me font ou m’ont fait un jour un tant soit peu rêver.
Je vais en fâcher certains mais pour moi c’est le pays de la GPA, de la libre marchandisation du ventre de pauvres femmes désespérées et cupides, le pays de tous les trafics, le pays de la corruption et apparemment aussi, nous avons pu le vérifier, le pays où subsistent ou ressurgissent des idéologies nauséabondes qui ont contribué par le passé à verser beaucoup de sang.
Pourquoi nos puissants ont-ils un tel engouement, une telle frénésie pour ce pays ?
De quoi ont-ils peur ?
Oui ce pays fait l’objet d’une invasion brutale et violente de la Russie, les causes nous les connaissons aujourd’hui tous, le rôle de l’OTAN, de l’Europe et des USA qui ont rendu cette agression presque inévitable, nous l’avons appris aussi.
Pourquoi l’Ukraine fait-elle l’objet de tant d’attention aujourd’hui ?
L’Arménie a subi des attaques militaires hier de la part de son voisin l’Azerbaïdjan et les médias ont à peine relayé l’information, personne pour condamner...
La vie d’un Arménien, d’un Yéménite ou d’un Éthiopien a-t-elle moins de valeur que celle d’un Ukrainien ?
Le président ukrainien V. Zelensky est invité telle une star partout, il se répand de façon obscène dans les médias.
Sans aucune pudeur ni humilité, il aime à faire parler de lui et être le nombril du monde.
Il fait sa propagande et impose aux autres pays, ses conditions, ses souhaits, ses attentes, ses ordres.
Cette guerre a déjà fait beaucoup trop de victimes innocentes qui n’avaient rien demandé.
Cette guerre comme l’explique très justement François Xavier Bellamy est aussi « un prétexte et un gigantesque mensonge dans la crise énergétique que nous subissons ».
J’espère que nous aurons un jour les réponses à toutes ces questions et que ceux qui se sont enrichis sur le dos des morts, ceux qui ont menti, ceux qui ont provoqué ces combats, ceux qui ont participé à tout ça rendrons des comptes et seront jugés par qui de droit.

Faire des économies

Pierre Duriot

Je me marre… attention les gueux, cet hiver et même dès l’automne, il faudra faire des économies de carburant, d’électricité, de bouffe, de tout en fait. Ils croient quoi au gouvernement, que jusqu’ici les gens de ce pays s’amusaient à laisser les lumières allumées, à chauffer à 25°C chez eux et à griller du gasoil pour se balader ? Les mecs n’ont pas dû rencontrer un Français depuis un bail, il faut donc les mettre au courant. Tout en étant encore « pas chère », l’électricité l’est déjà suffisamment et personne ne la gaspille en allumant tout son logement en permanence. Plus personne ne chauffe inconsidérément pour les mêmes raisons, le fioul et le gaz de chauffage étant déjà prohibitifs. Et les balades de 300 kilomètres le week-end sont finies depuis belle lurette, sauf pour quelques privilégiés évidemment. Les gens font plutôt gaffe, ne roulent plus, dans leur grande majorité, que pour les trajets indispensables, aller au boulot, emmener les gosses à l’école et faire quelques courses. Et encore, souvent en ne roulant même pas au maximum des vitesses autorisées, par mesure d’économie. Demander aux Français de faire des économies, c’est comme demander à un type qui ne prend qu’un repas par jour, de diminuer sa ration. Ça a l’air de beaucoup faire rire les élites, qui non contentes de nous expliquer que nous gaspillons, se proposent de nous enseigner les gestes qui économisent, tout en se gavant à nos frais. Il semble même y avoir, au plus haut niveau, une certaine jouissance à étrangler le petit peuple et surtout à lui faire croire qu’il est le seul responsable de ce qui lui arrive. Et le peuple continue à rouler pour aller au boulot le matin, mais s’il ne peut plus faire rouler sa bagnole, il finira peut-être par faire rouler des têtes...