H16
Parfois, les nouvelles ne sont pas aussi roses qu’on pouvait le prévoir : alors que tout semblait aller au mieux entre guerre, pénuries et virus, voilà qu’on apprend dans un récent rapport que la natalité
n’en finit pas de baisser en France.
Ainsi, depuis une décennie, les statistiques de différents organismes (sociaux, de santé, l’INSEE) montrent que si la France est encore un pays où les naissances sont nombreuses, elles le sont de moins en moins : un nombre plus faible d’enfants par femme, une augmentation du nombre de grossesses à risques, un décalage de l’âge du premier enfant de 25 vers 35 ans, de nombreux facteurs jouent sur cette baisse de la natalité.
Un autre facteur, moins publié, est l’augmentation quelque peu troublante, toujours depuis 10 ans, de la mortalité infantile : jusqu’à présent admise en dessous de 3 enfants morts en dessous de 1 an pour 1000 naissances, la hausse pointe à présent autour de
3.8 pour 1000 sans qu’on puisse déterminer avec précision pourquoi.
Mais plus inquiétant encore, ce sont les chiffres des deux dernières années en Europe qui plongent le plus dans la perplexité : la fin de l’année 2021 et l’année 2022 montrent l’une et l’autre un fort fléchissement du nombre de naissances, bien plus fort que la tendance globale décennale déjà assez peu réjouissante.
Pire : certains pays constatent une hausse alarmante des mortinaissances (enfants mort-nés) ainsi que l’accroissement des décès en très bas-âge (dans les premiers jours qui suivent la naissance) passant de 2 pour 1000 à 4.6 pour 1000, comme en atteste un
récent article de la BBC concernant l’Écosse.
Diable, quelle pourrait être la raison de ce brusque infléchissement des naissances et de cette augmentation marquée du nombre de mort-nés ?
Eh bien c’est justement
ce qu’ont tenté de savoir les autorités écossaises en demandant directement aux institutions de santé. Comme le détaille le Dr. Campbell dans la vidéo suivante, la réponse a fini par tomber : essentiellement, “on ne sait pas” mais il a été estimé qu’étudier un lien entre ces problèmes néonataux et l’éventuel statut vaccinal des mères n’était ni nécessaire ni souhaitable.
Les autorités de santé d’Écosse sont formelles : “Nous n’avons pas l’intention d’examiner le statut vaccinal des mères, car il n’y a aucune raison de santé publique de le faire”. La pause de plusieurs secondes du Dr Campbell (à partir de 7:27) est intéressante et la suite de la vidéo en profite de surcroît pour montrer comment les autorités (anglaises cette fois-ci) font habilement passer les bébés morts en très bas-âge dans la catégorie des mort-nés, ce qui évite commodément la paperasserie impliquée par une mort après naissance. On louera le sens de l’économie des fonctionnaires de santé anglais qui, à l’évidence, voient là une manière efficace de réduire les factures du contribuable.
De toute façon, à l’instar des autorités écossaises, il n’est vraiment pas nécessaire de s’interroger sur la sécurité de l’expérimentation vaccinale encore en cours. Et même si l’article initial du CDC montrant à quel point les femmes enceintes ne courraient aucun risque avec cette injection a été
assez proprement remis en question (les auteurs du dernier papier trouvant une incidence des avortements spontanés 7 à 8 fois supérieure aux résultats originaux du CDC), tout le monde sait qu’il n’y a aucun risque à court, moyen et long terme pour la fertilité humaine.
À propos, vous souvenez-vous du journaliste Alex Berenson, qui travaillait il y a quelques temps pour le New-York Times ? Son bannissement de Twitter l’avait rendu fameux alors qu’
il avait osé affirmer (le fou) que les vaccins ne protégeaient ni de l’infection ni de la transmission. Ayant trainé Twitter en justice, la firme californienne a finalement été obligée d’admettre son erreur et de lui rendre son compte tant à présent, il ne fait plus guère de doute (à l’exception de certains “experts” de plateaux télé) que ces injections n’empêchent effectivement ni transmission, ni contraction du virus…
Depuis, notre journaliste continue ses recherches sur les effets secondaires des injections et se demande actuellement si, au-delà des effets maintenant reconnus
sur le muscle cardiaque qui provoque des crises de coïncidences, il ne pourrait pas aussi y avoir un effet sur la fertilité…
Le journaliste cite notamment
le cas de Singapour dont les naissances semblent plonger neuf mois après le début des injections sur les femmes enceintes (une autre coïncidence).
Trouvera-t-il un lien ? Ce lien n’est-il qu’une chimère de plus dans la longue série de théories complotistes qui ont émaillé l’actualité des dernières années ? Allez savoir.
En tout cas, on se rappellera (à toutes fins utiles) que des éléments déjà présents dans
les études de Pfizer au sujet des procédés mRNA et nanolipidiques sur les rats indiquaient clairement la présence des produits bien au-delà des sites d’injection… jusque dans les gonades.
Avouez tout de même que ce serait une drôle de coïncidence que ce qui fut alors observé chez les rats s’observe à nouveau chez les humains et permette d’expliquer, au passage,
les nombreux troubles menstruels actuellement rapportés chez les femmes récemment vaccinées…
Quant aux hommes,
les études qui montrent un effondrement de la production de spermatozoïdes au-delà de tout doute statistique, n’ont évidemment qu’une valeur purement indicative, de l’ordre de la coïncidence.
Enfin,
les petits calculs statistiques menés sur les données officielles de natalité dans les pays d’Europe et dont on pourra éplucher les résultats n’ont, là encore, qu’un intérêt modeste d’illustration de ce à quoi une coïncidence peut ressembler : le fait que cette natalité baisse substantiellement dans les 9 mois après les injections miraculeuses n’est que ça, un hasard pittoresque.
Par exemple, la baisse constatée des naissances en Allemagne n’est probablement qu’un petit artefact de calcul, une boulette statistique, ou une concordance hasardeuse de la catégorie “chpouf ça arrive”.
Pour le lecteur peu versé dans la langue de Goethe, cela donne en substance ceci :
“Mon pronostic était que la baisse drastique des naissances du 1er trimestre 2022 se rétablirait pendant l’été, car peut-être beaucoup de jeunes mères voulaient attendre leur deuxième vaccination. Cela ne s’est PAS produit. En juillet également, le nombre de naissances est inférieur d’environ 8% à celui de l’année précédente. Au total, il manque 40.000 bébés.”
Mais foin de toutes ces isochronies fortuites, force est de constater qu’on peut pas tirer la moindre conclusion définitive. Il serait probablement judicieux de réclamer des études détaillées pour dissiper tout doute. Après tout, les vendeurs, les promoteurs et les avocats plus ou moins vocaux de ce vaccin présenté partout comme “sûr et efficace” ne devraient pas s’opposer à ce qu’on écarte enfin clairement toute controverse, qu’on éclaircisse enfin tout malentendu concernant les différences statistiques observées.
Certes, ce n’est pas exactement ce qu’on observe et les vendeurs, promoteurs et avocats font plutôt assaut d’inventivité pour que ces questions ne soient pas abordées.
Il s’agit sans doute d’une (autre) coïncidence.