François Amsallem
Il ne faut surtout pas aujourd'hui et il ne faudra jamais à l'avenir pardonner quoi que ce soit sans condition, sans jugement, sans condamnation, sans avoir à tout le moins exiger d'eux de faire amende honorable, aux vaccinolâtres et dans une moindre mesure aux covidistes, aux enfermistes, aux ségrégationnistes, aux masqueurs en particulier d'enfants et aux testeurs emmerdeurs d'asymptomatiques.
Pas question de conserver un faisceau caduque de faux-semblants de respect comme avant, aux médecins à deux balles de corruption, aux philosophes des plateaux télé, aux journalistes de la voix de leurs maîtres, aux experts des chèques encaissés aux Bahamas, aux Fact Checkers falsificateurs aux ordres, bref à tous ces cons pétant et pédants, professionnels incompétents.
Mais il faut pas non plus êtres trop clément avec les amateurs, sans pour autant les confondre dans le degré de responsabilité, qu'il s'agisse de l'immense foule des quidam, des faibles, des suiveurs, des faux mecs, des con-formés, bref de ceux qui victimes de leur bêtises, de leur inculture, de leur degré de soumission à leur patron, leur conjoint, leur vieille mère, qui n'ont été, sans enthousiasme exagéré les complices de cette escroquerie à la santé, que par défaut de personnalité, d'autonomie, de caractère et de quant-à-soi.
Ceux-là vous les connaissez bien, ce sont ceux qui n'insistaient pas trop pour vous inviter à vous faire vacciner, mais qui étaient beaucoup plus sceptiques sur les raisons valides que vous leur donniez et sur vos sources ou vos qualifications, qu'ils ne l'étaient par rapport aux contradictions voire aux absurdités du rouleau compresseur de la propagande officielle omniprésente.
Ceux qui faisaient un peu mollement c'est vrai confiance au système, ceux qui préféraient espérer que tout se passerait bien et que finalement les gens comme vous étaient un peu des empêcheurs de tourner en rond, des directeurs de conscience encombrants, des contestataires invétérés..., ceux-là qui trouvaient des excuses, pour justifier ceci et accepter cela, ne montraient pas tellement de compassion lorsque la ségrégation et la discrimination iniques battaient leur plein, ils préféraient condamner l'emploi de symboles comme l'étoile jaune dans les protestations..., en fait ce sont ceux qui avaient à l'époque l'impression d'avoir fait le moins mauvais pari, tout en ayant une conscience intime et intuitive du risque pris à partir d'un rapport risque bénéfice mal compris.
Évidemment, je ne parle pas ici des crétins finis, car sur ceux-ci, il n'y a évidemment plus rien à dire.
Qu'il s'agisse enfin de ceux à peine moins bêtes qui n'ont fait que laisser libre cours à leur manie du contrôle et à leurs autres troubles mentaux ou qu'il s'agisse bien sûr de ceux qui ont piloté ce qui désormais doit être désigné comme un complot international, leur sort doit être décidé par la justice ou éventuellement la psychiatrie, contrairement aux premiers, ceux que nous avons côtoyés, qui ne seront évidemment pas poursuivis, étant donné qu'on parle des deux tiers à peu près de la population.
Ceux-là les petits dictateurs du quotidien, les petits chefs, les incarnations individuelles de la banalité du mal, c'est à nous de leur faire comprendre avec patience, le cas échéant avec amour..., mais surtout avec fermeté, que nous n'appartenons pas ou plutôt que nous n'appartenons (temporairement) plus, du moins tant qu'ils n'auront pas fait l'effort moral sur eux-mêmes de se (re-)mettre à niveau, à la même catégorie d'hommes, je dis bien hommes et je ne dis pas femmes, car j'ai pour toutes les femmes qui ont cédé au injonctions des injections une compassion générale, que je n'ai pas pour ce que j'appelle un homme. Cela dit je me réserve le droit de les juger au cas par cas et au pire à les condamner, condamner à la dose de mépris et à ses boosters, comme il convient de le faire avec ceux qui n'ont pas honte et évidemment je tends une main fraternelle à tous ceux qui ont honte, fût-ce Erick Lebahr, Benjamin Lisant, Gad Weil (ceux-ci m'ont copieusement couvert de gloire en m'insultant) et qui sais-je encore.