À la faveur d’une bronchite, j’ai assisté cette nuit de manière inattendue à la révélation du plus grand scandale de manipulation de l’information et de l’opinion de l’époque contemporaine dans un Thread sur Twitter qui avait été annoncé en fin de journée par Elon Musk.
J’aurai l’occasion de revenir sur l’ensemble de ce dossier dans un article ultérieur qui reprendra toute l’affaire depuis le début, mais je dois vous dire que ce qui s’est passé cette nuit et qui aura tenu beaucoup d’entre nous en haleine est de nature à bouleverser beaucoup de choses si la démocratie a encore une réalité.
Les preuves sont apportées dans ce thread plus haletant qu’aucune série Netflix de ce que j’avais démontré dans mon essai sur la Liberté d’expression comme étant une forme aiguë et dangereuse de « porosité » entre le camp autoproclamé du Bien, du néoprogressisme, en l’occurrence une large partie du Parti Démocrate américain et de nombreux médias ainsi que, surtout, la Big Tech, en l’espèce Twitter.
Des copies d’écran complètement sidérantes viennent d’être révélées qui prouvent la volonté délibérée de désinformer, de modifier par la désinformation l’opinion publique et il s’agit là de la révélation d’un trucage avéré et criminel de l’élection américaine ayant porté Joe Biden au pouvoir. Souvenons-nous par ailleurs des accusations qui étaient parallèlement menées d’ingérence étrangère (russe, évidemment) alors que l’ingérence criminelle dans l’élection et la corruption opérait de l’intérieur-même du camp démocrate (et de l’État profond dont il est le pantin).
Tout le scandale révélé cette nuit porte sur la volonté avérée des démocrates et de Twitter et autres géants de la Big Tech de dissimuler les liens de corruption entourant les activités de Hunter Biden en Ukraine et en Chine, révélations qui, si elles avaient été révélées de façon normale comme avait tenté de le faire le New York Post et certains comptes Twitter, auraient conduit à l’évidente non-élection de Joe Biden, alors même que Twitter œuvrait inversement à museler sous prétexte de lutte contre les « fake news » que j’ai toujours appelées « pseudo-fake news » l’expression libre du camp républicain, en supprimant notamment le compte du président alors élu (Trump) et de plus de 70 000 de ses supporters en pleine élection.
À l’heure qu’il est, le thread continue de se dérouler, dévoilant chaque minute des éléments de plus en plus scandaleux dans une affaire qui, par ses implications mondiales (songeons aux multiples dispositifs de porosité idéologique et de pseudo lutte anti fake news dont s’est obsessionnellement entourée l’équipe de campagne de Macron – j’en parle également beaucoup dans mon livre et cela vaut pour les 2 campagnes électorales –, songeons également bien sûr à la question ukrainienne, est un scandale encore plus important que le Watergate.
Avant d’y revenir plus tard, lorsque tout sera dévoilé, j’attire votre attention sur un point qui me semble important : l’on critique beaucoup les États-Unis pour leurs mauvais aspects, je le fais autant que de besoin en matière de wokisme ou encore à travers le rôle éminemment contestable joué par les USA dans la déstabilisation ukrainienne, mais ô combien l’on est admiratif (et envieux !!!) lorsque cette grande démocratie, celle qui place la liberté d’expression en Première place des amendements de sa Constitution, joue pleinement son rôle.
Quiconque a assisté cette nuit en direct à cet événement majeur se souviendra pour longtemps de ce que la démocratie signifie. La question qui se pose à présent est : dans quelle mesure les systèmes verrouillés de contrôle de l’opinion et de l’information, dont l’Union européenne et notamment la France sont les plus vaillants zélateurs, traiteront cette gigantesque affaire qui, au passage, en plus de souligner ce que nous dénoncions depuis des années concernant la corruption et la désinformation, apporte des éléments probants concernant les troubles affaires ukrainiennes à travers un personnage (Hunter Biden) qui incarne à lui tout seul la décomposition morale et matérielle de l’Occident.
À suivre.