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12 décembre 2022
Virginie Joron : « Nous ne sommes qu'au début du scandale sur le Qatar. »
Virginie Joron, députée européenne, réagit au scandale Eva Kaili. Elle souligne les relations troubles entre les socialistes européens et le Qatar.
Le nécessaire préalable de Ciotti
Gilles La Carbona
Ciotti est le nouveau patron des LR. Il semblerait qu’une nouvelle orientation plus droitière soit prise chez les LR. Ses toutes premières déclarations vont dans le sens de ce que nous défendons au RPF, cependant, un écueil de taille fait face à cette volonté. Le nouveau chef du parti ne peut ignorer que toutes ces belles intentions de remettre la France sur des rails plus conformes à son histoire, ainsi qu’aux vœux exprimés par une majorité de citoyens lors des élections législatives, ne pourront se concrétiser dans l’actuel paysage politique. Le préalable à son programme est bien la chute de ce régime. Il ne pourra se résoudre à demeurer dans une opposition de circonstance, fade et soumise, à se payer de discours, sur la nécessaire remise en ordre du paquebot France.
Pour tenter de changer de cap il doit avant tout, faire tomber ce gouvernement qui en est à son 10ème 49.3. Si l’on pouvait considérer, aux premières utilisations de cet article, la gouvernance Borne comme autoritaire, ne se souciant pas de l’avis du parlement, à présent c’est un tout autre sentiment qui prévaut. Ce pays n’a pas d’opposition, et quand bien même, sur le papier, c’est elle qui est censée peser dans les débats et le choix des lois, dans la réalité il n’en est rien. Empêtrées dans des postures idéologiques, terrifiées à l’idée de ternir une image de soi-disant opposants à l’extrême droite, les oppositions se révèlent incapables de faire valoir leurs forces et leurs idées et laissent à la macronie la liberté de gouverner comme elle le souhaite sans vraiment être inquiétée. Il est donc temps de changer les choses, de montrer que les LR entendent reprendre la main.
Pour ce faire une seule solution, faire tomber ce gouvernement à l’occasion de la présentation de la loi sur les retraites. Ce devrait être facile puisque Macron lui-même a annoncé qu’il souhaitait passer en force cette loi. Raphaël Schellenberger n’a-t-il pas évoqué la possibilité de déposer une motion de censure face à ce casus belli (sic). Très bien, mais s’arrêter à sa propre motion, en pensant que ce sera suffisant est une erreur ou un mensonge. Les LR ne pourront pas s’en sortir avec cette simple pirouette et dire : « Regardez, on a fait notre boulot, n’est-ce pas ! » Non, le boulot ne pourra être considéré comme achevé qu’après l’adoption d’une motion de censure, quelle que soit son dépositaire. Il sera alors nécessaire non seulement de déposer une motion, mais aussi de voter celle des autres, pour être certain d’arriver au but recherché. Une fois ce prérequis acté, il sera possible d’établir un programme de gouvernance, avec toutes les droites républicaines et patriotes.
L’échéance est proche, et nous pourrons très vite juger de la volonté et de la sincérité des premières déclarations. Pour l’heure, nous restons prudents, raisonnent toujours à nos oreilles les propos de Jacob qui, au soir du second tour des législatives, affirmait qu’ils étaient dans l’opposition... depuis, il y a eu 10 utilisations de 49.3 sans que rien ne change, donc, on peut légitimement ne plus se contenter des paroles et attendre des actes.
Brian Martin explore les mécanismes de la censure à l'heure du Covid-19
- 11/12/2022 -
« Vous avez un groupe dominant qui a presque le monopole de l'opinion des experts (...) Pourtant, quelques individus critiquent l'opinion dominante et menacent de transformer le monopole où tous les experts sont d'accord en un débat. Un débat signifie que, peut-être, nous ne savons pas lequel a raison. Par conséquent, ces experts dissidents, en remettant en cause l'opinion orthodoxe, représentent une menace bien plus grande. Et c'est pourquoi ils sont attaqués de diverses manières. » Dans ce “Debriefing“, Brian Martin, professeur émérite en sciences sociales et spécialiste de la censure, revient sur un article intitulé « La censure et la suppression de l’hétérodoxie du COVID-19, tactiques et contre tactiques », auquel il a participé avec quatre autres chercheurs.
Cet entretien est l'occasion pour lui d'expliciter son travail de recherche dont le but était d’avertir le public des effets désastreux de l'absence de débat contradictoire en médecine, en science et en santé publique depuis l'émergence de l'épidémie de Covid-19.
Si la censure n'a pas commencé avec la crise sanitaire, elle a pris une ampleur sans précédent depuis l'apparition du virus. Brian Martin revient sur les expériences des médecins et des chercheurs qui ont été la cible de cette censure suite à leurs publications ou à leurs déclarations contestant le point de vue officiel sur le covid. Il rend compte des attaques et des méthodes de déstabilisation employées par les tenants du narratif dominant contre les individus critiques des mesures sanitaires et de la politique de vaccination en population générale.
Il expose également les contre-attaques des personnes censurées qui, après une période d’effroi, ont réagi en élaborant des stratégies de défense pour continuer à faire entendre leurs voix.
Brian Martin est professeur émérite en sciences sociales à l'Université de Wollongong en Australie. Spécialiste de la censure, il est l'auteur de 22 livres et de centaines d'articles sur la non-violence, les lanceurs d’alerte, les controverses scientifiques, les questions d'information et la démocratie.
L'article publié aux éditions scientifiques Springer a été écrit en collaboration avec Yaffa Shir-Raz, Ety Elisha, Natti Ronel et Josh Guetzkow.
Pr Brian Martin, , professeur émérite de sciences sociales à l'Université de Wollongong en Australie
« Vous avez un groupe dominant qui a presque le monopole de l'opinion des experts (...) Pourtant, quelques individus critiquent l'opinion dominante et menacent de transformer le monopole où tous les experts sont d'accord en un débat. Un débat signifie que, peut-être, nous ne savons pas lequel a raison. Par conséquent, ces experts dissidents, en remettant en cause l'opinion orthodoxe, représentent une menace bien plus grande. Et c'est pourquoi ils sont attaqués de diverses manières. » Dans ce “Debriefing“, Brian Martin, professeur émérite en sciences sociales et spécialiste de la censure, revient sur un article intitulé « La censure et la suppression de l’hétérodoxie du COVID-19, tactiques et contre tactiques », auquel il a participé avec quatre autres chercheurs.
Cet entretien est l'occasion pour lui d'expliciter son travail de recherche dont le but était d’avertir le public des effets désastreux de l'absence de débat contradictoire en médecine, en science et en santé publique depuis l'émergence de l'épidémie de Covid-19.
Si la censure n'a pas commencé avec la crise sanitaire, elle a pris une ampleur sans précédent depuis l'apparition du virus. Brian Martin revient sur les expériences des médecins et des chercheurs qui ont été la cible de cette censure suite à leurs publications ou à leurs déclarations contestant le point de vue officiel sur le covid. Il rend compte des attaques et des méthodes de déstabilisation employées par les tenants du narratif dominant contre les individus critiques des mesures sanitaires et de la politique de vaccination en population générale.
Il expose également les contre-attaques des personnes censurées qui, après une période d’effroi, ont réagi en élaborant des stratégies de défense pour continuer à faire entendre leurs voix.
Brian Martin est professeur émérite en sciences sociales à l'Université de Wollongong en Australie. Spécialiste de la censure, il est l'auteur de 22 livres et de centaines d'articles sur la non-violence, les lanceurs d’alerte, les controverses scientifiques, les questions d'information et la démocratie.
L'article publié aux éditions scientifiques Springer a été écrit en collaboration avec Yaffa Shir-Raz, Ety Elisha, Natti Ronel et Josh Guetzkow.
Chacun pourra se reconnaître
Yann Bizien
Billet d'humeur consécutif à certains commentaires
- Il y a les lucides et les réalistes mais aussi les aveugles et les naïfs pathétiques.
Il faut de tout pour faire un monde.
Billet d'humeur consécutif à certains commentaires
- Il y a les lucides et les réalistes mais aussi les aveugles et les naïfs pathétiques.
- Il y a les tolérants et les bienveillants mais aussi ceux qui sont fermes sur nos principes.
- Il y a ceux qui restent eux même quoi qu'il arrive et ceux qui retournent leur veste en fonction des vents et des intérêts.
- Il y a ceux qui défendent le monde et ceux qui défendent la France.
- Il y a les patriotes et les souverainistes mais aussi les européistes et les multiculturalistes.
- Il y a des progressistes mais aussi des conservateurs.
- Il y a ceux qui dénoncent l'emprise islamiste dans notre pays et ceux qui s'y soumettent.
- Il y a ceux qui encouragent l'immigration et ceux qui n'en veulent plus.
- Il y a ceux qui considèrent que c'est une chance et ceux qui pensent le contraire.
- Il y a des envahisseurs et des envahis.
- Il y a ceux qui croient et ceux qui ne croient plus.
- Il y a ceux qui votent et ceux qui ne vont plus vers les urnes.
- Il y ceux qui capitulent et ceux qui résistent.
- Il y a ceux qui ne font plus rien et ceux qui agissent.
- Il y a ceux qui estiment que la France doit être respectée et ceux qui s'effacent et se cachent quand elle est piétinée.
- Il y a des partisans et des opposants.
- Il y a ceux qui cherchent à comprendre et à approfondir et ceux qui ont perdu tout discernement.
- Il y a ceux qui s'enflamment sur leurs passions et ceux qui conservent la tête froide.
- Il y a ceux qui aiment la France et ceux qui lui crachent dessus.
- Il y a ceux qui la défendent et ceux qui la liquident.
- Il y a des lâches et des traîtres mais aussi des audacieux et des courageux.
- Il y a des francs et des hypocrites.
- Il y a ceux qui font des efforts et ceux qui n'en font plus.
- Il y a des dominants, et des dominés.
- Il y a ceux qui sont souvent entre les deux.
- Il y a ceux qui cassent et ceux qui réparent.
- Il y a ceux qui sont souvent entre les deux.
- Il y a ceux qui cassent et ceux qui réparent.
- Il y a ceux qui paient et ceux ne paient pas.
- Il y a les responsables et les irresponsables.
Il faut de tout pour faire un monde.
Yann Bizien
La France :
La France :
- 3000 milliards de dettes
- 10 millions de pauvres
- Plus de 3 millions de chômeurs soit 7,4 % de la population active
- 156 milliards de déficit commercial
- 30 % de retraités qui touchent le minimum contributif (741 € par mois)
- 24 centrales nucléaires à l’arrêt fin octobre sur 56
- Des prix qui explosent sur l'alimentaire et les énergies avec une inflation à 6,2 % fin novembre
- 733 070 visas et 270 925 titres de séjour dont 85 844 à titre familial délivrés en 2021
- 53,3 % de naturalisation en plus en 2021 par rapport à 2020, soit 94 092 étrangers naturalisés (10 000 de plus qu'en 2020)
- Désormais 7 millions d'étrangers installés en France soit 10,3 % de la population totale
- 1386 "atteintes à la laïcité" sur les trois derniers mois
- Effondrement de nos hôpitaux et environ 15 000 soignants suspendus
- Forte hausse des coups et blessures volontaires (+ 12 %), des homicides, des viols et tentatives de viol (+ 32 %), des escroqueries (+ 15 %), de la consommation de produits stupéfiants (+ 38%)
- Trois jours de munitions en stock pour nos armées en cas de guerre de haute intensité.
Mais tout va bien. "Le commandant est à bord", n'ayons pas peur, pas d'affolement, nous ne risquons rien. Restons sereins, positifs et dans l'espérance. Notre Gouvernement est doué. Il saura nous sortir de cette impasse. Avec ses mots et sa fumée.
Catherine Gaillard
Il continue à dilapider la France. Toi le gueux réfractaire, continue à te priver de chauffage, bouffe avec tes gosses de plus en plus de daube pas chère et vois avec gentil Cofidis pour finir tes mois et payer ton gaz et ton électricité.
E. Macron aujourd'hui : « Avec le Président Zelensky, nous avons préparé les conférences que la France accueille mardi : une première, internationale, pour répondre aux besoins de l'Ukraine pour passer l’hiver, et une seconde avec les entreprises françaises qui s'engagent dans la reconstruction du pays. »
Anne-Sophie Chazaud lui répond : « Pendant que vous dilapidez de l’argent qui n’est pas à vous, les Français se tiers-mondialisent, des entreprises ferment, des ménages se paupérisent, l’État s’effondre. Cela s’appelle de la trahison. Vous n’avez de cesse que de trahir le peuple français. »
Monique Plaza : « Nous sommes en plein cauchemar. Emmanuel Macron décide tout seul de reconstruire l’Ukraine avec Zelensky en utilisant l’argent public de notre pays qu’il s’acharne à détruire. Merci à ceux qui l’ont réélu et qui ont appelé à le réélire. »
11 décembre 2022
« Les Français ont rendu les armes »
Yann Bizien
Le titre de cet article d'un grand journal parisien daté de ce Dimanche est intéressant.
Petite définition rapide sur cette notion de « rendre les armes » :
« Accepter et concéder la défaite ou l'échec, abandonner, jeter l'éponge. Avouer son incapacité à résister. S'avouer vaincu. Renoncer à combattre. Capituler lors d'un conflit armé. Reddition, se rendre. Baisser le pavillon. »
Je ne connais pas l'intention de la rédaction de ce journal du Dimanche, ni celle de l'auteur de cet article. Mais elle est chargée de sous-entendus et de sens.
On retrouve deux explications de cette notion de « rendre les armes » dans la littérature : une explication romantique, et une explication militaire.
Sur le plan romantique, d'abord
Connue dans la seconde moitié du XIVème siècle, cette expression de « rendre les armes » a été essentiellement utilisée dans le langage romantique. À l'époque, il était d’usage de comparer les relations amoureuses, et plus principalement l’art de la séduction, à une forme de défi, tel un combat de chevalerie.
Ainsi, quand un séducteur « déposait les armes », c’est qu’il renonçait à sa conquête amoureuse. Il reconnaissait avoir échoué dans ses tentatives de séduction, ses charmes n’étant pas à la hauteur de ses ambitions ou « la belle » était bien trop farouche.
« Sitôt que je la vis, je lui rendis les armes. » (Malherbe)
« À ses premiers regards les cœurs rendent les armes. » (Molière)
« Jean Azévédo se méfiait des femmes qui rendent les armes trop tôt pour que l’assaillant ait le loisir de lever le siège. Il ne redoutait rien autant que la victoire, que le fruit de la victoire. » (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
Sur le plan militaire, ensuite
« Rendre les armes » serait la conséquence d'une situation dictée par des nécessités et la reconnaissance d'une défaite potentiellement honorable ou humiliante.
Il s'agirait donc du triste sort des vaincus.
« Vous remettez les armes, et vous demandez grâce. » (Massillon)
Pour mémoire, dès l’entrée des troupes allemandes sur le territoire national français, une ordonnance du 4 juillet 1940 interdit la détention des armes :
« Toutes les armes à feu et munitions, grenades à main, explosifs et autres matériels de guerre sont à remettre. La remise doit s’effectuer dans l’espace de 24 heures. Les maires sont tenus pleinement responsables de la mise en exécution. Toute personne possédant des armes ou autres matériels de guerre sera punie de la peine de mort ou de travaux forcés, en cas plus légers de prison. Toute personne commettant des actes de violence, quels qu’ils soient, contre l’armée allemande ou un de ses membres sera punie de mort. »
Compliqué, tout ça. Surtout quand Fénélon disait : « Mettez vos peuples sous les armes. », que La Fontaine ajoutait : « Que ce soir chacun soit en armes. » ou que d'autres pays, y compris à l'est de l'Union européenne, cherchent encore à inscrire ce droit à détenir des armes dans leur Constitution.
Chacun pourra évidemment déduire ce qu'il veut bien de cette récente opération gouvernementale de récupération des armes privées détenues à domicile.
Elle est juste « lourde de sens. »
Yann Bizien
Je savais que Lionel Jospin avait tous les défauts politiques d'un homme de gauche. Mais en sa qualité "d'homme d'Etat", je pensais qu'il pouvait faire preuve de bon sens, de sagesse et d'esprit de responsabilité sur les questions géopolitiques, sur les relations internationales et sur le sujet hautement sensible de la guerre et de la paix.
Je me suis trompé. En affirmant que "Poutine doit perdre cette guerre", il commet une impardonnable faute politique, de discernement et de jugement.
La solution à cette guerre en Ukraine n'est pas la "défaite" ni l'humiliation de la Russie.
La réponse, c'est une paix d'équilibre, c'est à dire une option qui puisse satisfaire durablement et solidement la Russie et l'Ukraine.
Vouloir la défaite de Poutine, c'est faire le choix d'une guerre sans fin.
Le but de la guerre doit être la paix. Une bonne paix. Et vite.
Ukraine
Vincent Verschoore
La guerre en Ukraine est en partie une guerre de propagande, comme toute guerre, mais ici développée à un niveau inédit, vu que toute la machine médiatique "officielle" s'aligne avec le narratif de son camp, et censure massivement le propos du camp adverse, tandis que la population reste très éloignée, physiquement, de la réalité des combats et de leurs conséquences directes.
Ainsi, la population occidentale (je ne peux pas parler pour les Russes) est relativement bien protégée des détails du massacre conduit en son nom, et n'entend que le narratif dithyrambique sur l'Ukraine, Zelensky, sa population et ses soldats, tout en occultant les vingt ans de manœuvres géopolitiques par l'Otan pour en arriver là où nous en sommes.
Il faut donc aller "gratter" sur les réseaux pour espérer se construire une image un peu réaliste de la situation, et bien sûr prendre connaissance de l'histoire des relations Otan/Russie depuis la chute du mur. Ce que la grande majorité du "camp du bien" refuse évidemment de faire, confortablement installé dans une idéologie russophobe construite de toutes pièces.
Voici moins d'un an, pourtant, tout le monde savait encore que l'Ukraine est une plaque tournante de diverses mafias, que ses institutions sont hautement corrompues, que ses services secrets (SBU) n'ont rien à envier au KGB dont ils sont issus, qu'une partie au moins de son armée relève du banderisme, qu'elle bombarde le Donbass depuis 2014 malgré les accords de Minsk, et qu'elle est sous forte influence US/Otan. [...]
Si les médias nous montraient la réalité de la guerre, les 100 000 morts ukrainiens, les millions de gens dans le froid, et le pourquoi de tout ceci, il est possible qu'une grande partie de la population européenne exige alors l'arrêt du conflit et une solution négociée, et tant pis pour les territoires perdus.
Hors de question, bien sûr, les maîtres du jeu (US et élites européennes vendues aux mêmes) ayant décidé de mettre la Russie à genoux, en y sacrifiant l'Europe.
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