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13 décembre 2022

T'as plus les moyens de ton arrogance

Gérard Boyadjian

Il y a 50 ans, ce n'était qu'un foutu désert... et t'étais le roi d'Europe.
Aujourd'hui, c'est un pays flambant neuf, une gigantesque ville dont l'urbanisation et la modernité sont à l'apogée et la technologie frise l'apothéose. Les touristes affluent par milliers, par millions... Le mondial qui se joue chez eux est un succès absolu. Les stades sont remplis et les audiences sont au sommet. L'organisation impeccable ne souffre d'aucune émeute, pillage ou incident...
Etc...
Et les suffisants blaireaux bien de chez nous, incapables de gérer 10 supporteurs dans un stade, 5 squatteurs dans un immeuble, 3 cassos dans une université, 1 trans végan non binaire qui cherche son identité de genre à Leclerc... prétendent encore imposer leur morale et les regarder de haut ?
Excuse-moi de te ramener violemment à ce que tu penses et crois pouvoir omettre, sans te compromettre :
Les mecs climatisent des stades entiers et en plein cagnard. Ils ont obtenu leur mondial en arrosant de commissions occultes toutes les instances sportives européennes. Ils ont corrompus toute ta classe politique. Ils n'en ont strictement rien à battre de tes droits de l'homme de mon c... et ta planète de mes f... Avec "leur tête de chameau et leur nappe sur la tête", ils t'écrasent de toute leur puissance économique et s'assoient bien profond sur "tes pseudos valeurs" en carton arcenciel.
Pendant que toi, petit occidental moraliste efféminé de mes c..., t'en es réduit à baisser la luminosité de ton écran plat et éteindre ton chauffage !
Pendant que chaque jour, ils te ridiculisent, t'écrasent et t'humilient... Toi t'es limité à "je baisse, je décale, j'éteins".
Tu pourras dire ce que tu veux sur le Qatar et les Qataris...
Eux viendront à Paris pour acheter tes palaces pendant que t'es cantonné à cohabiter avec les rats d'Anne Hidalgo.
Le vent tourne et L'histoire bifurque. Il est grand temps pour toi de te situer dans cet espace qui te circonscrit et te définit désormais.
C'est fini ! T'as plus les moyens de ton arrogance.
S'il y a 50 ans, tu pouvais fièrement bomber le torse, aujourd'hui, tu peux juste fermer ta grande g...
Et surtout, n'oublie pas de baisser le regard dans le métro.

Twitter files, la suite : censure à tous les étages

H16

Inexorablement, le paysage de l’information grand public change et ce n’est pas à la faveur des institutions officielles, de la presse traditionnelle ou des organes médiatiques habituels, au contraire. Avec la publication des “Twitter Files” dont un précédent billet faisait mention, on a eu la démonstration à la fois de la collusion de l’État et des BigTech, et à la fois de celle de l’État avec la presse traditionnelle tant son mutisme fut complet au sujet des révélations de Twitter.

Cette première bordée de révélations montrait ainsi toutes les manœuvres en coulisse de Twitter pour réduire à néant certaines informations très défavorables à Joe Biden, alors en campagne présidentielle. La suite de ces révélations – qu’on pourra éplucher dans le fil de Bari Weiss ci-dessous – permet d’établir que les faits révélés dans la première salve de documents ne sont pas accidentels, mais font partie d’une véritable “politique maison” de la part des hauts responsables de Twitter, afin de pousser clairement un ordre du jour politique clairement ultra-favorable aux progressistes voire aux collectivistes de tout poil, et diamétralement défavorable aux Républicains américains en particulier et aux Conservateurs en général.


Au fil des éléments présentés par Bari Weiss, on découvre que les salariés de Twitter employés à la modération ont directement accès à toute une panoplie d’outils destinés à espionner les activités d’un compte et à minimiser l’impact et la visibilité de certains messages jugés contraires aux tendances politiques des dirigeants du réseau social américain. Depuis le shadow banning (appelé “Visibility Filtering” chez Twitter) – technique qui autorise l’utilisateur à continuer à publier des informations mais qui cache totalement ou presque sa diffusion – jusqu’aux techniques algorithmiques visant à diminuer l’impact des messages en passant par le marquage de certains comptes pour des déclenchements d’alertes directes auprès de la direction de Twitter, tout a été mis en place pour ne laisser qu’une place symbolique aux messages dissidents de la tendance woke et progressiste, dans une opacité complète et fort loin des politiques d’usages officielles.


Cet éloignement des politiques officielles est tel qu’on goûtera tout le sel d’un ancien message de Jack Dorsey, le fondateur de la plateforme, qui expliquait en 2018 ne jamais s’être adonné à cette pratique : que nenni, Twitter n’utilise pas ces techniques et certainement pas en fonction de points de vue politiques. Ben tiens. Et s’il pouvait encore arguer il y a quelques mois qu’il n’était pas tenu au courant de toutes les décisions de son équipe de modération, il apparaît au fil de ces Twitter Files qu’en réalité, il était assez clairement informé de l’étendue du filtrage et des manipulations mises en place.

Au-delà de ces aspects qui étaient en réalité déjà largement soupçonnés et reprochés à la plateforme avant son rachat par Elon Musk, ce nouveau lot de Twitter Files apporte une autre confirmation à savoir celle de l’implication directe du FBI, c’est-à-dire d’une administration fédérale américaine, dans le choix des messages autorisés à fleurir ou non sur la plateforme. Il suffira au passage d’éplucher la liste des employés actuels (à des postes à responsabilité) de Twitter pour découvrir qu’une partie d’entre eux a longuement émargé dans plusieurs agences fédérales, depuis les services secrets en passant par la CIA, et pour la majeure partie, au FBI.


Enfin, lorsqu’on comprend l’ampleur de la collusion et de ce qui ne peut être autre chose que de la censure (des membres du parlement, d’administrations américaines étant directement impliqués pour obtenir des suppressions de comptes ou de messages), on ne peut que constater la puissance de Twitter dans la formation de l’opinion publique et l’orientation de toute la presse pour écraser toute vue dissidente.

Les conséquences ne se traduisent pas seulement par une perte de liberté d’expression, mais bien par nombre de vies détruites, au sens figuratif comme littéral (par exemple, tout discours sur la possibilité de traitements médicamenteux furent supprimés). Avec un tel mode de filtrage politique des contenus, Twitter est devenu une firme d’espionnage et un outil de censure pour certaines administrations américaines en collusion avec le parti Démocrate. Du reste, cela se produit aussi, sous stéroïdes, dans d’autres grandes firmes technologiques comme Youtube, Google, Meta & Instagram, la différence étant qu’ici, les agissements de Twitter sont exposés à la vue de tous, à tel point que sont passés sous silence les crimes et la corruption des politiciens en place (tant aux États-Unis qu’ailleurs, ne vous bercez pas d’illusions).

Une grande partie des dirigeants actuels, et, derrière eux, des principaux partis de pouvoir, ont largement abandonné leur pouvoir au main de ces grandes entreprises en l’échange d’une garantie de continuité de leur statut : tant qu’ils disposent des petits fours et bénéficient des délits d’initiés boursiers, ils jouent le jeu et laissent pour ainsi dire les clés des pays aux milliardaires des BigTech qui ont, dès lors, les coudées franches. Et si l’on peut ainsi subvertir discrètement l’opinion et le discours publics, que dire des processus de vote, surtout lorsqu’ils sont électroniques ?

De fil en aiguille, ces agences gouvernementales et ces BigTech ont accumulé tout le savoir nécessaire pour forcer les politiciens à tenir la ligne qui leur est favorables : les politiciens qui tentent la franchise, le retour au peuple ou les discours alternatifs sont systématiquement salis, broyés ou réduits au silence (et ce n’est pas toujours une figure de style).

Avec de telles méthodes, Snowden doit rester aussi évanescent que possible, et Assange pourrait mourir en prison : Twitter (et les autres) ont été directement responsables de la suppression de toute voix supportant le journaliste ou le lanceur d’alerte. Twitter a directement censuré des docteurs, des praticiens qui ont alerté, très tôt, sur les dangers des injections ARNm (myocardites, typiquement) ou sur les conséquences néfastes des confinements (sur les enfants notamment) et ceci se traduit effectivement par des morts et des blessés.

Ce faisant, toutes les informations qui sont parvenues via Twitter ces dernières années doivent être replacées dans le contexte de ces manipulations massives d’opinion, où toutes les conceptions alternatives ont été étouffées, où certaines propagandes d’État ont été favorisées (depuis les guerres jusqu’aux politiques énergétiques consternantes en passant par la manipulation des masses sur le covid).

On ne peut plus avoir aucune confiance ni dans les médias, ni dans la parole publique des politiciens, ni dans les élections, ni dans les processus habituels de recherche scientifique de la vérité.


12 décembre 2022

Véronique Faucheux

Négation de l'identité nationale
Négation de l'identité culturelle
Négation de l'identité sexuelle
Transhumanisme
Matérialisme
Scientisme
Homme-machine
Homme-cobaye
Homme-objet
Déshumanisation
Au profit de la mondialisation


Virginie Joron : « Nous ne sommes qu'au début du scandale sur le Qatar. »

Virginie Joron, députée européenne, réagit au scandale Eva Kaili. Elle souligne les relations troubles entre les socialistes européens et le Qatar.


Le nécessaire préalable de Ciotti

Gilles La Carbona

Ciotti est le nouveau patron des LR. Il semblerait qu’une nouvelle orientation plus droitière soit prise chez les LR. Ses toutes premières déclarations vont dans le sens de ce que nous défendons au RPF, cependant, un écueil de taille fait face à cette volonté. Le nouveau chef du parti ne peut ignorer que toutes ces belles intentions de remettre la France sur des rails plus conformes à son histoire, ainsi qu’aux vœux exprimés par une majorité de citoyens lors des élections législatives, ne pourront se concrétiser dans l’actuel paysage politique. Le préalable à son programme est bien la chute de ce régime. Il ne pourra se résoudre à demeurer dans une opposition de circonstance, fade et soumise, à se payer de discours, sur la nécessaire remise en ordre du paquebot France.

Pour tenter de changer de cap il doit avant tout, faire tomber ce gouvernement qui en est à son 10ème 49.3. Si l’on pouvait considérer, aux premières utilisations de cet article, la gouvernance Borne comme autoritaire, ne se souciant pas de l’avis du parlement, à présent c’est un tout autre sentiment qui prévaut. Ce pays n’a pas d’opposition, et quand bien même, sur le papier, c’est elle qui est censée peser dans les débats et le choix des lois, dans la réalité il n’en est rien. Empêtrées dans des postures idéologiques, terrifiées à l’idée de ternir une image de soi-disant opposants à l’extrême droite, les oppositions se révèlent incapables de faire valoir leurs forces et leurs idées et laissent à la macronie la liberté de gouverner comme elle le souhaite sans vraiment être inquiétée. Il est donc temps de changer les choses, de montrer que les LR entendent reprendre la main.

Pour ce faire une seule solution, faire tomber ce gouvernement à l’occasion de la présentation de la loi sur les retraites. Ce devrait être facile puisque Macron lui-même a annoncé qu’il souhaitait passer en force cette loi. Raphaël Schellenberger n’a-t-il pas évoqué la possibilité de déposer une motion de censure face à ce casus belli (sic). Très bien, mais s’arrêter à sa propre motion, en pensant que ce sera suffisant est une erreur ou un mensonge. Les LR ne pourront pas s’en sortir avec cette simple pirouette et dire : « Regardez, on a fait notre boulot, n’est-ce pas ! » Non, le boulot ne pourra être considéré comme achevé qu’après l’adoption d’une motion de censure, quelle que soit son dépositaire. Il sera alors nécessaire non seulement de déposer une motion, mais aussi de voter celle des autres, pour être certain d’arriver au but recherché. Une fois ce prérequis acté, il sera possible d’établir un programme de gouvernance, avec toutes les droites républicaines et patriotes.

L’échéance est proche, et nous pourrons très vite juger de la volonté et de la sincérité des premières déclarations. Pour l’heure, nous restons prudents, raisonnent toujours à nos oreilles les propos de Jacob qui, au soir du second tour des législatives, affirmait qu’ils étaient dans l’opposition... depuis, il y a eu 10 utilisations de 49.3 sans que rien ne change, donc, on peut légitimement ne plus se contenter des paroles et attendre des actes.


Brian Martin explore les mécanismes de la censure à l'heure du Covid-19

- 11/12/2022 -



Pr Brian Martin, , professeur émérite de sciences sociales à l'Université de Wollongong en Australie


« Vous avez un groupe dominant qui a presque le monopole de l'opinion des experts (...) Pourtant, quelques individus critiquent l'opinion dominante et menacent de transformer le monopole où tous les experts sont d'accord en un débat. Un débat signifie que, peut-être, nous ne savons pas lequel a raison. Par conséquent, ces experts dissidents, en remettant en cause l'opinion orthodoxe, représentent une menace bien plus grande. Et c'est pourquoi ils sont attaqués de diverses manières. » Dans ce “Debriefing“, Brian Martin, professeur émérite en sciences sociales et spécialiste de la censure, revient sur un article intitulé « La censure et la suppression de l’hétérodoxie du COVID-19, tactiques et contre tactiques », auquel il a participé avec quatre autres chercheurs.

Cet entretien est l'occasion pour lui d'expliciter son travail de recherche dont le but était d’avertir le public des effets désastreux de l'absence de débat contradictoire en médecine, en science et en santé publique depuis l'émergence de l'épidémie de Covid-19.

Si la censure n'a pas commencé avec la crise sanitaire, elle a pris une ampleur sans précédent depuis l'apparition du virus. Brian Martin revient sur les expériences des médecins et des chercheurs qui ont été la cible de cette censure suite à leurs publications ou à leurs déclarations contestant le point de vue officiel sur le covid. Il rend compte des attaques et des méthodes de déstabilisation employées par les tenants du narratif dominant contre les individus critiques des mesures sanitaires et de la politique de vaccination en population générale.

Il expose également les contre-attaques des personnes censurées qui, après une période d’effroi, ont réagi en élaborant des stratégies de défense pour continuer à faire entendre leurs voix.

Brian Martin est professeur émérite en sciences sociales à l'Université de Wollongong en Australie. Spécialiste de la censure, il est l'auteur de 22 livres et de centaines d'articles sur la non-violence, les lanceurs d’alerte, les controverses scientifiques, les questions d'information et la démocratie.

L'article publié aux éditions scientifiques Springer a été écrit en collaboration avec Yaffa Shir-Raz, Ety Elisha, Natti Ronel et Josh Guetzkow.




Chacun pourra se reconnaître

Yann Bizien

Billet d'humeur consécutif à certains commentaires

- Il y a les lucides et les réalistes mais aussi les aveugles et les naïfs pathétiques.
- Il y a les tolérants et les bienveillants mais aussi ceux qui sont fermes sur nos principes.
- Il y a ceux qui restent eux même quoi qu'il arrive et ceux qui retournent leur veste en fonction des vents et des intérêts.
- Il y a ceux qui défendent le monde et ceux qui défendent la France.
- Il y a les patriotes et les souverainistes mais aussi les européistes et les multiculturalistes.
- Il y a des progressistes mais aussi des conservateurs.
- Il y a ceux qui dénoncent l'emprise islamiste dans notre pays et ceux qui s'y soumettent.
- Il y a ceux qui encouragent l'immigration et ceux qui n'en veulent plus.
- Il y a ceux qui considèrent que c'est une chance et ceux qui pensent le contraire.
- Il y a des envahisseurs et des envahis.
- Il y a ceux qui croient et ceux qui ne croient plus.
- Il y a ceux qui votent et ceux qui ne vont plus vers les urnes.
- Il y ceux qui capitulent et ceux qui résistent.
- Il y a ceux qui ne font plus rien et ceux qui agissent.
- Il y a ceux qui estiment que la France doit être respectée et ceux qui s'effacent et se cachent quand elle est piétinée.
- Il y a des partisans et des opposants.
- Il y a ceux qui cherchent à comprendre et à approfondir et ceux qui ont perdu tout discernement.
- Il y a ceux qui s'enflamment sur leurs passions et ceux qui conservent la tête froide.
- Il y a ceux qui aiment la France et ceux qui lui crachent dessus.
- Il y a ceux qui la défendent et ceux qui la liquident.
- Il y a des lâches et des traîtres mais aussi des audacieux et des courageux.
- Il y a des francs et des hypocrites.
- Il y a ceux qui font des efforts et ceux qui n'en font plus.
- Il y a des dominants, et des dominés.
- Il y a ceux qui sont souvent entre les deux.
- Il y a ceux qui cassent et ceux qui réparent.
- Il y a ceux qui paient et ceux ne paient pas.
- Il y a les responsables et les irresponsables.
 
Il faut de tout pour faire un monde.

Yann Bizien

La France :
 
- 3000 milliards de dettes
- 10 millions de pauvres
- Plus de 3 millions de chômeurs soit 7,4 % de la population active
- 156 milliards de déficit commercial
- 30 % de retraités qui touchent le minimum contributif (741 € par mois)
- 24 centrales nucléaires à l’arrêt fin octobre sur 56
- Des prix qui explosent sur l'alimentaire et les énergies avec une inflation à 6,2 % fin novembre
- 733 070 visas et 270 925 titres de séjour dont 85 844 à titre familial délivrés en 2021
- 53,3 % de naturalisation en plus en 2021 par rapport à 2020, soit 94 092 étrangers naturalisés (10 000 de plus qu'en 2020)
- Désormais 7 millions d'étrangers installés en France soit 10,3 % de la population totale
- 1386 "atteintes à la laïcité" sur les trois derniers mois
- Effondrement de nos hôpitaux et environ 15 000 soignants suspendus
- Forte hausse des coups et blessures volontaires (+ 12 %), des homicides, des viols et tentatives de viol (+ 32 %), des escroqueries (+ 15 %), de la consommation de produits stupéfiants (+ 38%)
- Trois jours de munitions en stock pour nos armées en cas de guerre de haute intensité.

Mais tout va bien. "Le commandant est à bord", n'ayons pas peur, pas d'affolement, nous ne risquons rien. Restons sereins, positifs et dans l'espérance. Notre Gouvernement est doué. Il saura nous sortir de cette impasse. Avec ses mots et sa fumée.

- 12/12/2022 -

La corruption de fonctionnaires et d'élus européens par le Qatar jette une lumière nouvelle sur les honteuses campagnes de promotion du hijab et la faiblesse, voire la complaisance face à l'entrisme islamiste en Europe.



Catherine Gaillard

Il continue à dilapider la France. Toi le gueux réfractaire, continue à te priver de chauffage, bouffe avec tes gosses de plus en plus de daube pas chère et vois avec gentil Cofidis pour finir tes mois et payer ton gaz et ton électricité.

E. Macron aujourd'hui : « Avec le Président Zelensky, nous avons préparé les conférences que la France accueille mardi : une première, internationale, pour répondre aux besoins de l'Ukraine pour passer l’hiver, et une seconde avec les entreprises françaises qui s'engagent dans la reconstruction du pays. »

Anne-Sophie Chazaud lui répond : « Pendant que vous dilapidez de l’argent qui n’est pas à vous, les Français se tiers-mondialisent, des entreprises ferment, des ménages se paupérisent, l’État s’effondre. Cela s’appelle de la trahison. Vous n’avez de cesse que de trahir le peuple français. »

Monique Plaza : « Nous sommes en plein cauchemar. Emmanuel Macron décide tout seul de reconstruire l’Ukraine avec Zelensky en utilisant l’argent public de notre pays qu’il s’acharne à détruire. Merci à ceux qui l’ont réélu et qui ont appelé à le réélire. »