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8 janvier 2023

Pierre Duriot

Je me marre… les boulangers disparaissent, mais ils offrent une galette des rois à Macron et vont boire le coup avec leur bourreau. Les personnels soignants se sont fait foutre des doses d’on ne sait quoi dans le corps, ont vu leur camarades mis au ban, sont au bout du rouleau, ont eu interdiction de soigner et s’en vont écouter religieusement leur bourreau et encore, avec un masque, alors que lui n’en porte pas. Les coups de couteaux et les viols pleuvent sur nos concitoyens natifs, mais comme les bourreaux sont des « pauvres gens » d’importation, il ne faut pas se plaindre. C’est ainsi en Macronie, les bourreaux doivent avoir tout pouvoir et les ouailles, accepter en silence le mal qui leur est fait, pire, ils doivent trouver cela glamour, dans une inversion totale des valeurs, où les bourreaux sont érigés en victimes respectables. L’Antéchrist est au pouvoir…




7 janvier 2023

Radu Portocala

« 2022 pulvérise le record de l’année la plus chaude en France », annonce « Libération », fière de pouvoir nous faire part d’une nouvelle qu’elle tient pour catastrophique.
Autrefois, il y avait « Le vrai salaire des cadres », « Le prix de l’immobilier à Paris » et autres bêtises de la sorte, qu’on nous servait année après année, avec la monotone régularité des saisons. On les appelait, pour cette raison même, des « marronniers ». Depuis quelque temps, c’est la température qui hante les rédactions et qui supplée à l’absence d’imagination des journalistes. Ils aiment les catastrophes, même quand elles ne sont que fantasmées.
Comment sait-il, le génie qui a pondu ce titre et qui veut donner l’impression d’avoir scruté toute l’histoire de la France et de son climat, que 1047, par exemple, n’a pas été une année plus chaude que 2022 ? Que lui donne la certitude de son constat péremptoire ? Rien ! Une conviction, tout simplement, qui tient d’avantage de l’idéologie que d’une science exacte.
Le journaliste qui écrit de telles choses a un très grand avantage sur le lecteur à qui il les impose : il sait que personne n’ira perdre son temps à chercher les vieilles chroniques, les anciennes statistiques, pour vérifier et comparer. Il sait qu’il peut écrire n’importe quoi à ce sujet parce qu’il est hissé sur la barricade du climatiquement correct et que quiconque s’aviserait à le contredire serait éliminé promptement du débat, accusé de pratiquer le coupable scepticisme.
Son double rôle, qu’il joue avec la bénédiction de sa rédaction est de culpabiliser les uns et de terroriser les autres. Il s’en flatte. Quel privilège d’être parmi ceux qui savent le désastre à venir, de l’annoncer, d’appeler les foules ignares à la lutte pour la survie !
Pourtant, si on regarde les vieux livres, on apprend que la Seine a séché plusieurs fois aux siècles derniers. Rien à voir !, nous dira-t-il agacé. Et, déjà, il se prépare pour l’annonce qu’il fera d’ici un an : 2023 aura été l’année la plus chaude de l’histoire.

Le Dr Stéphane Gayet fait le point sur la vaccination anti-Covid : simple, clair, documenté.


Vaccination anticovid : de la malveillance intentionnelle ?

François Amsallem

« Dans une expérience scientifique, un groupe contrôle, ou groupe témoin, est un groupe d'individus qui ne reçoivent pas le traitement testé. À l'issue de l'expérience, comparer les individus du groupe témoin à ceux du groupe traité (ou groupe expérimental) permet d'évaluer l'effet du traitement. »

On pourrait ajouter quand bien même ce traitement eut été prophylactique mais en fait à la réflexion, il faudrait dire a fortiori si ce traitement l'était, comme c'est théoriquement le cas de ceux qu'on appelle les vaccins, à condition évidemment que leur efficacité ait bel et bien été prouvée.

S'agissant de l'expérimentation sur des cobayes desdits produits appelés vaccins anti Covid, sachant que dans les phases dites 1 et 2 ayant précédé l'expérimentation de masse par l'injection de plusieurs milliards de cobayes humains, aucun résultat concluant (sans contestation méthodologique) à un bénéfice notable, n'ayant jusqu'ici pu être démontré par rapport à un groupe témoin de manière fiable et bien documentée ; de plus, de nombreux effets pour le moins indésirables s'étant manifestés à toutes les étapes de phase 1 et 2, (des effets dont la liste exhaustive n'a pu encore être établie, puisqu'il semble qu'elle s'allonge tous les jours, qui, à ce stade, dépasse tout ce que l'on a pu jusqu'ici connaître du point de vue de la pharmacovigilance) ; sachant désormais que les décideurs et les responsables de la vaccination de masse (c'est-à-dire de l'expérimentation en phase 3 sur des milliards d'individus) savaient tout cela, il est tout à fait légitime de se demander quels étaient les motifs véritables de cette décision.

Sachant que dans leur immense majorité les injectés étaient en bonne santé et ne courraient aucun risque sérieux, voire même quasiment aucun risque du tout comme environ 99,999999 % des enfants, en prenant en compte le fait qu'un grand nombre d'entre eux ont été multi injectés, soit par la manipulation, soit par la contrainte, il est nécessaire de se poser cette question des motifs véritables de ces injections.
Sachant que le simple fait de poser cette question vous vaudra d'être ostracisé en étant qualifié de complotiste, il est parfaitement légitime et même nécessaire puisque logique de soupçonner une mauvaise intention autrement dit de la malveillance intentionnelle dans le but de nuire à la santé des individus et des populations ciblées.

PS: Il serait évidemment très facile de prouver que cette question n'a pas lieu d'être, en analysant les données des non injectés, afin d'exposer statistiquement un quelconque bénéfice (fût-ce pour d'autres pathologies) des injections en question, mais non seulement aucune des institutions mises en cause ne le fait, aucun des responsables ne le propose mais qui plus est, il est quasiment impossible de le faire, les chiffres officiels n'étant plus disponibles ou alors lourdement maquillés et quasiment interdit de le faire aux scientifiques sans risquer des poursuites et une fin de carrière, ceci pratiquement partout dans le monde, cela pour une raison très simple, c'est qu'au lieu d'un bénéfice on trouverait très certainement une augmentation des risques d'une bonne douzaine de pathologie dans des proportions jamais observées jusqu'ici, pour aucun traitement autorisé par les agences de santé et cela dès les premières semaines des injections de masse au titre d'une vaccination en conclusion inutile, inefficace et dangereuse pour les injectés mais peut-être bénéficiaire pour ceux qui en ont fait la promotion et travaillés à permettre la coercition.

6 janvier 2023

Le Canard enchaîné

De quoi aurait-il peur ?

Gilles La Carbona

Début d’année flamboyant pour la Macronie, la voilà qui serait affolée face à une flambée sociale inattendue. Déjà on se plaît à sourire devant la source de l’étonnement. Si ce gouvernement ne faisait pas tout pour irriter et contrarier les Français, il n’y aurait pas de motifs d’inquiétude. On tenterait de nous faire croire que le pouvoir a peur, mais de quoi puisqu’il se moque de tout ? Il n’a pas de majorité, qu’à cela ne tienne, il fait tout passer avec le 49.3, avec la complicité des oppositions. Les syndicats lui sont tacitement favorables, alors qu’ils savent parfaitement que la réforme est inutile puisque le système n’est pas en danger. Et il vient de débloquer 30 millions d’euros pour sauver la presse écrite, pourtant aux mains de milliardaires, qui soutiennent le pouvoir jusqu’au mensonge le plus écœurant, confondant depuis longtemps propagande et information.

De quoi aurait-il peur, puisque ce pouvoir est capable de censurer tout ce qui ose avoir un discours contraire à sa vérité. Ne vient-il pas de suspendre le droit à l’information numérique de France Soir, au motif que c’était là une voix dissonante dans le concert des médias aux ordres.

De quoi pourrait-il avoir peur, lui qui garde des ministres corrompus, lui qui sous une simple lettre de cachet intime l’ordre au PNF de blanchir ses amis, lui qui débarque une préfète, sous le seul prétexte qu’elle a voulu faire appliquer la loi à l’un des amis du prince ?

Et puis, n’est-il pas entouré des meilleurs ? Le Mozart de la finance, Le Maire, est au chevet des boulangers et veille à ce qu’ils coulent comme prévu. Il est vrai qu’un échec macroniste n’existe pas, c’est inconcevable. La macronie n’est responsable de rien quand ça va mal, c’est au mieux la faute à pas de chance, au pire celle de Poutine, ou de l’extrême droite. Il a aussi le Monsieur Propre de l’Intérieur, qui préfère commander des véhicules blindés pour assommer les éventuels Gilets Jaunes, qu’entretenir le parc de Canadair. La Macronie ne manque jamais d’air.

Alors de quoi la Macronie pourrait bien avoir peur derrière cette ligne Maginot, à moins que la rue n’emporte cette année ce qu’elle n’a pu balayer en 2018, à moins que l’Ukraine, qui va recevoir des chars légers, ne s’écroule définitivement dans les semaines qui arrivent, à moins que toutes les enquêtes sur les morts subites inexpliquées, en augmentation de 10 à 15% dans les pays occidentaux, ne révèlent des crimes perpétrés en parfaite connaissance de cause. À moins que les turpitudes de la commission européenne n’éclaboussent notre pouvoir, au point de voir la presse obligée d’informer réellement. À moins que l’Euro ne finisse sa brillante carrière dans les abîmes de l’histoire, non sans avoir entraîné tout le continent dans une crise sans précédent.

Et chose encore plus improbable, voir nos oppositions renverser un pouvoir qu’elles protègent mieux qu’une mère poule ne veillerait sur sa couvée. Non, franchement, la Macronie peut dormir tranquille. Les Français dorment, les coups de couteaux pleuvent, les entreprises coulent, les réfugiés débarquent et on meurt aux Urgences, mais les cabinets de conseil grassement payés, veillent sur nous : ça va bien se passer.

Ukraine : pas co-belligérant : mon œil

Pierre Duriot

L’ancien chef de l’agence spatiale russe Dimitri Rogozine a envoyé à Macron l’éclat d’obus qui l’a blessé dans le Donbass. Un obus envoyé par un canon Caesar français. Signe qu’il garde – et son ex-patron Poutine aussi, sans doute –, une dent contre la France. Et notre pays en remet une couche en envoyant des AMX10 à Zelensky, un char d’assaut à six roues, datant des années 80 et dont on peut largement douter de l’efficience sur le terrain ukrainien. Outre le fait qu’il déshabille un peu plus notre armée, il est nanti de munitions franco-françaises et pas compatible avec les munitions de l’OTAN, ce qui signifie que la France devra fournir aussi les munitions, aussi longtemps que ces engins feront la guerre et de munitions, nous n’avons que quelques jours d’avance, pour une guerre de haute intensité, ce qui signifie que nous allons nous dépouiller rapidement de nos munitions de 105 : au point où nous en sommes… d’ailleurs, une partie non négligeable de nos canons Caesar, soumise à un fonctionnement de haute intensité, a rendu l’âme.

Si encore ces armes arrivent bien aux Ukrainiens, car 50 % des armes fournies à l’Ukraine sont revendues aussi sec à l’international et en particulier à des pays africains et arabes et vont nourrir directement des organisations terroristes, qui vont ainsi disposer d’armes lourdes et légères, payées par les contribuables européens, de multiples fois dindons de la farce dans cette affaire.

Il faut le savoir, car c’est antérieur à la guerre, l’Ukraine a toujours figuré en bonne place, dans les pays les plus corrompus de la planète. Notamment depuis 2014 et le régime installé par les Américains et plus récemment encore, avec l’élection de Zelensky, en 2019, orchestrée par le cabinet McKinsey. Encore eux…

Un « spécialiste » français des armées expliquait doctement sur FranceInfo, que la livraison d’AMX10 n’était pas co-belligérance, de même que la livraison de drones à Moscou par l’Iran, n’était pas non plus co-belligérance. Mon général a des raccourcis un peu faciles, puisque la différence est énorme, à savoir que Moscou achète des drones à Téhéran, alors que nous livrons gratuitement, au titre de l’aide, des armes à l’Ukraine. Il voit midi à sa porte celui là et il devrait se douter que Moscou peut avoir un tout autre avis, sur la notion de co-belligérance. Là-dessus, les mêmes propagandistes cathodiques nous annoncent une fois de plus que Poutine est malade et qu’il n’en a plus pour longtemps. Cela ne fait jamais qu’un an que ces zèbres télévisés nous annoncent la mort de Poutine dans les deux mois et la pénurie en munitions de la Russie et non seulement il est toujours là, mais il bombarde à tour de bras. Et nos fiers éditorialistes de ne même pas se rendre compte de l’incongruité de leurs annonces. Cela nous éloigne d’un retour à la normale en matière énergétique, mais créé un passif tel qu’il sera très difficile de renouer des liens avec le frère européen russe qui a, autant que les Américains, contribué à nous libérer du nazisme.

La sinécure bruxelloise…

Pierre Duriot

Les contribuables européens se plaignent, à juste titre, que leurs augmentations de salaire ne suivent pas l’inflation et que leur pouvoir d’achat diminue. Quelques salaires suivent pourtant le niveau galopant de l’inflation et en particulier ceux des fonctionnaires européens. À commencer par celui de la commissaire en chef von der Leyen, dont le salaire a automatiquement augmenté au début de l’année 2023. Son salaire de base augmente de 2044 euros, par rapport à 2021, passe à 31 250 euros et dépasse les 30 000 euros pour la première fois. Il y a également quelques avantages en nature. Ses camarades commissaires européens ordinaires reçoivent 1 667 euros de plus et gagnent maintenant jusqu’à 25 475 euros. Les indemnités des 705 eurodéputés augmentent de près de 700 euros, passent à 10 495 euros par mois et dépassent ainsi les 10 000 pour la première fois.

Les 50 000 employés de l’UE vont avoir droit à une deuxième augmentation de salaire en six mois, de 7 %. Ces fonctionnaires de l’UE, déjà très grassement payés, bénéficient d’un ajustement automatique, en raison de l’augmentation du coût de la vie. Leur rémunération a été augmentée de 2,4 %, en juin, avec effet rétroactif, à partir de janvier 2022. La nouvelle augmentation s’applique elle aussi rétrospectivement, depuis juillet 2022. Pour ces fonctionnaires, l’augmentation est de 214 euros, pour les plus petits salaires, qui passent à 3272 euros et de 1483 euros, pour les plus gros salaires, qui passent à 22 646 euros. À ajouter à cela, en net, des primes et allocations défiscalisées.

Les fonctionnaires et les travailleurs des différents pays européens savent pourquoi ils se serrent la ceinture. À défaut de voir directement les effets positifs de la structure supranationale sur leur porte-monnaie, ils peuvent en mesurer les effets négatifs, dont Bruxelles ne s’est pas trop vanté. Au RPF, nous sommes pour les souverainetés nationales, mais aussi pour les collaborations entre États, mais pas à ce prix. Comme sur beaucoup d’autres sujets, il faudrait impérativement un audit, parce que la question qui se pose au niveau national se pose aussi au niveau européen : où passe l’argent ?

4 janvier 2023

Coïncidences : on a arrêté le Médiator pour moins que ça…

H16

L’année 2022 s’est achevée sur un constat : de nos jours, il n’y a plus un seul lieu qui soit vraiment sûr et si, jadis, le lit constituait l’endroit où l’on mourait le plus, il est clair qu’à présent, la mort peut frapper bien plus soudainement, à n’importe quel moment, plusieurs fois devant un ballon, dans des hôpitaux, à la télé ou dans une voiture, sur le plancher des vaches ou en plein vol commercial… Décidément, la mort subite concerne maintenant tout le monde, tout le temps et aucun endroit n’est épargné.

La communauté scientifique a été, un temps, quelque peu déconcertée : pourquoi diable observe-t-on une telle recrudescence de ces morts soudaines ? Oh, bien sûr, il est évident que la presse, toujours friande de sensations fortes (et définitives) s’empresse de rapporter toutes ces occurrences même lorsqu’il n’y a, en réalité, rien d’anormal à tel point que la titraille n’hésite plus à se parer d’un “soudainement” même lorsqu’il s’agit de personnes âgées ayant amplement passé l’espérance de vie, ce qui noie malencontreusement les autres cas où des enfants, des adolescents ou de jeunes adultes en pleine santé décident de ne pas se réveiller un beau matin sans prévenir.

Cependant, après de minuscules minutieuses recherches, la communauté scientifique et les experts de médias de grand chemin se sont ressaisis, et des explications solides ont été trouvées : il devient maintenant assez clair que, depuis quelques mois, ces morts soudaines sont liées au changement climatiqueeh oui, les températures trop chaudes ou trop froides déclenchant apparemment des crises cardiaques inopinées, c’est ainsi… Ou alors, à une surconsommation de café, de jeux vidéos ou d’édulcorants.

Une chose est certaine : tout ceci n’a absolument aucun lien, même vague, avec quelque expérience que ce soit en cours à l’échelle de toute la population, et tout au plus peut-on parler de coïncidence.


Toute coïncidence bue, on doit cependant noter que les occurrences de myocardites et de péricardites ont clairement augmenté dans la population occidentale sur (au moins) les douze derniers mois (comme on pourra le constater sur ces deux études, s’ajoutant aux nombreuses autres parvenant aux mêmes conclusions), à tel point d’ailleurs que ces deux termes, quasiment inconnus du grand public avant 2021, sont devenus bien plus courants.


Et le problème, c’est justement lorsqu’on commence à éplucher les expériences personnelles, les témoignages maintenant nombreux, les études, les chiffres et les statistiques qui s’accumulent un peu partout, on revient à la conclusion (déjà mentionnée à plusieurs reprises dans ces colonnes par le passé) que ces vaccins présentent maintenant des taux d’effets secondaires trop élevés pour qu’on puisse continuer à les administrer comme on le fait encore actuellement.

Cette affirmation ne devrait, en ce début d’année 2023, plus faire débat et ne devrait faire mousser aux lèvres que ceux qui continuent de braire “sûrs et efficaces” en refusant les éléments factuels, pourtant assez peu complotistes, qui s’accumulent en ce sens ; en effet, sans même lancer la moindre hypothèse sur des effets iatrogènes à plus long terme, l’expérience actuelle sur les injections à ARNm aurait été jugée il y a quelques années beaucoup trop risquée compte tenu du profil de risque actuel.

Historiquement, des vaccins présentant des profils d’effets indésirables beaucoup plus faibles ont déjà été retirés, comme celui contre la grippe porcine de 1976 qui a été interrompu en raison d’un risque de syndrome de Guillain-Barré de 1 sur 100 000. Avec 1 risque de myocardite pour 3000 injections, on est bien au-delà.

Par exemple, en Allemagne, il apparaît assez clairement que l’augmentation des myocardites se produit après l’introduction des injections ARNm, et pas du tout au moment de l’épidémie de COVID elle-même : les taux de myocardite ont bondi de plus de 75% après le début des campagnes de vaccination. On aura du mal à pousser ça dans les bras du COVID tant ces myocardites ont chuté au début de la pandémie et ont même continué à baisser pendant quelques mois par la suite (de mai à septembre 2020)…


Du reste, le schéma est globalement le même en France, où l’année 2020 fut plutôt normale en terme de myocardites, au contraire de 2021 :


Or, de façon intéressante, les autorités sanitaires allemandes ont clairement attribué la mort de plus de 250 personnes aux injections ARNm. Pour rappel, les autorités françaises avaient attribué 30 décès au Médiator sur la période de 1976 à 2009 et cela avait suffit à en retirer l’autorisation de mise sur le marché, et avait conduit les mêmes autorités à lancer des poursuites contre le laboratoire Servier qui produisait ce médicament à l’époque. On connaît la suite.

Devant les chiffres actuels où plus de 250 personnes en Allemagne sont mortes directement à cause de ces injections (et au moins autant en France), n’est-il pas grandement temps d’en demander l’arrêt, et de s’interroger sur la pertinence de poursuites judiciaires alors que ces chiffres sont en réalité connus depuis des mois et que chaque semaine qui passe augmente mécaniquement la probabilité de nouveaux décès ?

D’autant que, pendant qu’on s’interroge finement sur les risques (avérés maintenant) de problèmes au muscle cardiaque provoqués par ces injections expérimentales, les recherches continuent sur leur mode opératoire exact. Il faut en effet comprendre que les affirmations commerciales de Pfizer et de Moderna ont été progressivement battues en brèche : alors que leur produit devait empêcher infection et transmission, la réalité s’est jouée des brochures sur papier glacé. Alors que le produit ne devait pas quitter la zone d’injection, on a commencé à le retrouver un peu partout dans le corps. Alors qu’il n’était censé être produit que pendant quelques semaines, plus aucun représentant officiel de ces entreprises ne s’aventure à donner une période précise pendant laquelle la protéine de pointe est produite : un mois, trois mois, un an, dix, allez savoir…

Et surtout, alors que cette protéine de pointe ne devait pas se retrouver dans le noyau cellulaire, des études (dont celles de Pfizer) montrent qu’elles se retrouvent effectivement dans le noyau… Ce qui est très problématique puisque tout indique à présent que cette spike est assez fermement antagoniste à la production de la protéine p53. Cette dernière est très importante dans la réparation cellulaire, et empêche à ce titre l’apparition ou le développement de cancers dans notre corps.

L’avenir nous dira si l’on arrive encore à justifier la rapidité avec laquelle ces injections furent lancées sur le marché puis quasiment imposées, de façons plus ou moins vicieuses, à une vaste portion de la population. L’année 2023 permettra certainement d’y voir plus clair.

Parions cependant que d’autres morts soudaines émailleront l’actualité…