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19 janvier 2023

Conflit ukrainien : l'avis de Kissinger

Vincent Verschoore

Lors de leurs discours à l'ouverture de ce WEF, Klaus Schwab et Antonio Guterres (patron de l'ONU) sont restés très discrets sur la question ukrainienne, préférant parler de la « fragmentation » du monde, de la situation économique mondiale, des conséquences pour l'humanité du réchauffement à 2,8°C qui se profile (au lien du+1,5°C prévu).

Les va-t-en-guerre hystériques genre Ursula von der Leyen et Sanna Marin (PM de la Finlande), et bien sûr le couple Zelensky (madame étant présente sur place), ont tenté de remettre le grand méchant ours russe au centre du jeu, lui faire porter l'ensemble des responsabilités, et lui souhaiter une destruction prochaine.
 
Kissinger s'est aussi exprimé sur le conflit en Ukraine, en visio, avec un discours plus nuancé. Quoi que l'on pense de lui, il a sans doute l'âge et l'expérience pour être un peu moins con que les autres sur ces questions, et son avis est qu'il faut rechercher un cessez-le-feu sur base de la réalité du terrain, et ce rapidement avant d'en arriver à une escalade fatale.
 
Une fois ceci acquis, il pense qu'il y aura une négociation politique entre l'Occident et la Russie, susceptible de faire bouger les lignes mais à condition de laisser une vraie place à la Russie dans le concert européen.
 
Il serait intéressant de psychanalyser les dangereux imbéciles, dont de nombreuses femmes (parité oblige), qui veulent aller jusqu'au bout d'une guerre entre l'Otan et la Russie, au risque de déclencher le feu nucléaire sur l'ensemble de la région. Chacun sait, pourtant, que l'ours est bien plus dangereux lorsqu'il est blessé.
 
Chacun sait, aussi (même si on n'a pas le droit de la dire), que la Russie est tombée dans un piège tendu par l'Otan depuis 2014, que les Européens en sont les victimes collatérales, et que les grands bénéficiaires de l'affaire sont les USA et le complexe militaro-industriel.




COMMENTAIRE

Je ne crois pas que la Russie soit tombée dans un piège, ils l'ont parfaitement vu venir et savaient à quoi s'attendre. L'Europe ne respecte plus sa parole depuis longtemps, et l'OTAN s'assoit sur le Droit International, y compris les principes les plus élémentaires régissant le Droit des Traités et accords internationaux depuis l'imposition du programme "Pétrole contre nourriture" qui a constitué un véritable crime contre l'Humanité à l'encontre de la population irakienne...

Quant à Kissinger, le vieux serpent a toujours su jouer un double voire triple jeu, en se faisant passer pour un "pacifiste" en parlant de "conditions pour la paix" quand en coulisses il prône la guerre et les destructions systématiques d'États comme pour la Yougoslavie, puis la Serbie ou encore la Syrie et la Libye. Le fait qu'il appelle à l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN le démontre parfaitement : pour lui, il s'agit simplement de donner un prétexte à l'OTAN pour attaquer la Russie, et non d'inciter la Russie à cesser son agression contre l'Ukraine en défendant celle-ci.

Sa seule obsession est de protéger et perpétuer le mondialisme qu'il a aidé à construire et qui s'est substitué à la civilisation occidentale depuis 1944-48.

Tiephaine Soter

Payer les gens pour qu'ils se fassent vacciner

Vincent Verschoore

La corruption est tellement au cœur du système « de santé » organisé autour des intérêts de Big Pharma, que son extension à la population générale fait désormais partie d'un discours parfaitement acceptable : selon cet article paru la semaine dernière dans Wired (lien 1), ce serait une bonne idée de payer les gens pour qu'ils se fassent vacciner.

On a vu, dans le cadre de la vaccination Covid, que l'État acceptait d'un côté de payer des sommes folles pour des produits expérimentaux aux données cliniques truquées, et d'autre part de payer des soi-disant « médecins » pour piquer à la chaîne une population désinformée, manipulée, et contrainte par la violence (pass sanitaire) à accepter d'être traitée comme un vulgaire bétail.

Alors même que l'on sait, notamment grâce aux études épidémiologiques de John Iaonnidis, que le "Infection fatality rate" (IFR, ou taux de mortalité suite à infection) du Covid-19 est extrêmement bas pour la population de moins de 70 ans. (lien 2)

IFR pour la classe d'âge 0-19 ans: 0,0003%. Pour la classe 20-29 ans: 0,002%. Pour la classe 30-39 ans: 0,011. Pour la classe 40-49 ans: 0,035. Pour la classe 50-59: 0,123%, et pour la classe 60-69: 0,506%.

Sachant que le taux d'effets secondaires de la vaccination covid expérimentale (par ARNm) est de l'ordre de 1 pour 800 (lien 3) soit 0,125%, ce qui est absolument énorme pour un vaccin.

Dans les deux cas, les populations à risques sont les +65 ans, et surtout les plus de 70 ans pour le Covid, et que si vaccination il doit y avoir, surtout expérimentale avec un risque potentiellement supérieur au bénéfice pour la population générale, elle ne peut se faire que sur base d'un choix libre et éclairé.

Cette mise en contexte faite, revenons à Wired qui relate des études d'impact sur le fait de payer des gens pour se faire vacciner, ou autrement dit de l'efficacité de corrompre directement les gens à prendre un risque sanitaire pour de l'argent.

Evidemment ceci existe déjà dans les phases de test, où les « cobayes » sont payés pour participer à ces essais, avec un tarif (aux USA en tout cas) variable en fonction du risque qui est pris.

Un essai réalisé en Suède avec 8 000 personnes montre que le fait de les payer pour se faire vacciner augmente le taux de vaccination de 4%. Aux USA, cette technique est appliquée dans certains États : un ticket de loterie dans l'Ohio, une licence de chasse dans le Maine, une bière dans le New Jersey.

L'article mentionne quelques aspects encore nébuleux en termes d'éthique (!), mais ne se pose pas la question – centrale – du rapport bénéfice/risque de la vaccination, seul vrai facteur de décision à l'échelle individuelle. Pour autant, évidemment, que les informations soient correctes, ce qui ne fut pas du tout le cas dans le cadre du Covid, avec pour effet qu'au prochain épisode la résistance sera sans doute nettement plus forte du fait de la perte de confiance envers les autorités sanitaires.

Donc, les autorités corrompues ont le choix entre la coercition pure et dure, ou la corruption du public par l'argent (ou les deux, bien sûr). Des autorités non corrompues diraient simplement la vérité sur l'efficacité et le rapport bénéfice/risque des produits proposés, laissant le choix aux gens (comme l'impose d'ailleurs la loi), mais il ne faut malheureusement plus trop compter là-dessus tant que les macronistes et assimilés, McKinsey et Big Pharma dicteront les stratégies sanitaires en fonction de leurs propres intérêts.

(1)

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Yann Bizien

Les Français descendent dans la rue aujourd'hui pour crier leur colère, pour faire valoir leurs idées et tenter d'agir sur la volonté de l'exécutif déterminé à repousser l'âge légal de départ à la retraite alors qu'il existe pourtant de nombreuses solutions pour équilibrer les postes de dépenses et de recettes de notre système complexe.
 
Mais notre Président orgueilleux n'est pas là. Il s'échappe, il glisse, et il évite. Comme toujours, il nargue le peuple. Il le méprise avec une extrême arrogance. Il « l'emmerde ». Il sera donc aujourd'hui en Espagne avec 11 membres du Gouvernement. Et il a même repoussé ses traditionnels vœux à la presse pour fuir les douces questions de journalistes pourtant alignés.

Emmanuel Macron se moque bien de la France et des Français. Il poursuit son œuvre de déconstruction, au service de forces qui nous dépassent.
 
« L'arrogance précède la ruine. Et l'orgueil précède la chute. »
L'arrogance, et l'orgueil, l'ADN de Macron...

18 janvier 2023

Ce “complot” qui a eu lieu

H16

Avec les #TwittersFiles, ces révélations en chaîne parues sur le réseau social de Musk, il devient évident que sont maintenant avérées ces théories poussées par ce que les médias appellent encore des “complotistes”, et petit à petit, on se rend compte qu’il existe bien un mouvement global, décidé par une petite élite, qui vise à réduire à leur plus simple expression les libertés personnelles et fondamentales d’un maximum d’individus sur la planète…


La mise au jour des pratiques entourant les grandes agences de renseignement, les politiciens et les administrations américaines sur le réseau social Twitter n’ont pas seulement permis de montrer la collusion entre le grand capital de la Silicon Valley, les Démocrates américains et les agences à trois lettres (DOJ, CIA, FBI, notamment) : elles ont permis de donner de très sérieuses billes à ceux qui expliquent depuis plusieurs années que ce mouvement n’est ni cantonné à Twitter (c’est banalement évident que tous les acteurs importants des grandes firmes technologiques participent à cette collusion), ni cantonné aux États-Unis : la façon dont les discours sont maintenant contrôlés dans la plupart des “démocraties occidentales” ne laisse guère de doute.

Ainsi, on retrouve partout, en Europe, les mêmes discours officiels, poussant les mêmes histoires, les mêmes arguments, au même moment. Et c’est lorsque la réalité finit par rattraper les hommes-troncs, les politiciens et les experts de plateaux télé, alors que la débandade s’installe et que différents pays finissent par tenir différents propos, multiplier différentes politiques parfois antagonistes les unes des autres que l’aspect artificiel de l’entente initiale apparaît alors.

Dans ce contexte, les #TwitterFiles n’ont été qu’un accélérateur de ces dissensions et ne font que confirmer ce qui finit par percer alors que l’unanimité occidentale ne tient plus : progressivement se font jour les plans d’une élite, plans d’ailleurs clairement annoncés et explicités dans différents livres, dans différents documents rendus publics, dans des entretiens qu’ont tenus ces dirigeants politiques, ces chefs de grandes entreprises mondiales et ces patrons de réseaux de médias. C’est un plan pour complètement renverser le monde dans lequel nous nous trouvons, permettant d’abolir toute trace de démocratie – c’est-à-dire d’une certaine autonomie des pays entre eux – pour ériger un gouvernement mondial dans lequel le peuple n’a pas son mot à dire (et ça tombe bien puisqu’il est de toute façon, selon ces élites, mieux dirigé par elles que par lui-même, c’est évident voyons !)…

Il est maintenant clair qu’il y a bien eu une entente, un consensus de pensée et d’actions, entre ces différents groupes, pour aboutir peu ou prou à ce résultat. Ce n’est même pas un complot car tout a été rendu public au fur et à mesure, et tout a été mis en place pour réduire la liberté des individus à sa plus simple expression, pour “nullifier” les gouvernements en les subvertissant au point de les rendre inutiles et non représentatifs.


Ainsi, en quelques années décisives et en profitant de crises successives rapides (en application stricte de la doctrine “Shock and Awe”), les libertés de mouvement, d’expression, d’autonomie corporelle (“my body, my choice” mais pas pour des injections mystère, hein) – les trois libertés les plus fondamentales – ont été directement attaquées. Même la liberté de religion fut aussi corsetée et avec elle toutes les autres libertés (de commerce ou d’association par exemple) qui forment pourtant les piliers de ces nations occidentales qui se gargarisaient jusque là de droits de l’Homme.

Ceci n’est ni une exagération, ni une théorie et c’est maintenant officiellement reconnu : chaque crise, depuis les attentats du 11 Septembre 2001 jusqu’à la pandémie de 2020 au moins, a été l’occasion pour les États occidentaux, dits démocratiques, de rogner à chaque fois sur ces libertés et d’accroître la surveillance sur leurs citoyens.

Parallèlement, ces mêmes crises ont été l’occasion de tout faire pour concentrer le commerce multinational tout en détruisant les petits commerces locaux, l’explosion des prix de l’énergie jusqu’au dernier projet de loi présenté dans ces colonnes en passant par l’intransigeance des administrations méphitiques dans tous les domaines (fiscal et social notamment) lorsqu’une difficulté se fait jour, n’étant que quelques exemples récents de cette tendance clairement mise en place depuis des années. Tout est fait pour que l’artisan, le petit commerçant et l’entreprise familiale disparaissent au profit des grands groupes, des gros opérateurs dont la structure est, du point de vue des hommes de l’État, bien plus facile à contrôler et manipuler.

Du reste, cette disparition des petits commerces par concentration des grands groupes et par sabotage politico-économique n’est même pas une théorie farfelue, c’est encore une fois la simple application des principes décrits par ce grand comique de Schwab dans son abrutissant pensum, “The Great Reset”, qui n’y propose pas autre chose à leur sujet.

Il en va de la même façon avec les CBDC : déjà évoquées à de nombreuses reprises dans ces colonnes, ces monnaies numériques de Banques Centrales permettront un contrôle des citoyens à un point jamais atteint dans l’Histoire de l’Humanité : chaque transaction, chaque échange sera scruté par l’État, et donc, par extension, autorisé ou banni. L’introduction d’un “Pass Carbone” ou équivalent sera d’autant plus simple dans ce contexte et permettra, en surcroît, de mettre des quotas de consommation de tout et de n’importe quoi, que ces CBDC rendront faciles à vérifier, imposer et sanctionner.


Oui, il n’y a aucun doute à avoir : tout a été mis en œuvre – et continue à l’être ! – pour que le pouvoir et le contrôle des populations soient concentrés dans un nombre restreint de mains.

Et le plus beau dans tout ceci est qu’il n’y a même pas eu complot : tout a été expliqué, prévu, planifié, au su et au vu de tous pour qui voulait voir (par exemple, l’Agenda 2030 est disponible en libre accès).

Dans ce contexte, pour paraphraser Baudelaire, la plus belle des ruses de ces Diables est de vous avoir persuadé qu’ils n’existaient pas.

Grand remplacement ?

Denis COLLIN

Employer le terme « grand remplacement » peut vous valoir de nos jours un billet direct pour l’enfer. Depuis que Renaud Camus, écrivain par ailleurs estimable, l’a mis dans le débat public, quiconque l’emploie est traité de « fasciste » et de « nazi ». Il me semble pourtant qu’il y a une réflexion à mener si on veut remettre un peu de raison et sortir des positions caricaturales.

Toutes sortes de chiffres sont mis en circulation pour déterminer si, oui ou non, nous avons affaire à une invasion migratoire qui vise à remplacer la population française. Il y avait 3 millions d’étrangers en 1930 et aujourd’hui 5,1 millions quand la population totale est passée de 40 millions à 67 millions d’habitants. Au fond il y a donc une certaine stabilité. Ce qui change est facile à saisir : les étrangers en France jusqu’aux années 1960 étaient massivement italiens, espagnols, portugais ou polonais (des Européens catholiques). La population étrangère vivant en France aujourd’hui est d’abord algérienne, marocaine, puis portugaise, tunisienne et italienne. Ce qui a changé, c’est évidemment l’importance de la population étrangère maghrébine, de confession musulmane, à laquelle il faut ajouter les étrangers originaires d’Afrique noire (Mali, Sénégal, par exemple). Aux étrangers, il faut ajouter les immigrés français, c’est-à-dire nés à l’étranger mais ayant obtenu la nationalité française selon l’une des modalités d’obtention de la nationalité prévue dans le Code civil.

Disons les choses clairement : ce qui gêne les « grand-remplacistes », c’est la couleur de peau de ces étrangers. Mais hier, ils se plaignaient aussi des « ritals », des « portos », des « polaks »… On a envie de dire « rien de nouveau sous le soleil » ! Racisme et xénophobie sont des maux qui affligent toutes les nations et tous les groupes humains, et, aujourd’hui, ce mal est plutôt moindre qu’hier, n’en déplaise à tous ceux qui crient « au fascisme ». Quand on a un certain âge (comme l’auteur de ces lignes) on peut mesurer combien la France « profonde » est bien moins raciste aujourd’hui qu’hier.

On me rétorquera que les immigrés d’aujourd’hui s’intègrent moins bien que ceux d’hier. C’est parfaitement inexact. Il y a eu jadis des pogroms contre les Italiens dans le Midi de la France. Les Polonais étaient dès l’école marqués comme « polaks » et en même temps entretenaient jalousement leurs traditions. Aujourd’hui, les Maghrébins réussissent à l’école mieux que les Français issus de parents et de grands-parents français à classe sociale équivalente et pour beaucoup d’entre eux « l’ascenseur social » fonctionne encore. Leurs parents étaient OS ou ouvriers du bâtiment et eux se retrouvent dans l’informatique, les banques ou le commerce. Pas tous, certes, mais considérez le destin scolaire des enfants issus de Français de la même condition sociale et on verra aisément qu’il n’y pas de « racisme systémique » en France – il y a du racisme, pesant, mais plus résiduel que systémique.
Alors, tout va très bien, Madame la Marquise ? Non. Je ne fais pas partie du camp des béats de gauche. Il y a plusieurs choses qui vont très mal et menacent de faire exploser le pays.

En premier lieu, la persistance et l’aggravation de la ghettoïsation. Les « territoires perdus de la République » se sont étendus. Les métropoles, voulues par nos élites, aboutissent à la concentration des populations par origine ethnique ou religieuse. La Seine-Saint-Denis, c’est le grand Paris ! Le Mirail à Toulouse, c’est la grande métropole toulousaine. Notons que, dès qu’ils ont acquis un minimum d’aisance, les immigrés fuient ces territoires et n’hésitent pas à utiliser tous les subterfuges classiques pour que leurs enfants ne se retrouvent pas dans des écoles et des collèges de ZEP. Il faudrait une politique anti-ghetto active qui passe par le logement et l’emploi et par une répression sérieuse avec les moyens adéquats de l’emprise des mafias de trafiquants qui pourrissent les « quartiers ». Sarkozy avait promis de nettoyer ces quartiers « au karcher ». On attend toujours.

En second lieu, l’emprise croissante de l’islam, accompagnée d'un clientélisme des politiciens, et pas seulement ceux de la LFI. Il faut séparer, une bonne fois pour toutes, les musulmans qui peuvent pratiquer la religion de leur choix tant qu’ils ne troublent pas l’ordre public, de l’entreprise politique d’un islamisme conquérant, soutenu par les monarchies pétrolières et en premier lieu nos « amis » qataris, qui ont pénétré les milieux musulmans français par toutes sortes d’associations « charitables » qui leur assurent un contrôle réel sur les populations. Il est nécessaire d’avoir des actions judiciaires et policières contre les semeurs de haine : pour un imam expulsé… par les Belges, combien continuent tranquillement de semer la mauvaise parole ? Mais il faut aussi tout simplement ne pas céder, ne pas baisser les bras, dire « NON », « non » quand des jeunes écervelés empêchent les cours sur les « sujets sensibles » (histoire, philosophie, littérature, SVT), « non » aux harceleurs en ville et sur les réseaux, « non » au « décolonialisme » purement raciste propagé par certains milieux d’extrême gauche. Reprendre la main à l’école est la première des tâches, ce qui inclut la discipline avec sanctions exécutées réellement (y compris suppression des allocations familiales pour les parents qui ne tiennent pas leurs enfants), reprendre la main avec l’exigence scolaire en général et sans doute, pour régler tous les problèmes de « signes extérieurs », sinon un uniforme, du moins un code vestimentaire évitera les excès et les extravagances en tous genres.

Enfin, le plus important, c’est de nous ressaisir comme nation. Cesser de remplacer les hommes par des machines, cesser de remplacer les emplois en France par des emplois en Chine ou ailleurs. Rapatrier l’industrie chez nous ! Cesser de nous américaniser en parlant l’américain à tout bout de champs, en rappelant que le français est la langue de la république (voir constitution) et que les élites devraient donner l’exemple. Pourquoi faut-il de plus en plus souvent parler anglais (c’est-à-dire yankee) dans des entreprises françaises en France ? Nous ne pourrons « intégrer » ou « assimiler » les nouveaux-venus que si nous refaisons nation, c’est-à-dire si nous renouvelons ce contrat qui nous lie et nous constitue comme une « communauté de vie et de destin ». Si nous savons clairement qui nous sommes, nous pourrons être accueillants. Les zemmouristes ne sont pas patriotes, mais des défaitistes qui ont déjà jeté le manche avec la cognée. La république sociale seule peut refaire ce pays menacé qui est le nôtre. 18/1/2023

« La rumeur »

Gilles Casanova

[Extrait] Celui qui s’oppose au mensonge qui domine, même si – après un temps plus ou moins long – il apparaît comme disant la vérité, ne sera pas un modèle ou une référence, il restera toujours un doute sur ses motivations, sur sa sincérité, sur des vérités cachées qu’on ne connaîtrait pas sur lui.
C’est ainsi que l’on nous réchauffe du climat comme jamais cette année, que l’on nous meurt du Covid par tranche de 500 000 morts promis en France pour chaque « vague », c’est ainsi, par exemple qu’en France personne ne met en doute les plus de 150 000 morts du Covid, alors qu’en Grande-Bretagne un député a obtenu un véritable décompte, qui à partir du même chiffre de base que la France, en retirant tous les « ajouts injustifiés », donne 37 000 personnes, de plus de 80 ans en moyenne, effectivement décédées des suites de cette maladie.
Et l’on commence aujourd'hui à demander de faire un recensement effectif des effets secondaires des dispositifs injectables mis en œuvre contre cette maladie. Il faudra de nombreuses années pour faire le recensement effectif des effets secondaires des dispositifs sociaux, politiques et liberticides mis en œuvre au nom de la lutte contre cette maladie.
La population allemande des années 30, la plus cultivée au monde, celle qui allait le plus au théâtre, le plus au concert, celle qui lisait le plus de livres, au monde, a pourtant adhéré aux représentations faciles, aux mensonges et au bouc-émissaire qui lui étaient proposés par les milliardaires américains qui finançaient – de concert avec quelques milliardaires allemands – le chancelier placé opportunément à la tête du pays en janvier 1933, bien que minoritaire électoralement.
La nôtre, dans une sorte de « Juin 40 » rampant, a adhéré – bon an mal an – au Pass sanitaire, au Pass vaccinal, aux confinements, aux couvre-feux, à l’interdiction de boire son café debout (!) et à la fermeture des remontées mécaniques. Il s’en est même trouvé une part notable pour en demander plus, et aujourd’hui certains s’interrogent – alors que l’agitation sociale se propage – sur l’opportunité de redonner un peu de confinement au printemps, sous prétexte de variants chinois…
15/1/2023

Davos, du Covid aux tranchées sanglantes de l’Ukraine

Vincent Verschoore

C’est Davos-time à nouveau, le premier show complet depuis la fameuse pandémie que ce même WEF (World Economic Forum) avait mise en scène quelques mois plus tôt, en octobre 2019, via la simulation « Event 201 » (1) où, ô surprise, un coronavirus inconnu passait des chauves-souris au cochon (clin d’œil à la Chine, 2019 étant sous le signe du cochon) avant d’arriver à l’humain.

Une affaire qui motiva Klaus Schwab et Thierry Malleret à écrire leur équivalent du livre rouge de Mao, « Covid-19, the Great Reset » (2) mettant en scène la philosophie de Davos, à savoir que le « nouveau monde » serait géré par, notamment, des structures et institutions supranationales garantissant des politiques efficaces face aux « challenges » confrontant l’humanité, notamment le réchauffement climatique, l’accès aux ressources, la gestion des conflits, etc.

Comprendre: se passer des souverainetés nationales et des avis des populations concernées afin d’imposer des solutions qui arrangent, d’abord et avant tout, les actionnaires du WEF.

« En fin de compte, il est indéniable que le WEF exerce un pouvoir immense, qui a cimenté la domination de la classe capitaliste transnationale à un degré jamais vu auparavant dans l’histoire. Mais il est important de reconnaître que son pouvoir n’est qu’une manifestation du pouvoir de la « superclasse » qu’il représente – un petit groupe ne représentant, selon les chercheurs, pas plus de 6 000 ou 7 000 personnes, soit 0,0001% de la population mondiale, et pourtant plus puissante que n’importe quelle classe sociale que le monde ait jamais connue.

Samuel Huntington, à qui l’on attribue l’invention du terme « homme de Davos », a fait valoir que les membres de cette élite mondiale « ont peu besoin de loyauté nationale, considèrent les frontières nationales comme des obstacles qui disparaissent heureusement et voient les gouvernements nationaux comme des résidus du passé dont la seule fonction utile est de faciliter les opérations mondiales de l’élite ».

Ce n’était qu’une question de temps avant que ces aspirants cosmocrates ne développent un outil permettant d’exercer pleinement leur domination sur les classes inférieures – et le WEF s’est avéré être le véhicule idéal pour le faire. »


Exercice pratique : le Covid

Le Covid fut l’occasion d’une première mise en pratique : en Europe, une haut-fonctionnaire corrompue placée là par ses pairs décidait, au nom de tous, d’acheter pour des milliards de doses d’un produit expérimental au profit, essentiellement, de l’enrichissement massif des actionnaires du Grand Capital Corrupteur (3), lui-même extrêmement bien représenté à Davos. C’est Davos, en fait.

La stratégie générale est donc simple : Le Grand Capital achète les pouvoirs politiques et institutionnels, plaçant des gens comme Biden, von der Leyen ou Macron aux postes clés, puis ces régimes se retrouvent au sein d’organismes supranationaux (UE, Otan, ONU etc.) où des décisions sont prises en dehors de tout contrôle démocratique, au profit d’intérêts qui ne sont pas cités mais qui deviennent rapidement évidents.

La semaine dernière la très corrompue Ursula von der Leyen, aux côtés du vampire otanesque Jens Stoltenberg, donnait un discours qui marque peut-être le point de départ « officiel » d’un totalitarisme technocrato-militaire visant à couvrir l’Occident de son ombre.

Il manquait en effet à l’EuroSoviet (4), constitué dans le cadre de la dictature covidienne puis entériné dans celui de l’hystérie mortifère ukrainienne, la dimension purement militaire de l’Otan, organisation terroriste à but lucratif au bénéfice du complexe militaro-industriel.

« Nous allons approfondir notre excellente coopération et l’étendre à de nouveaux domaines», a décrété Ursula, au côté du secrétaire de l’Otan Stoltenberg, appelé affectueusement Jens. Bruxelles veut porter son « excellente coopération » avec l’Otan à un autre niveau, fait notable, bien au-delà du militaire, pourtant seule raison d’être de l’Alliance atlantique.

Censure et propagande

Avec l’UE, l’Otan va ainsi pouvoir se mêler, selon Ursula, de la « lutte contre la désinformation », soit la censure et la reprise en main d’internet. On notera, à ce sujet, le récent article (8 janvier) du Wall Street Journal intitulé « La machine à censure Covid de la Maison Blanche ». Extrait :

Des documents récemment publiés montrent que la Maison Blanche a joué un rôle majeur dans la censure des Américains sur les médias sociaux. Les échanges de courriels entre Rob Flaherty, directeur des médias numériques de la Maison Blanche, et les dirigeants des médias sociaux prouvent que les entreprises ont mis en place des politiques de censure Covid en réponse à la pression incessante et coercitive de la Maison Blanche, et non volontairement. Les courriels sont apparus le 6 janvier lors de la phase de découverte de l’affaire Missouri v. Biden, une affaire de liberté d’expression portée par les procureurs généraux du Missouri et de la Louisiane et quatre plaignants privés représentés par la New Civil Liberties Alliance...

Le premier amendement interdit au gouvernement de s’engager dans une censure basée sur le point de vue. La doctrine de l’action de l’État empêche le gouvernement de contourner les restrictions constitutionnelles en subornant des entreprises privées pour atteindre indirectement des objectifs interdits.

Les courriels de M. Flaherty démontrent que le gouvernement fédéral a illégalement contraint les entreprises à s’assurer que les Américains ne seraient exposés qu’à des informations sur Covid-19 approuvées par l’État. En conséquence de cette action étatique anticonstitutionnelle, les Américains ont eu la fausse impression d’un « consensus » scientifique sur des questions d’une importance cruciale concernant le Covid-19. Un jugement pour la conduite illégale, trompeuse et dangereuse du gouvernement est en cours devant les tribunaux.


Il y a clairement toujours une censure étatique (et médiatique et commerciale, tout cela étant étroitement lié) concernant le délit d’opinion en la matière. Les Twitter files montrent aussi que Facebook n’est pas le seul des Gafam à appliquer cette censure (5).

Tout ceci ne date évidemment pas du Covid: la prise de pouvoir du Grand Capital Corrupteur est analysée aux USA en 2008 par James Galbraith dans « l’État prédateur » (6), et le président Eisenhower mettait déjà le monde en garde lors de son discours de départ en 1961 (7). Mais c’est le Covid qui a lancé l’assaut actuel par l’hystérisation institutionnelle et politique d’un problème par ailleurs parfaitement gérable « normalement », profitant d’un contexte propice à la manipulation psychotique des masses (8) qui se poursuit, aujourd’hui, avec le cinéma macabre autour du conflit ukrainien et du suicide européen.

Le charnier ukrainien sous les applaudissement de Davos

Une Europe aujourd’hui aux mains de psychopathes et de crapules corrompues formant la secte qui se réunit actuellement à Davos et y fait tourner l’industrie locale de la prostitution de luxe (9), illustration pertinente de ce à quoi nous avons vraiment affaire.

Il n’y a pas de complot caché, et demain il n’y aura pas d’excuses du genre « on ne savait pas » car tout est dit, tout est annoncé : la volonté de détruire la Russie en y sacrifiant l’Europe (et l’Ukraine) au profit de l’organisation terroriste Otan et son mentor américain, s’affiche en toutes lignes, par exemple à travers le général US Mark Milley dans le clip ci-dessous.

Suite à sa défaite à Soledar, l’Otan met les bouchées doubles pour équiper l’AFU (forces armées ukrainiennes, en réalité un mélange de troupes ukrainiennes et otanesques sous contrôle US) et parle ouvertement de volonté de destruction de la Russie, qui plus est au nom d’un principe que les USA ne respectent jamais eux-mêmes : l’ordre mondial fondé sur les règles.

« Washington et l’OTAN mènent une guerre par procuration contre la Russie avec le soutien de l’Ukraine. » Zoran Milanovic, président de la Croatie.

À la question de savoir si les négociations de Minsk était destinées à retarder les avancées russes en Ukraine, François Hollande a répondu par l’affirmative : « Oui, Angela Merkel a raison sur ce point. Les accords de Minsk arrêtèrent l’offensive russe pour un temps. Ce qui était important était de savoir comment l’Occident utiliserait ce répit pour prévenir toute tentative russe ultérieure ».


Vers un nouvel ordre mondial dystopique

Plus c’est gros plus ça passe. Le narratif officiel sur le conflit ukrainien est complètement détaché de la réalité historique (10), mais la folie meurtrière des euro-atlantistes nous entraine vers une catastrophe qu’il n’est plus acceptable de faire semblant de ne pas voir: nous allons être ruinés par le racket de l’énergie et des dépenses militaires, et nos Etats n’auront plus les moyens d’assurer un minimum de santé, d’éducation et de sécurité alimentaire à leurs populations (c’est quasiment déjà le cas au RU, pays entièrement vassalisé par les USA),

La pression des Etats corrompus sur les populations est incessante. A l’image de la Chine, la France veut profiter des JO 2024 pour installer la vidéosurveillance automatisée :

En catimini pendant les fêtes, le gouvernement a déposé le projet de loi concernant les jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. Comme on l’attendait, ce texte prévoit d’ouvrir la voie à la légalisation de la vidéosurveillance automatisée (ou algorithmique, abrégée « VSA »), le tout sous un vernis théorique d’expérimentation limitée dans le temps. Et ce alors que partout sur le territoire, ces technologies sont déjà employées dans l’illégalité et l’impunité la plus totale. Prenant pour prétexte l’organisation prochaine des grandes compétitions sportives, le gouvernement et nombre de parlementaires se posent en défenseurs de l’industrie française en lui permettant de s’étendre durablement sur le marché de la vidéosurveillance.


Seuls les très riches s’en sortiront, et nous allons bientôt retrouver ici les structures typiques des pays du tiers-monde : une petite minorité vivant dans le luxe au sein de quartiers résidentiels « protégés » par les milices armées du Grand Capital, entourée d’une majorité hébétée, désinformée, nourrissant les besoins de « l’élite » en chair à canon et en opérateurs techniques sous le contrôle de la machine.

À Davos, les euro-atlantistes pourront ainsi tranquillement applaudir les centaines de milliers d’Ukrainiens morts dans leurs tranchées sanglantes, au seul profit du Grand Capital et des intérêts géostratégiques américains.


Liens et sources :

(1) https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/exercises/event201/about

(2) https://zerhubarbeblog.net/2020/12/04/de-quoi-the-great-reset-est-il-le-nom/

(3) https://zerhubarbeblog.net/2021/12/29/vaccination-covid-le-grand-marche-de-la-corruption/

(4) https://zerhubarbeblog.net/2022/03/07/bienvenue-en-union-eurosovietique/

(5) https://www.blick.ch/fr/news/opinion/chronique-de-myret-zaki-quand-la-lutte-contre-la-desinformation-sert-a-manipuler-l-opinion-id18231215.html

(6) https://blogs.mediapart.fr/vincent-verschoore/blog/160510/letat-predateur

(7) https://www.archives.gov/milestone-documents/president-dwight-d-eisenhowers-farewell-address

(8) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/06/du-covid-a-la-formation-psychotique-des-masses/

(9) https://www.rt.com/news/569971-escort-services-booked-wef-davos/

(10) https://zerhubarbeblog.net/2022/03/01/ukraine-le-retour-du-baton/

17 janvier 2023

LA VICTOIRE DE LA BEAUTÉ

Gabriel Nerciat

Si j'en juge par ma consultation des réseaux sociaux depuis hier, la disparition de la sublime Gina Lollobrigida suscite infiniment plus d'émois que la perspective de la grande grève intersyndicale de jeudi prochain.

Dostoïevski avait raison : c'est bien la beauté qui changera le monde.

Tant pis pour Pierre Bourdieu, Laurent Berger et Bidochon.


Solidarité avec le peuple iranien

Eric Vial

Pendant que les libéraux mondialistes se livrent une guerre économique pour préserver leurs intérêts, l’Iran tente de se libérer du joug de la dictature islamiste dans une quasi indifférence de l’Europe et de ses alliés.
Femme Vie Liberté c’est la première révolution féministe de l’histoire du monde. Elles ne veulent plus mettre le voile islamique. Elles refusent de mourir parce que des hommes pervers voient leurs cheveux.
Des dizaines de milliers de personnes venues de toute l’Europe défilent devant les institutions européennes de Strasbourg. Elles veulent nous rappeler qu’il ne suffit pas pour l'Europe de dire « qu'elle défend les valeurs de liberté et d’égalité », il faut aussi des actes.
Dans la foule je vois de nombreuses femmes pleurer. Elles sont émues par l’événement. Elles pensent à leurs sœurs.
Le ciment qui soude tous nos peuples c’est la liberté : c'est le premier principe de l'humanité. Le deuxième, c'est la solidarité. Il n’est donc pas possible en tant qu'Homme de fermer les yeux.
Face à l’oppression, aux meurtres, emprisonnements, tortures, pendaisons et les exécutions qui se déroulent actuellement en Iran, l’Europe doit agir, maintenant !


16 janvier 2023

La « grande culture »

Denis Collin

La « grande culture » ne pouvait exister et n’existait que comme une critique du règne de la bourgeoisie. Elle était, certes, portée par la bourgeoisie qui en faisait son supplément d’âme et un facteur de cohésion (respect des maîtres, respect du savoir, respect de ce qui dépasse l’homme ordinaire). Mais en même temps, elle valorisait le désintéressement, critiquait la vénalité, exaltait les valeurs les plus élevées, elle était spiritualiste par essence – même si elle récitait Lucrèce ou les grands philosophes matérialistes. La culture de la « société avancée » n’a plus rien de critique : elle s’insère dans les industries culturelles et produit selon les normes de l’industrie. Là où la « grande culture » s’évertuait à instituer des hiérarchies, la culture « désublimée » méprise ces hiérarchies. Elle est radicalement démocratique. Tout se vaut. Tout le monde a le droit d’être un artiste et, pour tout dire, tout le monde est artiste et tout est art. Avec la désublimation, il n’y a plus de place pour le sublime ni pour le tragique. Place à la fête ! Place à la foire ! La « grande culture » était la mauvaise conscience de la bourgeoisie : de Balzac à Thomas Mann. Sous le règne de la désublimation, il n’y a plus de place pour la mauvaise conscience. La littérature est normalisée – les États-Unis, toujours en avance, montrent la voie avec les écoles d’écriture : on peut devenir un bon romancier comme on devenait un bon tourneur-ajusteur. Cette désacralisation de la culture, cette perte de l’aura de l’œuvre d’art dont parlait Walter Benjamin, a pu être vécue comme une libération des anciennes disciplines – tout le mouvement de l’art moderne se présente comme un effort d’émancipation de la tyrannie des règles de l’art. Mais c’est aussi une conséquence du poids croissant de la technoscience dans la vie de tous les jours, qui participe du « désenchantement du monde » et des tendances les plus profondes de « l’esprit du capitalisme », ses tendances égalisatrices dès lors que l’unique mesure devient l’équivalent général, l’argent. Mais, dans le même temps, cette tendance égalisatrice produit, comme l’avait déjà soutenu Tocqueville, un conformisme étouffant.