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10 février 2023

Culture et censure

Anne-Sophie Chazaud

La Ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, a proféré hier des menaces de censure à l’encontre des chaines CNews et C8.
Ces menaces (de privation de séquence) au motif que l’Arcom a adressé plusieurs avertissements aux chaînes concernées depuis 2019, sachant que l’Arcom, comme je le rappelle dans mon travail sur la censure, n’est en rien indépendante idéologiquement et politiquement, ont déclenché le tollé qu’elles méritent depuis hier.
Je voudrais juste, en passant et sans m’attarder trop, faire une petite observation et attirer l’attention sur un point qui, telle la lettre écarlate, n’est pas beaucoup relevé : autrefois, la censure était le fait des ministres de l’Intérieur et de l’Information. On se souvient des ciseaux d’Anasthasie maniés avec détermination, dextérité et sans hésitation par Alain Peyrefitte par exemple.
Le fait que ces menaces émanent à présent du Ministère de la Culture en dit long sur ce qu’est devenue ladite Culture, certes flanquée dans le portefeuille de son double communicationnel.
Loin de l’esprit de liberté et de confrontation des opinions/visions contradictoires qui seul peut garantir une créativité digne de ce nom, la Culture est donc ramenée à ce que décrit Gramsci : un outil de conquête et, depuis des décennies, comme je le dis là aussi dans mon travail, un outil de maintien au pouvoir.
Elle est objectivement ramenée sans même s‘en cacher au rang de simple propagande.
Nous le dénonçons depuis longtemps, mais cette perversion opérait de manière sournoise, par l’infiltration/contamination idéologique des messages encouragés (subventionnés).
Désormais donc, grâce au volet « Communication », la culture est revendiquée comme n’étant plus, comme le disait Gilles Deleuze dans une magnifique conférence à la Fémis en 1987 portant sur l’acte créatif, qu’un acte de mise en forme (« informer ») de « mots d’ordre ».
Pour tout vous dire, c’est bien cette dénaturation vicieuse de la notion de Culture qui devrait nous préoccuper, davantage que la volonté de censure dont on sait que les enfants de la gauche post-socialiste extrême-centriste raffolent car elle seule leur permet d’exister et de continuer de raffler la mise.
Il s’agit bien d’une guerre culturelle, et, sur ce point au moins, nous serons tout à fait d’accord avec ceux qui la mènent contre les tenants de la liberté.
Il faudrait finalement remercier la Ministre pour avoir manifesté la réalité de la situation sinistrée de la Culture avec autant de clarté.

L'escalade

Jonathan Sturel

Vous le voyez le glissement progressif vers l'escalade ? Ce n'est plus la paix qui est l'objectif mais la victoire de l'Ukraine.
Petit à petit nous nous avançons vers le point de non-retour. Et nous serons tous responsables car nous les voyons faire, nous les voyons nous jeter dans la guerre et nous laissons faire. Les oppositions sont occupées à militer contre une réforme des retraites, c'est-à-dire contre une mesure qui même si elle était prise pourrait parfaitement être défaite au prochain mandat, pendant que le fou qui commande aux destinées de la France travaille à la pousser vers des lendemains dont les conséquences, elles, ne pourront plus être arrêtées.
Notre sommeil collectif va nous coûter cher. Et personne ne pourra dire qu'il ne savait pas.

DRÔLE DE JEU À L'ASSEMBLÉE ET DANS LA RUE...

Jacques Cotta

Le jeu politique qui se déroule sous nos yeux peut réjouir Macron :

1/ À l'Assemblée nationale :

Les députés NUPES considèrent qu'il est plus important de se démarquer du RN que de voter pour une motion référendaire qui permettrait au peuple français de dire non à Macron. Ils voudraient ainsi apporter une aide objective inespérée à Macron, ils ne feraient pas mieux. En plus l'argumentation est pour le moins fallacieuse. Elle montre une certaine gêne aux entournures. Il paraît en effet que "de toutes les façons la motion n'aurait pas eu la majorité". Mais alors pourquoi avoir revendiqué la présentation de la motion en lieu et place du RN, si cela ne servait à rien ?

2/ Dans la rue :

Outre que la démonstration de la nécessité d'un blocage, d'un mouvement organisé qui ne nous ballade pas de journées d'action en journées d'action, semble établie, nous voilà appelés à manifester samedi 11. Il faudra saisir l'occasion et être des millions. Mais pour cela, il faudra y être tous, sans distinction, comme ont su le faire les Gilets jaunes à l'époque. Cela indépendamment de son appartenance politique, de ses convictions personnelles, y être pour le retrait de cette réforme. Le RN, s'il ne veut pas avoir une position symétrique à celle de la NUPES à l'Assemblée, devrait appeler de son côté tous les Français à descendre dans la rue le 11.

En réalité, le dilemme est assez clair :
Tous contre Macron et pour le retrait de la réforme des retraites,
ou :
Tous avec Macron et pour le maintien de la réforme.
Pour les Français le choix est fait.

Être reçu à l'Académie française tout en parlant très mal le français, c'est possible !

Radu Portocala

Il est dit dans les statuts de l’Académie française : « La principale fonction de l’Académie sera de travailler, avec tout le soin et toute la diligence possibles, à donner des règles certaines à notre langue et à la rendre pure, éloquente et capable de traiter les arts et les sciences. »

J’ai appris hier matin que M. Mario Vargas Llosa y a été reçu, et je l’ai écouté pendant trente secondes bafouillant son discours de réception. Car M. Vargas Llosa, aussi importante soit son œuvre littéraire et quels que soient ses mérites politiques, parle très mal le français ! En plus, il a, semble-t-il, dépassé de dix ans la limite d’âge requise pour entrer sous la Coupole.

Pourquoi, donc, ce choix étrange qui fait fi des règles de l’institution ? Mais, en fin de compte, n’oublions pas que l’Académie française a refusé plusieurs fois la candidature de Balzac…

Zelensky, Grand-Croix de la Légion d’Honneur

Radu Portocala

Nous apprenons par un communiqué de l’Élysée que « le Président de la République a élevé à la dignité de Grand-Croix de la Légion d’Honneur le président Zelensky ». Et M. Macron a publié ces mots : « Hommage à toi, cher Volodymyr, pour ton courage et ton engagement. »
(Notons le tutoiement, devenu une sorte d’obligation grotesque dans les relations internationales de la France.)
À un autre moment, un autre président français avait « élevé à la dignité de Grand-Croix de la Légion d’Honneur » Ceausescu.
En 1988, lorsque, avec un groupe d’opposants roumains, nous avons demandé à la Chancellerie de la Légion d’honneur de retirer la décoration de Ceausescu pour indignité – ce qui est une possibilité inscrite dans les statuts –, il nous a été répondu que nous poussions le bouchon de l’anticommunisme un peu trop loin [sic !]. Un an plus tard, le personnage en question a été fusillé malgré sa Légion d’honneur, comme pour montrer que nous n’avions pas poussé ledit bouchon « trop loin ».
N’étant nullement sanguinaire, je ne voudrais pas que Zelensky ait le sort de Ceausescu. Bien au contraire. Pour le bien des Ukrainiens, je lui souhaite de vivre paisiblement dans une de ces propriétés qu’il a dans le monde, avec peut-être la Grand-Croix accrochée au-dessus de sa baignoire.
Quelqu’un disait à propos de cette si convoitée distinction : « L’honneur, c’est de ne pas l’avoir. » Il n’avait pas tort.

Santé : la terreur continue

Pierre Duriot

Non seulement le gouvernement français détruit l’hôpital, en fermant régulièrement des lits et des services, en licenciant les médecins et personnels non-vaccinés, mais bien que l’épisode Covid soit passé, bien que les autres pays reviennent de ce qui fut à la fois une erreur de gestion et une violence faite au pays, il continue à semer la terreur chez les médecins. Ainsi, à défaut de schéma vaccinal complet contre le Covid-19, le médecin généraliste Nadine De La Fuente s’est vue interdire d’exercer à Carmaux dans le Tarn, le 27 janvier, soit il y a quelques jours seulement. À quoi rime cette inquisition ? Nous sommes pourtant, à cet endroit, dans un désert médical. L’incompréhension est totale chez les patients, qui ont lancé une pétition pour récupérer leur docteur qui exerce là depuis vingt ans, à la grande satisfaction de la population.

Le docteur Nadine De La Fuente a reçu la mauvaise nouvelle par un courrier de l’ARS Occitanie, le vendredi 27 janvier 2023, car elle n’a pas fourni de « preuve de statut vaccinal contre le Covid-19 ». Le maire, Jean-Louis Bousquet, pensait logiquement être sorti de là, sachant que masque, confinement, passe-vaccinal, étaient de l’histoire ancienne, à juste titre. Et pourtant non, la terreur continue, même après la bataille illusoire qui a surtout servi à sidérer la nation. L’ARS, façon inquisition, applique strictement la loi qui n’a pas été retirée et culpabilise le médecin « qui ne fait pas le nécessaire pour se mettre en conformité à la loi et qui met aussi les patients dans la difficulté ». Cela, selon une inversion de la faute qui est bien la marque de la macronie, pour qui les « coupables » sont ceux qui ne se soumettent pas aux pires infamies. Qui, non seulement sont des infamies, mais sont en plus, des erreurs, puisque cette vaccination, recommandée pour éviter les contaminations, s’est révélée inefficace. La pétition en ligne, initiée par les patients a déjà récolté plus de 950 signatures.

Nous redisons, au RPF, notre souhait de voir cette obligation inique cesser, demandons également, depuis le début, la liberté vaccinale et la réembauche des personnels non-vaccinés qui le souhaitent, avec des indemnités.


SECOUSSES SYSMIQUES À WASHINGTON…

Marc Amblard

Une commission d’enquête formée par la nouvelle majorité de la Chambre des représentants sur l’actuel président et son fils révèle une activité criminelle chargée, preuves à l’appui.
Trafics d’influence, corruption, collusion avec des gouvernements étrangers comme la Chine et la Russie, escroqueries sont notamment cités par la commission devant la presse (voir vidéo de 2 mn sous-titrée en français).
Ces faits auraient été perpétrés alors que Biden était le vice-président d’Obama.
Faut-il y voir les signes avant-coureurs d’une démission prochaine ? Probablement.
Est-ce une défaite pour le parti démocrate ? Non, parce que l’actuel président est devenu trop encombrant et surtout annonciateur d’une défaite en 2024.
Alors plus concrètement, que se passerait-il si le président des États-Unis était poussé vers la sortie avant la fin de son mandat ? Eh bien, la vice-présidente Kamala Harris prendrait sa place. C’est ainsi que le prévoit la Constitution. Celle-ci se trouverait alors en pole position pour être confirmée l’année prochaine et occuper le poste à la Maison blanche jusqu’en 2028.
Il semble cependant que les démocrates ne l’envisagent pas de cette façon-là. La cote de Kamala est tout aussi basse que celle de Joe et sa candidature en 2024 ne présagerait rien de positif pour son camp.
Leur stratégie, dit-on, est différente. L’actuelle vice-présidente ne deviendrait qu'une présidente intérimaire dont on se débarrassera rapidement en novembre 2023 par le biais des primaires organisées quelques mois plus tôt.
Le but des démocrates serait plutôt de miser sur celui ou celle qui occuperait le poste de nouveau vice-président. Rappelons que si Joe se retire, Kamala prend sa place et libère donc le siège qu’elle occupe actuellement à la Maison blanche. Le vice-président très prochainement nommé serait alors le poulain sur lequel miseraient les démocrates pour s’assurer une victoire en novembre 2024 à la nomination suprême.
Plusieurs noms sont évoqués : Michelle Obama qu’on aperçoit de plus en plus sur les plateaux TV, Pete Buttigieg, LGTB et actuel ministre des transports ou encore Gavin Newsome, gouverneur de Californie et neveu de Nancy Pelosi.
Affaire à suivre…
6/2/2023


COVID 19 : ÇA CLOCHAIT DÈS LE DÉBUT

Marc Amblard

- 8/2/2023 - Je ne sais pas vous mais dès le démarrage de cette affaire, j’ai senti que quelque chose ne tournait pas très rond dans le récit des médias et des autorités. Une odeur de tromperie, de mise en scène macabre. Comme une pièce de théâtre mal jouée. Ou plutôt, surjouée.
Trois ans après le lancement des hostilités, il était alors intéressant de recenser très brièvement les dix indices qui ont suscité, en notre for intérieur, les plus vives réserves :
1. Dès les premiers cas, l’OMS annonce officiellement une pandémie avec probablement des millions de morts. Étonnamment rapide.
2. Des médicaments dont l’efficacité n’était plus à prouver et surtout sur le marché depuis 70 ans, ont fait l’objet d’un classement en substance vénéneuse deux mois avant l’apparition du virus. Inédit.
3. À l’opposé, l’administration de substances dangereuses a été facilité, notamment dans chez les personnes âgées (Remdesivir, Rivotril…)
4. Les médecins ont été privés de leur liberté de prescrire (par des non médecins). Une première dans l’histoire de la médecine.
5. Une exceptionnelle mise en scène des morts et des cas sur les écrans de télévision.
6. Des confinements imposés alors que ces méthodes n’avaient plus cours depuis des siècles.
7. Survenance de nouveaux concepts comme les « malades non malades » (cas asymptomatiques).
8. Des sommités internationales, professeurs de médecine, chercheurs, encensés jusque-là, sont devenus soudainement des charlatans aux yeux des grands médias.
9. Les recommandations émanaient de l’OMS dont l’un des plus importants contributeurs est également un actionnaire majeur des deux plus grands laboratoires pharmaceutiques.
10. Le 18/10/2019 à New-York, le Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Gates, ont organisé l'Event 201, un exercice de répétition pré-pandémique.
Avouez que, mis bout à bout, ces quelques indices auraient dû faire douter les esprits les plus endormis. Non ?
Il n'est pas question de nier l'existence d'un virus mais, à tout le moins, de s'interroger sur la pertinence de son traitement médiatique et des mesures catastrophiques mises en place.


9 février 2023

Les LR au bord de l’implosion ?

Gilles La Carbona

Les LR vont trahir. On s’en doutait, mais ça se précise. L’imposant Larcher menace les dissidents pour les faire rentrer dans le rang. Il utilise en cela les mêmes méthodes que Macron, normal c’est son mentor, son complice. Retailleau y va de sa plainte et agite la peur de l’effondrement du parti. Ils n’ont rien compris, c’est en votant cette loi inique et inutile, qu’ils vont précipiter leur chute. C’est en refusant de prendre en compte les recommandations du COR, en ignorant que presque 75% de la population ne veut pas de cette réforme, qu’ils signent leur désintégration. Ils seraient donc les seuls heureux détenteurs de la vérité absolue, avec Macron, et donc 75% de la population se tromperaient ? Mais quelle arrogance et quel mépris du peuple. Et ils se disent encore gaullistes ? Ils ne sont que les relais de la Commission européenne, qui veut cette réforme pour pouvoir vendre les retraites privées de leurs amis de la finance. Tout le monde a compris qu’avec 43 ans de cotisation, personne n’aura une retraite pleine à 64 ans, vu l’âge moyen d’entrée dans la vie active.

Une réforme d’autant plus inique qu’elle toucherait ceux qui sont à moins de 5 ans de la retraite, comme s’il fallait impérieusement embarquer ces classes d’âges qui arrivent au bout de leur carrière et qui voient les règles du jeu changer brusquement au dernier moment. Honteux. Et c’est ça que veulent défendre les LR… ? Qu’ils fusionnent directement avec les macronistes, au moins ils ne berneront plus personne.

Si des députés LR sont convaincus que le problème n’est pas de rallonger l’âge de départ à la retraite, mais bien d’avancer celui de l’entrée dans la vie active, comme nous le disons au RPF depuis des semaines, alors ils doivent quitter ce mouvement qui n’est plus qualifié pour se dire gaulliste, sans semer le trouble, sans déclencher la colère, sans susciter la honte des vrais gaullistes.

Non le système n’est pas en péril, au lieu de s’attaquer à nos retraites, que ces chers sénateurs LR s’inquiètent d’empêcher que des milliards n’aillent se perdre dans le régime nazi, corrompu, de Zelensky, se préoccupent de l’escalade bientôt irréversible des décisions de Macron dans cette guerre qui va finir par nous rattraper, et surtout qu’ils cessent de tancer leurs collègues de mal penser et les laissent libre de leurs choix. Un mandat impératif n’est-il pas nul dans notre constitution ? Patere legem quam ipse fecisti, qui peut se traduire par : respecte la loi que tu as faite. Larcher n’a pas à menacer ses pairs. Si la liberté de penser l’irrite à ce point, il peut essayer la Corée du Nord, mais au pays de Voltaire et de J.J. Rousseau, ne pas bêler avec le reste du troupeau, est une marque d’indépendance, de courage, et d’intelligence !

Si vous êtes fondamentalement convaincu que cette réforme est mauvaise et inutile ne pliez pas ! Résistez et soutenez la colère de 75% des Français. Votez contre.


Quel prix pour la fille d’un roi ?

Gilles La Carbona

L’information, bien qu’elle n’ait pas fait les unes les plus prestigieuses, est tout de même passée dans la presse grand public. La fille du Roi de Thaïlande est décédée à l’âge de 44 ans, des suites d’une crise cardiaque. Au début on semblait ne pas en connaître la cause, mais les récentes nouvelles confirmeraient que cette mort brutale a été causée par le vaccin COVID. Le Roi dans ce cas n’en restera peut-être pas là et n’est sans doute pas prêt à passer sous silence la vie de sa fille, au nom de la correction politique, comme on le fait en France. Des chercheurs japonais intentent une action en justice contre le gouvernement, pour avoir dissimulé des données dérangeantes sur le vaccin, dans le but de continuer la campagne de vaccination. Bill Gates, grand artisan de la vaccination, vient de changer de discours, affirmant que ce virus valait celui de la grippe. L’ancien député Jean Lassalle a rappelé que tous ses ennuis cardiaques venaient du vaccin, rajoutant que ni Macron ni son gouvernement n’étaient vaccinés, sans avoir été poursuivi pour diffamation, mansuétude de la macronie, ou embarras, mystère ? La représentante Marjorie Taylor a appelé à une enquête immédiate sur les vagues de morts subites à travers le monde. Suggérant qu’il y avait une corrélation entre cet événement et « l’obligation » directe ou indirecte, de se faire vacciner.

Ce 8 janvier 2023, sur ARTE une émission a été consacrée aux effets secondaires, avec des témoignages de personnes sévèrement touchées. Le reportage a navigué entre drame restreint à malheureusement quelques personnes, et flou artistique sur la réalité des chiffres, allant même jusqu’à suggérer que la réalité dépassait largement, sans doute, les chiffres annoncés, quelque peu amenuisés par un décompte non exhaustif et le refus, encore, de pas mal de médecins, d’évoquer la possibilité d’un lien avec la vaccination anti-Covid.

Que se passe-t-il donc pour que ARTE, chaîne subventionnée ose aborder ce sujet à 13 heures ? Serait-ce une façon habile d’aborder en douceur la catastrophe en cours, tout en essayant de trouver des excuses sur les conséquences monstrueuses de ce vaccin, que les infâmes anti-vax dénoncent depuis le début ? Ou la soudaine volonté d’informer vraiment, au risque de flirter avec les thèses complotistes ? À suivre, nous verrons bien si d’autres chaînes s’emparent du sujet, ou si tout retombe dans le silence organisé par les médias sur ordre de l’État. Rappelons que France info, entre autres, dans sa charte, a l’interdiction de s’opposer aux narratifs du COVID et du réchauffement climatique, si après ça on continue de considérer les « médias » comme des sources fiables d’information, c’est que les mots ont perdu leur sens originel.

Mais avouons que ce serait un sacré vent de liberté, pour notre pays, situé au 34ème rang pour sa liberté d’expression. Imaginons que les médias, à 20 heures, donnent la parole à tous ces urgentistes qui voient défiler des cas plus que curieux de morts subites, notamment chez des jeunes ou des sportifs aguerris. Et puis, soyons fous, qu’ils se mettent à dire la vérité sur la réforme des retraites, notamment sur les commanditaires qui poussent Macron à imposer cette réforme. Et soyons encore plus déjantés, qu’ils se mettent à parler des forces otano-kéviennes et de leurs adorations nazies, des massacres des populations du Donbass pendant 8 ans, et des liens douteux que nos dirigeants entretiennent avec des cabinets privés, ou les géants de la pharmacie, ou les corrupteurs du Qatar ? Oui bien entendu, tout ceci n’est que rêve, la réalité se passe elle dans le cauchemar du quotidien, où ces gens intouchables, font tout et n’importe quoi, sans jamais être inquiétés, mentent, au mépris des peuples, souvent avec la complicité des oppositions. Il n’empêche, ARTE a commencé à briser la glace.