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3 août 2023

Tweet de Juan Branco

Sous la dictée présumée de l'Élysée, une notice rouge a été demandée à INTERPOL par le parquet de Dakar pour me faire arrêter.
Le motif invoqué ? Avoir révélé l'existence de crimes contre l'humanité au Sénégal, entre les mois de mars 2021 et juin 2023, et la complicité du gouvernement français.
Cette demande s'inscrit dans un cadre plus général.
Chaque année, M. Macron se prête à une sinistre comédie, consistant à tenter de me faire arrêter.
Cela a commencé en 2019, avec le signalement au Procureur de la République, par Aurore Bergé, d'un livre que j'avais publié, Crépuscule, qui décrivait les soubassements de son élection.
On aurait tort d'en rire, ou de penser qu'il s'agissait d'une pantalonnade sans objet.
Avec cet ouvrage, nous touchions au coeur noir d'un pouvoir avarié.
Mme Bergé m'a alors accusé d'avoir "armé les esprits", et de provocation à la commission de crimes et délits. Cela n'a rien donné.
En 2020, 2021 et 2022, les procédures délictuelles et criminelles se sont cependant multipliées, toutes lourdement médiatisées. Les accusations les plus sordides et indécentes ont prospéré en un environnement politique et médiatique particulièrement agressif et asymétrique, dans le but d'atteindre à mon honneur et à ma dignité.
Les mesures de coercition, perquisitions, mise sous surveillance, garde à vue, mais également menaces et intimidations se sont accumulées. Cela n'a rien donné.
Mon travail de représentation, publication, révélations, auprès de tous ceux qui se battaient pour leur souveraineté, a continué.
Nous avons remporté de flagrantes victoires, parfois jusqu'au cœur du pouvoir, du Conseil constitutionnel aux tribunaux judiciaires où Emmanuel et Brigitte Macron traînaient des individus sans ressources que l'on représentait. Cela les a humiliés.
Les accusations, une à une, se sont effondrées, laissant voir nu un roi qui s'agitait.
Au Sénégal, depuis le mois de mars 2021, soixante personnes ont perdu la vie, et des milliers ont été blessées, arrêtées, torturées et persécutées, sous le regard bienveillant de l'Élysée, dans le cadre de crimes contre l'humanité mis en œuvre par l'un de nos principaux alliés.
J'en ai été saisi par des familles de victimes et le principal opposant du pays, Ousmane SONKO, arbitrairement arrêté.
J'ai saisi à mon tour la Cour pénale internationale et le pôle de crimes contre l'humanité du TJ de Paris de plaintes pour les représenter.
Ces procédures, fondée sur un long travail d'enquête et de récolte de preuves, ont forcé l'allié de l'Élysée, M. SALL, à renoncer à son pouvoir, que par les armes il espérait perpétuer.
Cela me vaut aujourd'hui d'être accusé, par Dakar, de la commission de crimes et délits, et par le Quai d'Orsay, d'avoir révélé l'implication d'agents français dans les crimes mentionnés.
La vérité brûle le pouvoir. Elle le force à reculer.
Nous avons connu, avec Julian Assange, ce mouvement descendant, qui vise à isoler, fragiliser, enfin, dévaster, ceux qui ont le courage d'en faire usage, et de ne pas céder.
Je m'y suis préparé, et l'accueille avec sérénité. Dans la dignité, et sans trembler.

« La bête immonde »

Kelly Scott

La venue de Geoffroy Lejeune au JDD fait ressortir le pire de l’âme humaine qui se dévoile dans certains commentaires. Bizarrement toujours chez les mêmes, ceux qui sont persuadés d’être dans le bon camp ou « le camp du bien » comme on dit.
Sous des articles de Télérama et Libération comme par hasard...
Je lis ça et là des réflexions ignobles, certains osent parler du retour de la « bête immonde » en parlant du jeune journaliste ou de Bolloré... Et pousser l’ignominie jusqu’à comparer Geoffroy Lejeune à Goebbels...
Ils ont oublié les liens étroits d’une gauche moribonde, celle qu’ils défendent encore minablement. Les liens opaques et opportunistes qu’elle entretenait à une autre époque avec cette fameuse « bête immonde ».
Cette même gauche qui aujourd’hui pactise avec l’islam radical et crache sur les valeurs et les traditions de la France.
Ces gens-là se croient au dessus de tout et ne supportent ni la liberté ni le pluralisme des idées et des opinions, terreau et base du journalisme. Ils bafouent sans vergogne les droits les plus fondamentaux comme la liberté d’expression.
Les insultes et la bêtise sont leurs seules armes et leur vocabulaire est celui d'un vieux disque rayé.
Je souhaite bonne chance à ce journaliste plein de talent et surtout beaucoup de courage, il va lui en falloir.
Pour info, lui et ses proches sont toujours menacés de mort. On se demande qui est la « bête immonde ».

1 août 2023

Il paraît que cette image agace profondément les macronistes, et même qu’elle les « exaspère » !

30 juillet 2023

TENTONS DE RÉSUMER L’ÉTAT DU MONDE EN 2023...

Marc Amblard

Une oligarchie, qu’on a à peu près identifiée, est en train d’appliquer aux populations les préceptes d’une idéologie se nourrissant de trois courants de pensée :
1) Le malthusianisme : la population doit baisser drastiquement en raison d’une réduction des ressources naturelles – Bill Gates l’a maintes fois proclamé dans ses conférences, notamment durant les sessions TED (voir les vidéos).
2) Le réchauffisme : par leurs modes de consommation, les humains sont responsables du réchauffement de la planète (…) ; on sait à présent qu’il s’agit d’une belle escroquerie.
3) Le collectivisme (ou marxisme) : aux maux du monde, il ne peut y avoir de solutions que collectives et pour qu’elles soient atteintes, il nous faut abandonner nos libertés les plus élémentaires et faire confiance à ceux qui nous gouvernent (dont la nomination n’est plus démocratique).
Un tel paradigme s’apparente de plus en plus à une dérive sectaire et fascisante.
De surcroît, nos oligarques sont convaincus que les objectifs sous-tendus ne peuvent être atteints que si tous les pays du globe agissent de concert. À cette fin, ils aspirent à un effacement progressif des nations pour leur substituer un ensemble d’organisations internationales (ONU, FMI, OMS, Banque mondiale, Banque des règlements internationaux…) auxquelles leur seraient transférés des pouvoirs croissants. Des monstres administratifs gérés par des représentants non élus, qui n’ont de comptes à rendre à personne.
Surtout pas aux populations. C’est le fameux « New World Order » dont les grands dirigeants nous rebattent les oreilles depuis des années.
Les pays devenant alors de simples « provinces » chargées d’appliquer des directives supranationales. Processus au demeurant bien engagé comme on a pu le constater avec l’application étonnamment coordonnée des mesures anti-covid, elles-mêmes anti-science.
Ces puissants se sont donc mis en tête de contrôler les peuples (par la peur et l’appauvrissement) afin de répondre à leurs délires « éco-régulateurs » et imposer leur vision du monde.
L’un d’entre eux, Klaus Schwab, grand gourou du World Economic Forum, a résumé le plan avec sa désormais célèbre formule « Vous ne possèderez plus rien et vous serez heureux… ». Grotesque.
Voilà pour faire très court, ce qui semble être le nœud du problème.
Seul le réveil des peuples pourra y mettre fin. Ne tardons pas trop.
M. Amblard - 30/7/2023

« Destitution » !

Véronique Faucheux

« Destitution » ! Voilà la banderole que traîne, derrière son petit avion, David Van Hemelryck. Ce message s’adresse à Emmanuel Macron. Ce pilote aujourd’hui âgé de 43 ans s’était fait connaître en novembre 2014 avec une banderole « Hollande démission ». Il faisait le tour de France et survolait les plages. Dans un entretien de près de vingt minutes, David Van Hemelryck parle de sa nouvelle opération de sensibilisation des Français qu’il a lancée il y a six jours. Au micro d’Armel Joubert des Ouches, journaliste au magazine Nexus, il raconte en exclusivité « les années Covid » que le monde vient de traverser, le « flicage des citoyens » et son tour de France des airs qu’il vient de démarrer.


29 juillet 2023

L’euro numérique : outil d’asservissement des populations européennes

Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis le 2 juillet 2019, s’est fait piéger par les Russes Vovan et Lexus qui se sont fait passer pour le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Un des passages de l’interview les plus intéressants est celui sur l’euro numérique.

Christine Lagarde avoue face caméra que l’objectif de l’euro numérique est de permettre un meilleur contrôle des populations. Elle cite l’exemple du plafond qui sera rabaissé à 300 euros contre la limite actuelle de 1000 euros pour les paiements en espèces sous justification de lutte contre le terrorisme.

Christine Lagarde confirme également qu’avec l’euro numérique, il sera difficile, voire impossible de commercer avec des pays non amicaux comme la Chine, l’Iran et la Russie. Un État de la zone monétaire, par exemple, l’Allemagne, qui souhaiterait changer de politique énergétique et acheter du gaz à la Russie ne le pourrait pas avec l’euro numérique.

Julie d'Aiglemont

Le retour (provisoire) des Brèves des Chroniques...
Au hasard du jeu des Chaises Musicales - dont Notre Calamiteux Foutriquet avait le secret, le petit duc de l’Attelle succéda au poste de Chambellan à l’Instruction à monsieur du Nidaille, dont l'Histoire s'empresserait d'oublier jusqu'au nom et à la misérable trace. Dans les chaumières des maîtres et des maîtresses des escholes, on s'estimait heureux d'avoir échappé à la petite duchesse de la Gerbée. Cependant l'inquiétude ne laissait que de se faire jour. Monsieur de l'Attelle ne connaissait goutte à l'Instruction.
Monsieur du Nidaille avait eu le tort au yeux de Sa Petocharde Petitesse de médire du baron de la Bolhorrhée, qu'il estimait – fort à raison – comme faisant partie des Ultras des Haineux. Il ne s'était trouvé aucun Dévot pour venir le secourir quand les partisans du baron s'étaient acharnés sur sa pauvre personne.
Le petit duc de l’Attelle n'avait point ces faiblesses. Il était dévoué corps et âme à son Roy. Il le servirait sans coup férir. On ferait rendre gorge à la Confrérie des maîtres et des maîtresses. Ainsi en avait décidé Notre Fuligineux Tyranneau.

La France a-t-elle besoin d’un dauphin ?

Maxime Tandonnet

Emmanuel Macron a évoqué mardi depuis Nouméa la possibilité que son ancien premier ministre Edouard Philippe puisse « prendre le relais » à l’Élysée en 2027, en se disant soucieux « qu’il y ait vraiment une suite » à sa propre action. Comme beaucoup d’informations d’apparence anecdotique, celle-ci est révélatrice d’une certaine conception du pouvoir politique. Dans l’histoire de la République française depuis 1870, il me semble que jamais (à vérifier, je peux me tromper), un chef de l’État n’a ainsi publiquement et ouvertement désigné un successeur possible. Même Charles de Gaulle, (me semble-t-il) ne s’est jamais prononcé officiellement et ouvertement en faveur de Georges Pompidou. Ce dernier a fait un jour allusion à sa succession privilégiant VGE contre Chaban Delmas, mais c’était en comité rigoureusement privé devant les instances des RI et purement allusif : il ne l’a pas désigné nominativement. Mitterrand non plus n’a pas fait le choix d’un successeur, pas plus que Chirac qui n’a jamais dit (de mémoire) que de Villepin ou Sarkozy pourraient lui succéder. Pourquoi ? Parce que les chefs de l’État gardaient jusqu’à présent un certain respect, ou respect minimum pour le peuple. En démocratie, c’est à lui de choisir librement ou souverainement. Un président n’a pas à se donner de successeur. D’ailleurs un minimum de décence démocratique fait qu’aucun président n’a jamais magnifié sa propre « œuvre » au point de juger vitale ou indispensable sa poursuite, se proclamant ainsi irremplaçable. L’exception de Pétain se donnant un dauphin en 1940 (Laval, puis l’amiral Darlan) est justement non républicaine puisque le régime avait aboli la République. Alors bien sûr, des élections au suffrage universel auront lieu pour confirmer le choix du successeur. Mais dans la configuration que le président actuel a à l’esprit – son successeur contre les « extrêmes » diabolisés, l’issue ne doit faire aucun doute. Les médias y veilleront. Nous avons ici un signe supplémentaire du glissement d’un système politique dans le narcissisme outrancier au détriment de la démocratie et du bien public. Le principe est de compenser par le culte d’un individu l’effondrement d’une nation sur à peu près tous les plans et la faillite d’une politique – qui doit d’ailleurs beaucoup à ce fameux M. Philippe.
Vincent Verschoore

Le chef des armées US, Mark Milley, est un pur produit de la machine de guerre permanente américaine, mais il connaît aussi un peu d'histoire militaire et, en novembre 2022, il avait publiquement douté de la possibilité de virer les Russes d'Ukraine par voie militaire, sauf à accepter un coût astronomique en vies humaines.
Il préconisait même, selon l'article du Washington Post ci-joint, de saisir toute opportunité de négociation. Sa justification : le manque de compétence et de matériel de l'armée ukrainienne, malgré le support Otan.
Préconisation que Biden, VDL et la clique euro-atlantiste refusa en bloc, avec pour résultat la situation actuelle : un front qui bouge peu malgré les assauts, et un massacre quotidien.
Selon le WP de ce 26 juillet, si l'Ukraine perd la bataille actuelle cela renforcera la position russe, donc la négociation d'autant plus difficile pour l'Ukraine/Otan, donc la seule solution sera de continuer la guerre.
Le fait que cette situation ait été prévue au plus haut niveau militaire renforce l'hypothèse d'une volonté euro-atlantiste de tout faire pour que cette guerre ait lieu (j'imagine que Mark Milley connaît très bien l'histoire de l'Ukraine, notamment depuis 2014), puis de la faire durer tant qu'elle ne consomme que des vies ukrainiennes, des ressources russes, et enrichit le complexe militaro-industriel et pétrolier américain.
Tout ceci au détriment de l'Europe, mais sous les applaudissements des euro-atlantistes.


Pierre Duriot

Je me marre... cette scène des bébés embrochés n’est que symbolique, allons, allons, c’est de l’art, bien sûr, au festival d’Avignon. Nos très gentils acteurs de théâtre de couleur ne sont là que pour l’art, évidemment. Nick Conrad, le rappeur, venu se faire soigner en France, avait lancé cette idée de tuer les bébés blancs. De l’art on vous dit. Et puis le public d’Avignon, bobos cultureux, a l’esprit largement ouvert. Ils savent bien, ces braves gens instruits, que ce pourrait être leurs petits enfants à eux, mais ils sont parfaitement conscients que cela n’est que de l’art et que ça ne prête absolument pas à confusion, à intention, ou à velléité. D’un point de vue psychologique, ce pourrait être un message subliminal, histoire de commencer à montrer que ce genre de scènes pourrait devenir régulier, plus réel que symbolique et que ma foi, ça pourrait relever de la normalité. C’est de l’art certes, mais si on inversait les choses et que des acteurs blancs embrochaient des poupées et baigneurs noirs, ce ne serait plus de l’art, ce serait du racisme et ça vaudrait à l’auteur de la pièce, aux acteurs, au producteur, un bannissement définitif du monde bien pensant de la culture et un billet pour le tribunal le plus proche, avec une condamnation exemplaire, à n’en point douter. Souriez, la pièce n’est pas subventionnée de manière symbolique, mais bien réelle et avec notre argent.